Jordan Bardella, vice président du Rassemblement national : « Macron voit la France comme un hall de gare où tout le monde peut entrer ! ». Il était l’invité politique du Grand Matin Sud Radio.
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Clément Armato : « Dans les universités, la minorité d’ultra-gauche impose ses idées par la violence et la censure »
Une conférence à Sciences Po Lille devait réunir l’avocat Charles Consigny et Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction à Valeurs actuelles. La conférence a finalement été annulée par la direction de l’université.
Au micro de Boulevard Voltaire, Clément Armato dénonce la pression exercée par les syndicats étudiants d’extrême gauche tels que la FSE (Fédération syndicale étudiante), issue de l’UNEF.
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Le 21 Janvier 1793, la France s’est suicidée… par Christian Vanneste
Le 21 Janvier 1793, la France se suicidait en guillotinant son Roi, Louis XVI. C’est Renan qui, après la défaite de 1870, portait ce redoutable jugement sur notre histoire. Au lendemain du désastre de Sedan, une majorité parlementaire monarchiste, mais divisée entre les prétendants au trône avait failli restaurer la royauté. Par la suite, c’est la République qui a été établie, d’une manière apparemment irrévocable, et portée par une idéologie qui faisait de l’ancien régime un passé non seulement révolu, mais condamnable, et d’ailleurs condamné par le progrès
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Morten Messerschmidt – Parti populaire danois : «le Danemark quittera également l’UE»
Le parti populaire danois estime que le Brexit sera un grand succès et que le Danemark aura également quitté l’Union européenne avant 2030, déclare Morten Messerschmidt dans une interview accordée à BT.
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Meurtre raciste et silence médiatique
Par Guillaume Bernadac
Il y a les bonnes victimes et celles dont la presse parle peu ; en considérant les responsables du drame ci-dessous, il est facile de comprendre pourquoi. Mamadou-Lamine Diedhiou est videur au bar Le Styl transformable en boîte de nuit, situé 5, Grande-Rue à Besançon. Le 23 avril 2017, ce Sénégalais de 35 ans arrivé en France en 2011, marié, sans histoire, qui prévoyait de quitter son métier de videur pour un nouveau départ, est mortellement blessé parce qu’un de ses collègues avait refusé quelques minutes plus tôt l’entrée à un individu alcoolisé.
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RETRAIT "PROVISOIRE" DE L'ÂGE PIVÔT : L'ARBRE QUI CACHE LA FORÊT...
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Jean de Viguerie, lumière sur la vraie patrie
Rappelé à Dieu mi-décembre, l'historien Jean de Viguerie lègue une œuvre foisonnante. Ses ivres sont des boussoles essentielles pour quiconque souhaite s'émanciper des fausses idoles révolutionnaires.
Le Passé ne meurt pas. C'est le titre du dernier ouvrage de Jean de Viguerie, publié en 2016 (Via Romana). Son auteur est mort le 15 décembre, à Montauban. Homme du XXe siècle, il y avait chez lui cette gentilhommerie propre à l'Ancienne France qui était son objet d'étude. Jean de Viguerie, à l'instar d'un Xavier Martin ou d'un François Bluche, était un de ces auteurs attachants, plaisants à lire et écouter, mais aussi accessible à son public une intelligence toute française. L'historien du droit Philippe Pichot-Bravard, avec qui il s'était lié d'amitié, loue un maître « toujours soigneux de répondre à ses lettres et de recevoir ses hôtes, ce qui ne l'empêchait pas d'avoir du caractère, demeurant ferme sur les principes et le respect de la vérité ». Enseignant aux Universités d'Angers et de Lille, ne ménageant pas sa peine auprès de ses étudiants, il fut un intellectuel engagé et chrétien. La transmission était sa vie, comme métier et comme objet de recherche. Jugez donc L'institution des enfants : L'éducation en France XVIe-XVIIIe siècle (1978), L'Église et l'éducation (2001) ou encore Les Pédagogues (2011). Il travaillait sur l'influence des idées sur les mentalités, et la manière dont l'ancienne mentalité a été minée par une crise morale dès le XVIIe. On décèle, dans ces livres, combien le vrai métier d'historien - l'enquête, nous dit Hérodote - animait Jean de Viguerie, décidé à pourfendre les idéologies.
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Un phénomène nouveau : le rejet catégorique de l’islam par une partie des musulmans
D’Annie Laurent dans La Petite Feuille Verte :
[…] Pour les « musulmans rebelles », essayer de promouvoir des réformes ou des adaptations à la modernité, comme le font les « nouveaux penseurs » (cf. PFV n° 66), ne peut pas suffire à réconcilier l’islam avec le respect de la dignité humaine, la paix, le progrès et la modernité. Car, assurent-ils, c’est le système islamique lui-même, en tant qu’idéologie religieuse, qui empêche la liberté nécessaire à la révision souhaitée. Selon eux, la racine du mal se trouve donc dans les textes sacrés : le Coran, divinisé à tort, et la Sunna (Tradition mahométane). Certains démontrent ceci de manière rationnelle tandis que d’autres se contentent de simples dénonciations, plus ou moins sévères et véhémentes. Tous, sunnites comme chiites, hommes et femmes, se réfèrent à leur patrimoine doctrinal et historique, évitant ainsi tout reproche d’affabulation.
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Masques et visages du terrorisme
Couramment exaspérante, une litote politiquement correcte désigne l'adversaire auquel nous nous trouvons confrontés, sans référence au qualificatif qu'il se donne lui-même. Or, nous ne subissons pas seulement une guerre que nous mèneraient des ennemis incolores et abstraits. Qu'on les nomme "radicalisés" à l'intérieur ou "terroristes" à l'extérieur, dans les deux cas, il s'agit d'islamistes.
Ces islamo-terroristes se manifestent sous des drapeaux et des visages précis.
Quand le 21 janvier, on apprend officiellement que, depuis 2014, seize personnes ont été "écartées" des services de renseignement français "pour leur potentielle radicalisation ou celle de leur entourage", on doit signaler ainsi qu'aucune ne l'a été depuis la tuerie de la préfecture de police de Paris, le 3 octobre dernier. Ce jour-là ce fut bel et bien un converti islamiste, Mickaël Harpon, travaillant à la Direction du renseignement, protégé semble-t-il par une affiliation philosophique de bonne réputation républicaine, qui avait poignardé à mort trois policiers et un agent administratif avant d'être abattu.
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Immigration et franc-maçonnerie : pour en savoir plus sur certaines collusions
Voici encore une illustration des collusions maçonniques. Le 18 janvier, plusieurs loges du Grand Orient de France organisaient à Lyon un colloque en partenariat avec Médecins du Monde, la Ligue des Droits de l’Homme, le Forum Réfugiés, Culture pour Tous, SINGA (espaces de rencontre entre réfugiés et demandeurs d’asile) et la CIMADE.