Communiqué de Choisir la vie :
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En 2015, alors qu’elle était encore Ministre de la Santé, Marisol Touraine instaurait, le 28 septembre, une Journée mondiale du droit à l’avortement et créait un numéro vert national destiné à informer les femmes sur l’avortement et à en promouvoir toujours davantage l’accès.En 2018, si Madame Touraine a quitté ses fonctions, la nouvelle ministre de la santé, Agnès Buzyn, entend bien poursuivre dans cet acharnement idéologique à défendre ce droit à l’IVG et à s’opposer à toute entrave à celui-ci.Ainsi, alors même qu’il y a seulement quelques jours, le Docteur Bertrand de Rochambeau, président d’un syndicat de médecins gynécologues, avait le courage affirmer que l’avortement constituait la suppression d’une vie et donc un homicide et rappelait le droit de chaque médecin d’user de la clause de conscience pour refuser de pratiquer cet acte, plus que jamais, Madame Buzyn et Madame Schiappa, secrétaire d’état à l’égalité femmes-hommes, entendent défendre ce droit à l’avortement et rappeler la liberté des femmes à choisir de disposer de leur corps.La campagne étatique d’affichage à l’occasion de la journée du droit à l’avortement le 28 septembre, comme chaque année, a passé sous silence les conséquences physiques et psychologiques de l’IVG et a continué de nier que l’embryon est un être humain.C’est pourquoi, Choisir la Vie, qui quotidiennement, à travers son antenne d’écoute se place du côté des femmes enceintes en difficulté et des enfants, entend, par sa nouvelle campagne d’affichage, riposter à la campagne étatique en démontrant que l’enfant in utéro n’est “ni une déception, ni une punition, ni une erreur, ni un obstacle mais un être humain”.
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De nombreuses épouses se plaignent que l’usage de la contraception a conduit leurs époux à les traiter comme des objets sexuels
Extrait d’un article de L’Homme Nouveau sur la contraception :
En tant que psychiatre catholique ayant travaillé quarante ans avec des milliers de couples mariés, de familles et de jeunes,Rick Fitzgibbons, directeur de l’Institut de thérapie conjugale à l’extérieur de Philadelphie, rejoint aussi à son niveau scientifique Marianne Durano et Paul VI dans Humanæ Vitæ, lorsqu’il avertit :
« De nombreuses épouses se plaignent que l’usage de la contraception a conduit leurs époux à les traiter comme des objets sexuels. (…) La maltraitance silencieuse des épouses a contribué, selon le résultat des recherches [d’une importante étude de l’Université de Minnesota], à ce que 70 % des divorces soient initiés par des épouses, et de façon surprenante, dans des mariages présentant un faible niveau de conflits ouverts… ».
Le prétendu « sexe sûr », par le moyen de la contraception, est un cheval de Troie dans la citadelle civilisationnelle du mariage et de la famille. Il aboutit à la perte de la vérité sur soi-même, sur le couple et sur la famille, et par conséquent à la perte de l’amour lui-même.
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Saint-Martin : l’image de l’échec et l’échec de l’image – Journal du lundi 1er octobre 2018
Politique / Saint-Martin : l’image de l’échec et l’échec de l’image
Il l’avait promis, un an après l’ouragan Irma, Emmanuel Macron est revenu à Saint-Martin. L’occasion de se donner en spectacle alors que la reconstruction du territoire au point mort.Société / Mondial de l’Auto à la croisée des chemins
International / Trump et Trudeau trouvent un terrain d’entente
Donald Trump obtient un nouvel accord pour l’Amérique du nord. Après d’âpres négociations, le président s’est mis d’accord avec ses homologues mexicains et canadiens… clouant un peu plus le bec à ses détracteurs.International / Le Brésil sous très haute tension
A une semaine du premier tour des élections générales, le Brésil est à feu et à sang. Scandales de corruption, tentative d’assassinat du favori et crise sociale, le pays et son futur président auront de nombreux défis à relever.Lien serveur TVL
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Valérie Pécresse découvre que l’insécurité règne dans les lycées d’Île-de-France
Le plus sécuritaire des Français aurait applaudi des deux mains aux propos tenus sur le thème de la sécurité par Valérie Pécresse, lors de son passage au « Grand Jury » de RTL, dimanche dernier. En effet, tout y était. Minorité pénale à 16 ans, construction de 15.000 places de prison, développement de la vidéo-sécurité, effectivité des peines de prison prononcées par la justice, armement obligatoire des polices municipales dans les grandes villes.
Bref, toute une série de mesures de bon sens, et aujourd’hui indispensables pour notre sécurité, que les amis LR de la présidente de la région Île-de-France, se sont pourtant bien gardés de mettre en place lorsqu’ils étaient au pouvoir. Et pour compléter ces dispositions, l’élue francilienne y est allée de quelques propositions destinées à crédibiliser sa démarche. Ainsi, a t-elle a formulé l’idée de la création d’une brigade de sécurité mobile, destinée à intervenir dans les lycées de son ressort. Il est vrai que la violence et l’insécurité sont depuis de nombreuses années présentes dans nos établissements d’enseignement. Du primaire au supérieur, il n’est pas de jour sans que soient rapportées par la presse les multiples exactions commises par des individus de plus en plus jeunes, et de plus en plus violents. Il y a quelques jours à peine, à Garges-lès-Gonesse, un jeune de 17 ans était violemment agressé et sérieusement blessé par une dizaine d’individus, dont certains étaient armés de bâtons et de barres de fer. Quelques jours auparavant, dans le Val d’Oise, c’était un policier municipal qui était roué de coups en pleine rue, par un groupe de personnes. Et la liste pourrait être longue de ces événements qui empoisonnent la vie quotidienne des Français, et qui attestent bien de ce que le niveau de violence est devenu insupportable dans notre pays.
Car aujourd’hui, plus une catégorie de citoyens n’est épargnée. Les sapeurs-pompiers, depuis plusieurs mois tirent le signal d’alarme. Les agents des transports, confrontés à une violence qui ne cesse de monter – 15 % d’augmentation en ce qui concerne les agents de la RATP -, les services d’urgence dans les hôpitaux, où la violence se déchaîne de façon récurrente, les policiers nationaux et municipaux, les gendarmes…, tous sont confrontés à un phénomène auquel le gouvernement se trouve dans l’incapacité, souvent par pure idéologie, d’apporter une solution.
Face à cette plaie purulente que constitue la violence pour notre société, Valérie Pécresse annonce donc une nouvelle initiative, la mise en place d’une unité de sécurité qui aura pour mission de sécuriser les lycées dont elle a la charge. Malheureusement, cette nouvelle formation, composée d’une quinzaine d’agents recrutés, notamment, parmi les anciens policiers et gendarmes, risque fort de se trouver bien démunie face à des bandes de délinquants déterminés et souvent armés. Par ailleurs, si c’est au rectorat qu’il appartiendra de gérer cette entité, rien n’est dit sur ses compétences réelles. Quelles seront ses prérogatives judiciaires. En aura t-elle seulement ? À quelles autorités publiques de police, de gendarmerie, de justice, devra t-elle rendre compte ? Quels seront ses moyens, sachant qu’a priori, ses membres ne seront pas armés ? Autant de questions actuellement sans réponses, mais qui laissent augurer d’une nouvelle et énième initiative, davantage destinée à répondre aux journalistes en vue de prochaines échéances électorales, qu’à traiter véritablement du cœur de la question fondamentale que constitue l’ancrage de la violence et de la criminalité au cœur de notre société.
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Sexisme : quand France Inter ne s’interdit rien contre Charlotte d’Ornellas, par Caroline Parmentier
« Les petites cathos d’extrême droite ça m’excite (…) Nous ferons l’amour bestialement comme deux bergers allemands » etc. Où sont les Mee too et les Balance ton Porc pour protester aujourd’hui contre la chronique répugnante de Daniel Morin sur France-Inter contre Charlotte d’Ornellas ?
Sur France-Inter qui nous a bassinés pendant des mois avec le sexisme et le harcèlement (et sous les gloussements un peu gênés de deux journalistes femmes sur le plateau qui se gardent bien d’intervenir), le chroniqueur Daniel Morin se livre le 27 septembre à un ahurissant numéro sur le mode « Fais-moi mal, chienne » contre la journaliste de Valeurs Actuelles, ancienne collaboratrice de Présent, « à droite, droite, droite » où tout y passe : l’armure de Jeanne d’Arc, les culottes de peau autrichiennes, les bergers allemands et les nazis, sur fond de halètements et de « Maréchal nous voilà ».
C’est particulièrement choquant et sexiste et tout le monde rigole autour de la table. Le respect des femmes sur France Inter, radio du service public qui passe son temps à donner des leçons, c’est à la tête de la cliente. On imagine un instant si la cible n’avait pas été blanche, catho et de droite. Et le même genre de sketch avec par exemple Rokhaya Diallo ou Raquel Garrido dans le rôle de la « salope ».
Dans le même temps, Eric Zemmour pour une phrase désobligeante (et coupée au montage) sur le prénom d’Hapsatou Sy, doit être interdit partout d’antenne et de plateau ! Est-ce que Marlène Schiappa et toute la classe médiatique et politique qui a volé au secours d’Hapsatou Sy comme un seul homme, va demander l’interdiction de Daniel Morin ? Il ne risque absolument rien ni du CSA ni des chiennes de garde, il a tous ses totems d’immunité. Vous voulez appeler au meurtre (comme Laurent Ruquier appelant à abattre Donald Trump sur la chaîne publique France 2 sans jamais avoir été sanctionné) vous voulez appeler au viol ou au racisme anti-blanc et anti-catho, vous voulez diffamer, insulter ? Soyez journaliste de gauche sur une radio d’Etat.
Photo : La photo officielle de Daniel Morin sur le site de France-Inter. Il s’était mis du rouge à lèvres en signe de solidarité pour la Journée de la Femme comme le tartuffe obsédé sexuel, Denis Baupin…
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 1er octobre 2018
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François Bousquet : « La France profonde est derrière les idées de Zemmour »
Éric Zemmour était présent, ce mercredi 26 septembre, pour dédicacer son dernier livre Destin français à la Nouvelle Librairie.
Boulevard Voltaire a interrogé le fondateur de cette librairie, François Bousquet. Il évoque les pressions subies de la part des groupuscules d’extrême gauche autour de cet événement et le succès rencontré auprès des lecteurs parisiens, malgré les tentatives d’intimidation.
Nous sommes à La Nouvelle Librairie. Vous recevez Éric Zemmour pour une signature de son dernier livre.
C’est une visite sous tension. Vous avez reçu de nombreuses menaces.Oui, en effet. Les antifas ont mis la pression sur la librairie. Ils ont dégradé la devanture avec des stickers, des autocollants et des tags. Ils ont dégradé le rideau de fer et ils ont surtout envoyé une invitation sur internet à venir nous »sbodifier », c’est un terme tiré de l’arabe. C’est un mot argotique qui s’est imposé en France en 2005 à la suite des émeutes de banlieues. »Sbotifier », c’est foutre le bordel au sens où on le fout dans les banlieues. En clair et en un seul mot, détruire la librairie.
Nous avons porté plainte. Le dépôt de plainte a été pris en compte par la police et la préfecture. Il y a une sécurité policière. Nous avons nous-mêmes une sécurité privée. Il est assez surréaliste de devoir sécuriser à nos frais une signature d’un des auteurs français vivants qui vend le plus. On nous reproche de piétiner la liberté d’expression, mais en réalité, on nous piétine et on piétine la liberté d’expression.
Dieu merci, Zemmour et la librairie ont résisté.
Vous avez ouvert cette Nouvelle Librairie rue Médicis. Pour les lecteurs qui ne sont pas parisiens, c’est un haut lieu du Quartier latin. Pour être un peu caricatural, ce quartier est sous domination de gauche depuis mai 68.
Vous attendiez-vous à de telles réactions de la part de l’extrême gauche lorsque vous avez ouvert ?On s’y attendait sans s’y attendre. On s’attendait à gêner. Ça fait 50 ans que l’on a déserté ce quartier qui est l’épicentre de la vie intellectuelle. Or, sur le symbole, c’est central. Occuper le Quartier latin, c’est rendre nos idées visibles. On savait que nous allions déranger.
Sauf que les antifas ont pris des habitudes d’impunité incroyables. On les a vus à Angers, à Paris, Rennes, Toulouse et Lille. Ils entrent chez vous comme si c’était chez eux. Ils vous menacent physiquement, ils vous agressent, vous défient front contre front. Ils dégradent votre vitrine et ressortent comme s’ils n’avaient rien fait et qu’ils étaient porteurs d’une justice immanente. C’est ça désormais un antifa.
Je ne suis pas naïf, mais je ne pensais pas qu’ils étaient habités par un tel sentiment d’impunité. C’est vraiment une découverte. On est vraiment harcelé, mais on résiste.
Ce soir, la manifestation est un immense succès. Le public résiste. Le paradoxe de notre époque est qu’il y a un hiatus entre les élites et la France profonde qui est majoritairement derrière les idées de Zemmour. Quand on regarde les sondages, 2/3 des Français sont pour le contrôle des frontières, mais ce pourcentage n’apparaît pas dans les médias centraux. L’université a été colonisée par le gauchisme culturel. Nous, nous sommes installés là précisément pour mettre un caillou dans la chaussure du gauchisme culturel.
Pour répondre aux intimidations, vous avez invité l’un des polémistes les plus attaqués par la gauche ces dix dernières années.L’invitation avait été programmée avant le déclenchement des polémiques.
Si vous vous en souvenez bien, les polémiques ne sont pas le fait d’Éric Zemmour.
L’information a filtré, mais on a quand même maintenu la signature dans un contexte de polémiques, d’énervement et d’hystérie. C’est une hystérisation pour une question de prénom. La question du prénom est une tempête dans un verre d’eau. Désormais, on considère qu’une tempête dans un verre d’eau est une tempête de force 12. Cela veut dire que la question du prénom est un cyclone médiatique. C’est complètement dérisoire. Il faut remettre les choses à leur place. C’est une polémique autour du prénom comme la vie intellectuelle et la vie littéraire en a toujours porté. C’est un phénomène habituel, sauf qu’autrefois cela se faisait entre gentlemen. Désormais, ce sont des voyous.http://www.bvoltaire.fr/francois-bousquet-la-france-profonde-est-derriere-les-idees-de-zemmour/
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Perles de Culture n°181 : Hommage à Jean Madiran
Anne Brassié vous recommande les films “Mademoiselle de Joncquières”, “Les frères sisters” et “Un peuple et son roi”. Elle reçoit ensuite Rémi Fontaine pour la présentation de son ouvrage “Itinéraires de chrétienté avec Jean Madiran”.
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La sacralité de la Nature
Nos mythes et nos rites cherchaient une coïncidence entre les œuvres humaines et l’image d’un cosmos ordonné. La disposition circulaire du temple solaire de Stonehenge reflétait ainsi l’ordre du monde, symbolisé par la course du soleil, son perpétuel retour à la fin de l’hiver. Elle figurait l’anneau de la vie unissant la naissance à la mort. Elle représentait aussi le cycle éternel des saisons.
De même, les temples grecs sont-ils nés du bois sacré des ancêtres hyperboréens. Strabon dit que « les poètes qui embellissent tout, nomment ‘bois sacré’ n’importe quel sanctuaire, même dépouillé de végétation ». Les recherches archéologiques ont montré que les colonnes des temples grecs archaïques étaient formées de troncs d’arbre. L’analogie entre temple et forêt sacrée nous émeut. C’est dans les futaies consacrées qu’avaient été déposées initialement les effigies des divinités sommairement taillées. Pausanias énumère les essences qui convenaient le mieux aux bocages sacrés : chênes, frênes, platanes, oliviers, pins, cyprès. Se faisant l’écho des auteurs anciens, Varon précise que le temple est « un espace limité par les arbres ». Le bois sacré formait la clôture, le péribole du domaine divin. Il donna naissance au péristyle qui caractérise le temple grec de l’époque classique. Celui-ci est le rappel stylisé de la forêt originelle, habitat des divinités du panthéon grec. L’architecture figure ce lieu de l’espace divin (numen inest, écrit Ovide) où se concentre la sacralité. La colonnade externe est à l’image de la végétation, dont les tiges jaillissent du sol pour former, sous la lumière du soleil, un lieu de convergence entre les hommes et les divinités. A Olympie, le vénérable temple d’Héra, édifié au VIIe siècle avant notre ère, permet de suivre la « pétrification » du portique externe, construit initialement en bois, et dont les fûts ont été progressivement remplacés par des colonnes doriques en pierre. C’est ainsi qu’une sorte de forêt stylisée accompagna le sanctuaire lorsque celui-ci, quittant la nature sauvage, occupa le centre des cités.
Malgré les ruptures avec l’ancien ordre européen introduites par les interprétations bibliques, la construction des églises romanes ou gothiques répondait encore aux anciens symbolismes. Bâties sur d’antiques sites sacrés, elles en assuraient la perpétuation. Elles continuaient d’être « orientées » par rapport au soleil levant et leurs sculptures étaient toutes bruissantes d’un bestiaire fantastique. Dans son impressionnant jaillissement, la futaie de pierre des nefs romanes et gothiques restait la transposition des anciennes forêts sacrées.
Pourtant la rupture fondamentale cheminait, qui dissociait les humains de la nature et postulait l’idée vaniteuse et peu sensée que l’univers avait été créé pour les hommes seuls. En définissant l’homme comme « maître et possesseur de la nature », en voyant dans les animaux des « machines », Descartes ne fit que théoriser ce qu’avait préparé la séparation d’avec la nature inhérente aux religions monothéistes nées dans les déserts d’Orient. Il exprimait la logique du nihilisme, anticipant sur l’arrogance technique menant à la manipulation du vivant. Il annonçait l’univers de la mégapole universelle, édifiée dans la haine de la Nature.Dominique Venner, Samouraï d’Occident -
Zemmour réagit à la polémique Nick Conrad : « Les Blancs ne sont qu’une expression pour dire les Français »
Le clip « Pendez les Blancs » du rappeur Nick Conrad a suscité un tollé et a engendré de nombreuses réactions. Sur LCI, Eric Zemmour a dénoncé la « culture du rap francophobe (...) qui appelle au meurtre des Français » et qui se répand dans les banlieues. Ecoutez !
La vidéo du rappeur Nick Conrad n'en finit plus de faire réagir. Invité de la matinale de LCI vendredi 28 septembre au matin, Eric Zemmour s'est lui aussi exprimé sur la chanson et le clip tournés à Noisy-le-Grand, accusés de racisme anti-blanc. « Ce n’est pas un acte isolé, c’est une culture. Ça fait longtemps : 10 ans, 15 ans que les rappeurs appellent à tuer les flics, appellent à tuer les Français, appellent à détruire la France. Je peux vous sortir des listes de chansons longues comme le bras. Ce n’est que le dernier » , a-t-il expliqué.
« Il y a une culture du rap francophobe qui déteste la France, qui déteste les Français, qui appelle au meurtre des Français. Les blancs ne sont qu’une expression pour dire les Français (...). Il y a une culture de la haine de la France qui s’est répandue dans d’innombrables banlieues. Alors heureusement, tous les banlieusards, même ceux qui sont de culture musulmane ne sont pas touchés, grâce à Dieu » a ajouté celui qui a été sous le feux des critiques pour avoir critiqué le prénom d'Hapsatou Sy, la chroniqueuse de Thierry Ardison.
Toujours sur les banlieues, assurant que la France se dirigeait vers une nouvelle guerre civile, Eric Zemmour a conclu ainsi ses propos : « Il y a aujourd’hui dans toutes nos banlieues une contre-société qui a créé un contre-peuple, avec une contre-civilisation qui repose sur l’islam. C’est ça la vérité de nos banlieues que l’on ne veut pas dire et que l’on ne veut pas croire. »
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La Commission européenne contre la coopération italiano-tunisienne en matière d’immigration
EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Jeudi dernier, le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, a effectué sa première visite en Tunisie. Cette visite fait suite à l’adoption d’un décret anti-immigration en début de semaine dernière par le gouvernement italien. Deux mesures de ce décret sont particulièrement notables : la restriction de la délivrance du permis de séjour et la réduction considérable de la durée maximale de la rétention administrative des clandestins.Suite à l’adoption de ce décret, Matteo Salvini s’est rendu à Tunis où il a rencontré le président Tunisien Béji Caïd Essebsi. La discussion a porté sur la limitation de l’immigration clandestine en provenance de la Tunisie et sur le rapatriement des ressortissants tunisiens.
Rappelons que, selon le ministère italien de l’Intérieur, 4.487 Tunisiens sont arrivés clandestinement en Italie depuis le début de l’année. En termes d’arrivées de clandestins en Italie, la Tunisie est ainsi classée première en 2018, avant l’Érythrée.
La rencontre à Tunis entre les deux responsables politiques s’est déroulée en présence de plus de cent de chefs d’entreprise italiens. En ce sens, le président tunisien a reçu l’assurance que l’Italie soutiendrait financièrement et économiquement la Tunisie.
Toutefois, Matteo Salvini se heurte à ses opposants européens. En effet, la Commission européenne a d’ores et déjà jugé sa proposition de budget « hors des clous ». Il est probable que ce jugement résulte en partie du fait que Matteo Salvini a menacé de réduire la contribution de l’Italie au budget européen, si l’Union ne s’engage pas dans la même voie de régulation migratoire.