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  • Zoom exceptionnel avec Eric Zemmour

    Alors que la censure s’abat sur Eric Zemmour et que le service public interdit d’antenne l’auteur de l’essai le plus important de la rentrée, TV Libertés est allée à la rencontre du journaliste et écrivain. Il est interrogé par Elise Blaise.

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    https://www.tvlibertes.com/2018/10/01/26023/zoom-exceptionnel-eric-zemmour

  • Grand Remplacement : Quinze millions pour les migrants, par Francis Bergeron

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    Muriel Pénicaud, ministre du travail, annonce un plan de quinze millions d’euros pour aider à l’insertion des immigrés, réfugiés et autres demandeurs d’asile, et d’abord pour les aider à trouver du travail. C’est donc bien qu’il est prévu qu’ils restent. Définitivement.

    Détaillant ce plan, Madame le ministre a expliqué qu’il fallait assurer une formation professionnelle à cette masse de réfugiés, afin qu’ils puissent plus facilement trouver du travail en France. Tout ceci part d’une gentille intention. Mais révèle aussi que ce qui est en train de se dérouler sous nos yeux ne correspond absolument pas au discours qui nous a été tenu pendant des mois, à savoir que ces populations seraient confrontées à des situations mettant leur vie en danger, et qu’il fallait les accueillir jusqu’à ce qu’elles puissent rentrer chez elles.

    Cette nécessité de leur assurer une formation professionnelle prouve d’abord que, contrairement à la légende, ces réfugiés n’ont pas de qualification.

    Mais cette recherche d’emplois correspond à un second mensonge d’Etat et un second mensonge des grands (gros) médias : ils resteront. Il est prévu qu’ils restent. S’il s’agissait de vrais réfugiés politiques, comme on nous le soutient, ils resteraient dans le pays d’accueil jusqu’aux changements politiques attendus – des changements dont on peut imaginer qu’ils en seraient un peu les acteurs – avant de rentrer chez eux. Mais à partir du moment où ils sont formés à des métiers à exercer sur le territoire français, à partir du moment où le gouvernement finance des recherches d’emploi à leur profit, la théorie « scandaleuse », « mensongère » du « Grand Remplacement » ne paraît, hélas ! plus du tout une théorie, et certainement pas une théorie mensongère. Ces groupes d’étrangers dispersés dans des villes et villages, sur tout le territoire, nous allons donc leur payer, outre le gîte, le couvert, l’autocar et les cigarettes, des formations pour leur apprendre un métier, un métier qu’ils pourront exercer en France, et des coachs pour les former à la recherche d’emploi en France.

    Six millions de demandeurs d’emploi ne suffisent donc pas. Il faut importer des réfugiés chômeurs, que l’on va essayer de recaser dans des emplois.

    Un maître-mot qui leur ouvrira la porte des entreprises : « discrimination »

    Mais la probabilité pour qu’ils trouvent du travail est faible, allez-vous penser, compte tenu de l’analphabétisme, du manque de bases techniques, de l’obstacle de la langue pour beaucoup d’entre eux.

    Non, pas du tout ! Car il existe un maître mot qui devrait leur ouvrir toutes grandes les portes des entreprises, le mot « discrimination ».

    Ne parlons même pas de préférence nationale, la loi l’interdit depuis longtemps. Mais si, à compétence égale ou supérieure, un autochtone est retenu pour un poste, contre la candidature d’un réfugié, gageons que les structures qui encadrent les réfugiés et qui les encadreront demain (sans doute les mêmes) crieront à la discrimination.

    Mais, au fond, peut-être assistons-nous simplement à une expérience ? « Même si certains identitaires veulent ramener la France au vin, au saucisson ou je ne sais quoi, pour moi, la France, c’est avant tout une expérience », expliquait l’animateur d’une de ces associations.

    Une expérience ? A quinze millions d’euros ? C’est alors une expérience à la docteur Folamour ! De celles qui se terminent souvent mal.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Le Québec élit un gouvernement nationaliste et anti-immigration

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    La Coalition Avenir Québec (CAQ) tourne la page de près de 15 ans de gouvernement libéral quasi ininterrompu

    Les Québécois ont porté pour la première fois au pouvoir la Coalition Avenir Québec (CAQ), un parti nationaliste non indépendantiste qui souhaite réduire la taille de l’État et l’immigration, tournant la page de près de 15 ans de gouvernement libéral quasi ininterrompu.

    “Aujourd’hui on a marqué l’histoire, aujourd’hui il y a beaucoup de Québécois qui ont mis de côté un débat qui nous a divisés pendant 50 ans”, soit la question de l’appartenance ou non du Québec au Canada, a lancé, triomphal, François Legault, Premier ministre désigné de la province, lors d’un discours à Québec.

    Cet homme d’affaires multimillionnaire a promis “un esprit de rassemblement, pour gouverner pour tous les Québécois”, et a dit vouloir “travailler pour un Québec fort au sein du Canada”. La CAQ, formation créée en 2011 par Legault, disposera de la majorité absolue à l’Assemblée nationale québécoise, avec 74 députés sur 125 selon des résultats préliminaires. Dans le précédent Parlement, dissous fin août, elle ne comptait que 21 sièges.

    Le Premier ministre sortant, le libéral Philippe Couillard, a rapidement concédé sa défaite lundi soir et souhaité à Legault “tout le succès”, depuis son fief du lac Saint-Jean. Il s’agit d’un nouveau coup dur pour les Libéraux, la famille politique du Premier ministre fédéral Justin Trudeau. En juin ils avaient perdu l’Ontario, province la plus riche et la plus peuplée, au profit d’une autre formation conservatrice.

    le Canada organise des élections législatives dans un an, et le scrutin s’annonce incertain pour M. Trudeau, dans un contexte de montée du nationalisme.

    20% d’immigrés en moins

    Justin Trudeau a salué la victoire de Legault. “Ensemble, nous continuerons de défendre les travailleurs et les industries du Québec, de créer de bons emplois pour la classe moyenne et de bâtir une économie forte basée sur l’innovation, en plus de protéger l’environnement et de lutter contre les changements climatiques”, a déclaré le Premier ministre canadien dans un communiqué.

    Pour la première fois en plus de 30 ans, la question de l’indépendance du Canada ne constituait pas un enjeu. Les partis favorables au fédéralisme canadien ont totalisé plus de 63% des suffrages. Le prochain Premier ministre du Québec, François Legault, est un ancien ministre indépendantiste qui assure désormais ne plus vouloir se séparer d’Ottawa. Multimillionnaire, comptable de formation, il a fait fortune après avoir créé en 1986 la compagnie aérienne Air Transat. La CAQ, qu’il a cofondée, promettait aux Québécois le “changement”, la fermeté sur l’immigration, dont il veut réduire les seuils pour mieux intégrer les nouveaux arrivants, et une meilleure gestion des finances publiques.

    Legault avait annoncé en campagne électorale vouloir, dès 2019, réduire de plus de 20% le nombre d’immigrants admis au Québec chaque année.

    La Chambre de commerce de Montréal, la métropole du Québec qui concentre la moitié de la population et la majorité des immigrés, l’a exhorté lundi soir à “tenir compte de la nécessité d’élargir le bassin de main-d’œuvre qualifiée”, alors que 100.000 emplois ne sont pas pourvus dans la province francophone, faute de candidats adéquats.

    Source

    https://www.news.suavelos.eu/le-quebec-elit-un-gouvernement-nationaliste-et-anti-immigration/

  • DES NOUVELLES DES PRISONNIERS POLITIQUES

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    Esteban et Samuel ont été condamnés il y a quinze jours à des peines énormes (11 et 7 ans de prison) alors que les charges qui pesaient contre eux se sont, tout au long du procès, effondrées les unes après les autres... J'ai exprimé, juste après le verdict inique, mon sentiment sur celui-ci cliquez ici. Face à une telle injustice, ceux-ci se sont pourvus en appel.

    Pour les aider, une cagnotte a été alors créée par les proches d'Esteban. Nous avons invité nos lecteurs à y participer cliquez là et nous savons qu'ils ont été nombreux à répondre à cet appel et nous les en remercions pour ce bel élan de solidarité patriotique. Mais l'inquisition fanatique menée par les idiots utiles du Système que sont les antifas a obligé nos amis à fermer cette cagnotte. Soyez cependant rassurés, les fonds récoltés en quelques jours, soit plus de 10 000 euros, ont été reversés à la famille d'Esteban.

    Depuis, vous êtes nombreux à nous demander comment aider nos camarades. Nous vous donnons donc les informations suivantes :

    - Aujourd'hui, une nouvelle cagnotte vient d'être ouverte par Madame Colette Morillo, la mère d'Esteban - cliquez ici N'hésitez-pas, dans la mesure du possible, à y contribuer.

    - Pour écrire à Esteban ou à Samuel, vous pouvez adresser vos lettres à Synthèse nationale (9, rue Parrot, CS 72809, 75012 Paris) en mentionnant au dos de l'enveloppe STB ou SM. Les courriers seront réexpédiés aux familles. Pour soutenir Esteban, si vous désirez joindre un chèque, établissez-le à l'ordre de Esteban Morillo.

    - dimanche 14 octobre, lors de la 12e Journée de Synthèse nationale cliquez ici, avec Aristide Leucate, journaliste à Présent qui a couvert le procès, et Serge Ayoub, ancien dirigeant de Troisième voie, nous reviendrons sur cette odieuse provocation dont furent victimes les jeunes patriotes en juin 2013 et sur les conséquences dramatiques de celle-ci.

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

  • Emmanuelle Ménard : « Gérard Collomb se fiche complètement d’Emmanuel Macron ! »

    Départ officiel de Manuel valls pour sa candidature à la mairie de Barcelone, démission de Gérard Collomb refusée mais maintenue, photo scandaleuse aux Antilles pour Emmanuel Macron. Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire à tous ces événements qui signent, selon elle, une rentrée catastrophique pour le gouvernement.

    Aujourd’hui à l’Assemblée nationale, deux nouvelles sont tombées. Le départ officiel de Manuel Valls et la démission de Gérard Collomb.
    Que pensez-vous de la décision de l’actuel ministre de l’Intérieur ?

    C’est un désaveu assez profond de la politique menée par monsieur Macron. Monsieur Collomb était l’incarnation du fidèle parmi les fidèles du Président de la République. Il présente sa démission, elle est refusée et il l’a maintient. Aujourd’hui, il annonce très clairement et officiellement qu’il se fiche complètement de monsieur Macron et que ce n’est plus son problème.
    Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de voir ce repli vers des territoires locaux, alors que monsieur Macron est l’incarnation du mondialisme. Il est donc exactement l’inverse.


    Manuel Valls a décidé de revenir à ses terres d’origine en se présentant à la mairie de Barcelone.
    Selon vous, les désertions se multiplient-elles autour du Président de la République ?

    Je ne les mettrais pas forcément dans le même registre. Je pense que dans le cas de monsieur Valls, c’est vraiment de l’opportunisme politique.
    Ce n’était un secret pour personne qu’il ne se sentait pas très bien et n’était pas très intégré au sein de cette majorité. Il était apparenté au groupe la République En Marche. Les députés de la République En Marche lui battaient souvent froid. Il n’a jamais vraiment trouvé sa place. Il a dû se dire qu’il n’avait plus d’avenir au sein de cette majorité et comme c’est quelqu’un qui a une forte et haute opinion de lui même, il a préféré vivre sa vie. C’est vraiment de l’opportunisme, car si on lui avait proposé une place de ministre, il serait resté en France. C’est de l’opportunisme politique, c’est l’incarnation de la girouette politique.

    Au vu des différents événements de ces derniers temps, pensez-vous qu’Emmanuel Macron vie un début d’année catastrophique ?

    C’est une rentrée catastrophique avec des signaux qui partent dans tous les sens. Encore une fois, c’est l’incarnation de la politique du « en même temps ». C’est « je suis le Président des riches, mais en même temps, je veux faire croire que je m’occupe des pauvres », « je suis le Président des grandes sociétés multinationales, mais en même temps, j’essaie de rassurer un peu les retraités, car il ne faut pas oublier que beaucoup d’entre eux m’ont élu ». Avec monsieur Macron, c’est cela en permanence. C’est tellement visible et criant.
    En regardant à nouveau ces photos prises aux Antilles, je trouve profondément choquant de voir un Président de la République en chemise à côté d’hommes torse nu où ils se serrent dans les bras les uns les autres. Il n’y a plus de fonction présidentielle.

    Emmanuelle Ménard

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuelle-menard-gerard-collomb-se-fiche-completement-demmanuel-macron/

  • UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    Face aux difficultés du Royaume-Uni à négocier sa sortie de l’UE, le ministre des Affaires étrangères britannique, Jeremy Hunt, a comparé l’Union européenne à l’Union soviétique :

    «La leçon de l’histoire est claire : si vous transformez le club européen en une prison, le désir d’en sortir ne diminuera pas, il grossira et nous ne serons pas le seul prisonnier à vouloir s’échapper». «L’Union européenne a été conçue pour préserver les libertés, c’est l’Union soviétique qui empêchait les gens de partir».

    La prochaine échéance pour les négociations sur le Brexit est fixée au sommet européen du 18 octobre.

    https://www.lesalonbeige.fr/ue-urss-est-il-permis-de-sortir-de-lunion-europeenne/

  • Tabou diplomatique

    Georges Feltin-Tracol

    Cet été, les lignes ont semblé bouger dans les Balkans, en particulier entre la Serbie et le Kossovo. Le président de la République de Serbie, Aleksandar Vučić, entama une discussion avec Hashim Thaçi, le chef de l’État kossovar. Depuis 2008, année où le Kossovo a acquis une soi-disant indépendance, la Serbie n’a jamais accepté cette sécession. Avec l’augmentation des flux migratoires extra-européens dans la région, l’intransigeance de la Serbie pose maintenant de graves problèmes puisque Belgrade refuse de fermer une frontière qui n’existe pas à ses yeux. Par ailleurs, le Kossovo, digne valet de l’atlantisme, se transforme progressivement en un narco-État plus ou moins en cours d’islamisation.

    Avant de rompre les négociations d’un commun accord dès le 7 septembre dernier, Aleksandar Vučić et Hashim Thaçi ont espéré que leurs États respectifs adhéreraient le plus tôt possible à l’Union pseudo-européenne. Ils étaient mêmeprêts à s’affranchir du tabou diplomatique suprême : l’intangibilité des frontières. Le Nord du Kossovo peuplé de Serbes autour de Mitrovica rejoindrait la Serbie qui en échange céderait au Kossovo des territoires du Sud-Ouest à majorité kossovare (la vallée de Presevo et les villes de Medveda et de Bujanovac). À peine envisagée, cette solution de bon sens fondée sur le critère ethno-linguistique souleva bien desmécontentements. L’Église orthodoxe serbe s’interrogea sur le devenir de ses lieux saints, de ses monastères et des enclaves serbes non contigues à la Serbie. La Russie souhaiterait maintenir le conflit gelé, utile abcès de fixation régionale. Le Premier ministre kossovar, Ramush Haradinaj, s’indigna déjà de rendre la moindreparcelle de terre albanaise aux Serbes. Quant à la gauche populiste souverainiste de Vetëvendosje ! (« Autodétermination ! »), deuxième force politique du pays, elle s’éleva contre cet éventuel échange au nom de la Grande Albanie ethnique qui n’exista que de 1941 à 1944...

    Alors que Washington et Paris penchaient vers ce règlement territorial, Bruxelles et Merkel ainsi que les « machins » internationaux s’inquiétaient de ce précédent susceptible d’avoir de fortes répercussions en Bosnie-Herzégovine voisine. Milorad Dodik, le président de la République serbe de Bosnie, réclame en effet depuis longtemps le rattachement des contrées serbes bosniennes à la patrie serbe. Les diplomates occidentaux n’apprécient guère les rectifications territoriales significatives. Ainsi maintes entités étatiques africaines ne sont-elles pas viables du fait de cette règle absurde qui ignore les réalités ethniques et tribales.

    Pourtant, la République française ne rechigne jamais à annexer un espace frontalier si s’en présente l’occasion. En 1918, elle s’empara de l’Alsace-Lorraine et orchestra une incroyable épuration ethnique en expulsant massivement de nombreuses familles germanophones. En 1947, le traité de Paris contraignit l’Italie à céder Tende, la Brigue et les crêtes de Tinée et de Vésubie à l’Hexagone. Neuf ans auparavant, le gouvernement français agressa l’Allemagne en lui déclarant la guerre parce que Berlin contestait l’intangibilité des frontières au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes…

    La cession réciproque de territoires entre la Serbie et le Kossovo marquerait un arrêt formidable du multiculturalisme post-moderniste au profit d’une perception géopolitique plus concrète. D’une aire balkanique aux entités composites, instables et artificielles, on passerait enfin aux Balkans de communautés de peuples enracinées.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°92, diffusée sur Radio-Libertés, le 28 septembre 2018.

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    Très attendue, la sortie prochaine du nouveau livre de Georges Feltin-Tracol :

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  • Quand on est Progressistes…comme ils disent

    agora.jpgGérard  Collomb, qui brigue la marie de Lyon en 2020,  a présenté le 1er octobre sa démission…qui a été refusée par Emmanuel  Macron.  Un proche conseiller du chef de l’Etat  indiquait  à France info  que  « face aux attaques dont le ministre fait l’objet (…) le président lui a renouvelé sa confiance, et lui a demandé de rester pleinement mobilisé sur sa mission pour la sécurité des Français. » C’est raté car une nouvelle fois,  rapporte l’article de synthèse du Point, « Collomb a piétiné l’autorité présidentielle en maintenant sa démission. » Un petit sketch qui avait pour but de réaffirmer la légitimité du ministre de l’Intérieur dont le bilan est pour le moins très mauvais, mais aussi de ne pas accentuer l’impression  d’effritement d’un  exécutif très impopulaire…Entouré d’un impressionnant dispositif policier, M. Collomb  était pourtant encore vendredi dernier dans son rôle en se déplaçant  à Echirolles dans la banlieue plurielle  de Grenoble (Isère), zone urbaine en proie à une  violence qui ne cesse de croître. Signe qui ne trompe pas, le prix de l’immobilier s’est effondré ces dernières années dans la capitale de l’Isère et les biens ne se vendent plus. Outre la gestion calamiteuse du maire écolo-gauchiste Eric Piolle – qui l’année de son élection  en 2014 s’était  conduit en « provocateur à l’ordre public », en «encourageant  les manifestants » à empêcher une réunion publique  du FN – c’est bien  l’insécurité galopante qui fait fuir les potentiels propriétaires. Pour autant, malgré l’annonce d’un  renforcement de la presence policière à Echirolles, le ministre de l’Intérieur n’a pas convaincu les habitants.  Combien sont-ils nos compatriotes  lassés des promesses qui ne débouchent sur rien, faute d’une réelle volonté, du  courage  politique  pour prendre VRAIMENT le problème  à bras le corps?  

    Lundi,  Gérard  Collomb était à Marseille devant la gare Saint-Charles pour dévoiler la  plaque commémorative à la mémoire  de Laura Paumier et Mauranne Harel, deux  cousines âgées de 21 et 20 ans, égorgées  un an auparavant par un délinquant multirécidiviste, un tunisien immigré clandestin ayant fait allégeance à l‘Etat Islamique,  Ahmed Hanachi (voir ici  et ici .)  A Grenoble comme à  Marseille,  et  plus largement dans les milliers de zones de non droit, dans les territoires perdus de la République,  c’est encore et toujours le laxisme d’Etat qui est le premier  responsable  de l’ensauvagement, d’une babélisation lourde de menaces. Les petits gimmicks, les têtes éplorées, les discours convenus ne sauraient cacher cette réalité révoltante.

    Cacher son impuissance  derrière de ronflantes formules est un exercice  qu’affectionnent  les figures du Système comme M. Collomb promettant à Grenoble de « hisser (sur tout le territoire)  le drapeau de la République » et qui lançait mi-septembre  ladite « reconquête républicaine »  dans certains quartiers. « Tiens ! La République les avait donc perdus ? » avait lors réagi  Bruno Gollnisch,  « mais quand je le disais à l’Assemblée ou au Conseil Municipal de Lyon, que me répondait-il avec  ses amis ? » Or,  rappelait encore dernièrement  le député national,  «la violence n’est pas le fruit du  hasard . Il y a des responsables, et ils sont politiques!»

    Parler vrai, ne  pas manier la langue de bois ou de coton,  dire  la vérité,  regarder la réalité en face, refuser le déni du réel,  croire aux bienfaits des protections, des frontières, de la famille, défendre en un mot une souveraineté et une identité  françaises,  telles sont pourtant les tares que nos adversaires imputent  généralement  à l’opposition nationale

    Une nouvelle illustration en a été donnée lundi matin sur RTL  par  Marlène Schiappa à la tête  du Secrétariat à l’Égalité entre les femmes et les hommes. La militante LGBT a repris ici  les éléments de langage de Sos racisme (un bon indicateur de son niveau…) pour  minorer le scandale de la photo de M. Macron à Saint-Martin enlaçant  un jeune braqueur torse nu  faisant  un doigt d’honneur -nous laissons à l’humoriste Patrice Eboué la responsabilité de son  explication amusante de ce goût de M Macron pour les torses nus!

     Pour Mme Schippa,  si Marine a dénoncé cette nouvelle atteinte  par M.  Macron à  la dignité attachée à la fonction  présidentielle, c’est parce qu’«Elle est leader d’un grand parti raciste d’extrême droite. Ce qui la choque, ce n’est pas que le président pose à côté d’un jeune. Ce qui la choque, c’est la couleur de peau de ce jeune. Soyons très clairs. À chaque fois que le président pose avec des personnes de couleur noire, Marine Le Pen s’offusque»  Parions avec Mme Schiappa  que les centaines de milliers d’électeurs Antillais  et  Guyanais qui ont hissé Marine en tête au premier tour de la présidentielle sont tout aussi offusqués que Marine…La France n’est pas réductible à boboland Marlène 

    Car  qui oblige M.  Macron a dégrader l’image de la France qu’il représente,  qu’on le veuille ou non, en posant  avec des travestis en résille  dans le salon de l’Elysée où à Saint-Martin  avec des jeunes prenant des poses de racailles de gangs? Quel est le rapport avec la couleur de peau des individus en question ? La couleur  de peau  doit-elle être une excuse à toutes les turpitudes, à moins de manifester par là une forme inconsciente de racisme à rebours? La couleur de peau  devrait-elle empêcher  par exemple  la mise en examen  d’un  héros récent  de la cause antiraciste et antiflics,   Théo Luhaka,  pour « escroquerie en bande organisée au préjudice d’un organisme chargé d’une mission de service public » dans une affaire de détournement d’aides publiques? 

    Bref, Marlène Schiappa se place dans  le sillage du socialiste et ex de l’UNEF Aurélien Taché,  élu   député du Val d’Oise  sous l’étiquette  LREM. Celui-ci    affirmait sur twitter à propos de la photo prise à Saint-Martin que  « ceux qui polémiquent ne supportent tout simplement pas que la France, à tous les niveaux, change de visage…c’est précisément la raison de mon engagement derrière lui. Merci Emmanuel Macron. » M. Taché explique donc franchement (pour satisfaire ses électeurs?) qu’il s’est rangé derrière M. Macron pour accélérer la submersion migratoire, ce qui est en effet un objectif partagé par un certain nombre de forces politiques, d’organismes, de cercles  ou de personnalités. Mais il entend aussi lutter,  au  sein de LREM, contre les progressistes...pas assez progressistes. Pour preuve son tweet assassin contre sa collègue  Agnès Thill. « Réputée pour être lmadame anti-PMA de la majorité  rapporte Le Figaro, l’élue a jugé paradoxal l’ouverture de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes. Nous lançons le plan (contre la) pauvreté et nous allons créer des femmes seules avec enfants. »

    « Quand on est progressiste, ce n’est pas en maintenant une discrimination légale qu’on lutte contre la pauvreté Agnès Thill mais avec une politique sociale émancipatrice (…) », lui a répliqué sèchement   Aurélien   Taché.  François Cormier-Bouligeon est à son tour entré dans la danse pour «(voler)   au secours de sa collègue» et  moucher  l’impudent. «Tu n’es peut-être pas le mieux placé cher Aurélien Taché pour faire la leçon sur le progressisme au vu de tes positions plus proches du communautarisme que de la laïcité » – «Aurélien Taché avait été critiqué en mai dernier pour avoir défendu la responsable voilée de l’UNEF (…). » Piqué au vif M.  Taché a répliqué:  «Défendre les libertés pour toutes et tous, quelle que soit l’orientation sexuelle, l’origine ou la religion, c’est cela le progressisme. En exclure les musulman(e)s… cela porte un autre nom et c’est un délit, pas une opinion. ».  Réponse  de M Cormier-Bouligeon :   «Ton accusation est grave et insultante. Elle démontre la mauvaise foi de ton positionnement qui indigne nombre de nos collègues. Assigner une partie de nos concitoyens à l’observance des pratiques les plus obscurantistes est contraire à l’idée même d’émancipation. »

    Une querelle intestine qui rappelle que LREM est  sur le plan des principes et des idées, une auberge espagnole au même titre que LR, même si Aurélien Taché est réputé très proche de M Macron, membre de sa garde rapprochée. Ce député est d’ailleurs l’auteur d’un rapport sur l’intégration préconisant notamment d’autoriser les immigrés clandestins demandeurs d’asile à obtenir un emploi au bout de six mois, avant qu’ils aient obtenu le statut de réfugié. D’ores et déjà France Inter révélait hier  que le ministère du travail  « s’apprête à lancer un appel à projet. Objectif: aider 5000migrants, ayant obtenu l’asile, à s’insérer en France », avec à l’appui «un plan de 15 millions d’euros pour permettre aux réfugiés de trouver un emploi. » Voilà au moins une annonce qui fait l’unanimité chez les progressistes… comme ils disent.

    https://gollnisch.com/2018/10/02/quand-on-est-progressistes-comme-ils-disent/#respond

  • Laurent Obertone : « Immigration, on criminalise les inquiétudes de la population pour éviter tout débat »

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    Dans La France interdite, Laurent Obertone étudie la population issue de l’immigration en s’appuyant sur des études chiffrées, et dresse le constat d’une France dans 30 ans, en proie au communautarisme.

    Pour Boulevard Voltaire , il dénonce « le mythe du vivre ensemble » et les menaces qui pèsent sur le débat autour de l’immigration.

  • Réunion du Bureau politique du Parti de la France samedi dernier à Paris

    Communiqué du PdF : 

    Réuni à Paris le samedi 29 septembre autour de son Président Carl Lang, le Bureau Politique du Parti de la France a acté plusieurs décisions structurelles et organisationnelles touchant à sa communication (site internet, réseaux sociaux, diffusion accrue du magazine en ligne et de la lettre hebdomadaire Connexion, rapports avec la presse), à son implantation (nomination de nouveaux chargés de mission départementaux, formation des cadres), et à son animation (réunions en région, éditions de tracts, d'affiches et d'autocollants, hommage à Jean-Pierre Stirbois, ancien secrétaire général du Front National à l'occasion du trentième anniversaire de sa mort, organisation d'un grand banquet national à Paris mi-mars pour fêter les dix ans du PDF, préparation du prochain congrès statutaire qui se tiendra à l'automne 2019…).
    Après un long exposé de Carl Lang sur l’actualité et la situation politique, le Bureau Politique a abordé la question stratégique des élections européennes. La position du Parti de la France donnera lieu dans les semaines qui viennent à une communication de Carl Lang.
    NDLR SN : Carl Lang prendra la parole dimanche 14 octobre à Rungis cliquez ici lors de la 12e Journée de Synthèse nationale.

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