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  • Terrorisme islamique : gouvernement et majorité aveugles, sourds et muets

    Terrorisme islamique : gouvernement et majorité aveugles, sourds et muets

    Lors de la séance de questions/réponses, mercredi 12 décembre à l’Assemblée nationale, et interrogé par six députés successivement sur l’attentat de Strasbourg, le gouvernement représenté tantôt par Edouard Philippe, tantôt par Christophe Castaner ou Laurent Nunez n’a pas prononcé une seule fois le mot islamiste ou islamique. Pas une fois.

    Boris Vallaud (PS) interroge sur l’état de la menace terroriste. Aucune réponse globale, simplement un rappel par Christophe Castaner que

    « cet individu est connu depuis très longtemps, hélas ! pour des faits de droit commun. Il a été condamné pour la première fois à treize ans. Ses actions, son comportement systématiquement marqué par la violence, lui ont valu soixante-sept inscriptions. Il a été identifié pour radicalisation, et était suivi pour cela. »

    Frédéric Reiss (LR) interroge sur les mesures que le gouvernement entend prendre. Le gouvernement ne répond pas à la question.

    Bruno Studer (LREM), à la limite du sanglotement et qui tient à préciser que le terroriste est « un Strasbourgeois né à Strasbourg, un Alsacien né en Alsace, un Français né en France et n’ayant grandi nulle part ailleurs qu’à Strasbourg, en Alsace, en France » (N.D.L.R. : Chériff Chekatt, sans doute donc un indépendantiste alsacien…) demande aussi les mesures prises. Nous sommes rassurés alors d’apprendre que le gouvernement a

    « décidé, sous l’autorité du Premier ministre, de réagir immédiatement en élevant le niveau Vigipirate au niveau d’alerte « urgence attentat » ».

    Antoine Herth (UDI) demande si nous sommes « face à une nouvelle forme de terrorisme, œuvre d’un islamisme lié aux milieux crapuleux ? ». M. Castaner ne répond pas à la question posée.

    Eric Diard (LR) souligne que « ce terrible drame met une nouvelle fois en lumière la menace que représente la barbarie islamiste et notre difficulté à suivre efficacement les individus radicalisés. ». Il s’étonne parce que les mesures prises étaient celles prévues pour un délinquant de droit commun (on attend 6 heures du matin pour se présenter au domicile du «tueur pour l’appréhender en tant que délinquant de droit commun »). Pourtant il était fiché S depuis 2016 et inscrit au fichier FSPRT. Le secrétaire d’Etat Nunez (après que son ministre a bien dit que le terroriste était suivi pour radicalisation) réussit le tour de force de dire tout à la fois que « l’individu a en effet été détecté en détention » et que « malheureusement, l’on n’a jamais détecté de radicalisation ». Et donc,

    « parce que c’est notre travail, le cas a bien été évoqué en groupe d’évaluation départemental ; il a bien été décidé d’entraver l’action de cette personne, et si c’est la voie du droit commun qui a été choisie, c’est parce que c’était la seule permise par les textes ».

    Enfin en réponse à une question de Jean-Luc Mélenchon qui évoque le « mode opératoire du terrorisme » (sans précision), Edouard Philippe répond en parlant « symboles touchés par chacune des attaques terroristes ». Sans rien de plus.

    Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire. Pourtant, aux dernières informations, il semblerait que ce gouvernement et cette majorité soient toujours responsables de la sauvegarde de la France et des Français.

    https://www.lesalonbeige.fr/terrorisme-islamique-gouvernement-et-majorite-aveugles-sourds-et-muets/

  • GILETS JAUNES ACTE 4 - Ce que vous devez savoir !

  • MACRON A PEUR (L’Imprécateur)

    Oui, Emmanuel Macron est un peureux. Il doit cela à une pathologie non psychiatrique, il faut le préciser pour éviter de glisser vers un diagnostic erroné de psychopathie comme celui qu’avait fait un psychiatre italien en 2017. La perversion narcissique est un simple mécanisme de défense que développent les peureux quand ils sont confrontés à des situations où ils éprouvent le besoin salvateur de s’affirmer à tout prix supérieur aux autres parce que la situation où ils se trouvent l’exige. C’est le cas évident d’un président de la République. Mais quand le pervers narcissique ne contrôle plus la situation, il fuit. Ce que fait Emmanuel Macron depuis un mois.

    Le besoin de s’affirmer le plus intelligent et le plus fort

    Dès les premiers jours de son mandat, ce fut évident pour toute personne ayant quelques notions, même minimales, de psychologie. La façon dont il scénarisa le spectacle de son succès devant la pyramide du Louvre est caractéristique. Il sort de l’ombre de l’une des portes voûtées du Louvre, symbole royal, et marche dans la lumière sur le cours Napoléon, symbole impérial. Seul, dans le noir avec un projecteur pour l’éclairer, pendant trois minutes, pour gagner l’estrade d’où il s’adressera aux Français.

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  • Attentat de Strasbourg : fin de cavale pour Chérif Chekatt – Journal du vendredi 14 décembre 2018

     

    Attentat de Strasbourg : fin de cavale pour Chérif Chekatt – Journal du vendredi 14 décembre 2018

    Sécurité / Attentat de Strasbourg : fin de cavale pour Chérif Chekatt

    Chérif Chekatt abattu ! Après 48h de traque, les forces de l’ordre ont finalement mis la main sur le terroriste islamiste. Un soulagement pour les habitants de Strasbourg, pourtant la menace persiste.

    Social / Gilets Jaunes : Acte 5 : le clap de fin ?

    Stop ou encore ? Dans un contexte délicat, les Gilets Jaunes tenteront de maintenir leur mobilisation… cinq jours après les annonces d’Emmanuel Macron et quatre jours après l’attentat de Strasbourg, le mouvement pourrait bien connaître son dernier rassemblement pour l’année 2018.

    Social / Le retour de l’encadrement des loyers

    L’encadrement des loyers revient sur la table. Alors que les gilets jaunes continuent leur mobilisation, de nombreuses municipalités militent pour son retour sous couvert d’un regain de pouvoir d’achat. Un dispositif à double tranchant pour le marché de l’immobilier.

    International / Irak : la tentation sécessionniste

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/attentat-de-strasbourg-fin-de-cavale-pour-cherif-chekatt-journal-du-vendredi-14-decembre-2018

  • Le système Macron a échoué : la seule attitude raisonnable aurait été une baisse générale des impôts

    Le système Macron a échoué : la seule attitude raisonnable aurait été une baisse générale des impôts

    A propos des Gilets jaunes, Pierre de Lauzun, haut fonctionnaire spécialisé dans la finance, analyse pour L’Homme Nouveau :

    Il y a quelque chose de très profond, c’est une voix nouvelle qui se fait entendre dans le débat public et qui pèsera au moins pendant un temps. Mais la limite de ce mouvement c’est qu’il s’est construit comme un réseau et veut le rester, sans porte-parole ni élaboration commune d’un programme ou de revendications. C’est une limite importante pour qui veut peser dans le débat public. […]

    Le journal Le Monde a établi une corrélation assez forte entre les demandes qui apparaissent ici ou là, et les programmes de Jean-Luc Mélenchon il y a un an et, dans une moindre mesure, celui de Marine Le Pen. C’est ce qui fait qu’une revendication profonde et originale, par ce que le géographe Christophe Guilluy appelle la « France périphérique », se traduit de fait par des demandes très classiques comme la hausse des salaires, etc., qui sont peut-être justifiées mais qui ne sont pas originales. Ce qui l’est un peu plus, c’est la demande de démocratie directe, qui pourrait se traduire par des mesures de type référendum populaire, ce qui peut être intéressant au cas par cas, mais pas être un mécanisme permanent. Bref, le mouvement est nouveau mais n’arrive pas vraiment à porter de choses très nouvelles. […]

    Le ras-le-bol fiscal est porté par tous, les gens aisés comme les autres. Là où le système Macron a échoué, c’est que ses mesures sont illisibles, avec la suppression de l’ISF ou de la taxe d’habitation d’un côté, et l’augmentation de la CSG de l’autre, plus les autres taxes et, en plus, le fait que les pensions ne sont plus indexées sur l’inflation. La seule attitude raisonnable aurait été une baisse générale de la pression pour tout le monde sans aucune augmentation d’impôt ; sauf que cela suppose de réduire drastiquement la dépense publique. Les gens ont donc le sentiment, qui n’est pas absurde, que ce n’est ni juste, ni équilibré. Ils voient ce dont bénéficient les autres alors qu’eux doivent payer plus. Mais ce que ne voient pas les Gilets jaunes, c’est qu’en réduisant les ressources de l’État, il faut réduire aussi les prestations ; il ne sert à rien de se focaliser sur le coût des parlementaires ou des ministres qui, cumulé, ne pèse pas lourd.

    Reste que malgré un système social qui fait l’originalité de la France, les gens ont un sentiment très clair de gaspillage de l’argent public…

    Dans les pays scandinaves, la pression fiscale est légèrement moins élevée qu’en France mais les gens ont l’impression d’en avoir pour leur argent. Ici, l’argent est beaucoup moins bien employé. Il faut choisir de mettre de l’argent sur les points prioritaires, et ne pas changer de cap tout le temps. Comment se fait-il par exemple qu’en Allemagne, on dépense moins dans l’éducation mais que les professeurs sont bien mieux payés ? […]

    En tout cas, il s’agit d’un vrai mouvement de fond, comme en témoigne Yves Daoudal :

    Je ne sais pas ce qu’il en est ailleurs, mais je subodore que dans toutes les campagnes c’est peu ou prou comme chez moi. Les gilets jaunes, ce ne sont pas seulement les braves gens qui sont aux ronds-points. Ceux-là ne sont que les représentants visibles d’une grande partie du « peuple gilets jaunes », ce qui n’est pas assez dit (voire jamais) sur les ondes. Et qui est minimisé en permanence chez les tenants du pouvoir (et cela aussi attise la colère). Par chez moi, c’est au moins les deux tiers des voitures qui ont un gilet jaune derrière le pare-brise, les trois quarts en certains endroits. D’autre part le comptage des manifestants n’a aucun sens, parce que bien sûr ce ne sont pas toujours les mêmes qui sont sur les ronds points 24 heures sur 24. On se relaie, et dans les familles mêmes on y va à tour de rôle selon le temps que laissent les obligations de travail, d’école, etc. C’est quand on prend conscience de cela qu’on voit que c’est un vrai mouvement de fond.

    Un mouvement au sein duquel les femmes, premières victimes de la précarité, sont très actives.

    Crédit dessin : Clothilde Prévost

    https://www.lesalonbeige.fr/le-systeme-macron-a-echoue-la-seule-attitude-raisonnable-aurait-ete-une-baisse-generale-des-impots/

  • Bistro Libertés avec Charles Millon

    Caroline Parmentier et Martial Bild reçoivent l’ancien ministre de la Défense Charles Millon. Ils débattent des solutions à apporter à la crise qui secoue le pays et du Pacte mondial sur les migrations imposé par l’ONU. Et ils concluent tous : le Pacte de Marrakech, c’est le pacte du diable !

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-avec-charles-millon?is_wppwa=true&wpappninja_cache=friendly

     
  • Cherif Chekatt, enfant monstrueux du multiculturalisme, par Ivan Rioufol

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    La Une de Libération, ce mercredi, résume bien la bienveillance médiatique à l’égard du radicalisme islamiste. Le journal titre en bandeau : Strasbourg, attaque meurtrière près du Marché de Noël. Il laisse en revanche la place centrale à une photo de lycéens de Mantes-la-Jolie (Yvelines) prise jeudi dernier. Sous le titre : Retour sur une humiliation, le cliché montre des jeunes agenouillés face à un mur glauque, têtes baissées, mains entravées dans le dos. Ce que l’on est invité à comprendre est limpide : la police s’est comportée à Mantes comme une force d’oppression brutale et injuste. L’attentat terroriste, commis hier soir par un fiché S (3 morts, 13 blessés) est, lui, relégué en information subalterne et édulcorée. Il est possible que Libé ait été lié par l’urgence de son bouclage.

    Il n’empêche : le choix paresseux de privilégier la victimisation de jeunes majoritairement issus de l’immigration, qui s’étaient pourtant prêtés à des violences urbaines depuis trois jours, est conforme à l’esprit de complaisance qu’observent la gauche et ses extrêmes vis-à-vis de la diversité sacralisée. Le “progressisme” n’a pas de mots assez durs pour dénoncer les dangers de l’extrême droite. Le chef de l’Etat a parlé de “lèpre qui monte” en pointant le réveil des nations. Son ministre Gérald Darmanin a récemment évoqué la “peste brune” pour parler des Gilets jaunes qui manifestaient à Paris. Mais les regards se détournent et les mots manquent dès qu’il s’agit de nommer l‘islam politique, totalitaire, conquérant. Il frétille librement dans les cités, comme un poisson dans l‘eau.

    Cherif Chekatt, 29 ans, toujours en fuite ce mercredi à midi, est né à Strasbourg dans un quartier aux influences salafistes. Ce multirécidiviste devenu terroriste est le produit de la nouvelle société multiculturelle. Elle s’est constituée sous le poids d’une immigration musulmane de masse. Elle a rompu, pour une partie importante, avec le processus d’assimilation. L’idéologie islamiste, qui déteste l’Occident et la France tout particulièrement, a trouvé refuge dans ce communautarisme lâchement toléré. Et c’est bien cette insouciance du pouvoir qui est scandaleuse. Cela fait 40 ans que l’Etat laisse s’établir et prospérer une contre-société dont une partie de la jeunesse se radicalise.

    Ces territoires perdus ne cessent d’enfanter leurs monstres quand ils passent à l’acte guerrier. Ceux qui se sont autorisés à insulter les Gilets jaunes, trop homogènes, provinciaux et enracinés à leurs yeux, sont souvent les mêmes qui font valoir la culture de l‘excuse sociale dès qu’il s’agit des nouvelles minorités ethniques ou religieuses. La gauche et l’extrême gauche, qui croient reconnaitre dans le musulman le nouveau juif persécuté, se prêtent en fait à une collaboration honteuse quand elles minimisent le danger de l’islamofascisme, pour préférer alerter sur une “ultradroite” qui menacerait la République. Dans ce contexte, la signature par la France du pacte de l’ONU sur les migrants, lundi au Maroc, consolide la dérive multiculturelle. Le texte incite à “promouvoir le respect mutuel des cultures, des traditions et des coutumes entre les communautés d’accueil et les migrants”. L’islam radical se frotte les mains…

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 12 décembre 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Préférence nationale

    allegorie-de-la-france-bis.jpgFord Aquitaine Industries (FAI) a annoncé cette semaine  sa décision  de ne pas accepter  la vente de son  site fabrication de boîtes de vitesse de   Blanquefort (Gironde) au  belge  Punch, son « acquéreur potentiel.» Le groupe automobile américain a donc décidé l’arrêt de la production fin août 2019, assorti d’un « plan social complet » qui laissera sur le carreau 850 salariés. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire s’est dit « trahi » par la décision de Ford, alors qu’il s’était «personnellement engagé pour sauver le site. » D’une trahison l’autre, Bruno Gollnisch rappelle que  celle-ci  est  plus largement le fait des politiques de désindustrialisation menées conjointement par la gauche et la droite bruxelloises. Selon l’Insee, ce sont 27.300 entreprises industrielles qui  ont disparu entre 2006 et 2015 et 530 000 salariés… au nom des impératifs de la mondialisation inéluctable  et obligatoire  qui expliquent  la révolte des gilets jaunes.

    Gilets jaunes accusés implicitement par certains  médias d’être indirectement responsables de la mort d’un  touriste thaïlandais, Anupong Suebsamarn, assassiné mardi soir par  Chérif Chekatt – lui-même abattu hier par la police dans le quartier pluriel du Neudorf –  au motif  que « lui et son épouse souhaitaient visiter Paris, mais les manifestations des Gilets jaunes les en auraient dissuadés …» .

    Le cas du multirécidiviste et binational franco-algérien  Chekatt (sur lequel le criminologue Xavier Raufer a fait part d’informations pour le moins dérangeantes)   pose une nouvelle fois dramatiquement la question de l’immigration. Celle-ci a été évoquée par Emmanuel Macron dans le cadre du débat national qu’il a annoncé lors de sa dernière allocution télévisée… mais  ce thème a été  escamoté finalement par Edouard Philippe. Immigration, y compris illégale, encouragée au plus haut niveau  comme l’atteste la décision du Conseil constitutionnel du 6 juillet dernier, présidé par Laurent Fabius, de reconnaître « la fraternité comme un principe constitutionnel. Cela signifie que l’aide au séjour et à la circulation des migrants bénéficie désormais d’exemptions pénales élargies (…). »

    Ce qui a permis rapporte encore Le Figaro, « une véritable victoire pour les défenseurs des migrants. » Ainsi « L’agriculteur militant Cédric Herrou, poursuivi pour aide à l’immigration clandestine, a vu sa condamnation être annulée par la Cour de Cassation ce mercredi. La plus haute juridiction de l’ordre judiciaire devait examiner le pourvoi du producteur d’olives bio originaire de Nice (Alpes-Maritimes), mais aussi celui de Pierre-Alain Mannoni, chercheur à la faculté de Nice-Sophia-Antipolis. Cette décision est une grande victoire, selon leur avocat Patrice Spinosi qui salue la reconnaissance d’une exception humanitaire qui doit conduire à la relaxe» des deux hommes. »

    Autre humaniste revendiqué, le maire de Nice Christian Estrosi n’en poursuit pas moins l’objectif de se faire réélire. Le LR macroniste a donc voulu ne pas se couper des exigences sécuritaires des Niçois en annonçant  mercredi qu’il allait  « demander clairement au préfet des Alpes-Maritimes de bien vouloir me donner la liste des fichés S. Il y a une circulaire qui dit aux préfets de bien vouloir informer les maires. Pour l’instant, je n’ai pas réussi à l’obtenir, mais vu les circonstances, (…) je souhaite que la circulaire du 13 novembre (signé par le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner)   soit appliquée », afin  de « pouvoir suivre, grâce au logiciel de reconnaissance faciale dont est équipé notre centre de supervision urbain, toutes les allées et venues des individus en question , à condition d’en obtenir l’autorisation de l’État.»

    Faut-il compter sur des faux-durs du calibre de M. Estrosi, partisan de la poursuite de l’immigration, pour combattre en amont le phénomène de la radicalisation d’une partie de la communauté musulmane? Directeur  de campagne adjoint pour les élections européennes du RN, le Niçois et  conseiller régional de PACA  Philippe Vardon, attire l’attention depuis des années sur le double-langage du maire de Nice. En janvier dernier, il rappelait que Christian Estrosi  a « ressorti son projet de grande mosquée dans la plaine du Var. Comble de la fourberie, pour mieux défendre son opposition à (la  mosquée  En-Nour)  il entend mettre à disposition un terrain municipal de 3000m2, pour y installer une mosquée de 1000m2 et même une dalle destinée à être utilisée pour l’abattage halal. Cette mosquée serait codirigée par les islamistes de l’UOIF, avec lesquels Christian Estrosi entretient des relations de proximité connues. En-Nour semble bien être là pour durer, et puisque la municipalité a désormais promis cet autre édifice dans le plaine du Var, ce sera donc à terme deux grandes mosquées radicales que nous aurons à Nice Ouest ! Les Niçois peuvent remercier Christian Estrosi…»

    Les  mantras progressistes des docteur Morphine de l’établissement perdent en tout cas chaque jour  davantage de leur efficacité.  L’impératif d’une politique de  préférence , de priorité nationale  au sens large fait son chemin!  Nous en voulons pour preuve le sondage sur les élections européennes réalisé par l’ Ifop pour le quotidien L’Opinion.  Le  Rassemblement national creuserait l’écart avec  24 % des suffrages (+ 4 points par rapport au mois d’ octobre) , devant  les listes LREM (18%, – 2 points par rapport à octobre), LR (11% , -2 pts  en un mois) et  LFI  (9%, -1). Suivent les listes DLF et EELV (8% chacune), PS ( 4,5%), Générations (3,5%),  UDI (3%,), PC (2,5%,),  Jean Lassalle(2,5%), Florian Philippot ( 1%) et Jean Asselineau (0,5%). Encourageant.

    https://gollnisch.com/2018/12/14/preference-nationale-2/

  • Gilets jaunes : la facture du plan d’urgence économique et social s’annonce salée

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Lors de ses annonces, le président de la République, reprenant une formule de son prédécesseur, a décrété un « état d’urgence économique et sociale ».

    Pour y répondre, plusieurs mesures ont été prises, sans que les conséquences de leur coût soit concrètement abordées.

    Leur coût total est évalué à plus de 10 milliards d’euros. Dans le détail, la revalorisation de la prime d’activité coûtera 900 millions d’euros, l’annulation de la hausse de la CSG environ 2 milliards et la défiscalisation des heures supplémentaires 1,5 milliard d’euros ; celles-ci seront également exonérées de charges sociales, ce qui coûtera 2 milliards d’euros. Enfin, l’annulation des différentes hausses de la taxe sur les carburants est estimée à 4 milliards d’euros de manque à gagner.

    De fait, le gouvernement ne pourra pas tenir son engagement de ne pas produire un déficit supérieur à 3% du produit intérieur brut…

    La prévision d’un déficit public à 2,8% en 2019 paraissait déjà incertaine. Il est désormais question que le déficit public se dégrade à 3,4%. Voire pire si la croissance, qui devrait déjà se réduire de 0,1 point au dernier trimestre 2018, reste faible en 2019. Certaines évaluations prévoient en effet une croissance de 1,3% l’an prochain, soit 0,4 point en dessous de la prévision du gouvernement…

    Le commissaire européen Pierre Moscovici a déjà manifesté sa vigilance…

    En effet, les fameux critères de Maastricht exigent que les pays européens maîtrisent leur dette et leur déficit. Et la Commission européenne ne se préoccupe guère de la situation politique et sociale, comme l’Italie en fait actuellement l’expérience. Richard Ferrand, président de l’Assemblée nationale, rappelle cependant que le déficit élevé de 2019 est en partie temporaire, en raison du cumul en 2019 du coût budgétaire du Crédit d’impôt compétitivité emploi et des baisses de cotisations patronales. A voir si cela suffira à convaincre Bruxelles, ou si des hausses d’impôt devront être prévues, sur les grandes entreprises par exemple.

    Le président Macron pourra-t-il se relever de la crise des Gilets jaunes ?

    Au surlendemain de l’allocution tant attendue du président de la République, se pose la question de l’impact de la crise des Gilets jaunes sur son avenir politique. Sa stature présidentielle est considérablement ébranlée par le violent désamour des Français exprimé ces dernières semaines.
    Les semaines précédant son allocution, Emmanuel Macron avait surpris par sa discrétion anormale.

    Plutôt que d’aller sur le terrain lui-même, c’est son Premier ministre qui montait au créneau. Ainsi, comme l’a expliqué Éric Zemmour, Édouard Philippe prenait le rôle du méchant Richelieu pour préserver le gentil roi Louis XIII. Mais n’est-il pas trop tard pour cette manœuvre ?

    Car c’est sur Macron que la rancœur des Gilets jaunes se focalise, il est jugé responsable de leurs malheurs, à force d’avoir trop pris les devants.

    Les Français se souviennent des phrases choc de Macron. Dirigées contre les Gaulois réfractaires qui ne traversent pas la rue pour se trouver du travail, elles ont fait apparaître un président qui ne comprend pas le quotidien des plus humbles.

    La France a encore le souvenir du scandale Benalla, ce voyou devenu ami intime du président, ou encore le souvenir de la fête de musique animée par des personnes gesticulant sur de la musique électro et se vantant d’être « noir, fils d’immigrés et pédé ». Sans compter la photo avec des délinquants guyanais en caleçon faisant un doigt d’honneur. Macron n’a pas cessé de creuser le fossé avec la France populaire.

    Enfin, la médiatisation mondiale de la colère des Gilets jaunes a porté un coup sévère à Macron sur la scène internationale.

    Les médias du monde entier ont fait apparaître un homme à l’autorité affaiblie dont les forces de l’ordre ont violemment réprimé de simples manifestants pacifiques. Une dégringolade tonitruante pour celui qui se voyait déjà comme le nouvel homme fort de l’Union européenne.

    Sur la scène nationale comme internationale, le reste du quinquennat risque d’être difficile pour Macron, qui a toutes les chances d’être condamné à l’immobilisme de son prédécesseur François Hollande.

    https://fr.novopress.info/212973/gilets-jaunes-la-facture-du-plan-durgence-economique-et-social-sannonce-salee/