Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 47

  • Foutriquet II en marche... funèbre

    645278202.jpg

    Nos lecteurs seront heureux de retrouver ici Rémi Hugues qui, dans le cadre de la sortie de son ouvrage Mai 68 contre lui-même, nous a proposé, chaque jour du mois de mai dernier, une série d'articles qui ont fait date, formant un substantiel dossier Spécial Mai 68, rédigé pour Lafautearousseau, toujours consultable sur le blog ... Le temps a passé. Il s'agit ici des tribulations d'Emmanuel Macron, à travers une intéressante recension du dernier opus de Jean-Michel Vernochet.  LFAR

    « Notre » président est en chute libre. Lâché par l’opinion publique, dont on mesure l’humeur par des sondages, desquels sortent depuis quelques semaines des résultats catastrophiques pour l’exécutif, Macron voit chaque jour que Dieu fait les défections se succéder. À la rentrée l’écolo businessman Nicolas Hulot a quitté le gouvernement. Puis ce fut le tour, Christian Estrosi, le puissant maire de Nice, d’exprimer sa décision de cesser de soutenir Macron, passant de « constructif » à opposant. Et maintenant, Gérard Collomb, en première ligne durant l’affaire Benalla, de s’évader du navire, faisant fi de l’injonction élyséenne qui l’intimait de rester aux avant-postes de la « Macronie ». 

    La grande affaire de l’été, ce scandale monté en neige par les médias, a gravement endommagé la start-up gouvernementale de Monsieur Macron. Elle résulte certainement de la rivalité mimétique qu’entretiennent ce dernier et Matthieu Pigasse, qui en tant que co-propriétaire du journal – Le Monde – déclencha l’hallali estival, par l’intermédiaire de la plume d’Ariane Chemin. Cette affaire, qui a fait d’un vulgaire chargé de la sécurité de Jupiter Ier une star nationale, aussi célèbre que MʼBappé et consorts... un homme, qui, a-t-on appris récemment, aime sortir son pistolet, non quand il entend le mot « culture », mais lorsqu’il pose pour un selfie ! 

    Alexandre Benalla est un immigré qui s’est choisi un prénom français – le vrai serait Hacène. Avec son prénom yncrétique l’homme semble tout droit sorti du roman d’anticipation Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley.

    Il s’agit, à cet égard, de s’intéresser au milieu d’origine de ce Huxley, frère de l’ardent supporter du darwinisme, pour savoir qui sont les véritables commanditaires du « Grand Remplacement », un concept forgé par Renaud Camus, plutôt que de s’imaginer la tenue d’une réunion de chefs du village africain imitant la scène des protocoles des sages de Sion, où la délibération consisterait à trouver la meilleure solution pour faire disparaître les Européens, fautifs d’avoir colonisé le continent noir. 

    À leur place, disent les tenants de cette théorie du « Grand Remplacement », doit émerger un homme nouveau, fruit d’un métissage, qui serait relié à ses semblables non par un lien social au sens fort où l’entendait Augustin d’Hippone, mais par le fétichisme de la marchandise, c’est-à-dire l’attraction qu’exercent piscines à débordement, smartphones dernier cri et berlines luxuriantes. 

    Il suffit de se promener dans le centre-ville de Marseille (bientôt la Canebière, au nom peu hallal, sera-t-elle rebaptisée Cane-thé-à-la-menthe ?) ou dans les transports en commun franciliens pour s’apercevoir ce qu’il nous est promis, à nous, descendants des Hyperboréens. 

    Le « Grand Remplacement » est précisément le premier sujet traité par l’iconoclaste essayiste traditionaliste Jean-Michel Vernochet dans L’imposture (chez l’éditeur Kontre-Kulture), ouvrage dans lequel il s’efforce de déterminer la nature réelle du projet que Macron dessine pour la France. Selon cet ancien journaliste au Figaro Magazine et à Radio Courtoisie, Macron ambitionne tout bonnement de parachever sa destruction. 

    La feuille de route de l’énarque ex-fondé de pouvoir de la banque Rothschild n’est pas seulement de renforcer la soumission du pays réel (la France) au pays légal (la République) mais l’anéantissement pur et simple de ce vieux pays qui jadis s’enorgueillissait d’être la fille aînée de l’Eglise. d’où son tropisme cosmopolite et même sa « négrophilie » un tantinet lubrique signalée par l’humoriste Patrice Éboué dans une vidéo diffusée sur Twitter. Mais essaye-t-il seulement de la dissimuler au public ? 

    La crise migratoire actuelle parachève cette entreprise de démolition. L’État français voit ainsi, note Vernochet, les instruments de sa souveraineté lui être ôtés, notamment les services publics. Or la puissance publique ne disparaît pas pour autant, elle passe juste sous pavillon européen, onusien ou américain. Ce serait une erreur de penser que la « décomposition de l’État souverain » décrite par l’auteur coïnciderait avec l’accroissement des libertés publiques. Celui-ci avance que Macron est l’intendant d’un ordre qui entend « régenter le moindre détail de nos vies » (p. 58). 

    Les deux hommes, bien que l’un soit progressiste et l’autre réactionnaire, s’accorderaient néanmoins sur une chose : l’importance du pouvoir médiatique. Cette puissance qui contribua de manière décisive à l’élection de Macron, souvenez-vous des affaires Pénélope Fillon et Étienne Chatillon, ce même Macron la dénonça au moment de l’affaire Benalla. Vernochet soutient que le Quatrième pouvoir, la presse, est devenu le Premier. Lors de l’élection présidentielle de 2017 elle a « fait d’un presque inconnu un chef d’Etat en brûlant toutes les étapes d’un ordinaire cursus honorum. » (p. 103) Le vrai titulaire du pouvoir n’est pas Macron, il n’est que le polichinelle de Rothschild & Cie, le fidéicommis, pour reprendre un vocable cher à notre auteur, des bancocrates qui règnent par le truchement des médias qu’ils contrôlent. 

    Et cette réalité existe depuis de nombreuses années : dans L’argent d’Émile Zola l’homme d’affaires Saccard achète un journal catholique en difficulté, « L’espérance », pour faire la promotion de sa Banque Universelle. Le romancier était naturaliste, la collusion entre la finance et les médias qu’il mit en lumière, n’était en rien le fruit de son imagination mais un fait réel qu’il avait découvert dans le cadre de ses recherches préalables à l’écriture de son livre. 

    Si le volume de Jean-Michel Vernochet manque d’un réel fil conducteur explicitement posé dans un exorde introductif – on pense d’après le titre que le livre est un portrait de Macron, puis le début se focalise sur le « Grand Remplacement » sans aucune mise en perspective entre les deux éléments –, ce qui lui donne un côté brouillon ; il est utile dans le sens où il présente des faits et des réflexions originales. 

    Il nous renseigne, en particulier, sur ces lois qui sont votées en toute discrétion, parce qu’elles revêtent une dimension totalitaire, ou carrément anti-nationale. Qui a entendu parler du décret n° 2017-1230 du 3 août 2017 relatif aux provocations, diffamations et injures non publiques présentant un caractère raciste ou discriminatoire, mentionnée page 52 ? Ou de la loi du 7 mars 2016 instituant un contrat d’intégration républicaine (C.I.R.), en lieu et place du contrat d’accueil et d’intégration (C.A.I.), évoqué page 94 ? 

    Il nous invite en outre à s’essayer toujours à penser au-delà de la doxa ; par exemple, l’obligation des 11 vaccins pour les écoliers n’est peut-être pas tant un complot contre l’intégrité physique de nos enfants fomenté par l’industrie pharmaceutique avec la complicité de la ministre stipendiée ès Santé Agnès Buzyn, qu’un moyen de prévenir les risques d’épidémies venues de l’étranger. Le choléra qui sévit actuellement en Algérie est là pour le souligner. Certaines écoles ont dû traiter cette très inquiétante problématique à la rentrée 2018.      

    Et Vernochet nous fait découvrir, enfin, en vertu de sa grande érudition, des pépites qu’il déterre du vaste terrain en friche de la connaissance universelle. L’idole de la sociologie française, Émile Durkheim, un misogyne ? Oui, il écrivit la chose suivante : « L’inégalité [entre les deux sexes] va également en s’accroissant avec la civilisation, en sorte qu’au point de vue de la masse du cerveau et, par suite, de l’intelligence, la femme tend à se différencier de plus en plus de l’homme. La différence qui existe par exemple entre la moyenne des crânes des Parisiens contemporains et celle des Parisiennes est presque double de celle observée entre les crânes masculins et féminins de l’ancienne Égypte. » (cité p. 14) N’y aurait-il pas lieu dès lors d’ôter le nom de ce descendant « d’une lignée de rabbins » des manuels de Sciences économiques et sociales (S.E.S.) ? Voilà un nouveau combat à mener, chères féministes ! 

    L’imposture prédit l’impopularité actuelle du chef de l’État, qui, paraît-il, est de plus en plus isolé. Si les Français n’ont pas attendu sa sortie pour réaliser que le président qu’ils ont choisi est un imposteur dont le profil est à mi-chemin entre Benjamin Braddock (Le Lauréat) et Jordan Belfort (Le loup de Wall Street), ceux qui voudront comprendre les ressorts de cette disgrâce spectaculaire auront à lire ce précieux nouvel opus de Jean-Michel Vernochet.  

    3675662240.3.jpgL'imposture,
    de Jean-Michel Vernochet,
    107 p., éd. Kontre-Kulture, 2018, 13 €  

    images.jpg

    Affiche d’information de l’école primaire « National » (Marseille)

  • Sécu trou bouché ou faux bilan ?

    6a00d8341c715453ef022ad3b54715200b-320wi.jpgQue les comptes sociaux apparaissent en équilibre pour l'année prochaine peut être tenu, pour une bonne nouvelle. La rareté de cette espèce fait penser à l'exception rhétorique des poissons volants de Jean Gabin dans son fameux discours dans le rôle du "Président", film culte remontant à 1961, signé Henri Verneuil, inspiré du roman de Simenon.

    Non sans quelque ingénuité, l'éditorialiste du Monde en ligne ce 28 septembre pouvait donc titrer : "La Sécurité sociale enfin dans le vert". Le résumé en deux lignes, pour internaute pressé, se contente d'applaudir au fait que "le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2019 prévoit un excédent. Cela n’était plus arrivé depuis 2001." Autrement dit, depuis le départ de Mme Aubry, et la ligne de gloire injustement brisée de Dominique Strauss-Kahn, la France n'a connu que deux hommes d'État dignes de ce nom : Macron, bien sûr, pour faire plaisir aux actionnaires du journal, et, ne l'oublions pas, Hollande, dont la réputation quelque peu ternie reprend du poil de la bête.

    Vrais et faux équilibres comptables se ressemblent d'autant plus qu'on a dressé le public à n'en considérer que les soldes, à partir de bilans qu'aucun comptable n'oserait présenter de peur d'être accusé de fumisterie.

    Quand furent instituées, par la réforme constitutionnelle de 1996, les fameuses Lois de Financement de la sécurité sociale, leur périmètre, d'ailleurs approximatifs se comparait au Budget de l'État. Aujourd'hui elles le dépassent tellement que l'on a mis un terme à toute comparaison.

    En gros le périmètre du PLFSS pèse aujourd'hui pour le régime général 420 milliards d'euros, dont la moitié seulement pour les dépenses d'assurance maladie ; celui de l'État en 2018, repose sur 300 milliards de recettes. Celles-ci sont ramenées à 243 milliards après déduction de 40 milliards prélevés au profit des collectivités territoriales et de 20 milliards prélèvés au profit de l’Union européenne. Le solde déficitaire du budget général était en 2018 de 87 milliards.

    C'est seulement à partir cet ensemble de chiffres que l'on pourrait commencer à raisonner.

    Car le point commun du PLFSS et du Budget est, par ailleurs, d'être alimentés l'un et l'autre, par ces prélèvements obligatoires dont le France détient le record.

    Boucher le trou de Paul : parfait, mais à quel prix pour Pierre ?

    Et au prix de quels silences ?

    Aucune réserve de vieillissement n'a jamais été publiée, par exemple, ni même évaluée, pour cette assurance maladie dont tout le monde sait qu'elle est obérée par l'augmentation constante de la moyenne d'âge des bénéficiaires.

    Aucune personnalisation des droits à pension ne permet de distinguer entre les recettes futures d'une assurance vieillesse qui évolueront avec les rémunérations. Des générations de cadres, affreux mâles blancs, ont ainsi accepté de cotiser dans des systèmes misant sur une démographie professionnelle, toujours en hausse sans anticiper sur la smicardisation d'un salariat supposé alimenter les ressources des caisses par leurs cotisations de demain.

    Plus significatif encore, depuis l'institution, le développement et la différenciation de la CSG le contrôle a complètement échappé aux cotisants et aux syndicats.

    Jusqu'en 1993 on avait pataugé dans un amateurisme syndical que la cour des Comptes avait commencé à dénoncer dès 1952. Le plan Juppé a institué un professionnalisme technocratique dont les dégâts commencent à se faire sentir en termes de déserts médicaux, de paupérisation de l'hôpital public, de rationnement des soins, etc. ; sachant que ce degré de professionnalisme ne s'inscrit pas dans des parcours de santé mais dans des carrières de hauts fonctionnaires des Finances.

    Sans doute peut-on reprocher beaucoup de choses au corps médical mais au moins il soigne.

    Personne en revanche n'imagine recourir en matière de soins aux urgences de Bercy. Or, c'est à Bercy que se prennent les décisions.

    La superficie des bureaux de la sécurité sociale au ministère de la Santé, 14 avenue Duquesne, serait à comparer avec celle affectée aux mêmes fonctions au sein de la citadelle de Bercy.

    Qui connaît d'ailleurs seulement le nom de l'honorable Mme Mathilde Lignot-Leloup, Directrice en titre de la sécurité sociale ?

    Sans même parler du libre choix des assurés, qui n’entre pas dans les agendas de la technocratie, la démocratie a été totalement évacuée du dispositif.

    Certains s'en féliciteront, mais on leur posera simplement la question : au bénéfice de quoi ? aux profits de qui ? Il me semble à craindre, comme chaque fois que l'on est tenté de dire "pas perdu pour tout le monde", que ce soit au contraire bel et bien perdu pour tous les Français.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2018/10/secu-trou-bouche-ou-faux-bilan.html

  • Cet imbécile de Donald Trump est quand même doué

    Cet imbécile de Donald Trump est quand même doué

    L’homme qui fait tout de travers et dont les propos scandalisent toute l’intelligentsia qui hurle à l’idiot peut se targuer d’avoir fait baisser le taux de chômage américain à 3,7% en septembre contre 3,9% en août. Il s’agit du plus bas niveau depuis décembre 1969.

    La Fed prévoit désormais une croissance de 3,1% du produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis cette année et table sur une expansion modérée pendant au moins trois années supplémentaires. En France, l’Insee a révisé à la baisse ses prévisions de croissance pour 2018 à 1,6 % au lieu de 1,7 %.

    La Réserve fédérale américaine table sur une croissance de 2,5% en 2019 puis sur un ralentissement à 2% en 2020 et 1,8% en 2021, l’impact des allègements fiscaux et des dépenses budgétaires mis en œuvre par l’administration Trump se dissipant progressivement.

    Le produit intérieur brut (PIB) américain a enregistré au deuxième trimestre une croissance de 4,2% en rythme annualisé selon les statistiques publiées fin août, qui marquent une nette accélération après le chiffre de 2,2% des trois premiers mois de l’année.

    Enfin, la confiance des ménages américains a atteint en septembre son plus haut niveau depuis 18 ans. En France, l’indicateur de confiance des ménages de l’Insee retombe depuis un an. En ce début d’automne, les Français se montrent très pessimistes concernant leurs finances personnelles : prix perçus en hausse, craintes sur l’évolution du chômage, capacité d’épargne qui se dégrade… Mais pour Emmanuel Macron, il faudrait cesser de se plaindre. Mais qui est vraiment un imbécile entre Trump et lui ?

    https://www.lesalonbeige.fr/cet-imbecile-de-donald-trump-est-quand-meme-doue/

  • Comment contourner la répression grâce au Bitcoin – Jérôme Barbet (Les Identitaires)

    bitcoin-1021x580-600x341.jpg

    Depuis plusieurs mois, nos opposants politiques cherchent à nous asphyxier financièrement en faisant fermer nos comptes bancaires et nos plateformes de paiement en ligne. Il est désormais possible de contourner ces moyens de paiement traditionnels grâce aux cryptomonnaies. Vous pouvez soutenir les identitaires en faisant un don en Bitcoin ou en Etherum.

    Qu’est-ce que le Bitcoin ?

    Le Bitcoin est une nouvelle monnaie virtuelle dont on entend de plus en plus parler dans les médias. Bulle spéculative ou révolution, des points de vue très tranchés existent et s’affrontent. Cette cryptomonnaie est un OVNI : elle bouleverse tous les schémas établis, réunissant parmi ses utilisateurs les milieux du web-anarchisme, les libertariens et dorénavant les identitaires. Parmi ses plus fervents opposants, on trouve les banques (centrales ou d’affaires), des économistes médiatiques, certains financiers et des politiques de tous bords.

    La blockchain, qu’est-ce que c’est ?

    Le Bitcoin a un futur incertain, en revanche une chose est sûre, il s’appuie sur une technologie nouvelle qui va probablement envahir notre quotidien dans les prochaines années. Il s’agit de la blockchain (dont la traduction en français est chaîne de blocs), une technologie qui permet de stocker et transmettre des informations de manière transparente, sécurisée et sans organe central de contrôle. La blockchain peut être utilisée de trois façons : pour du transfert d’actifs (monnaie, titres, actions…), pour une meilleure traçabilité d’actifs et produits, et pour exécuter automatiquement des contrats (des smart contracts). La grande particularité de la blockchain est son architecture décentralisée, c’est-à-dire qu’elle n’est pas hébergée par un serveur unique mais par une partie des utilisateurs. Il n’y a aucun intermédiaire pour que chacun puisse vérifier lui-même la validité de la chaîne. Les informations contenues dans les blocs (transactions, titres de propriétés, contrats…) sont protégées par des procédés cryptographiques qui empêchent les utilisateurs de les modifier a posteriori.

    Comment utiliser les Bitcoins ?

    Le Bitcoin est le cas d’usage le plus connu de la blockchain. Il désigne à la fois un protocole de paiement sécurisé et anonyme et une crypto-monnaie. N’importe qui peut accéder à cette blockchain et donc utiliser des bitcoins. Pour ce faire, il suffit de créer un portefeuille virtuel, en passant par exemple par ce site. La crypto-monnaie permet d’acheter des biens et services et peut être échangée contre d’autres devises.

    Le Bitcoin en politique

    Au-delà de l’innovation technologique considérable représentée par la blockchain (permettant d’effacer les intermédiaires), qui est en soi politiquement neutre, plusieurs courants idéologiques ont décidé de s’en emparer et d’en faire la promotion. Les milieux patriotes par exemple voient d’un bon œil la possibilité d’un outil leur permettant d’outrepasser la censure des GAFA (Google Amazon Facebook Apple) et des différentes plateformes de paiements soumises à des pressions politiques. Steve Bannon, l’ancien proche conseiller de Donald Trump en fait sans cesse la promotion et le Bitcoin est également utilisé par la célèbre YouTubeuse américaine Lauren Southern (proche de Génération Identitaire), plusieurs fois bannie par certaines plateformes de paiements.
    Le Bitcoin pour contourner la répression

    Tant que nos mouvements (comme Génération Identitaire récemment, dont les moyens de paiements ont été supprimés sous pression de l’extrême-gauche, quelques mois après la perte du compte bancaire de l’association suite à une campagne de harcèlement) continueront d’être dans le viseur du pouvoir, toute initiative visant à gagner en autonomie et en indépendance vis-à-vis de l’État, des GAFA et du système bancaire est à encourager. Que le Bitcoin soit une réelle alternative monétaire ou non, il est en tout cas aujourd’hui le moyen idéal pour contourner la répression dont nous sommes la cible.

    La Blockchain comme alternative aux GAFA

    La blockchain va apparaître de plus en plus comme la possibilité de créer une alternative aux GAFA (Google Amazon Facebook Apple), éventuellement avec des réseaux sociaux décentralisés s’appuyant sur cette technologie. Nous assisterons donc à l’émergence d’un pôle de résistance et de liberté se dressant en contre-modèle face à cette tentative monopolistique de créer une dictature numérique par ces géants du web. Un contre-pouvoir rendu chaque jour plus nécessaire, tant les libertés sur internet ne cessent de reculer.

    Jérôme Barbet

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    Vous pouvez facilement vous procurer et envoyer du Bitcoin en passant par ce site. Une fois votre compte créé, il vous suffira de l’alimenter par virement bancaire, puis vous pourrez effectuer très facilement des paiements depuis la rubrique retirer des bitcoins.

    Les identitaires acceptent les dons en cryptomonnaies :
    Adresse Bitcoin : 1EQXFUhbbxsgBbQ5cpujtkp5pMDxGWfiJi
    Adresse Etherum : 0x88FC007c6bA257CC01ceA697513587fFBb1b1BeC

    Génération Identitaire accepte également les dons en cryptomonnaies :
    Adresse Bitcoin : 1JAWpHj7B3n1t4Xa3iQB2Bcq64v64ofz4B
    Adresse Etherum : 0x0CDE4EbdFF145Fd1583287a00992de4c935c4f15

    https://fr.novopress.info/212201/comment-contourner-la-repression-grace-au-bitcoin-jerome-barbet-les-identitaires/

  • Environnement et économies d’énergie : le bidon de la voiture électrique

    800px-Voiture_électrique_Peugeot_en_rechargement_-Nice-800x475.jpg

    Le Mondial de l’auto s’est ouvert en grandes pompes (encore à essence) ce jeudi 4 octobre. L’automobile, avec ou sans plomb, essence ou diesel, électrique ou hybride, est une vache à lait. La preuve : si l’on en croit le dernier rapport de la Cour des comptes sur le sujet, jamais les infractions routières n’ont autant rapporté à l’État que l’année passée. Record toutes catégories en 2017, soit 1,97 milliard d’euros de recettes dont 1,01 milliard collecté par les seuls radars. Bref, c’est une affaire qui marche !

    L’automobile, donc, notre fleuron industriel. Le président Macron a reçu à l’Élysée les dirigeants du secteur puis il s’est rendu au salon pour flatter les capots comme d’autres flattent le cul des vaches, puis réunissant autour de son auguste personne tout le gotha de la profession, il a annoncé avoir confié à l’ancien directeur général de Renault, Patrick Pélata, « une mission sur les nouvelles mobilités et les véhicules électriques et autonomes ». Il sera assisté dans cette entreprise par Xavier Mosquet, « spécialiste de l’industrie automobile et ancien conseiller de l’administration Obama ». Excusez du peu…

    Comme le souligne Le Point, notre omniscient chef de l’État « a donc pris les commandes de ce dossier, une première pour un président de la République ». C’est dit, c’est “acté”, gravé dans le marbre, nous allons tous demain rouler électrique et autonome. Question : est-ce si économe en énergie qu’on veut bien nous le dire ? Pas sûr du tout. On est même, en l’état actuel des ressources, sûr du contraire.

    C’est François Lenglet qui a soulevé le lièvre sur RTL en révélant les omissions volontaires des tenants du meilleur des mondes électriques, notamment les constructeurs occidentaux qui prévoient, à eux seuls, « 160 milliards d’euros d’investissement pour électrifier leurs gammes d’ici à 2023 ». Pourtant, dit François Lenglet, « plusieurs choses désagréables sont omises sur les voitures électriques. D’abord, la voiture électrique n’est propre que si l’électricité est générée à partir d’énergie décarbonée ». Or si cela est le cas en France où 70 % de la production est nucléaire, ça ne l’est évidemment pas en Allemagne où « charbon lignite (une forme de charbon) et gaz comptaient encore pour 50 % en 2017 », et encore moins en Chine « puisque 71 % de l’électricité proviennent de l’énergie fossile ». Pour résumer, « au lieu de mettre du pétrole dans une voiture, on fait de l’électricité avec du pétrole [ou du charbon] pour alimenter une voiture électrique ».

    Reste la solution de la voiture électrique produite à l’énergie “propre”. Sauf que…
    « La construction d’un véhicule électrique demande bien plus d’énergie qu’un moteur thermique. Et son recyclage, en particulier celui de la batterie, génère une pollution très problématique, tout comme la fabrication elle-même de la batterie, avec des métaux rares dont l’extraction est très polluante », dit Lenglet. Bref, tout cela n’est qu’un bidonnage destiné une fois de plus à nous culpabiliser pour nous faire changer de véhicule car « si l’on prend donc le bilan environnemental total d’un véhicule électrique, du berceau au recyclage, il n’est pas si brillant comparé à une bonne vieille diesel ».

    Les faits le prouvent, « la voiture électrique ne supprime pas la pollution, elle la déplace, en l’éliminant des centres-villes (avec une émission zéro), mais en la faisant apparaître dans les décharges à batteries ou les mines de métaux rares ».

    Qu’importe, nos dirigeants qui savent très bien tout cela n’en ont cure. La pollution n’est pas leur souci. L’important est de faire rentrer l’argent. À cela tout est bon, comme le prouve cette mesure anecdotique en apparence qui consiste à changer, sous prétexte d’harmonisation européenne, le nom du carburant à la pompe. Dans une semaine, le sans plomb 95-E10 s’appellera E10, les sans plomb 95 et 98 deviendront E5, et le diesel sera B7.
    Touché coulé !

    Marie Delarue

    http://www.bvoltaire.fr/environnement-et-economies-denergie-le-bidon-de-la-voiture-electrique/

  • Économie : 2019, l’année de tous les dangers en Europe

    images.jpg

    Marc Rousset

    Le taux directeur américain vient d’être relevé par la Fed d’un quart de point supplémentaire, à 2,25 %, et devrait atteindre 3 % à fin 2019. Selon la BCE, une première hausse des taux pourrait intervenir à l’été 2019. Les taux ont donc commencé à monter et ce sont toujours eux qui ont été à l’origine des six dernières crises dans le monde, de 1980 à 2008. Depuis 2009, le S&P 500, l’indice américain le plus représentatif de la bulle des actions, a été multiplié par quatre, en progressant de 700 à 2700, tandis que l’indicateur préféré du célébrissime milliardaire américain Warren Buffet, le ratio capitalisation boursière/PIB, a atteint 1,4, dépassant sa valeur de seulement 1 pendant la crise des subprimes de 2008, et le niveau le plus élevé jamais atteint jusqu’à présent de 1,36 lors de la crise Internet de l’année 2000.

    Les élections européennes de mai 2019 vont faire l’objet de vives tensions car elles se présentent comme un référendum européen sur l’Union européenne, sur l’immigration, pro ou anti-Macron et Merkel. Il semble que les populistes s’acheminent vers une victoire écrasante qui va bouleverser l’Europe. Macron et Merkel, s’ils sont désavoués par les peuples, n’auront plus qu’à choisir entre le statut de zombie ou la démission. En Allemagne, la montée en puissance de l’AfD semble irrésistible puisque ce parti serait déjà le n° 2, avec plus de 18 % des votes, ayant dépassé le SPD avec, comme slogan leitmotiv, la démission de Merkel : « Merkel muss Weg ! »

    En France, Macron est en chute libre, avec un état de l’économie française de plus en plus préoccupant. Il n’y a pas que l’État souverain ; les ménages et les entreprises françaises affichent également des records d’endettement. Fin mars 2018, l’Hexagone affichait le ratio de dette privée le plus élevé de la zone euro, soit 131 % du PIB. L’endettement des particuliers atteint 93 % de leur revenu disponible, soit 58 % du PIB. Quant aux entreprises françaises, elles sont aussi les championnes de l’emprunt, avec un taux d’endettement qui représente 73 % du PIB, 56 % de la dette ayant été octroyés à taux variable, ce qui entraînera immanquablement des faillites en série si les taux augmentent. La charge de la dette française, malgré les taux d’intérêt ridicules actuels, soit 42 milliards d’euros, représente déjà le 2e poste du budget français derrière l’Éducation, et bien devant le malheureux budget croupion de l’armée française. La dette publique française de 2.300 milliards d’euros représente aujourd’hui une dette vertigineuse de 34.208 euros par Français, qui ne sera jamais remboursée.

    Il suffit de la faillite d’une seule banque telle que Deutsche Bank en Allemagne, UniCredit, Intesa Sanpaolo en Italie, avec trop d’obligations souveraines et de créances pourries à leur bilan, du défaut de l’Italie, de l’Espagne ou de quelques pays émergents pour qu’un krach boursier s’ensuive avec une augmentation des taux d’intérêt et une succession de faillites en série d’entreprises et de banques dans le monde entier.

    L’Italie est devenue la poudrière officielle de l’Europe, suite au budget trop dépensier de la coalition Ligue-5 étoiles. Les craintes d’une nouvelle crise du type grec en dix fois plus grand sont fondées. Le taux d’intérêt à dix ans de l’État italien vient de bondir jusqu’à 3,29 %, soit un écart de 2,80 % avec le taux d’intérêt des emprunts allemands.

    L’Allemagne est la grande gagnante de la zone euro, suite au laxisme socialiste décadent non compétitif de la France et des pays européens du Sud, avec ses excédents de biens exportés qui se traduisent par une créance à l’actif de la Bundesbank vis-à-vis des autres banques centrales européennes. Mais il s’agit d’une simple promesse comptable TARGET2 des autres pays de la zone euro de rembourser ultérieurement avec des surplus d’exportations de biens et services vers l’Allemagne. Encore faudrait-il s’assurer qu’il y aura effectivement, un jour, des excédents des autres pays de la zone euro vers l’Allemagne sinon, de gagnante, l’Allemagne pourrait alors devenir le « dindon de la farce ». En cas d’explosion de la zone euro, de banqueroute de la Grèce, de l’Espagne, de l’Italie et de la France, les créances TARGET2 de 1.000 milliards d’euros de la Bundesbank, soit environ la moitié du PIB annuel français, devraient normalement être payées en or ou en dollars par les banques centrales débitrices pour solde de tout compte, mais il est probable qu’elles ne seront jamais réglées par des pays tels que la Grèce ou l’Italie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/10/05/economie-2019-l-annee-de-tous-les-dangers-en-europe-6094715.html

  • Concert de Médine : Génération Identitaire occupe le toit de la salle l’Aéronef à Lille

    Concert de Médine : Génération Identitaire occupe le toit de la salle l’Aéronef à Lille

    De Marseille à Lille, les Identitaires sont partout. Génération Identitaire occupe actuellement le toit de la salle de spectacle l’Aeronef à Lille pour s’opposer au concert du rappeur islamiste Médine ! Voici leur communiqué :

    https://www.lesalonbeige.fr/concert-de-medine-generation-identitaire-occupe-le-toit-de-la-salle-laeronef-a-lille/

  • Quand Erdogan défie l'Allemagne et l'Europe

    6a00d8341c715453ef022ad36f48ed200c-320wi.jpgLe 28 septembre, porte de Brandebourg, le président turc saluait ses partisans. Quatre doigts levés, le pouce recroquevillé vers la paume : sans ambiguïté le salut de la confrérie al-Ikhwan al-Mouslimoun chassée d'Égypte en 2012, les Frères musulmans.

    Peu lui importaient les protestations d'opposants et les mises en garde de la presse et des bouderies de la classe politique allemande, chancelière y compris : sa feuille de route consistait à inaugurer, le 29 septembre, grande mosquée d'Allemagne, dans un pays qui en compte déjà 900. Cet édifice de 4 500 m2 abritera désormais aussi le siège du Ditib pseudopode outre-Rhin de la tentaculaire Diyanet[1].

    À Cologne, les responsables locaux ont renoncé à participer à la cérémonie d'inauguration : ni Henriette Reker, au nom de la ville, ni le ministre président de Westphalie-Rhénanie-du-Nord n'ont souhaité y prendre part. Frau Reker ne s'est rendu qu'à l'aéroport, pour saluer son départ.

    C'est cependant une image personnelle de dureté et d'intransigeance que le président turc a tenu à montrer à la presse allemande qui entreprenait le bilan de son voyage dans la capitale dès l'issue de la première journée, diplomatiquement décisive.

    Aussi bien lors de la réception officielle au palais Bellevue, que lors de la conférence de presse commune avec la chancelière Merkel, on ne pouvait pas ne pas remarquer le climat glacial et les profondes divergences entre les deux dirigeants. Que recherchait exactement Erdogan, qu'attendait-il de cette visite ?

    Il est venu à Berlin le 27, observent les journaux allemands, en raison de la crise économique qui frappe son pays. Il aura insisté à plusieurs reprises sur la nécessité de liens commerciaux plus étroits et de la relance des investissements des entreprises allemandes, sans être pour autant disposé à renoncer à son agressivité.

    Die Welt considère que personne ne peut désormais retenir la Turquie sur le voie de son effondrement. "Ankara, écrit le commentateur, peut disposer de certains moyens de pression dans la question des réfugiés, mais elle a plus besoin de l'Allemagne que l'Allemagne de la Turquie". On trouve des considérations analogues dans la Stuttgarter Zeitung qui souligne les moyens de chantages, sur l'Otan et, sur la question des réfugiés. Der Spiegel déplore même que Berlin facilite la vie d'Erdogan et "lui accorde une aide symbolique sans contrepartie concrète".

    Le sujet turc prend de plus en plus de place dans les médias. Pour y avoir consacré des dizaines d'articles, de conférences, d'émission, organisé une pétition contre la candidature faussée de ce pays à l'Union européenne, publié un petit livre[2], etc. votre serviteur ne saurait récuser le bien-fondé de cette mode.

    Encore devons-nous souhaiter que le débat se situe sur son vrai terrain. Longtemps les Européens ont cru que l'Anatolie et la Thrace orientale, ayant appartenu à l'empire romain, ayant même abrité une partie du christianisme originel faisaient, donc partie sinon, géographiquement, de leur continent, du moins, historiquement, de leur civilisation.

    De plus une illusion a été entretenue par les Jeunes Turcs d'abord, par le Kémalisme ensuite[3] sur la force et la laïcité du pays. Il est trompeur de situer en 1928 en Egypte, avec la naissance des Ikhwan, la fonction identitaire du fanatisme musulman contre l'Europe moderne. Elle a été exposée dès le vizirat de Saïd Halim Pacha premier ministre du sultan de 1913 à 1916.

    L'Europe officielle actuelle, c'est-à-dire ces institutions de l'Union européenne, ficelée par le document appelé Charte des Droits fondamentaux, 54 articles, 22 pages, signé le 18 décembre 2000 dans le cadre de la conférence de Nice, s'interdit de constater que l'islam ne fait pas partie de notre famille de nations. Elle tient au contraire à l'y inclure, sans doute pour ne pas désespérer Garges-les-Gonesse.

    L'occupation d'une partie de l'Espagne de 711 jusqu'en 1492, la bataille de Poitiers de 732, la prise de Constantinople en 1453, l'invasion d'une partie de l'Europe centrale et danubienne jusqqu'au siège de Vienne de 1683, l'oppression sur les Balkans jusqu'au XIXe siècle, etc, loin de créer un droit de l'envahisseur sur notre terre d'Europe, droit que n’hésite pas à proclamer la tradition mahométane, désigne au contraire cet agresseur pour un danger potentiel permanent.

    Et c'est aujourd’hui le régime d’Ankara et son dirigeant mégalomane qui l’incarnent.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Cette administration turque, Présidence des affaires religieuses, Diyanet isleri baskanligi, rappelons-le, gère la vie religieuse en l'alignant exclusivement sur l'islam sunnite. Les alévis, bektachis et autres chiites duodécimians ou djafaris n'y ont aucun droit. Elle compte plus de 100 000 fonctionnaires en Turquie. Son activité est couverte par l'article 136 de la constitution. Son budget est supérieur de 60 % environ à celui du ministère de l'Intérieur. Depuis 2016, Ankara l'utilise pour surveiller et poursuivre ses adversaires à l'étranger. Le procureur fédéral allemand enquête actuellement sur 19 imams soupçonnés d'avoir espionné le mouvement libéral de bienfaisance Hizmet dirigé par Fetullah Gülen et persécuté par le régime Erdogan.

    [2] cf. "La Question Turque et l'Europe"

    [3] On lui doit quelques fortes formules telle que "le glaive de la justice frappe parfois les innocents, le glaive de l'histoire frappe toujours les faibles" que n'aurait pas désavouées Adolf Hitler, grand admirateur de la Turquie et de l'islam.

    http://www.insolent.fr/2018/10/quand-erdogan-d%C3%A9fie-lallemagne-et-leurope.html