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  • Bioéthique: la loi de toutes les dérives

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    Guillaume de Thieulloy

    L’Assemblée nationale a commencé la deuxième lecture du projet de loi bioéthique. Tout dans cette deuxième lecture est surréaliste. A commencer par l’agenda: la France sort tout juste du confinement consécutif au covid-19, son économie est en très mauvaise santé et les faillites menacent d’être nombreuses à l’automne. Mais la première décision du nouveau gouvernement de Jean Castex a été de discuter de cette loi – dont 71% des Français estiment avec bon sens qu’elle n’est pas prioritaire! Il faut noter que la majorité avait initialement envisagée de ne pas débattre de ce texte avant 2021, mais le lobby LGBT a montré les dents et, instantanément, la majorité a cédé…

    Cette discussion est aussi ahurissante en ce que les droits de l’opposition sont bafoués et même piétinés. Tout d’abord, comme en première lecture (et contre l’usage en matière de loi bioéthique), la majorité a choisi un débat en temps programmé, ce qui signifie que les débats sont minutés et que l’opposition dispose de très peu de temps pour faire valoir ses arguments dans l’hémicycle. Comme, par ailleurs, la discussion a lieu alors que les manifestations sont encore interdites pour cause d’épidémie, les opposants au texte n’ont tout simplement aucune possibilité pour se faire entendre. Par ailleurs, le gouvernement et la majorité brillent par leur absence et leur amateurisme. En commission, contrairement à l’usage, les ministres ne sont quasiment jamais venus. Lors du premier soir de la discussion dans l’hémicycle, seuls 2 députés de la majorité étaient en séance – les autres étaient à un cocktail, à l’invitation du Premier ministre.

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  • Géopolitique du coronavirus: entretien avec Robert Steuckers

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    Ex: https://strategika.fr

    Au cœur d’une crise mondiale inédite par son ampleur, Strategika vous propose l’éclairage d’analystes et de penseurs reconnus dans leur domaine d’expertise. Nous avons posé à chacun une série de questions qui portent sur les différents aspects de cette véritable crise de civilisation ainsi que sur ses répercussions politiques, géopolitiques et sociales.
    C’est aujourd’hui Robert Steuckers qui nous répond.

    Robert Steuckers, né en 1956 à Uccle, est diplômé de l’Institut Maria Haps, lié à l’Université de Louvain, où il a obtenu le Master en langues anglaise et allemande. Il a dirigé un bureau de traduction à Bruxelles pendant vingt ans avant de se consacrer à diverses tâches d’enseignement des langues. Il avait créé le think tank “Synergies européennes” en 1994, qui a organisé des universités d’été en France, en Italie et en Allemagne. Il gère, avec d’autres, le site Euro-Synergies qui affiche près de 17.000 articles de fonds, consultables par tous. Il dispose également d’un compte Twitter Robert Steuckers (@RobertSteuckers) | Twitter alimenté chaque jour. Robert Steuckers est l’auteur de plusieurs livres et essais, notamment la trilogie Europa, véritable somme sur l’identité et l’histoire des peuples européens ainsi que La révolution conservatrice allemande et Sur et autour de Carl Schmitt.

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  • Le mensonge politique : une belle rente. Jusqu’à quand ?

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    Un défunt ministre de la Propagande d’outre-Rhin disait : « Plus le mensonge est gros, plus il passe. Plus souvent il est répété, plus le peuple le croit… » Un cynisme qui ne lui porta pas bonheur, ni à lui, ni aux siens. Il s’appelait Joseph Goebbels !

    On l’appelait aussi « Docteur ». Il avait soutenu une thèse, en 1921, à Heidelberg, sur un écrivain romantique du début du XIXe siècle, Wilhelm von Schütz, sous la direction du professeur Max Freiherr von Waldberg, éminent germaniste, d’origine juive. Pedigree qui devait le conduire à la retraite forcée en 1933 et à se voir rayé du corps professoral deux années plus tard.

    Moralité : n’ayons qu’une confiance limitée dans nos disciples, fussent-ils brillants !

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  • Marine Le Pen cherche-t-elle à favoriser une vraie candidature de droite ?

    Marine Le Pen cherche-t-elle à favoriser une vraie candidature de droite ?

    C’est en tous cas ce que l’on pourrait déduire du changement opéré au sein des instances du RN fin juillet. Remaniement pour les fidèles de Marine Le Pen, nouvelle purge de la tendance identitaire et droitière pour les autres…

    Ce remaniement va donc évincer plusieurs têtes du RN. A commencer par l’eurodéputé et membre du bureau exécutif, Nicolas Bay qui ne sera plus au cénacle. Sandrine d’Angio, proche du sénateur de Marseille Stéphane Ravier, doit quitter le bureau d’investiture des Bouches-du-Rhône. Même le célèbre avocat Gilbert Collard, actuellement eurodéputé après avoir siégé sept ans à l’Assemblée nationale, a aussi été éjecté (…)

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  • DIMANCHE 6 SEPTEMBRE : ROLAND HÉLIE INVITÉ À LA FÊTE BRETONNE DU PARTI DE LA FRANCE PRÈS DE RENNES

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  • Votre argent : France Télévisions épinglé pour les gros chèques versés à Rachid Arhab et Françoise Laborde

    France Télévisions épinglé pour les gros chèques versés à Rachid Arhab et Françoise Laborde

    La direction des chaînes publiques est sanctionnée au sujet des indemnités de rupture versées aux deux journalistes, qui avaient choisi de ne pas démissionner de France Télévisions lors de leur nomination au CSA

    Le 28 juillet, la Cour de discipline budgétaire et financière a condamné trois cadres dirigeants de France Télévisions pour avoir versé des indemnités de départ sans avoir respecté les procédures, en l’espèce sans avoir obtenu le feu vert du contrôleur économique et financier qui représente l’Etat. Le jugement de la cour, consulté par Capital, révèle que les chaînes publiques ont fait début 2014 des gros chèques à deux membres du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). Françoise Laborde, qui était alors en fonctions au CSA, a ainsi touché 198.778 euros bruts. Rachid Arhab, qui avait quitté le CSA un an plus tôt, a touché 180.000 euros bruts.
    […]

    A l’époque, suspendre son contrat de travail avec France Télévisions pendant son mandat au CSA était légal. Mais la révélation de cette pratique a fait scandale, étant donné qu’une des missions du CSA est de réguler l’audiovisuel public. D’autant que Françoise Laborde et Rachid Arhab ne se déportaient pas et participaient aux décisions concernant France Télévisions, selon le Point.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Capital

    http://www.fdesouche.com/1408613-votre-argent-france-televisions-epingle-pour-les-gros-cheques-verses-a-rachid-arhab-et-francoise-laborde

  • Immigration : un moratoire s’impose d’urgence, par Frédéric Sahut.

    Les moratoires concernant la chasse à la baleine ou la pêche au thon rouge avaient pour objectif d’éviter la disparition, à court terme, d’espèces menacées. Ils se sont imposés comme des évidences incontestables, sans querelles dogmatiques et, de plus, ont prouvé leur efficacité. Un autre moratoire s’avère aujourd’hui indispensable pour, cette fois-ci, éviter la prolifération de cultures exogènes, invasives et destructrices d’un biotope endémique propre aux terres européennes.

    Osons être plus explicites. Vous l’avez deviné, fines mouches ! Il s’agit d’un moratoire sur l’. Un référendum s’impose de toute urgence, libellé très simplement afin d’éviter des réponses hors sujet comme peuvent l’être les rejets politiques pour untel ou pour une autre.

    Persévérer dans l’immigration est-il :
    – positif pour la France ?
    – négatif pour la France ?
    Cochez la bonne case.

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  • Michel Onfray s’en prend très violemment à Laurent Joffrin, Jean-Paul Sartre et Libération

  • Alain Soral en garde à vue pour provocation publique

    Alain Soral en garde à vue pour provocation publique

    Les motifs exacts sont :

    « Provocation publique non suivie d’effet à la commission d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation », « injure publique à raison de l’origine ou de l’appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée » et « provocation publique à la haine ou à la violence, à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de l’origine ou de l’appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée »

    Assa Traoré appelle à faire « comme en Afrique, envahir le palais présidentiel » : on lui tend des micros, c’est une idole médiatique.

    Comme l’écrit Breizh.info :

    Alain Soral n’est pas l’icône noire d’une presse mainstream qui a trouvé comme nouveaux héros un homme ayant braqué une femme enceinte avec un pistolet sur son ventre, et un autre accusé d’avoir violé un détenu sous la menace d’une fourchette…

    Alain Soral est poursuivi pour des écrits et pour des paroles. Il est parfaitement légitime d’être en désaccord avec cet individu. Mais il est permis de s’interroger sur l’état de la liberté d’expression, d’une part, et, d’autre part, sur le deux poids deux mesures de notre système.

    https://www.lesalonbeige.fr/alain-soral-en-garde-a-vue-pour-provocation-publique/