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  • Le Bastion social soutient la mobilisation populaire de samedi prochain

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    Communiqué du Bastion social :

    N'en déplaise aux énarques qui nous gouvernent, ni les tentatives d'instrumentalisation par de prétendues "délégations officielles des gilets jaunes" ne représentant rien ni personne d'autre que ceux qui les composent, ni les quelques miettes de festin jettées ne suffiront à apaiser la colère du peuple français et à enrayer le mouvement de protestation -ou plutôt de révolte- en cours comme elles suffisent généralement à stopper les mobilisations encadrées par des organisations syndicales à la botte d'intérêts étrangers à ceux de notre peuple.

    Les Français n'ont besoin de personne pour parler à leur place et n'ont que faire de vos concessions qui ne sont que l'arbre cachant la forêt. Samedi, tous à Paris.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/29/l-bastion-social-soutient-la-mobilisation-populaire-de-samed-6109019.html

  • L’avènement prochain d’une «alliance des droites»

    L’avènement prochain d’une «alliance des droites»

    Marion Maréchal s’est exprimée lundi soir devant le «Cercle Audace», un cercle de jeunes entrepreneurs et chefs d’entreprises. Son président François de Voyer estime que ce Cercle, plateforme de réseautage, d’interactions, entre différents pans de la droite, peut servir de terreau à une alliance des droites, avec pour premier horizon, «pourquoi pas», les prochaines municipales.

    Dans la salle, avocats, chefs d’entreprise, industriels, entrepreneurs ou financiers âgés de 25 à 70 ans, mais aussi quelques politiques comme Damien Lempereur, venu représenter Nicolas Dupont-Aignan, Erik Tegnér, jeune LR partisan d’une union des droites ou l’intellectuel Hervé Juvin, pressenti pour figurer en bonne place sur la liste RN aux prochaines européennes.

    L’ancienne députée du Vaucluse, devant plus de 150 personnes, a passé en revue les différents clivages traversant «les droites». Avec pour tout fil conducteur, un constat: leur «rétrécissement» manifeste, rendant possible, si ce n’est inéluctable, l’avènement prochain d’une «alliance des droites». Dans un exposé, elle a brossé les contours d’une voie conservatrice visant à «sortir du relativisme ambiant» et susceptible de porter la contradiction au «progressisme» macroniste comme à son modèle de société «d’urbains déracinés».

    Balayant le clivage opposant souverainiste et fédéraliste, elle déclare :

    «Certains ont voulu retenter la grande alliance des souverainistes de droite et de gauche que j’estime vaine. Possible sur la question européenne, cette alliance n’est pas possible sur un programme complet. Je définis la souveraineté comme un contenant. L’identité en est le contenu.»

    Il ne peut pas y avoir de victoire électorale s’il y a un discours exclusivement catégoriel. Il faut un discours qui puisse répondre non seulement aux classes populaires, aux classes moyennes mais également aux classes bourgeoises. Comme en Italie.”

    Il faut un discours en direction des PME. Ainsi, la ligue en Italie a par exemple proposé l’idée de flat tax.”

    “Le libéralisme politique se confond le plus souvent avec le conservatisme dans les pays anglo-saxons. Avec un État minimal et l’individu comme acteur central de la politique. Le conservatisme français n’est pas dans la même veine, car est né dans la contre-révolution.”

    “En réponse à la menace de l’hégémonie communiste, la droite française s’est malheureusement convertie dans les années 80 à la dérégulation et au primat de l’économie sur la politique.”

    “Le clivage droite-gauche existe encore, mais pas où on l’imagine. Il n’existe pas au niveau des partis qui ont perdu leur crédibilité, mais au niveau des idées, des courants.”

    “L’alliance des droites est-elle possible? Je suis confiante. Car les divergences entre courants de la droite se réduisent. Notamment depuis la crise de 2008 et les limites à poser par rapport au capitalisme.”

    “Quoiqu’on en dise, la droite LR a viré à 180 degrés vers une politique plus cohérente. C’est positif pour l’alliance des droites.”

    “Il y a une urgence identitaire et migratoire qui pousse la droite vers la terre, le peuple, et réagit face au contractualisme rousseauiste de la Nation. C’est ce qui me rend confiante.”

    “La droite telle que je la conçois va être celle capable de redonner cette capacité de construction, d’enracinement, de sens. Pour répondre aux malaises de la société. C’est son défi anthropologique.”

    “Je goûte assez peu l’idée de faire de la France une république islamique souveraine. Une France également où on légaliserait la PMA et la GPA.”

    “La droite à laquelle j’aspire, est celle à la confluence du catholicisme social et de Tocqueville.”

    “Je vois certaines limites au terme de populisme dans sa définition originelle, notamment celle d’une démocratie idéalisée au détriment d’une démocratie parlementaire.”

    “Nous avons un État totalement socialiste, qui contrôle tout et quasi dictatoriale. Il faut un État “libéral” en interne,et qui protège à l’extérieur.”

    “Si je suis contre le fédéralisme, je pense qu’on peut mener des coopérations européennes, sur l’immigration, le numérique, ou encore la monnaie si on la met en monnaie de change face au dollars.”

    “Le conservatisme est une disposition de pensée et d’agir. On ne s’interdit pas d’avancer mais on est prudent. L’idée que le passé est moins dangereux que le futur. On s’inscrit dans une lignée.”

    https://www.lesalonbeige.fr/lavenement-prochain-dune-alliance-des-droites/

  • Gilets jaunes: Marion Maréchal apporte “un soutien ardent” au mouvement

    Parmi les soutiens aux gilets jaunes se trouve Marion Maréchal. Elle était présente samedi dernier sur les Champs-Élysées, une présence qui avait été remarquée. Elle explique son soutien aux gilets jaunes.

  • La fracture sociale entre les nantis de Macron et les gilets jaunes

    Reçus sur le plateau de l’émission “La Grande Explication”, une émission de débat sur LCI, quelques Gilets Jaunes ont été confrontés à des membres du gouvernement et de la majorité, des personnalités et des intellectuels.

    Une émission qui a montré la véritable fracture sociale existant entre les nantis de Macron et les petits ou Français moyens.

    Notamment l’ancien militant trotskiste et figure de Mai-68, le cinéaste Romain Goupil,qui avait appelé à voter Emmanuel Macron à la présidentielle , et a oublié ses anciens amours politiques d’antan, s’est fait le défenseur virulent et violent de l’actuel président de la République.

    Présente à l’émission, la secrétaire d’État à la transition écologie Emmanuelle Wargon a bafouillé lorsqu’il lui a été demandé de révéler le montant de son salaire.

    La déconnexion du pays légal face à la réalité économique actuelle du pays réel était patente. La fracture sociale n’est pas prête de se résorber avec un establishment politique et intellectuel aussi méprisant pour le petit peuple des Français.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/la-fracture-sociale-entre-les-nantis-de-macron-et-les-gilets-jaunes/101704/

  • Un entretien avec Natacha Polony sur EuroLibertés

    1708500909.jpgNatacha Polony, écrivain et journaliste, est désormais la directrice de la rédaction de l’hebdomadaire Marianne, autrefois dirigé par Jean-François Kahn.

    Lionel Baland l’a interrogée pour Eurolibertés.

    Avez-vous eu à subir la censure au sein des divers médias auxquels vous avez contribué ?

    Non, je n’ai jamais été victime de censure, jamais. J’ai toujours pu, là où j’étais, écrire ce que je voulais et si j’avais l’impression de ne pas avoir suffisamment de liberté, je partais. Je ne peux pas considérer que j’ai été censurée et je ne me suis jamais plainte de cela, dans la mesure où j’ai bénéficié du fait que les propos que je tenais étaient audibles et pouvaient être écoutés par des auditeurs qui les appréciaient. Je pense que nous sommes face à des médias qui fonctionnent à l’audimat. Donc, c’est finalement l’onction du peuple des auditeurs qui permet justement de dépasser les différentes frayeurs.

    La censure existe assez peu dans les médias. Il existe beaucoup d’autocensure, mais pas de la censure. Je n’ai jamais eu un rédacteur en chef qui m’a interdit d’écrire ce que je voulais. J’ai bénéficié ensuite, lorsque j’avais une certaine notoriété, d’une liberté absolue. J’ai passé sept ans à rédiger une chronique au Figaro et j’écrivais ce que je voulais. Personne ne m’a jamais critiquée. Pourtant, mes chroniques n’étaient pas forcément dans la ligne du Figaro.

    Je pense surtout que ce qui tue les médias, c’est l’autocensure et l’entre-soi, c’est le fait que les journalistes parlent aux autres journalistes et font attention à ce que les autres journalistes vont penser d’eux quand ils écrivent.

    Si les journalistes reprenaient leur liberté et en usaient, car la liberté s’use quand on ne s’en sert pas, eh bien le lien pourrait se recréer avec le peuple.

    Avez-vous plus de liberté chez Marianne qu’ailleurs ?

    Chez Marianne, je dirige la rédaction et donc c’est moi qui décide ce qu’on écrit. Je pense que certaines Unes que nous avons faites sont une preuve de liberté. Par exemple, sur le rapport de la Cour des comptes sur la Fondation Louis Vuitton et la façon dont cette fondation a utilisé sous prétexte de mécénat l’argent public.

    D’ailleurs cela n’a été repris par aucun de nos confrères. Pourtant, c’était un scoop. Justement parce que nous avons la liberté d’écrire cela. Nous avons de la chance, dans un sens, dans notre malheur : nous n’avons pas de publicité et donc, on ne peut pas nous la retirer. Les annonceurs ne peuvent pas exercer ce chantage sur nous.

    De même, nous avons fait la une sur Lactalis et son évasion fiscale, sur les problèmes de salmonelles,… Vous voyez, la liberté existe. Elle n’existe pas partout. On ne peut pas toujours l’exercer forcément, mais à Mariannejustement nous œuvrons, non seulement pour une liberté vis-à-vis des grands groupes industriels, mais aussi pour soutenir ceux qui font du bien au pays tout en nous confrontant à ceux dont nous estimons qu’ils font du tort au pays et en les affrontant. Et puis, nous essayons aussi de dire le plus honnêtement possible ce qui est ; nous avons été attaqués par nos confrères lorsque nous avons osé parler de l’immigration.

    Jean-François Kahn, lorsqu’il était à la tête de Marianne, a dû affronter des problèmes financiers à la suite du manque de publicité. Il existe donc une forme de censure exercée par des acteurs financiers qui refusent de donner de la publicité à Marianne.

    Ce n’est pas de la censure, mais une forme d’étouffoir qui est liée au modèle économique de la presse. Mais Jean-François Kahn a prouvé qu’il pouvait faire vivre un journal sans la publicité. Il l’a fait et Marianne a réussi. C’est quelque chose, en effet, d’exceptionnel. C’est très difficile, mais il faut maintenir cette liberté. Ce qui fait la force d’un média, ce sont ses lecteurs. On est indépendant de la publicité lorsqu’on a des lecteurs. C’est ce qui arrivé à Mariannelorsque Jean-François Kahn a réussi à l’imposer dans le paysage médiatique. Peut-être Marianne a-t-elle, à un moment donné, perdu un peu de ses lecteurs et de son identité, n’a pas su préserver cette ligne qu’avait voulu mettre en place Jean-François Kahn.

    J’estime que mon rôle est que Marianne redevienne cette espèce d’OVNI du paysage médiatique, avec à la fois une liberté de ton et de pensée. Je considère qu’il y a un public pour cela et nous voulons nous adresser à ces personnes.

    La censure judiciaire existe aussi, par exemple à l’encontre d’écrivains tels qu’Éric Zemmour et d’autres, qui ont des démêlés avec la justice.

    C’est en effet un combat pied à pied, qui est porté aujourd’hui par des associations sur le plan judiciaire. Il y a aussi un combat à mener. On voit que Georges Bensoussan, par exemple, a été traîné devant les tribunaux (cliquez ici).

    C’est absolument scandaleux. Il a été blanchi. Il a été relaxé. Tant mieux. Mais en effet, c’est éprouvant et c’est une forme de combat que doivent conduire des associations. C’est une pression qui est exercée et certains osent l’affronter.

    L’exemple de Georges Bensoussan est un des plus parlant qui soit car c’est un historien dont le travail prouve à quel point il est absolument insoupçonnable de quoi que ce soit. Je pense que tous les médias doivent le soutenir.

    Elisabeth Sabbatich-Wolff a été condamnée en Autriche, pour avoir déclaré devant un parterre restreint de personnes que Mahomet peut être qualifié de pédophile car il a eu une relation sexuelle avec Aïcha lorsque celle-ci avait neuf ou dix ans. Cette décision judiciaire a été confirmée à divers niveaux de l’appareil judiciaire autrichien et finalement par la Cour Européenne des Droits de l’Homme, dont sont membres la quasi-totalité des États du continent européen. Nous sommes donc face à une évolution judiciaire. (cliquez ici).

    Le rôle de la Cour Européenne des Droits de l’Homme relève d’une question de bataille culturelle. Nous devons mener la bataille culturelle. Nous devons nous opposer à des instances mondialistes qui essayent de nous imposer une vision du monde.

    Source EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/28/un-entretien-avec-natacha-polony-sur-eurolibertes-6108952.html

  • Les gilets jaunes : changement de cap ? – Journal du jeudi 29 novembre 2018

    Social / Les gilets jaunes : changement de cap ?

    Tentative de récupération par la gauche, courtiser par les vedettes du show-biz, à quelques heures de la manifestation de samedi les gilets jaunes pourraient bien changer de couleur.

    Immigration / Le pacte sur les migrations divise L’Europe

    Approuvé en juillet par l’ensemble des pays de l’ONU à l’exception des Etats-Unis, le pacte mondial sur les migrations est de plus en plus contesté. Alors que les refus se multiplient, une ombre plane autour de son approbation le 10 décembre prochain.

    Politique / LFI : les gauchistes mènent la danse

    Djordje Kusmanovic, le conseiller pour l’international de Jean-Luc Mélenchon claque la porte de la France Insoumise. Il livre un constat implacable d’un mouvement gouverné par un groupe sectaire et anti démocratique, obsédé par les vieilles lunes d’extrême-gauche.

    Ecologie / Menace sur le cèdre du Liban

    https://www.tvlibertes.com/les-gilets-jaunes-changement-de-cap-journal-du-jeudi-29-novembre-2018

  • Ludovine de La Rochère : « Les gilets jaunes ne doivent pas se laisser berner par des débats en région ! »

    La présidente de la Manif pour tous rappelle que la grande consultation nationale organisée sur la PMA a révélé une très forte opposition mais que le gouvernement n’en a pas tenu compte.

    « J’ai parlé avec un représentant des gilets jaunes qui insiste sur la perte de sens et la déshumanisation. À cet égard, nos préoccupations se rejoignent… »

    La Manif pour tous a laissé un petit conseil aux gilets jaunes : ne pas écouter le gouvernement lorsqu’il parle de consultation nationale. Pourquoi cet avertissement ?

    Le gouvernement, avec Emmanuel Macron, a récemment proposé aux Français de participer à une consultation officielle, légale, publique et très importante. Ce fut les États généraux de la bioéthique.
    Cette consultation a connu une participation massive. Elle a été d’une ampleur inédite et on peut s’en réjouir. Sauf que les résultats ne conviennent pas au gouvernement. L’opposition massive a été exprimée à plus de 80 % à la PMA sans père.
    Alors, que se passe-t-il ? On voit les écarts successifs de tel ou tel membre du gouvernement qui piétine et omet complètement les résultats des États généraux de la bioéthique, en tout cas pour le moment, et continue à annoncer une volonté de légalisation de la PMA sans père.

    Certains membres du gouvernement se sont engagés sur une légalisation de la PMA sans père avant la fin 2019. Par ailleurs, la cause LGBT a été déclarée grande cause nationale par Marlène Schiappa. On a l’impression que le gouvernement avance de son côté sur ce sujet-là…

    En réalité, ces déclarations d’intention sont le résultat de la pression que certains membres du gouvernement veulent absolument mettre. Marlène Schiappa avait dit, en septembre 2017, que la PMA sans père serait légalisée avant fin 2018. En réalité, elle exprimait ainsi ce qu’elle souhaitait. Mais elle n’est ni Édouard Philippe ni Emmanuel Macron. Elle s’était fait remettre à sa place.
    Pour autant, on voit bien, malgré tout, qu’ils sont plusieurs, aux places les plus éminentes en termes de pouvoir politique, à vouloir la même chose. La menace, le danger sont donc bien réels. Pour autant, le calendrier et les modalités ne sont pas encore connus.
    Nous devons absolument nous faire entendre comme citoyens français sur un sujet aussi fondamental que le respect des besoins et des droits de l’enfant, le respect de la filiation et de la médecine.
    De leur côté, les gilets jaunes sont dans la même situation et ne doivent pas se laisser berner par des propositions de « débats en région », comme ils disent, dont on sait ce qu’ils donnent, et qui obligent de toute façon, ensuite, à continuer à se battre pour se faire entendre. C’est pourquoi nous alertons les gilets jaunes sur ce sujet-là.

    Peut-on imaginer une convergence des luttes entre les gilets jaunes et la Manif pour tous ?

    J’ai parlé, il y a quelques jours, avec un des huit représentants des gilets jaunes. J’ai été très frappée de son propos. Il disait qu’ils étaient confrontés à une question d’humanité. Il voulait dire qu’il y avait une perte de sens dans nos vies contemporaines qui ont un côté très déshumanisant.
    Cette analyse rejoint absolument les questions de la PMA sans père, de la gestation pour autrui et toutes ces pratiques déshumanisantes qui déconnecteraient complètement la filiation de la réalité de nos humanités. À certains égards, nous nous rejoignons.
    Il y a, ensuite, la question des taxes, des impôts. Bien sûr, c’est très grave pour les Français, qui sont en peine et en grande difficulté pour continuer à vivre. Ils sont ponctionnés de tous les côtés et leur vie quotidienne devient presque impossible.
    Je crois, néanmoins, que l’enfant, la famille, la filiation et l’humain sont encore davantage et complètement au cœur des sujets de société dont je parle. Et malgré tout, on ne peut pas mettre sur le même plan l’accroissement des taxes et la question de la conception de l’enfant et de sa filiation.

    http://www.bvoltaire.fr/ludovine-de-la-rochere-les-gilets-jaunes-ne-doivent-pas-se-laisser-berner-par-des-debats-en-region/

  • Reportage au cœur de la Pologne patriote avec TV Libertés !

    Veuillez bien vouloir nous excuser pour le problème de visionnage (du à un mauvais transfert de fichier), désormais résolu.

    Le conflit entre Bruxelles et les pays de l’Europe centrale et orientale s’est aggravé cette année, en particulier avec le vote du Parlement européen contre la Hongrie (rapport Sargentini), mais aussi les offensives contre les gouvernements démocratiquement élus de Pologne ou encore de Roumanie.

    Le 11 novembre 2018, la Pologne a célébré le centenaire de son indépendance retrouvée en 1918. Cette célébration est marquée par une grande marche patriotique que la mairie libérale (PO) de Varsovie a tenté d’interdire. Sans succès : cette année, la Marche de l’Indépendance a rassemblé 300.000 personnes au lieu des 60.000 de l’an dernier, avec le soutien du président et du gouvernement polonais.

    Comme l’an dernier, TV Libertés était présent en Pologne durant ces célébrations et a interrogé de hautes personnalités du pouvoir polonais pour qu’ils expriment leur opinion sur les questions d’identité, de catholicité ou le conflit entre Varsovie et Bruxelles.

    Un reportage de Ferenc Almassy et Olivier Bault produit en partenariat avec le Visegrád Post et l’hebdomadaire polonais Do Rzeczy.

    Retrouvez les entretiens complets qui ont servi à la réalisation de ce reportage :

      
      
      
  • 600 radars hors service

    600 radars hors service

    Lu ici :

    Bâchés, repeints, habillés d’un gilet jaune, on estime qu’au moins 600 radars automatiques sont actuellement hors service en FranceParmi eux, plus de 130 ont été totalement détruits depuis le 17 novembre.

    Depuis le début du mouvement des gilets jaunes, nous avons recensé sur les réseaux sociaux et dans la presse locale tous les radars qui ont été détruits, vous en trouverez la liste détaillée et vérifiée à la fin de l’article. A ce jour, notre décompte fait état de 133 radars détruits entre le 16 et le 26 novembre mais certains ont dû échapper à notre recensement.

    Le phénomène s’étend à toute la France, même si certains départements sont plus touchés que d’autres. On peut citer par exemple le Doubs, où 5 radars fixes ont été incendiés la même nuit dont un qui avait été installé le jour même! Ou encore ceux du Gard et de la Haute-Loire, qui avec 7 radars détruits, sont les plus touchés juste devant la Vienne ou le Morbihan où 5 radars ont été incendiés.

    Cette vague de dégradations ressemble à celle des Bonnets rouges fin 2013 lors de laquelle, un grand nombre de radars avaient également été détruits mais dans un ensemble plus limité de départements.

    La plupart des radars ont été incendiés et on ne trouve plus que leur carcasse calcinée au bord de la route parfois avec des rubans “Gendarmerie Nationale” ou cellophané au plastique noir avec un ruban mentionnant une “maintenance technique”. Que ce soit des radars fixes, des radars discriminants ou des radars autonomes, le mode opératoire est souvent le même, c’est à dire la mise à feu des appareils grâce à des pneus dont on distingue souvent les restes au pied des cabines.

    Si certaines cabines n’ont pas totalement été détruites grâce à l’intervention rapide des pompiers, elles sont tout de même hors-service car les composants interne du radar ont été soumis à une forte chaleur. […]

     

    À tous les lecteurs du Salon Beige en France, j’irai droit au but : pour poursuivre son travail le Salon Beige a besoin de vos dons. Le combat culturel que nous menons est violent et nos opposants disposent de moyens infiniment plus importants que les nôtres. Nous sommes en permanence ciblés par des personnes et des groupes qui savent utiliser l’argent, les médias et … la justice pour nous combattre et nous détruire.

    Oui, notre existence dépend de vos dons. Nos besoins ne sont pourtant pas immenses, loin de là !
    Il suffirait que chaque année 3 000 personnes fassent un don ponctuel de 50 € ou bien que 1 250 fassent chaque mois un don de 10 € pour que l’existence du Salon Beige soit assuré !

    Vous savez le rôle que le Salon Beige joue chaque jour dans la lutte contre la culture de mort et pour la dignité de l’homme; vous connaissez notre pugnacité à combattre chaque jour contre l’avortement, l’euthanasie, le mariage pour tous, la PMA, la GPA et toutes les dérives libertaires.

    Le Salon Beige ne remplace pas votre rôle dans ces combats, il les facilite, les accompagne et les stimule.
    S'il vous plait, faites un don aujourd'hui. Merci

    On ne lâche rien, jamais !

    Guillaume de Thieulloy
    Directeur du Salon Beige

    https://www.lesalonbeige.fr/600-radars-hors-service/

  • Le chant du gaulois réfractaire

    gilets-jaunes-300x200.jpgNous sommes habitués à l’infatigable propagande immigrationniste du vivre-ensemble qui déferle sur tous les canaux, squatte toutes les antennes, s’immisce dans tous les programmes, les débats, les journaux télévisés, les fictions, les divertissements. La  débilité intellectuelle de son discours parvient parfois  à étonner les plus blasés. En témoignent  les propos de la franco-allemande Géraldine Schwarz , ex correspondante de  l’Afp, collaboratrice du Monde et d’Arte. Son opus, Les Amnésiques, vient de recevoir comme il se doit le Prix du livre européen 2018. En tournée de promotion,  cette jeune femme qui vit à Berlin explique avec un aplomb assez consternant que les Européens qui entendent défendre leur identité, la transmettre à leurs enfants, ce qui est un droit, une aspiration légitime reconnue à toutes les autres cultures et ethnies sur cette planète, sont eux les suppôts du fascisme  hitlérien, celui-là même qu’elle décrit dans son livre à la lumière de son passé familial. Répondant aux questions d’euractiv, Mme Schwarz indique que « oui »,  bien sûr , son livre est un message face à la montée des extrêmes en Europe, un « message profondément européen» (sic). Comment expliquer le succès des démocraties illibérales, dans des pays comme la Pologne ou la Hongrie ? lui demande-t-on. La réponse est simple pour  Géraldine: «Nos démocraties à l’Ouest se sont construites en opposition au fascisme, avec des partis chrétiens démocrates qui portaient un discours fort sur le sujet. Mais à l’Est, le récit imposé par les soviétiques a brouillé les pistes. Il y a eu un discours anti-fasciste, mais peu crédible parce qu’il était imposé par un état totalitaire. Le résultat, c’est une allergie à l’anti-fascisme, qui se retrouve dans les scores impressionnants de l’Afd en Allemagne de l’Est.»

    La rengaine est connue:  ces prolos forcément  rouges-bruns sont une sale engeance et   l’AfD qui a le front d’être eurosceptique et opposé à l’immigration est  à classer sans tortiller  au rayon des partis fascistes, CQFD. Voilà en effet un travail de mémoire, à quelques mois des élections européennes,  qui méritait d’être honoré par ce Prix du livre européen,   présidé actuellement par le socialiste Pascal Lamy, ex directeur général de l’Organisation mondiale du commerce

    Nous ignorons si Emmanuel Macron  prendra le temps de lire le livre de Mme Schwartz, -ce n’est pas certain  accordons-lui au moins d’avoir  bon goût et de viser plus haut en matière de littérature- mais nous savons déjà que son divorce avec les Français prend une tournure de plus en plus problématique pour la caste européiste.

    Dire qu’il n’ a pas convaincu les gilets jaunes, et plus globalement les Français avec ses annonces , relève de l’euphémisme. Les promesses sont vagues et visent (sciemment?) à prévenir les Français que  leur ras-le-bol sera sans effet sur la feuille de route mondialo-bruxelloise suivie par le gouvernement. L’exécutif  a ainsi sorti de son chapeau la mise en place de   trois mois de consultations sur la transition écologique et d’un Haut  conseil pour le climat (Haut conseil, appellation symbolique relevant  d’un mépris (in)conscient  pour la France d’en bas?). Et la macronie  a botté en touche et/ou apporté une fin de non recevoir  face aux   revendications  sur les taxes et le pouvoir d’achat…dans une France tristement  championne d’Europe des impôts et des cotisations sociales comme le souligne Michel Janva sur le site du Salon beige.

    Il est en tout cas remarquable note Bruno Gollnisch que cette fronde des gueux, de la France des oubliés,  des méprisés, ralliée par  un nombre croissant de catégories professionnelles, de ces Français trop Français pour être honnêtes aux yeux du régime bruxellois, bénéficie d’un soutien accru de l’opinion. Malgré les procès en sorcellerie, (la peste brune,  des extrémistes…), les violences (suscitées?) sur les Champs-Elysées, les quelques dérapages montés médiatiquement en épingle pour faire peur dans les chaumières, le caractère parfois brouillon et contradictoire de certaines revendications, la propagande LREM frappe dans le vide, impuissante face à la réalité. Et celle-ci  peut se résumer en quelques mots: les Français n’en peuvent plus d’être écrasés, rabotés, condamnés à payer toujours plus pour un Système qui leur offre de moins  en moins de protections (sociale, économique, identitaire..)    et de services au regard des efforts et des sacrifices qu’ils consentent…quand on ne leur demande pas purement et simplement  de se pousser pour faire de la place aux nouveaux arrivants   - 420 000 entrées d’immigrés ont été comptabilisées l’année dernière.

    La toute dernière enquête Elabe pour BFMTV indique ainsi que 75% des sondés soutiennent cette mobilisation citoyenne et que 81% d’entre eux  estiment qu’Emmanuel Macron et le gouvernement ne sont pas à l’écoute des revendications des gilets jaunes. Le sondage Odoxa-Dentsu consulting pour franceinfo et Le Figaro publié hier et réalisé après le discours du président de la république mardi, expose que  84% des personnes interrogées trouvent justifié le mouvement des Gilets jaunes;  78% n’ont pas trouvé (le chef de l’Etat)  convaincant lors de son allocution il y a deux jours. En l’espcèce, « le pire niveau enregistré après une intervention ou annonce d’Emmanuel Macron. La parole présidentielle ne semble plus imprimer dans l’opinion. »  Pour  « une écrasante majorité, trois quarts des Français, estiment que (les mesures énoncées par E. Macron)  vont accentuer les inégalités entre les Français (75%) et qu’elles vont nuire au pouvoir d’achat de nos concitoyens (73%). Enfin, aucune de ces mesures ne répond à l’attente unanime des gilets jaune, partagée par huit Français sur dix : revenir sur la décision de hausse des taxes sur les carburants prévue pour janvier 2019. »

    Dans le détail par appartenance politique, les gilets jaunes  ont le soutien d’un  sympathisant LREM sur deux (50%, 58% dans le sondage Elabe), de 75% de l’électorat LR, de 90%  de celui de la gauche et de l’extrême gauche ( PS ,LFI…)  et record, de 96% des sympathisants du Rassemblement National, de DLF  et de l’extrême droite.

    Editorialiste sur BFM-TV, Thierry Arnaud commentant l’enquête Elabe évoquée plus haut, estimait qu’il s’agissait d’  « un sondage catastrophique pour l’exécutif, catastrophique pour le président en particulier, parce que ce sondage a été fait après son discours (…). 59% des électeurs d’Emmanuel Macron considèrent qu’il n’est pas à l’écoute, ça veut franchement dire qu’à ce stade, on ne voit pas comment la position d’Emmanuel Macron et d’Edouard Philippe est tenable dans la durée(…), on voit mal comment le gouvernement va pouvoir tenir, et certains au sein de la majorité se posent la même question. »

    Sur Polemia, Jean-Yves Le Gallou a recensé tous les mauvais coups portés à la France et aux Français depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron qui «fait la guerre au peuple» et   à qui désormais «le peuple fait la guerre.» «Hollande, affirme-t-il,  suscitait de la sympathie ce qui était un bouclier protecteur pour lui. Macron et les macronistes périront de leur mépris qui suscite la haine. Car la grande faiblesse des sondages c’est de ne pas mesurer l’intensité du rejet et de l’hostilité. Et celle-ci est immense. Cela les journalistes le pressentent et les oligarques le savent. Le moment venu ils débrancheront Macron. Et le robot s’écroulera… dans un champ de ruines.»

    Ce  qui apparaît en tout cas de manière certaine aux yeux des Français, et cette prise de conscience  explique aussi la colère actuelle, c’est que loin d’être une rupture avec lancien monde, slogan fétiche de l’ex banquier au cours de sa campagne présidentielle, le macronisme n’est en fait que la somme de toutes ses tares. Le macronisme est  la quintessence du  vieux  projet supranational, euromondialiste ,  une tentative  de faire perdurer un Système qui tue la France et les Français.  Le chant du gaulois réfractaire dont on entend l’écho puissant chez les gilets jaunes, qui s’exprime depuis toujours   dans les combats portés par l’opposition nationale, populaire et sociale,  bref  la dynamique populiste  peut être le grain de sable dans cette machine à tuer les peuples et les nations. La roue tourne, de nouvelles configurations sont en train  d’apparaître sous nos yeux… le  désespoir en politique est une sottise absolue.

    https://gollnisch.com/2018/11/29/le-chant-du-gaulois-refractaire/