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France : le pays est à vendre
Laurent Izard, normalien, est agrégé de l’université en économie et gestion et diplômé en droit à l'Université de Paris I. Son premier livre, La France vendue à la découpe, fortement documenté, a suscité 'intérêt de beaucoup d'hommes politiques à droite comme à gauche, car il décrit un phénomène sans étiquette politique : l'appauvrissement de la France.
Propos recueillis par l'abbé G. de Tanoüarn
Laurent Izard, votre livre a intéressé toute la classe politique, de droite à gauche. Vous parlez de la France vendue à la découpe...
Le point de départ de ma recherche, c'est la notion de patrimoine économique. Qui possède les grandes entreprises françaises ? Plusieurs sont passées sous pavillon étranger et cela pour le meilleur parfois mais aussi pour le pire. L'exemple qui me vient à l'esprit est celui du groupe Péchiney, racheté par des Canadiens d'Alcan et méthodiquement démantelé et vendu par ses nouveaux propriétaires au point que ce qui était le premier groupe mondial de l'aluminium n'existe plus. Ça c'est un exemple spectaculaire, comme ceux d'Alstom, des Chantiers de l'Atlantique, de Rhodia ou d'Arcelor qui ont été vendus à l'étranger. Mais il existe une réalité moins spectaculaire et tout aussi encombrante les entreprises du CAC 40 sont détenues à plus de 50 % par des capitaux étrangers, fonds de pension et petits acteurs dispersés. Et cette tendance existe aussi pour toutes sortes de petites entreprises à propos desquelles il n'y a pas de chiffre.
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Les dessous de la personnalité d’Emmanuel Macron révélés dans un livre choc…
En politique, il est fréquent que des collaborateurs, tombés en disgrâce ou simplement démissionnaires, couchent leurs souvenirs, plus ou moins aimables, sur papier. Si cette littérature de « proches » éconduits se borne généralement à des règlements de comptes ancillaires sans grand intérêt, il y a néanmoins des exceptions, tel le Confusions, de Marie Tanguy, ex-plume d’Emmanuel Macron, consacré à la campagne présidentielle de 2017.
Interrogée, dans l’édition française du magazine canadien Vice, Marie Tanguy évoque « une campagne au fonctionnement illisible et à la réussite insolente », ce qui est plutôt bien vu. Au début, elle semble idéalement formatée pour ce « rêve transformé en cauchemar » : après avoir usé ses fonds de jupes à Sciences Po, elle rédige, plusieurs années durant, les discours de la CFDT, le syndicat « réformiste » qu’on sait.
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Abolition du traité de Dublin : Salvini chante victoire
« Si l’Italie cesse d’être le camp de réfugiés en Europe et le seul point de débarquement pour les petits bateaux et péniches, je serai heureux. »
Ainsi, le leader de la Ligue Matteo Salvini commente le nouveau plan de migration, annoncé par Ursula von der Leyen, qui prévoit l’abolition du traité de Dublin.
« Nous le demandons depuis des années, poursuit Salvini. Quand j’étais au gouvernement je n’ai pas attendu que les règles changent et j’ai fermé les ports. Ce gouvernement, en revanche, a ouvert les ports, nous espérons qu’ils s’arrêteront car alors les Italiens ont des problèmes. »
Cette abolition, demandée à plusieurs reprises notamment par les pays les plus concernés, l’Italie et la Grèce, en première ligne sur le front des débarquements, s’est toujours trouvée confrontée à l’opposition du Conseil de l’Union européenne (l’organe où les gouvernements des États nationaux sont représentés).
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La Petite Histoire : La résistance héroïque des Cadets de Saumur
Le 18 juin 1940, alors que le maréchal Pétain appelle à la fin des combats et avant même que le général de Gaulle ne fasse son appel, certains refusent déjà de rendre les armes sans combattre. À Saumur, quelques 2 500 soldats français, dont beaucoup de jeunes élèves aspirants de réserve, vont livrer sur la Loire un combat épique pour sauver l’honneur de l’armée française en déroute. Peu nombreux, sans matériel, sans munitions, sans espoir, ces « Cadets de Saumur » tiendront pendant trois jours, coûte que coûte, face à plus de deux divisions allemandes, forçant le respect de l’adversaire. Retour sur cet épisode méconnu mais glorieux de la bataille de France.
https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-la-resistance-heroique-des-cadets-de-saumur
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Bridgestone : Tartuffe mène le bal.
La décision annoncée par la direction de Bridgestone de fermer le site de Béthune donne l'occasion au gouvernement francais et à une bonne partie de la classe politique de se livrer à une partie de faux-derchisme dont les uns et les autres sont, il est vrai, coutumiers.Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, l'emploi, social 0 commentaire -
Covid-19 : Le confinement, et maintenant l’argent – JT du vendredi 18 septembre 2020
Au sommaire de cette édition de fin de semaine : le virus des impôts va prendre le relais du coronavirus.
Nous reviendrons sur le tsunami fiscal à venir avec le directeur de Contribuables Associés.
Nous reviendrons ensuite sur les déclarations d’Olivier Véran et pour son retour devant la presse, le ministre de la Santé ne s’est pas montré très convaincant.
Enfin cocorico, nous évoquerons le tourisme français qui a moins souffert que celui de nos voisins européens grâce au tourisme de proximité !
http://by-jipp.blogspot.com/2020/09/covid-19-le-confinement-et-maintenant.html
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°587
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La délinquance explose, Macron fait des phrases
Pendant que Macron pérore sur le « sentiment d’insécurité », les chiffres tombent + 21 % de coups et blessures, +19 % d’homicides et tentatives en janvier 2020. Ces derniers ont augmenté de 79 % entre 2009 et 2018 ! Un sentiment pour le moins fondé, donc…
L’insécurité, c 'est le sen-tintent d'insécurité. Il faut y aller s'investir sur le terrain, faire bouger les choses », lançait Emmanuel Macron aux députés LREM qu'il recevait à l'Elysée le 11 février pour une séance de remotivation et de recadrage typiquement macronnienne. Le chef de l'État se projette en 2022 et veut occuper le terrain du RN la sécurité, l'immigration, l'islamisation (qu'il vient de nommer « séparatisme islamiste »). Mais pour cet homme chez qui le Verbe a remplacé l'action, et qui face à chaque problème dégaine un discours, le « sentiment d'insécurité » a logiquement remplacé la réalité du phénomène.
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Sur C News, Eric Zemmour : "L'industrie française s'est écroulée".