Le président turc a toutefois confirmé qu’il se rendrait à Bruxelles lundi pour discuter de la situation des migrants avec l’Europe, exprimant l’espoir qu’il reviendrait de la réunion « avec des résultats différents ».
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Le président turc a toutefois confirmé qu’il se rendrait à Bruxelles lundi pour discuter de la situation des migrants avec l’Europe, exprimant l’espoir qu’il reviendrait de la réunion « avec des résultats différents ».
Communiqué du collectif Némésis :
Ce dimanche 8 mars a lieu une marche organisée lors de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Intitulé ironiquement marche des « Grandes gagnantes » en réponse aux promesses du gouvernement, qui annonce une réforme des retraites favorable aux femmes. Associations et militantes appellent à une « convergence des dynamiques féministes »: contre la réforme des retraites, contre la répartition inéquitable du travail domestique, contre les violences sexuelles, contre le César de Polanski… mais pas un seul mot sur l’immigration et ses effets négatifs qui pourtant, sont tous les jours bien visibles sur la sécurité des femmes et qui font reculer chaque jour un peu plus, notre liberté.
Comme souvent, dans ce quotidien irremplaçable et agaçant qu’est Le Monde, j’avais lu avec beaucoup d’intérêt et une envie de contradiction une double page consacrée à « l’essor du national-populisme intellectuel et médiatique ».
Je n’aurais pas songé à lui faire d’emblée un sort sur mon blog si je n’avais pas appris, quasiment dans le même temps, que Pascal Praud, animateur de « » L’Heure des pros », sur CNews, avait été menacé de mort dans une chanson, « Zéro détail », par les deux rappeurs Nekfeu et Sneazzy, en ces termes : « … ça mérite une balle dans le cervelet, le canon au fond de la bouche… »
Bien sûr, comme d’habitude, on nous dira que c’est une plaisanterie à prendre au figuré. Alors que le premier s’était déjà illustré en exigeant, dans une chanson, « un autodafé pour ces chiens de Charlie Hebdo » et en formulant un vague regret sur Facebook.
Marc Rousset
L’argent bon marché des banques centrales et les aides des États en milliards ne peuvent que soulager les effets de la crise ; ils ne combattent pas la cause de l’épidémie. On est en présence d’un choc économique de l’offre et d’un choc partiel de la demande (tourisme, transports aériens) tout à fait comparable, par son intensité, à celui de 2008, même s’il est de nature complètement différente. La réponse monétaire des banques centrales n’est pas appropriée : les baisses de taux ne sont faites que pour enrayer l’effondrement des marchés boursiers. La Fed – signe de pessimisme à long terme – a surpris, mardi, en réduisant ses taux de 0,5 % et programme une baisse supplémentaire de 0,5 % pour la mi-mars ; mais seul un vaccin de l’Institut Pasteur serait efficace. La Fed tire ses dernières munitions, tout comme la BCE, et n’aura plus aucune marge si la crise empire.
« La BCE sous pression après la décision de la Fed » titre l’AFP suite à la baisse surprise des taux directeurs aux Etats-Unis en raison du coronavirus.
Mais que va donc faire la Banque centrale européenne (BCE) se demande tous les investisseurs.
En effet la FED vient de baisser de 50 points de base soit un demi pourcent, mais que peut faire la BCE alors que les taux en Europe sont déjà négatifs ?
That is the question.
« De manière générale, les analystes jugent cependant l’effet d’un soutien monétaire limité, tant la crise appelle plutôt une intervention des Etats.
Il n’y avait pas qu’à Paris qu’il y a eu des actions contre le projet de loi bioéthique :
On se croirait dans un de ces films, à mi-chemin entre la science-fiction et la réalité, qui décrivent les ravages d’une pandémie. Les scénaristes font preuve d’imagination, comme dans Contagion (2011), avec Marion Cotillard, où les autorités cherchent à trouver un remède et à contrôler la panique qui court plus vite que le virus. Ou encore 28 jours plus tard (2002), où un commando de la protection animale, délivrant des chimpanzés soumis à de terribles expériences, libère un virus porté par les primates, qui se propage à toute vitesse. Mais, cette fois, il ne s’agit pas de fictions : on apprend que l’Italie vient de placer en quarantaine près de 15 millions d’habitants du nord du pays et de prendre des mesures drastiques pour limiter la contagion.
Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples Le nouvel essai d’Ivan Rioufol, éditorialiste bien connu, Les Traîtres[1], se lit avec grand intérêt d’autant plus que le sujet est vraiment d’actualité.
Qui sont ces traîtres en effet ? « Ceux qui ont abandonné la France », comme l’affirme le sous-titre du livre. Ceux qui « par leur fanatisme universaliste menacent la France millénaire[2] ». Et ceux qui ont pour seul ennemi le peuple enraciné et ses avocats.
Le ton est donné de cet essai roboratif qui, en trois chapitres bien enlevés, règle son compte à l’oligarchie prétentieuse qui prétend tout savoir et en tout cas savoir mieux que le peuple français ce qui est bon pour lui.
Le gouvernement rouge-jaune italien campe sur ces positions immigrationniste et politiquement correcte. Lors du sommet des ministres de l’Intérieur tenu en urgence à Bruxelles en fin d’après-midi le mercredi 4 mars, l’Italie a refusé de consentir à la Grèce des renforts de police. Athènes demandait l’envoi symbolique de 100 hommes de toute l’Europe, la Pologne en a garantit 200, tandis que Rome n’accorde que des hommes pour étudier les demandes d’asile et ses bateaux des garde-côtes ne chasseront pas les canots.