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  • George Soros commence déjà à financer le Parti Démocrate pour les élections présidentielles américaines de 2020

    Etats-Unis – George Soros a fait un premier don 4,6 millions d’euros à un nouveau Comité d’Action politique (PAC) à l’approche de l’élection présidentielle américaine de 2020. C’est plus de deux fois ce qu’il avait injecté à ce stade de la campagne des élections de 2016.

    “Le PAC Democracy du milliardaire juif né en Hongrie est sa première contribution aux élections de 2020”, écrit Times of Israël.

    Le milliardaire cosmopolite Soros est un donateur de longue date du Parti Démocrate américain. Pour la campagne présidentielle américaine de 2016, Soros avait officiellement injecté un total de 18 millions d’euros dans le financement du Parti Démocrate, apparaissant parmi les plus importants donateurs de l’ensemble de la campagne américaine.

    https://www.medias-presse.info/george-soros-commence-deja-a-financer-le-parti-democrate-pour-les-elections-presidentielles-americaines-de-2020/111183/

     
  • Passé-Présent n°248 : A. de Chateaubriant au-delà de La Brière

    Passé-Présent : A. de Chateaubriant au-delà de La Brière

    Philippe Conrad reçoit Thierry Bouclier à propos de la biographie que ce dernier a consacrée à l’écrivain controversé Alphonse de Chateaubriant (Ed. Pardès – coll. Qui suis-je ? – 128 p. – 12 €).

    Avocat fiscaliste, écrivain, biographe, Thierry Bouclier ravive les mémoires  en resituant la vie et l’oeuvre d’Alphonse de Chateaubriant (1877-1951), auteur de romans majeurs du XXè siècle dont Monsieur de Lourdines (prix Goncourt 1911) ou La Brière (Grand prix de l’Académie française 1923). Egalement journaliste influent, il est devenu un écrivain maudit et oublié en raison de ses prises de position au cours du second conflit mondial qui le firent condamner à mort par contumace en 1948.

    Philippe Conrad accueille Eric Fromant auteur de Jules Ferry cet inconnu, une biographie publiée chez l’Harmattan (328 p. – 34 €).

    Réformateur de l’enseignement et artisan de l’expansion coloniale, Jules Ferry (1832-1893) se voit consacrer une dense et éclairante étude par l’économiste Eric Fromant qui décline sa jeunesse, ses études d’avocat, son engagement politique sous le Second Empire, son rôle en tant que maire de Paris (1870), à la députation puis, après sa mission d’ambassadeur en Grèce, celui de ministre de l’Instruction publique (1879) et Président du Conseil (1880), tout en établissant des analogies avec notre époque.

    https://www.tvlibertes.com/passe-peresent-n248-a-de-chateaubriant-au-dela-de-la-briere

  • Le migrant qui a poussé un enfant et sa mère sous un train avait illustré des brochures sur l’intégration réussie des étrangers…

    Pic Shows: Habte Araya was used in a brochure promoting successful integration; The African man facing murder charges for pushing an eight-year-old German boy under a train in Frankfurt had previously been used as a poster boy promoting successful integration.
    Photo du criminel dans une brochure sur l’intégration des immigrés en Suisse

    Lu dans Metro.uk (traduction C-I) :

    « L’homme accusé d’avoir tué un garçon de 8 ans en le poussant sous un train à Frankfort a figuré dans une campagne de promotion de l’intégration réussie.
    Habte Arya, 40 ans, originaire d’Érythrée mais vivant en Suisse, a été arrêté pour avoir poussé l’enfant et sa mère sur les rails d’une station à Francfort.

    Le père de trois enfants est également accusé d’avoir poussé une autre femme, âgée de 78 ans, qui a réussi à s’empêcher de tomber devant le train qui arrivait. 
    Il a ensuite pris la fuite, mais a été arrêté par d’autres passagers qui l’ont retenu jusqu’à son arrestation. En 2017, Araya a été photographié dans une brochure publicitaire de l’Agence suisse d’assistance aux travailleurs et aurait déclaré aimer « presque tout ce qui concerne la Suisse ».
    […] La police n’a pas été capable de trouver le motif d’Araya pour avoir poussé l’enfant ».

    Au hasard, la haine anti-blanche ?!
    Une haine si forte qu’elle n’est pas entamée par tout ce que les pays d’accueil lui ont offert.

    suisse francfort
    Habte Arya sur une brochure

    http://www.contre-info.com/

  • La vraie droite c'est le redressement d'un pays

    6a00d8341c715453ef0240a4c0e0cf200b-320wi.jpgObservant, dans la chronique précédente[1], les ignorances médiatiques parisiennes, on pouvait les attribuer à vrai dire autant à la méconnaissance de l'histoire qu'à celle la géographie[2].

    Le redressement d'un pays se réalise quand les forces de droite l'ont emporté sur les forces de gauche, condition politique nécessaire mais hélas pas toujours suffisante. Encore faut-il que les facteurs de la prospérité économiques. Or, en France, de telles expériences sont, dans le meilleur des cas, superbement passées sous silence, et, plus généralement carrément dénigrées par le sectarisme de gauche, relayé par le psittacisme journalistique parisien.

    Depuis le 8 juillet, par exemple, un nouveau gouvernement homogène et résolu est apparu à Athènes. Il a prêté serment dès le lendemain d'une victoire électorale de la droite, nette, massive et sans bavures. Dans un pays où les socialistes se sont employés depuis 25 ans à imposer un mode de scrutin favorable aux partis de gauche et à l'anarchie, le premier ministre dispose cependant d'une majorité claire. Or, la raison principale de la victoire de ceux qu'on appelle conservateurs, qui ont, en particulier su rassembler les classes moyennes réside une fois encore dans le rejet des démagogues et des destructeurs de l'épisode catastrophique de l'ère Tsipras.

    Or, il y a fort à faire pour nettoyer les décombres laissés par tous les résidus et protégés du seul régime[3] se réclamant de la gauche radicale en Europe.

    Une bonne photo valant souvent mieux qu'un long discours, telle observatrice française établie à Athènes dénonce "l'état dans lequel se trouvent les universités grecques après 4 ans 1/2 de gouvernement Tsipras. Ce n'est pas fake", écrit-elle, "j'habite à proximité de l'une d'entre elles. Ce fut le règne des féministes, LGBT, mondialistes etc.

    Ça va changer."[4]

    Après Tsipras le désastreux, on peut, jusqu'ici, partager l'espoir qu'elle exprime. Le nouveau pouvoir politique a, en effet, rapidement pris une salve de décisions, sans perdre de temps, qui font enrager la gauche, et s'écarte de son idéologie ce qui devrait toujours être considéré comme un bon signe. Il n'omet pas d'inscrire dans les mémoires souligner les scandales de l'équipe précédente, par exemple en rappelant son incompétence criminelle dans le cadre de l'anniversaire des incendies de forêts de 2018.

    Or, quand un pays se relève, on ne doit pas s'étonner que ses ennemis et ses détracteurs cherchent à lui remettre la tête sous l'eau. Observant depuis des décennies la manière dont les médias parlent de la Grèce, votre chroniqueur n'est nullement surpris de lire, à nouveau, les mêmes sottises alimentées par les mêmes réseaux.

    Le quotidien parisien de référence Le Monde, par exemple, ne laissait jusqu'ici passer qu'un seul reproche à l'endroit du lamentable Tsipras, élu par défaut en 2015 : pour une partie des rédacteurs du journal officieux de Boboland, il ne penchait pas assez à gauche. Ah si Varoufakis avait conservé son influence et son portefeuille ministériel, certainement aurait-il suscité encore plus de commentaires favorables.

    Le nouveau gouvernement, constitué le 8 juillet cherche-t-il, au lendemain de sa victoire, à appliquer son programme électoral ? On le juge trop à droite : c'est pourtant en sa faveur que les Grecs ont voté. Sans enthousiasme nous dit-on alors immédiatement.

    Et, toujours Le Monde de se scandaliser au contraire que "le nouveau premier ministre conservateur Kyriakos Mitsotakis donne des gages à sa majorité et mène tambour battant une politique de rupture avec celle de son prédécesseur, Alexis Tsipras."[5]

    Il est possible en effet que le si brillant Moscovici, chargé d'exercer la tutelle technocratique sur ce pays que l'on s'est efforcé d'humilier, trouve à redire à la nouvelle politique.

    Le New York Times va plus loin encore dans la médiocrité, donnant tout simplement la parole à un ancien porte-plume officiel de Syriza, en le présentant comme un "journaliste grec" et sans mentionner ses états de service[6].

    Mais le New York Times est en pleine décadence.

    Plus étonnant : le traitement de la nouvelle majorité de droite par Le Figaro. L'organe central de la bourgeoisie parisienne en effet, s'offusque ainsi des allègements d'impôts, sans en donner ni les détails ni l'objet qui est très explicitement de relancer l'économie en opérant une diminution des gaspillages étatistes. Il laisse, sur ce point, sa souriante correspondante locale Mme Alexia Kefalas reprendre les accusations[7] d'un député Syriza, – sigle qui veut dire : rassemblement de la gauche radicale, – sans donner la parole à un seul autre point de vue.

    Peut-être conviendrait-il de conseiller aux excellents rédacteurs qui fabriquent ce journal de suivre un peu plus objectivement l'actualité du pays dont ils jugent[8].

    JG Malliarakis  
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    Apostilles

    [1] cf. L'Insolent du 5 août "Deux thèses sur l'union des droites."
    [2] La météorologie officielle, comme chacun peut le constater sur les écrans du service public, s'arrête aux frontières de l'Hexagone. Elle ne s'étend même que rarement aux départements et territoires d'Outremer. De la même manière, l'oligarchie régnante cultive cet étonnant nombrilisme collectif. Il est à remarquer qu'elle prétend, par ailleurs, hautement en dénoncer ce qu'elle appelle "la lèpre" chez ses adversaires, qualifiés désormais de populistes. On entend ainsi couramment accuser, aujourd'hui encore, les "nationalistes" d'être responsables de guerres, où, en effet les authentiques nationalistes ont bravement combattu sac au dos, mais guerres qu'ils n'ont ni dirigées ni déclarées, tout en les ayant prévues et en ayant appelé leurs concitoyens à s'y préparer. Un des textes les plus importants de Charles Maurras me semble à cet égard le discours qu'il prononça sur la tombe de son ami Léon de Montesquiou, auteur lui-même du livre "1870, les Causes politiques du désastre", tombé au champ d'honneur en septembre 1915.
    [3] Il existe certes dans divers Länder allemands, voire à Berlin, par exemple, des pouvoirs régionaux où l'extrême gauche, le parti Die Linke ou certains écolos radicaux exercent leur nuisance comme au sein de la municipalité parisienne. Il existe aussi pas mal d'anciens communistes camouflés en soi-disants sociaux-démocrates en Europe centrale. Mais la Grèce de Tsipras était depuis 2015 le seul État membre de l'UE gouverné par la gauche radicale.
    [4] cf. le compte twitter de cette "Nouvelle Philhellène"
    [5] cf. article du 27 juillet dénonçant les "Premiers pas très à droite du nouveau premier ministre" qui, selon le journal isolent Kyriakos Mitsotakis."
    [6] cf. article du 5 août signé de Matthaios Tsimitakis, s'inquiétant de la dérive droitière. L'auteur est présenté ainsi "Mr. Tsimitakis is a Greek journalist.""
    [7] cf. son article complètement unilatéral publié le 22 juillet "Athènes supprime la brigade antifraude du fisc."
    [8] en utilisant au moins leurs connaissances éventuelles de la langue anglaise dans laquelle est notamment publiée une version de leur équivalent local le quotidien grec de centre droit Kathimerini.

    https://www.insolent.fr/

  • Tribune : Face à l’invasion de l’Europe, un Limes* maritime

    @DR 
    De Romain Sens 

    L’Europe continentale, soumise depuis des décennies à un processus d’immigration massive, est en réalité aujourd’hui, l’objet d’une invasion.
    Cette invasion migratoire, largement clandestine, se fait sans violence, sans armes, sans hostilité apparente. 
    Et pour cause, les gouvernements européens organisent d’eux-mêmes ces flux migratoires. 
    Face à cette vague que les Munichois disent inarrêtable, seule la construction d’un nouveau Limes permettra à la civilisation européenne de survivre à ce XXIe siècle.
    En déployant ses navires de guerre, l’Europe, bien loin de repousser les embarcations de migrants clandestins ou de les ramener sur les côtes des zones de départ, institue une véritable route maritime sur laquelle les ferry-boats européens font franchir la Méditerranée à des individus se trouvant dans la plus totale illégalité.
    Or, les peuples européens se sentent trahis par leurs dirigeants et souhaiteraient, bien au contraire, qu’ils déploient une politique de protection et d’inviolabilité de leurs frontières.

    Les flux migratoires en provenance d’Afrique se poursuivront de façon exponentielle, au fur et à mesure que la démographie africaine explosera.
    Il serait très difficile et extrêmement coûteux de déployer sur la longue durée des flottes de guerre dont ce n’est de toute façon pas la mission. 
    L’Europe ne peut pas non plus, à l’inverse d’Israël ou des États-Unis, protéger son territoire en fortifiant ses terres. 

    Pour résister aux nouvelles invasions barbares dont elle est la proie, l’Europe doit, à l’instar d’un Empire romain qui avait encore la volonté de se battre pour survivre, reconstruire un nouveau Limes maritime.
    En effet, hormis la question de la frontière turque, des territoires d’outre-mer et des enclaves de Ceuta et Melilla, la frontière européenne est essentiellement représentée par la mer Méditerranée. 
    Pour résister aux nouvelles invasions barbares dont elle est la proie, l’Europe doit, à l’instar d’un Empire romain qui avait encore la volonté de se battre pour survivre, reconstruire un nouveau Limes maritime. 
    Ce Limes maritime, pourrait prendre la forme d’une ceinture de plateformes maritimes militarisées, sur le modèle des plateformes pétrolières, qui protégerait, à intervalles réguliers les eaux territoriales européennes. 
    Ses missions seraient multiples. 
    Ces plateformes pourraient tout d’abord interdire systématiquement l’accès aux embarcations de migrants en les faisant reconduire immédiatement vers les zones de départ. 
    Dotés de systèmes radars, des gardes-côtes, héliportés et équipés d’embarcations rapides, auraient la mission de ne laisser franchir aucune embarcation non autorisée dans les eaux territoriales européennes. 
    Les clandestins interceptés seraient identifiés (et bien entendu soignés) sur ces plateformes, avant un retour aux zones de départs qui serait effectué avec la plus grande célérité possible par des navires dédiés qui emprunteront la route prise par les passeurs dans l’exact sens inverse. 
    Ils seraient les premiers gardiens du principe affirmant que nul ne rentre en Europe s’il n’y est pas invité.

    De même que la lutte contre les flux migratoires, ces plateformes maritimes pourraient également jouer un rôle très efficace contre les trafics de drogue notamment autour du détroit de Gibraltar. 
    Mais au-delà, elles pourraient aussi servir de bases de défense en étant équipées de radars, de missiles antinavires ou anti-aériens, voire même de missiles antimissiles dans le cadre d’un potentiel bouclier européen. 
    Un équipement en mitrailleuses à cadence rapide permettrait également de parer aux menaces asymétriques terroristes qui ne manqueront pas d’exister en Méditerranée, lorsque les Européens auront décidé de se défendre. 
    Afin d’être toujours une civilisation européenne à la fin du XXIe siècle, l’Europe doit, si elle ne veut pas être emportée par les vents de l’Histoire, faire de la forteresse Europe tant décriée une réalité concrète.
    Cela coûtera cher.
     « Combien ? » nous demanderont ceux qui ne voient le monde que par le seul prisme économique. Autant qu’il le faudra pour assurer la survie de l’Europe, devra être la seule réponse à donner. 
    Afin d’amortir les coûts de construction et de rentabiliser ces installations, ces plateformes pourraient servir à d’autres tâches comme le secours des navires en difficulté ou celles relevant des recherches scientifiques océaniques. 
    Mais l’ouvrage devra avant tout être un système défensif voué à la protection des terres et des peuples européens de façon pérenne. 
    Afin d’être toujours une civilisation européenne à la fin du XXIe siècle, l’Europe doit, si elle ne veut pas être emportée par les vents de l’Histoire, faire de la forteresse Europe tant décriée une réalité concrète. 
    Un Limes maritime pour protéger le jardin européen. 
    Romain Sens
    lincorrect
    * Limes
  • Meurtres de masse « racistes » à El Paso et Dayton : l’hystérie anti-Trump bat son plein

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    Il y a tellement de bonnes raisons de critiquer Donald Trump qu’il n’est pas nécessaire d’en inventer de mauvaises ; surtout à propos des deux récentes fusillades d’El Paso et de Dayton, survenues ce week-end dernier.
    Ces deux meurtres de masse seraient donc le fait de « suprémacistes blancs ».
    Fort bien. Donald Trump a beau tweeter, en tant que « personne la moins raciste du monde » – ce qui ne veut pas dire grand-chose mais ne mange jamais de pain –, nombre de ses adversaires persistent à écrire le contraire sur les réseaux sociaux, jusqu’à insinuer que le magnat de l’immobilier serait l’instigateur caché de ces tueries.
    Pour Pete Buttigieg, candidat postulant à l’investiture du Parti démocrate, « le nationalisme blanc, c’est le mal. Ça encourage des gens à commettre des meurtres, et c’est toléré aux plus hauts niveaux du gouvernement américain, et ça doit cesser. »
    Certes. Il nous est ici rappelé que les mots pourraient être suivis d’actes, quand mal compris par des esprits faibles. Mais l’actuel président américain n’est pas précisément connu pour sa foisonnante production philosophique. Et à ce compte, faut-il interdire la lecture du Capital de Karl Marx au simple motif qu’il aurait pu être responsable du goulag soviétique ? Brûler ceux de Diderot et de Rousseau, puisque susceptibles d’avoir donné une sorte de sauf-conduit intellectuel à ceux qui ont mis en œuvre le génocide vendéen ? Interdire les rediffusions du film Woodstock, Jimi Hendrix ayant pu influer de loin sur la tuerie de la famille de Charles Manson, hippie jadis très proche des Beach Boys ? Dans la foulée, envoyons l’ignoble fratrie des surfeurs à Guantánamo !
    Oui, les idées peuvent éventuellement tuer. Quand, en 1969, Serge July, qui n’est pas encore le directeur de Libération, publie Vers la guerre civile, il n’encourage pas forcément les futurs tueurs des Brigades rouges, de la Fraction armée rouge ou d’Action directe. Mais, au moins, leur désigne-t-il quelques cibles… Après, en faire le responsable de l’assassinat d’un Georges Besse, alors patron de Renault, en 1985, il y a un pas qu’il serait délicat de franchir. Et puis, à ce titre, il faudrait aussi interdire la Sorbonne, sachant qu’avant et après guerre, elle a formaté tant de tyranneaux plus ou moins communistes. La Sorbonne, combien de morts putatifs ?
    Pour en revenir aux USA, si cette nation détient le funèbre record de ces meurtres de masse – 250 depuis le début de l’année, ce qui n’est pas rien -, il n’en faudrait pas pour autant oublier que ces 589 victimes ne représentent que 3,77 % des meurtres commis outre-Atlantique ; 15.590 au dernier comptage.
    Après, ces meurtres sont-ils de nature raciste ? En admettant toutefois qu’il s’agisse d’un « racisme » à sens unique, Blancs contre Noirs, l’inverse n’entrant pas dans le traditionnel logiciel humaniste, rien n’est moins évident.
    Surtout à en croire cette passionnante étude du Wall Street Journal, remontant il y a déjà plus de dix ans et citée par Les Inrockuptibles, périodique pas véritablement en pointe dans la lutte identitaire, il ressort qu’au-delà des clichés « racistes », la criminalité au quotidien serait plutôt d’ordre intracommunautaire : « Les Blancs tuent des Blancs, les Noirs tuent des Noirs. » Principaux motifs de ces crimes ? « Les triangles amoureux, les règlements de comptes entre bandes rivales et les rixes sous influence de l’alcool. »
    Nous voilà assez loin, et des Black Panthers et du Ku-Klux-Klan, mais seulement témoins des soubresauts d’une société fatiguée, qui se voulait naguère à l’avant-garde du monde, alors qu’elle n’en est aujourd’hui plus qu’un poids mort n’en finissant plus de crouler sous le poids de ses propres contradictions. Société sans frontières qui aboutit à en construire de nouvelles, melting-pot post-racial donné pour horizon indépassable, mais qui accouche d’un monde où des communautés préfèrent cohabiter les unes loin des autres plutôt que de communier dans le « vivre ensemble ».
    En ce sens, l’Amérique de Donald Trump est aussi l’enfant bâtard de celle de Barack Obama.
    Nicolas Gauthier pour bvoltaire.fr
    Sur le même thème lire aussi: 
    ➜ Une élue démocrate appelle à “destituer ce fils de pu**” de Trum

    ➜ GAFA : Trump fustige la “stupidité” de Macron et menace le vin français
  • Suède : une municipalité au bord de la faillite en raison du coût massif de l’accueil des migrants

    Suède – La municipalité de Bengtsfors a adressé une requête au gouvernement suédois afin d’obtenir de l’aide pour couvrir les coûts massifs engendrés par l’accueil de migrants.

    La lettre de plusieurs pages du maire Stig Bertilsson identifie clairement la cause du déficit budgétaire de la commune, liée au trop grand nombre de « nouveaux Suédois » accueillis.

    « Les coûts dans les municipalités qui ont reçu de nouveaux arrivants ont continué d’être considérables (…) Cela crée un grand trou dans la caisse », a déclaré M. Bertilsson.

    Interrogé sur d’éventuelles recettes fiscales générées par les migrants, susceptibles de combler le déficit, M. Bertilsson a déclaré qu’à long terme, il espérait qu’il y aurait une augmentation des recettes, mais qu’il n’y en avait pas eu jusqu’ici, ajoutant que le marché du travail suédois « a encore un long chemin à parcourir »« C’est un déséquilibre dont l’État devra assumer la responsabilité. »

    Dans la lettre adressée au gouvernement suédois, le maire décrit la situation actuelle comme si Bengtsfors se dirigeait vers la faillite.

    Le conseil municipal indique que l’augmentation des taxes pour couvrir les coûts n’est pas une solution car les taux d’imposition locaux s’élèvent déjà à 22,9 pour cent, soit le dixième taux le plus élevé de Suède.

    SVT.se

    http://www.fdesouche.com/1246701-suede-une-municipalite-au-bord-de-la-faillite-en-raison-du-cout-massif-de-laccueil-des-migrants-salarme-le-maire-2

  • Nouveau collaborateur de fait des négriers, l' "Ocean Viking", auto-proclamé "bateau de sauvetage" de SOS Méditerranée, a pris le large...

    Le navire, d'une capacité de 200-300 personnes, a quitté le port de Marseille pour rejoindre les côtes libyennes.

    A bord, on prétend qu'on va sauver des naufragés : c'est très bien, mais... en les conduisant en Europe, au lieu de les ramener à leur point de départ (comme vient de le faire Salvini - voir la note suivante - ) "on " agit, de fait, comme un maillon de la chaîne du trafic d'êtres humains; "on" devient, de fait, complice des Mafias de passeurs-négriers..

    Hier, c'était le Sea Watch et sa commandante de couverture de magazine; avant-hier, c'était l'Aquarius; et tant d'autres encore... Maintenant, voici L'Océan viking, auto-proclamé redresseur des torts d'une Europe qui laisse périr des malheureux, chevalier blanc du Bien, défieur des grands méchants que nous sommes tous, indifférents que nous serions (disent-ils...) à la misère humaine.

    Les reportages destinés à faire pleurer dans les chaumières se sont multipliés ces derniers mois sur les chaînes de télé, à propos de ces envahisseurs rebaptisés "migrants" - malheureux, certes, mais qui cherchent à s'imposer chez nous, il ne faudrait pas l'oublier... - au prétexte qu'ils risquent leur vie pour traverser la Méditerranée et venir en Europe.

    Le parti immigrationniste, toute presse confondue (écrite, parlée, télévisée), de France info à TF1, de France 2 à BFM/TV ou autres, impossible d'y échapper ces derniers jours... 

    Nul ne se soucie - ou si épisodiquement... - du fait qu'un paysan français se suicide tous les deux jours ; nul ne se soucie plus que cela, non plus, des dix millions de pauvres recensés par le Secours catholique, ou des huit millions et demi de mal-logés recensés par la Fondation Abbé Pierre. Il y a bien, certes, les Restos du cœur, qui peuvent occuper le devant de la scène, intouchables qu'ils sont, car « confisqués » par les bobos-gauchos. Mais, à part eux, s'occuper activement de la détresse, de la précarité, de la pauvreté qui monte, inexorablement, au milieu du peuple français, non, ce n'est pas intéressant. Cela ne vaut pas ces masses de "migrants" qui, eux, méritent toute l'attention de nos mal-généreux. 

    Oui, nous disons bien "mal-généreux", car sauver des malheureux qui vont se noyer, évidemment, c'est le devoir de toute personne civilisée. Encore plus lorsque l'on est en Europe, dont les racines chrétiennes sont une évidence, à part pour les adeptes de la Nouvelle Religion Républicaine, dont le sectarisme n'a d'égal que l'épaisseur de leurs œillères !

    Mais être civilisé, généreux et... sauveteur, n'empêche pas d'avoir de la jugeote.

    Ces pauvres malheureux, victimes des passeurs, certes, mais malgré tout victimes consentantes, ne doivent pas être conduits en Europe, lorsqu'on leur sauve la vie. Elles doivent être ramenées sur les côtes d'Afrique, d'où elles sont parties. Sinon, de toute évidence, les sauveteurs  du Sea Watch et de l'Aquarius, hier, et de l'Océan Viking, demain, se font et feront, volens nolens, les maillons de la chaîne maffieuse de ces esclavagistes, négriers des temps modernes, qu'on appelle aujourd'hui "passeurs". Les Mafias savent que les bateaux européens "achèveront le travail", et les "migrants" savent qu'on viendra les chercher : tout cela consolide le trafic et lui assure une pérennité dans la malfaisance et la traite des êtres humains. 

    Et, là, il n'y a plus du tout de quoi être fier ni de quoi être comparé à un preux chevalier d'antan, volant au secours de la veuve et de l'orphelin.

    Nos mal-généreux de l'Aquarius, du Sea Watch, de l'Océan Viking et autres devraient y réfléchir, avant de se présenter en parangons de vertu et d'humanité... 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/05/x-6168572.html