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Manœuvres d'intimidation contre une frégate française en Méditerranée, actes de piratages, incursion de ses bâtiments en mer Egée et survol par ses chasseurs F-16 des Iles helléniques nécessitant la mise en alerte de la flotte grecque... La marine turque multiplie les provocations et teste les capacités - et surtout la volonté -de résistance européennes.Dans le même temps, la Turquie, méthodiquement, met en place un à un les éléments de la reconstruction de l'empire ottoman: économiques - coopération renforcée avec la Tunisie et de nombreux pays d'Afrique - religieux et communautaires - omniprésence dans les Balkans, menaces sur l'Arménie, transformation de Sainte Sophie en mosquée, messages explicites en direction du Hamas et, plus largement du monde arabo-musulman, visant à affirmer son leadership face a Israël (promesse d'Erdogan de "libérer" la mosquée Al Aqsa de Jérusalem) et plus globalement celui du monde sunnite - militaires - déploiement de ses forces en Syrie et en Libye (80 000 hommes équipés de chars Léopard et de drones de combat), livraison d'équipements et mise à disposition de cohortes de mercenaires aux rebelles islamistes - humains - présence de millions de ressortissants turcs étroitement encadrés par le pouvoir d'Ankara sur le sol européen, en Allemagne et en France principalement.
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COMPRENDRE LE PROGRESSISME EN FRANCE (ET LA "CANCEL CULTURE")
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39% des Français se positionnent de plus en plus à droite, selon une étude
Selon une étude de l’Ifop parue ce jeudi, 39% des Français se positionnent à droite, un chiffre qui a augmenté de 5 points par rapport à juin 2019, et de 3 points par rapport à novembre et mars 2017, époque de l’élection d’Emmanuel Macron.
L’étude révèle également qu’environ 32% des Français se situent au centre (-3 points sur un an, -6 points par rapport à novembre 2017, -2 points par rapport à mars 2017) et que seulement 13% d’entre eux disent se situer à gauche (-3 points sur un an, -2 points par rapport à novembre 2017, -10 points sur mars 2017).
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Avec quel argent ?
Bonne nouvelle penseront ceux qui ignorent tout du problème ferroviaire de l'Hexagone, lancinant depuis la réforme Juppé de 1997 : le ministre délégué aux Transports annonçait ce 23 juillet dans un entretien publié par Le Figaro un soutien de "plusieurs milliards à la SNCF."
Quoique le rafistolage comptable soit incompréhensible, on parle de 6 milliards, un peu moins que pour Air France. Cette dernière compagnie a été resubventionnée à hauteur de 7 milliards… en même temps, on veut lui imposer la fermeture des lignes intérieures, et même une limitation de ses vols au départ de Strasbourg, théoriquement capitale européenne…
Jean-Baptiste Djebbari réaffirme ainsi, dans la foulée, avec ce que Barrès appelait un joli mouvement du menton, que l’État compte "redévelopper le fret et relancer d’ici 2022 deux lignes de train de nuit supplémentaires."Cette ambitieux programme ne fait que prendre le relais de déclarations présidentielles de Jupiter en personne.
Or, tout est à l'avenant.
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Le ballet des milliards
La surenchère d’enthousiasme fait rage pour qualifier le plan de relance européen et ses 390 milliards de subvention, un plan « historique », « sans précédent », « fondateur » etc. Voilà enfin le remède magique à la tragédie économique du covid-19. Pour la première fois, l’Europe s’engage dans la voie d’une « dette commune » supposée donner un nouvel élan à l’émergence de la souveraineté européenne. Mais qu’est-ce que la dette? Un emprunt que les générations futures devront financer. A-t-on jamais vu une cohésion politique fondée sur l’endettement massif? La dette publique française représente déjà 120% du PIB. Désormais, s’y ajouterait une dette européenne, comme une sorte de Graal ou de baguette magique. Mais qu’est-ce d’autre que des remboursements futurs imposés aux générations futures de contribuables. Pour se réjouir de l’accroissement vertigineux d’une dette, il faut avoir atteint un certain degré de dérèglement intellectuel ou un cynisme sans fin. « Ah les cons, s’ils savaient... » Et d’ailleurs, un plan de relance massif n’est pas de nature à régler les problèmes de fond. Le ballet des centaines de milliards enivre et donne le vertige. Mais les problèmes demeurent à l’identique et les centaines de milliards distribués n’y changeront rien. Les éléments de la tragédie sont dans l’état mental et intellectuel d’une société. Il faudrait des dirigeants politiques responsables, non démagogues, inspirant la confiance à une vaste majorité de citoyens, des institutions privilégiant le bien commun plutôt que le narcissisme et la mégalomanie, le sentiment de vivre dans une société rassemblée, paisible et sûre, une éducation nationale qui forme des jeunes gens et filles à un métier et à l’esprit critique, le sentiment général d’un destin partagé. Bref, la confiance dans l’avenir. Qui sera assez dupe pour penser qu’une poignée d’artistes télévisés jonglant avec les centaines de milliards empruntés – que les générations futures, nos enfants, devront rembourser, est de nature à restaurer la confiance?
Maxime TANDONNET
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Stéphane Ravier rend hommage à Axelle, morte après avoir été traînée pendant 800 mètres.
Le sénateur du Rassemblement national a tenu à rendre hommage à la jeune Axelle, morte dans des conditions effroyables. L'élu attend une réaction de la part du gouvernement.
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Actualité et politique Juillet 2020
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Tabassé à coups de barre de fer pour avoir demandé le silence
Nicolas, père de famille de 35 ans, s’est réveillé après 15 jours de coma handicapé à vie. Un voisin témoigne de cette agression sauvage, qui s’est déroulée le 19 mai à Brest :
«Ce soir-là, j’étais dans mon lit devant la TV, lorsque j’entends la porte d’entrée de l’immeuble qui claque. Quelques secondes plus tard, j’entends des bruits sourds violents. Je devine qu’on est en train de casser la porte vitrée. Je me lève et vois mon fils, devant l’œilleton de notre porte d’entrée, les yeux écarquillés. Il me fait signe de la main de reculer. Nous restons dans le salon et au son des bruits, nous comprenons que c’est très grave. Au début, je pensais à une bagarre entre dealers, mais j’entends une voix masculine appeler à l’aide : “au secours, aidez-moi !“. Je comprends qu’une victime innocente se fait agresser et j’appelle la police, qui a déjà reçu d’autres appels d’habitants de la cité. Je les supplie de faire vite : j’entends l’homme hurler et les fracas de son corps tomber à répétition contre ma porte. Il va mourir.
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Twitter supprime 7000 compte jugés conspirationnistes, liés à la mouvance pro-Trump
7 000 comptes jugés conspirationnistes sur Twitter ont été rayés de la toile, et plus de 150 000 autres devraient être affectés par ces suppressions, indique le porte-parole de Twitter.
Selon les informations de BFMTV, les comptes visés seraient liés à la mouvance « Qanon », un mouvement pro-Trump, qui répandrait apparemment des théories du complot… Pour eux, les Etats-Unis seraient dirigés depuis des années par une organisation criminelle impliquant les familles Rothschild, Clinton, Obama, des stars hollywoodiennes ou encore le milliardaire hongrois George Soros.
Pour rappel, en février dernier, un rapport démontrait d’ailleurs la mainmise du réseau d’ONG de George Soros sur la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), qui impose à l’Europe son idéologie d’une “société ouverte”, rappelait Valeurs actuelles.
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Port du masque obligatoire : la révolte s’organise…
Depuis le début de cette semaine, nous sommes contraints de porter le masque dans tous les lieux publics clos. Il faut, désormais, l’enfiler pour aller acheter sa baguette de pain, privant de notre sourire la boulangère masquée-gantée derrière sa vitre en plexy. Au rythme où vont les choses – je veux dire les injonctions sanitaires –, on va se retrouver en combinaison étanche avec les premiers frimas…
Quand on vit dans les contrées ensoleillées où le thermomètre est plus souvent au-dessus de 30° qu’en dessous, le masque est une torture. Ça gratte, ça irrite, on a le visage qui ruisselle, on se sent étouffer sous la buée des lunettes… Ah ah ! fait le médecin plastronnant au journal de 20 heures, que diriez-vous si vous étiez chirurgien ? Je dirais, cher monsieur, qu’il fait toujours très frisquet dans les blocs opératoires. Pour peu qu’on passe quelques heures sur la table, il arrive même qu’on y prenne froid.