L’avis de Jeff Wayne sur l’opération “Great Reset” planifiée par les mondialistes au Forum économique mondial de Davos et sur le rôle de Donald Trump comme grain de sable pour enrayer cette machine mondialiste.
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L’avis de Jeff Wayne sur l’opération “Great Reset” planifiée par les mondialistes au Forum économique mondial de Davos et sur le rôle de Donald Trump comme grain de sable pour enrayer cette machine mondialiste.
On se pince pour y croire : à l’appel de la CGT Cheminots, rejointe par SUD Rail, la FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse, la SNCF sera en grève, de ce mercredi 16 septembre à 20 h jusqu’au vendredi 18 septembre à 7 h 55.
C’est une grève dont on dit qu’elle sera fort peu suivie, et c’est tant mieux, mais qu’importe, au fond, car le seul fait qu’on appelle à la faire est, dans les temps que nous vivons, le summum de l’indécence.
C’est, encore une fois, le moustachu Martinez, cette figure caricaturale qui ne représente plus rien ni personne de sensé, qui appelle au sabordage. Comme une grinçante boîte à musique, il rejoue son air en mouvement perpétuel : « Après la rencontre avec le Premier ministre, toujours rien de concret pour l’emploi et les salaires. Il faut passer des paroles aux actes », a-t-il tonitrué en sortant de Matignon, vendredi dernier. Qu’importent la crise sanitaire, le climat délétère, l’économie à la ramasse, le disque Martinez est rayé. Sa chanson tourne en boucle, réclamant « hausse des salaires, abandon définitif des réformes de retraites et de l’assurance chômage, réduction du temps de travail sans perte de salaire », à quoi il faudra ajouter, demain, sans doute, la contestation des futurs horaires d’hiver, comme c’est le cas quasiment chaque automne.
En ces temps étranges et plutôt moroses, la littérature reste souvent un refuge, non pour seulement s’évader des contrariétés du moment, mais pour penser au-delà des mots d’ordre du « politiquement correct » et des injonctions du conformisme moralisateur toujours en recherche de sorcières à brûler… Et c’est ainsi que je relis les romans « chouanniques » de Barbey d’Aurevilly et de Jean de La Varende, tout en les complétant par les études historiques sur ce même sujet des chouanneries, signées de Roger Dupuy, de G. Lenôtre, d’Anne Bernet ou encore de Jean Guillot. Mais le roman n’est pas qu’une histoire, c’est aussi un merveilleux révélateur des temps évoqués et des cadres anciens, parfois effacés de nos mémoires autant que des paysages : ainsi, dans les premières pages de « L’ensorcelée », Barbey d’Aurevilly, ce royaliste nostalgique hanté par le tragique, décrit-il la lande de Lessay comme le témoin d’un monde condamné à disparaître sous la grande marée du progrès et de l’industrialisation. Et ses lignes presque désespérées, souvent passées inaperçues et peu citées par les critiques littéraires, me paraissent porter en elles un message qui ne peut laisser indifférent le vieux royaliste sensible à la préservation de la nature et de ses rythmes et aspects que je suis.
La crise des dettes souveraines trouve son origine en 2008, quand les Etats ont dû intervenir massivement pour sauver les banques privées, suite à l'éclatement de la bulle spéculative des subprimes. L'heure de la grande explication a sonné II n'est plus temps de s'indigner mais d'agir.
À l'automne 2008, se déclenchait une crise financière mondiale dont l'épicentre se trouvait aux États-Unis. Un an plus tard, de bons esprits déclaraient que le pire était passé et que la crise était virtuellement finie. Elle ne l'était pas. Elle se poursuit encore et n'est pas près de se terminer.
Le plus dur n'est pas derrière nous, mais devant nous; les conséquences seront pires qu'en 1929. La première phase était née d'un excès de surendement des ménages américains. L'économie réelle fut mise en faillite sous l'effet de l'explosion de la dette privée, les entreprises étant frappées de plein fouet par l'effondrement de la demande, ce qui a entraîné une vaste récession planétaire. Aujourd'hui, ce sont les Etats qui sont surendettés. Au problème de la dette privée a succédé le problème de la dette publique, qui affecte aujourd'hui tous les pays occidentaux. Comment en est-on arrivé là ?
Les députées Marie-Noëlle Battistel (PS) et Cécile Muschotti (LREM) rendent, ce mercredi 16 septembre, un rapport sur l’accès à l’avortement commandé par le gouvernement en juin 2019. Une proposition de loi, qui doit être présentée dans la foulée, devrait notamment porter les délais de recours à l’interruption volontaire de grossesse de douze à quatorze semaines de grossesse.
Les auteurs du rapport s’interrogent sur ce qu’ils considèrent comme des freins à l’application de la loi Veil (malgré plus de 200 000 avortements chaque année).
« En France, la principale explication aux difficultés d’accès à l’IVG résulte essentiellement du désintérêt à l’égard d’un acte médical peu valorisé. »
« Seuls 2,9 % des généralistes et gynécologues et 3,5 % des sages-femmes » ont pratiqué un avortement en 2018.
Les députés préconisent notamment d’ « allonger le délai de l’IVG chirurgicale de deux semaines, pour le faire passer de douze à quatorze semaines de grossesse, afin d’éviter que les femmes confrontées à des difficultés en début de parcours (errance médicale, délais de rendez-vous trop longs…), se trouvent hors délai et dans l’impossibilité de faire pratiquer une IVG en France. »
"Si le ministre de l’économie avait, avec moi ce matin, fait le tour des commerçants de Vigneux dans ma circonscription, il aurait peut-être compris les dégâts de sa politique ! Urgence à annuler, comme je le propose depuis des mois, les charges du 2ème trimestre 2020, si l’on veut éviter 1 million de chômeurs de plus."
Il y a vraiment de quoi se faire souci pour notre présidentielle de 2022
À voir comment BFM TV, première chaîne info de France, s’immisce et traite de la campagne présidentielle aux États Unis, il y a vraiment de quoi se faire du souci pour notre présidentielle de 2022. BFM a diffusé, lundi soir, un reportage d’une heure sur la présidence Trump, un véritable brûlot contre le locataire actuel de la Maison-Blanche, en fait.
Sur tout le temps qu’a duré ce reportage, pas la moindre action positive n’a été mise au crédit de Trump. Rien. Même pas les spectaculaires résultats économiques qu’il a engrangés avant la pandémie, jamais évoqués. Comme, d’ailleurs, ses succès entrepreneuriaux. Toute sa vie n’aurait été qu’une succession de mensonges (15.437 depuis qu’il est à la Maison-Blanche, paraît-il), de coups médiatiques, de vulgarités, de bravades, d’approximations. Trump serait stupide, vulgaire, inculte, despotique, mufle, jouisseur, inconvenant et même brutal avec les femmes. Et pour cause : toute l’émission repose sur des ragots, des on-dit et surtout une série de témoignages de gens qui lui sont hostiles, ou avec qui il a eu maille à partir – de nombreux conseillers qu’il a licenciés, entre autres ; on comprend qu’ils lui en veuillent et le critiquent vertement. Un témoin l’a même traité de « connard », sans plus d’explication, juste une diatribe sur sa façon de déstabiliser les gens qui l’entourent.