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  • 1961-62 : du putsch d'Alger aux atrocités des barbouzes

    « Les Justes meurent comme des chiens, les crapules ont leur chance. C'est un monde totalitaire déserté par toute transcendance. Le Mal n'y est pas un scandale mais la règle commune. » (Commandant Hélie Denoix de Saint Marc, officier putschiste du 1er REP).

    Le 21 avril 1961, il y a tout juste un demi-siècle, éclatait à Alger ce que l'on a appelé le « putsch des généraux » (Salan, Challe, Jouhaud et Zeller), auxquels se ralliaient plusieurs régiments dont le célèbre 1er REP - légionnaires parachutistes - et le 18e RCP chasseurs parachutistes commandé par le colonel Georges Masselot. Mal préparé et mal compris d'une opinion métropolitaine lobotomisée par la propagande gaulliste, ce sursaut qui, circonstance à souligner, ne fit aucune victime échoua faute de soutiens mais, sur place, il devait donner un grand élan à la résistance à l'abandon de l'Algérie, symbolisée par l'Organisation Armée secrète ou OAS.

    Dès lors, la lutte contre l'OAS s'intensifiant et se confondant désormais avec celle contre la population européenne tout entière, le gouvernement gaulliste décida, à l'appui d'innombrables escadrons de gendarmerie mobile (gendarmerie rouge) et de Compagnies Républicaines de Sécurité, d'envoyer en Algérie une nouvelle race de "policiers".

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  • Retour des djihadistes : « Ils sont français, qu’on le veuille ou non. » À voir !

      
    Capture d'écran
    Georges Michel
     – encore lui, désolé ! – milite pour que les  français, qui risquent la peine de mort en Syrie et en Irak, rentrent en France. 
    L’avocat, qu’il est toujours, est dans son rôle. Le ministre, c’est peut-être plus discutable, même si, il est vrai, la France, en février 2007, sous Jacques Chirac, a constitutionnalisé l’abolition de la peine de mort.
    Mais si la peine de mort est abolie en France, elle ne l’est pas en Syrie et en Irak, et personne n’a obligé ces « ressortissants français » à partir là-bas pour y faire le djihad.
    Le ministre des Armées, Florence Parly, n’avait pas eu ces pudeurs de gazelle, en 2017, lorsqu’elle avait déclaré : « Ce que nous voulons, c’est aller au bout de ce combat. Et, bien sûr, s’il y a des djihadistes qui périssent dans ces combats, tant mieux. »

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  • Gaz de schiste, charbon, nucléaire : le mythe des énergies alternatives au pétrole 3/3

    D'autant que, outre les contaminations liées aux techniques de récupération des gaz, la plupart de ces zones souterraines sont fortement radioactives et ne doivent pas, sous quelque forme, être exposées à la lumière. Ce qui ne laisse pas d'inquiéter. Marcellus et Utica ne se limitent pas à une zone retirée de la chaîne des Appalaches. Elle englobe l’État de New York, le New Jersey, une partie de l'Ontario, au Canada, couvrant tout ou partie du Kentucky, du Maryland, de l'Ohio, de la Pennsylvanie, du Tennessee, des deux Virginie, se glissant même sous les lacs Ontario et Erié, c'est-à-dire certains des territoires les plus peuplés d'Amérique du Nord. Pour le moment les groupes d'auto-défense qui se sont constitués ne sont arrivés à aucun résultat, les chantiers ne cessent de se multiplier. Un schéma qui laisse à penser que dans le monde entier le même phénomène aboutira au même résultat.

    Les écologistes : grimaces et verbiage

    En France où on se proclame toujours à l'abri des infortunes qui frappent les autres on affirme bien entendu que de telles mésaventures ne sauraient survenir. D'abord parce que les substances renfermées dans le sous sol restent propriété de l'Etat, contrairement à ce qui existe en Amérique du Nord, où une formidable spéculation sur les terrains a accéléré le mouvement. Mais également parce que le gaz méthane est difficile à transporter. Et que nous ne disposons pas du réseau de gazoducs qu'ont les Américains.

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  • « Grand Reset, le sujet central de la dette » L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    Ce que l’on appelle le « great reset », ou la grande réinitialisation, est un processus à plusieurs dimensions.

    L’une de ses dimensions est environnementale ou écologique si vous préférez, avec la nécessité d’organiser le ralentissement des activités humaines, ce qui sera croyez-moi, assez désagréable.

    Une autre des dimensions de cette grande réinitialisation, de cette grande remise à zéro est évidemment celle de l’endettement.

    Quelle est la limite de la dette ?

    On pose et l’on se pose souvent cette question.

    Quelle est la limite à l’endettement ?

    Là de très nombreux points de vue, expriment généralement l’idée que l’endettement, finalement, n’aurait pas franchement de limite à partir du moment où les banques centrales décident de payer ou d’annuler les dettes en rachetant les obligations émises, et en ne demandant plus aux Etats le remboursement.

    Dans un tel monde, que l’on va appeler la Théorie, et si tous les pays du monde font la même chose, alors, cela pourrait durer un certain temps puisque dans un monde de changes flottants, si toutes les monnaies baissent en même temps, alors… elles sont stables les unes par rapport aux autres !!!

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  • Gaz de schiste, charbon, nucléaire : le mythe des énergies alternatives au pétrole 2/3

    De quelles alternatives au pétrole et aux myriades de ses dérivés dont notre espace social est saturé, disposons-nous ? À ceux mentionnées précédemment, ajoutons les agro carburants dont on n'ignore plus, outre leur forte capacité à polluer, qu'ils privent le marché alimentaire de millions de tonnes de céréales. Quant au moteur à hydrogène on est loin d'en maîtriser la technique. Les différentes méthodes de synthèse du dihydrogène font pour le moment appel aux énergies habituelles. Son stockage et son transport n'ont pas trouvé de solution. Enfin les fuites de dihydrogène ne peuvent être évitées et, se mêlant à l'oxygène, sont susceptibles de perturber gravement la couche d'ozone. Une fois encore la preuve est faite que ces «énergies alternatives» ne résolvent pas les graves disfonctionnements provoqués par les énergies fossiles quand elles n'en génèrent pas de nouveaux comme c'est le cas avec les bio-carburants, les éoliennes et même le photo-voltaïque. Si on réduit la part du nucléaire, on sait bien qu'on augmente celle du charbon en particulier en Chine ce qui n'est pas tolérable au regard du dogme de l'effet de serre anthropique. D'ailleurs plus le nucléaire stagne, plus la pression exercée sur les autres ressources se renforce, c'est-à-dire que les prix s'élèvent et le coût social se révèle insupportable.

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  • La République des coquins

    La République des coquins
  • Gaz de schiste, charbon, nucléaire : le mythe des énergies alternatives au pétrole 1/3

    Seule la décroissance économique et démographique peut sauver la planète.

    Comment peut-on croire sérieusement que les événements survenus au Japon aient une réelle influence sur le maintien des 400 centrales nucléaires en fonction dans le monde. Ou qu'une seule des 150 prévues soit annulée. Sans doute fermera-t-on dans un grand tintamarre médiatique quelques établissements antédiluviens dont il aurait fallu de toutes façons se débarrasser. Quelques projets, pour amuser la galerie, prendront un peu de retard. Mais les puissances globales ont fait depuis longtemps le pari du développement nucléaire. Parce qu'elles ont un besoin démesuré d'énergie afin de poursuivre leur paradigme obligé de croissance illimitée. Or, alors que la population mondiale prolifère et que s'emballent ses exigences de confort et de luxe, les réserves de pétrole plafonnent.

    Cette société de la sur-consommation est irriguée par les énergies fossiles et les forces hégémoniques qui ont émergé avec elles sont peu disposées à abandonner leur pouvoir. Aussi l'atome, qui permet de concurrencer le charbon mis à l'index par la charlatanerie du CO2 anthropique, représente-t-il un moment essentiel dans la progression technologique du mythe progressiste. Il suffit de voir l'adulation qui entoure ses pionniers. Quels que soient les avatars subis par les nations, l'idéal prométhéen dont il se pare ne soulève aucune des contestations qu'il rencontre habituellement.

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  • La défaite en chantant

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    La crise qui se dessine risque d'être pour la France un pas de plus vers la perte de ses capacités productrices. Analyse de Natacha Polony sur ce qui s'est réellement passé à Bruxelles lors de la négociation de la dette. L'Allemagne, comme d'habitude s'en tire bien. Les Pays-Bas n'en parlons pas. Pour ce qui concerne  la France, Emmanuel Macron est un joueur aux petits pieds.

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  • Près de 70% des Français affirment se sentir souvent ou de temps en temps en insécurité

    Selon un sondage Odoxa réalisé après l’agression et la mort d’un chauffeur de bus à Bayonne début juillet, la mort d’une jeunefemme à Lyon le week-end dernier, ou les coups de feu à Nice mardi, les Français se sentent de moins en moins en sécurité depuis six mois. 68% d’entre eux disent se sentir souvent ou de temps en temps en insécurité. Ce sentiment atteint même des niveaux records depuis quatre ans.

    BFMTV

    https://www.tvlibertes.com/actus/pres-de-70-des-francais-affirment-se-sentir-souvent-ou-de-temps-en-temps-en-insecurite

  • Michel Onfray évoque «une destruction des racines chrétiennes à bas bruit» après l’incendie de la cathédrale de Nantes.

    Source : https://fr.sputniknews.com/

    Le philosophe Michel Onfray s’est exprimé sur LCI concernant l’incendie de la cathédrale de Nantes, lequel révèle non seulement un problème de gestion du patrimoine en France, mais aussi des actes antichrétiens qui sont en réalité quotidiens et dont les médias ne parlent qu’en cas d’événement majeur.

    Samedi 19 juillet, le philosophe et essayiste Michel Onfray s’est exprimé en duplex sur LCI sur l’incendie de la cathédrale de Nantes, et plus généralement sur le patrimoine français. Il estime que celui-ci n’est pas suffisamment entretenu et que cette décision vient non pas d’un manque d’argent mais d’un manque de volonté politique.

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