- Page 4
-
Alors que le futur Calife Erdogan menace de rouvrir les digues à un nouveau déferlement migratoire vers l'Europe, les arrivées massives ont repris en Italie et s'accroissent de jour en jour. Profitant d'une moindre vigilance italienne, due à la crise sanitaire et à l'éviction de Matteo Salvini du ministère de l'Intérieur l'automne dernier, 11 000 clandestins essentiellement venus de Libye et de Tunisie ont ainsi traversé la Méditerranée et débarqué à Lampedusa la semaine dernière. Le flux se poursuit et s'amplifie au rythme minimum de 300 illégaux par jour.Il n'est pas encore trop tard pour endiguer, puis inverser cet envahissement.Chacun de nous est face a ses responsabilités. Personne de notre camp n'a le droit de céder au découragement et de baisser les bras. Les solutions sont politiques. Politiques toujours. Politiques seulement. Le reste relève du rêve et de l'illusion. Nous n'avons plus le temps pour la métapolitique, les réflexions stratosphériques, les stratégies sur 10 ans... Plus le temps non plus des querelles ni des polémiques. Il y a urgence !
-
Grâce au confinement, moins de naissances prématurées : quelle leçon en tirer ?
Quand on laisse les femmes enceintes se consacrer à leur grossesse, on réduit les risques.
Il y a de ces informations qui passent, à tort, relativement inaperçues, polluées par l’actualité qui se concentre sur l’obsessionnel Covid-19, les frasques de la famille Traoré ou, bientôt, les excentricités d’Alice Coffin. Ces nouvelles sont probablement jugées sans intérêt d’un point de vue polémique (quoique), mais devraient pourtant s’afficher en une des journaux. Car bien involontairement, il semblerait que le confinement, si peu convaincant en matière de prévention contre le Covid-19, ait eu un effet des plus inattendus sur les naissances prématurées.
Lien permanent Catégories : actualité, magouille et compagnie, santé et médecine, social 0 commentaire -
Pontivy. Deux migrants afghans agressent sexuellement une jeune femme… et ne vont pas en prison
Deux Afghans ont été condamnés à de la prison avec sursis après avoir été reconnus coupables d’agression sexuelle en réunion et de séquestration sur une jeune femme à Pontivy en mai dernier. Un laxisme judiciaire déroutant alors que des faits similaires se multiplient en Bretagne.
Agression sexuelle en réunion et séquestration à Pontivy
Une nouvelle affaire sordide de violences sexuelles sur fond d’immigration extra-européenne secoue de nouveau la Bretagne. Revenons-en tout d’abord aux faits qui se sont déroulés le 30 mai dernier. Ce soir-là, une femme « un peu alcoolisée » se rend dans un bureau de tabac de Pontivy pour y acheter des cigarettes. Sur le retour, tandis que son chemin la fait passer devant un groupe de cinq personnes, elle se fait alpaguer. Bien que ne prêtant pas attention aux invectives, l’un des hommes en question la suit avant qu’elle ne se mette à courir, puis finisse par tomber dans un buisson, projetée par l’agresseur. C’est alors que le cauchemar va commencer…
-
La précarité de l’emploi augmente
Le nombre de chômeurs en catégorie A, personnes sans emploi, est en baisse de 204 700 personnes. En revanche, le nombre de chômeurs des catégories B et C augmente. Ces catégories regroupent les personnes ayant exercé une activité réduite (la différence entre la B et la C tient à un temps de travail effectué de plus ou moins 78 heures).
Le total des catégories B et C est de 236 200 personnes. Ce chiffre additionné au recul observé en catégorie A, on obtient alors une hausse du chômage de 31 500 personnes. Au mois de juin, il y a donc eu un phénomène de vases communicant : ceux qui ont retrouvé un travail sont dans une situation précaire.
Depuis le début de la crise en mars, le nombre de chômeurs a progressé de 5,2 %. Il y a au total 6,2 millions personnes à la recherche d’un emploi.
Et le plus dur reste à venir puisque beaucoup de petites entreprises bénéficient encore de mesures d’aide. Ces mesures vont progressivement être levées. C’est à ce moment que les difficultés vont commencer.
https://www.lesalonbeige.fr/la-precarite-de-lemploi-augmente/
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, l'emploi, social 0 commentaire -
La France lésée à Bruxelles avec le consentement de Macron ! par Olivier Piacentini
par Olivier Piacentini, essayiste (ses livres ici) :
Dès l’annonce de l’accord à Bruxelles concernant le plan de relance européen, après quatre jours d’âpres négociations, Macron, le gouvernement, et les médias de concert ont plongé dans une véritable euphorie : une salve de satisfecits, cocoricos, congratulations et oufs de soulagement s’est déversée sur l’ensemble de la presse et de la classe politique.
Pays du nord frugaux, pays du sud cigales, tout le monde a trouvé son bonheur, l’Europe est sauvée.
Macron s’est empressé de venir sur TF1 rendre compte de ce qu’il nous présente comme un succès sans précédent, historique.
Sauf qu’au delà de l’avancée certaine de l’Europe sur la voie de l’intégration, pour nous Français ce plan d’aide est une véritable Bérézina, l’abandon complet de nos intérêts nationaux au profit de ceux des autres.Pour la première fois, l’Europe va emprunter des fonds, 750 milliards, les répartir entre pays en fonction des sommes négociées, et rembourser ces sommes de façon commune. Cela est nouveau.
-
L’antiracisme obligatoire est sans doute l’un des leviers de contrôle psychologique les plus aboutis
Commentaire trouvé sur Facebook :
La famille d’Axelle a demandé l’annulation d’une marche de soutien. Motif : «On craint une récupération politique». Enième déclinaison de l’invraisemblable «vous n’aurez pas ma haine».En face, le moindre contrôle d’identité sur un Noir ou un Arabe est interprété comme une agression raciste qui justifie que l’on mobilise toute la communauté, qui d’ailleurs se mobilise en effet dans un mouvement spontané d’inspiration tribale et communautaire, et les médias au grand complet relaient au point d’obliger le législateur à durcir les lois antiracistes.Pendant ce temps, les familles françaises sont obligées, même lorsqu’elles enterrent leurs enfants massacrés gratuitement dans les rues françaises, de faire allégeance à l’antiracisme triomphant et absurde et de donner des gages de conformité républicaine. Je ne serais pas surpris d’apprendre que c’est l’avocat de la famille qui lui a conseillé de prendre cette position publique. Cela répond aux déclarations de Céline Cooper, l’avocate des assassins, qui a d’ores et déjà positionné le débat sur la question de la récupération politique de la vilaine extrême-droite. Autant dire que le camp d’en face a déjà presque gagné, symboliquement. L’antiracisme obligatoire est sans doute l’un des leviers de contrôle psychologique les plus aboutis et les plus intimidants de toute l’histoire humaine. C’est devenu un totem mystique, une religion, une divinité même. Il faut être antiraciste jusque sur la pierre tombale de son enfant donné en sacrifice. -
Jean Sévillia : «Benjamin Stora a une vision partielle, donc partiale, de la guerre d’Algérie», par Paul Sugy.
Stèle en mémoire des soldats disparus des Abdellys pendant la guerre d’Algérie, au Père Lachaise. Pierre-Yves Beaudouin
Source : https://www.lefigaro.fr/vox/
Emmanuel Macron a confié à l’historien Benjamin Stora une mission sur «la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie». Mais pour Jean Sévillia, l’approche de Benjamin Stora est trop complaisante à l’égard de la lecture indépendantiste des événements, propagée par le pouvoir algérien.
FIGAROVOX.- L’historien Benjamin Stora s’est vu confier par Emmanuel Macron une mission sur «la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie», ce choix vous semble-t-il judicieux ?
Jean SÉVILLIA.- Ce n’est pas, me semble-t-il, le meilleur choix, même s’il n’est pas surprenant si l’on se souvient des différentes prises de position du chef de l’État à ce sujet: Emmanuel Macron avait en effet qualifié la colonisation de «crime contre l’humanité» lorsqu’il était candidat ; puis, comme président, il a ouvert la voie à une démarche pratiquement expiatoire. Il partage donc la même vision que Benjamin Stora de la présence française en Algérie: cet historien est en effet une figure officielle dans les cercles bien-pensants.
-
JE SUIS CONTRE L'AVORTEMENT : MES ARGUMENTS...
-
La vraie leçon politique de l’affaire Traoré, par Régis de Castelnau.
Sources : https://frontpopulaire.fr/
À la police républicaine, qui est d'abord censée protéger la population, on a décidé de confier comme mission prioritaire la préservation d'un pouvoir minoritaire et impopulaire.
Néolibéralisme autoritaire : la triple alliance
Facisme et nazisme , fruits de la combinaison de plusieurs phénomènes dans un contexte de l’entre-deux-guerres ont été très largement étudiés. Formes particulières de dictatures, il est cependant essentiel de rappeler que leurs avènements n’ont été possibles que par la décision de la bourgeoisie et des intérêts dominants de les soutenir, de les financer et de les instaurer.
Et par la suite, chaque expérience autoritaire, des colonels grecs aux dictatures latino-américaines en passant par l’Espagne et le Portugal, a présenté la triple caractéristique d’une alliance entre une oligarchie, une petite bourgeoisie dépravée et une partie importante de la pègre.
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby 0 commentaire -
Sainte-Sophie : la redoutable nullité politique de l’Union européenne
La chronique de Philippe Randa
Si en France (et pas que !), beaucoup se désespèrent du nombre d’églises désaffectées, faute souvent tout autant de fidèles que de curés disponibles, voire vendues parfois pour être transformées en lieux d’activités bien étrangères à la moindre spiritualité, il est beaucoup moins courant qu’une basilique, convertie en mosquée, puis, 5 siècles plus tard, en musée comme « offrande à l’humanité », redevienne lieu de prières musulman.
Le monde catholique s’est ému du sort de l’ex-basilique de Sainte-Sophie – et Françoise Monestier s’en est même à juste titre indignée dans les colonnes de Présent –, mais également l’Église orthodoxe russe : « Nous constatons que l’inquiétude des millions de Chrétiens n’a pas été entendue, a regretté son porte-parole Vladimir Legoïda (selon l’agence Interfax) (…) La paix et la concorde entre les religions sont des questions extrêmement fragiles et complexes et qui ne peuvent supporter des décisions irréfléchies et purement politiques. »