- Page 47
-
-
Un seul choix : l'Etat national ou le chaos.
L'avis de Jean-François Touzé
Qu'elles soient sanitaires, économiques, sociales, financières, internationales, migratoires ou géopolitiques, les crises qui se succèdent et se chevauchent, mettent en lumière l'incapacité des démocraties — singulièrement des démocraties européennes — à faire face. Tiraillés entre leur crainte de ne pas en faire assez et celle de devoir en faire trop, soumis à l'idée qu'ils se font d'une opinion publique qui n'attend pourtant d'eux que l'action, les dirigeants occidentaux tanguent et roulent sous les coups des tempêtes comme autant de bateaux ivres.
-
Le Planning familial et le trafic d’organes
Michel signalait tout à l’heure que la région Ile-de-France venait de signer un partenariat avec le Planning familial. C’est une bonne occasion de rappeler que cette organisation est membre de l’International Planning Parenthoof Federation. Et qu’aux Etats-Unis – où il y a davantage de débat que chez nous – l’organisation “soeur” est accusée de pratiquer des horreurs – notamment le trafic d’organes de foetus. Qu’en est-il chez nous ? Ce partenariat permettra-t-il d’éclairer un peu les méthodes de l’industrie de l’avortement ? Ou bien les contribuables d’Ile-de-France seront-ils condamnés à financer ce genre de monstruosités et de se taire ?
https://www.lesalonbeige.fr/le-planning-familial-et-le-trafic-dorganes/
-
Aux origines de la Question sociale (1ère partie), par Jean-Philippe Chauvin.
Le Cercle Lutétia a pour vocation de faire connaître les fondements et les raisons du royalisme et de la Monarchie en France, et d’étudier ceux-ci, avec l’aide des travaux et des réflexions menés sur la société française, ses évolutions et ses institutions, selon une perspective historique mais aussi et surtout politique. Le texte ci-dessous est la première partie d’un cercle d’études sur les origines de la question sociale en France, et il doit être l’occasion de discussions, de précisions ultérieures et de critiques constructives : il n’est donc qu’une ébauche, celle qui appelle à la formulation et à la rédaction d’une étude plus vaste et mieux construite sur cette question qui préoccupe tant nos contemporains et à laquelle les royalistes sociaux du Groupe d’Action Royaliste consacrent aussi tant de temps et d’énergie, dans leurs réunions et publications comme sur le terrain, dans la rue ou sur leur lieu de travail…
-
Nouvelle offensive judiciaire pour rapatrier des femmes et des enfants retenus en Syrie
Des proches de femmes et d’enfants français de djihadistes retenus dans des camps kurdes en Syrie ont de nouveau plaidé pour leur rapatriement, lundi à Paris, devant un juge judiciaire et non plus administratif. Six familles ont assigné l’État, le chef de la diplomatie Jean-Yves Le Drian, la ministre de la Justice Nicole Belloubet et la ministre de la Défense Florence Parly devant le tribunal de grande instance de Paris pour « voie de fait ». Cette notion juridique permet au juge judiciaire de sanctionner une atteinte à une « liberté individuelle » commise par l’administration.
-
Gâchis et trahison à Fessenheim
Par Françoise Monestier, journaliste pour Présent
A seule fin de complaire aux Verts qui exercent un chantage permanent sur les dirigeants politiques de notre pays et de caresser dans le sens du poil Angela Merkel dont le pays émet 50 % de CO2 de plus par habitant que la France depuis qu’elle a décidé de fermer toutes les centrales nucléaires de son pays après la catastrophe de Fukushima en 2011, François Hollande promettait, au cours de sa campagne présidentielle de 2012, de fermer Fessenheim, la plus vieille centrale nucléaire française, s’il était élu. Il ne faisait que reprendre un engagement de sa rivale socialiste Martine Aubry quand cette dernière était aux commandes du PS.
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, l'emploi, lobby, social 0 commentaire -
Drapeaux nationaux interdits au Parlement européen – L’Académie française donne raison au RN, par Franck Deletraz
C’est une petite mais très symbolique victoire que viennent de remporter les eurodéputés RN face au « rouleau compresseur » de l’UE. Contraints depuis janvier par le président du Parlement européen de retirer les petits drapeaux nationaux qui trônent sur leurs pupitres au motif que les « banderoles et bannières » sont interdites dans l’hémicycle.
« Nier les histoires et les identités nationales »
Depuis toujours, les députés du groupe « Identité et démocratie » et autres élus patriotes ont l’habitude, lorsqu’ils siègent au Parlement européen, de poser sur leurs pupitres des petits drapeaux aux couleurs de leur pays respectifs. Or, au début de janvier, lorsque ceux-ci ont regagné l’hémicycle pour une nouvelle session, ils ont eu la surprise de découvrir que ceux-ci avaient tous été retirés en leur absence. Une consigne donnée par l’actuel président du Parlement, le socialiste italien David Sassoli, évidemment agacé par cette tradition qu’il juge contraire à l’idéologie fédéraliste qui anime la construction européenne.
-
Collectif Nemesis, Marianne contre la PMA, Valérie Boyer : ces femmes dont les féministes ne veulent pas entendre parler…
Le féminisme a pris son essor au XXe siècle pour lutter, dit-on, contre l’assignation de la femme – résumée au XIXe par cette allitération attribuée au Kaiser Guillaume : Kinder, Küche, Kirche – et sa mise sous tutelle par une société réputée intrinsèquement machiste.
Nous sommes au XXIe siècle et il faut se rendre à l’évidence : la femme est plus que jamais sous tutelle, seul le tuteur a changé… aussi souple qu’une barre à mine.
Ce 8 mars vient de le montrer de façon éclatante : de domestique, l’assignation est devenue idéologique. La femme doit marcher droit, le petit doigt sur la couture du pantalon qu’elle a désormais le droit de porter – c’est plutôt la jupe qui serait, dans certains quartiers, menacée -, en rangs serrés, pas une tête qui dépasse, armée docile de supplétives empressées pour une cause qui les dépasse et les écrase.
De KKK, elles sont devenues GGG : Gentilles Greluches de Gauche, se jetant sur le prêt-à-penser comme, jadis, leurs mères sur le prêt-à-porter.
Pas de place à l’excentricité, quiconque veut faire entendre une autre voix, une plainte, une revendication n’ayant pas eu le nihil obstat des grandes prêtresses se fait mettre à l’index.
Certaines – comme les (toutes) jeunes filles du collectif Nemesis qui ont commis le crime de vouloir mettre en garde contre la montée d’un « patriarcat » d’importation délétère dans notre pays – ont été insultées et caillassées par des manifestants « féministes »… et notamment des hommes : car sortir du droit chemin idéologique, c’est être déchue de facto de sa qualité de femme et des prérogatives de victime qui y sont attachées. Ils peuvent donc les violenter sans danger.
-
Naomi Seibt, une nouvelle « sorcière » à bien-aimer…
La chronique de Philippe Randa
Ah ! les filles… Greta Thunberg ayant été propulsée sur le devant de la scène climato-apocalyptique, les climatosceptiques – ceux qui doutent de la réalité de l’impact humain sur les humeurs du climat – répliquent à leur tour avec leur propre championne : Naomi Seibt, une blonde allemande de 19 printemps.
-
Belgique : un millionnaire marocain baron de la drogue reçoit depuis 15 ans des prestations de chômage pour lui et sa famille
La famille entière d’un baron marocain de la drogue à Anvers perçoit des prestations de chômage ou d’invalidité en Belgique depuis de nombreuses années, tandis que la famille au Maroc et aux Pays-Bas dispose d’un patrimoine de plusieurs millions d’euros. Par ailleurs, le Marocain a toujours une dette de 2,2 millions d’euros envers l’État belge, rapporte Het Laatste Nieuws.
En 2004, Abdelhakime D. , un Marocain de 61 ans, a été condamné pour la première fois pour trafic de drogue en Belgique. Le produit de son commerce de cocaïne à grande échelle a été estimé à plus de 2 millions d’euros, qu’il aurait dû reverser à l’État belge. Mais Abdelhakime n’a jamais remboursé, au contraire, toute sa famille, y compris lui-même, a vécu pendant 15 ans aux dépens de l’État belge.