Eric Zemmour : « En reconfinant, on nous mène à la mort économique (…) La politique d’un pays est défini par l’engorgement des hôpitaux…» Retrouvez l’émission face à l’info du 28 octobre 2020.
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POURQUOI VONT-ILS NOUS RECONFINER ? La vraie raison...
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Une candidate de Secret Story (TF1) contrainte d’avorter
Les féministes et les pro-avortement nient pourtant que certains avortements sont le produit d’une contrainte morale sur des femmes. Voici une preuve terrible :
Benjamin Castaldi est mieux placé pour parler des coulisses de Secret Story (…) Comme l’a révélé ce dernier, une candidate enceinte lors du tournage de ce programme avait été persuadée par certains membres de l’équipe production d’avorter (…)
Une candidate avait été contrainte par certains membres de l’équipe de production à éliminer sa grossesse via la consommation d’une pilule abortive (…) le présentateur de C8 a donc fait allusion à une affaire d’avortement forcé dans Secret Story. Même si Benjamin Castaldi semblait n’avoir pas souvenance de cet événement, il a néanmoins dit avoir été contre le fait de faire avaler une pilule abortive à une candidate de cette émission.
https://www.lesalonbeige.fr/une-candidate-de-secret-story-tf1-contrainte-davorter/
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Albert Camus l'indompté
Au terme de l'année Camus, on constate que si beaucoup a été dit, des points sont restés largement dans l'ombre. Au cœur des écrits de Camus se trouvent le choc des cultures, les violences des sociétés multi-ethniques, le face à face entre l'Islam et les Européens. Redécouvrons Camus. L'envers et l'endroit, pour reprendre le titre de son premier livre.
Philosophe, écrivain, journaliste. Camus était tout cela. Un journaliste devait être selon lui « un écrivain au jour le jour ». Dans ses textes, qu'il s'agisse de reportage comme « La misère en Kabylie » dans Alger républicain, ou dans ses éditoriaux Camus hésite souvent entre le je et le nous. Il n'y a là rien d'anodin. La tragédie est individuelle (L'étranger), la révolte est collective. On a beaucoup ricané de Camus et son rapport à la politique. « Belle âme », a-t-on entendu. « Philosophe pour classe terminale ».
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MONSIEUR PATY, LES ISLAMISTES ET LA RÉPUBLIQUE
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Nouvelle décapitation terroriste islamiste à Nice : on en a marre.
La basilique Notre-Dame de l'Assomption, à Nice. Mister No - Creative Commons
Dans l'attente de développements de l'enquête, nous redonnons la position que nous avons exprimée juste après la décapitation de Samuel Paty :
La basilique Notre-Dame de l'Assomption où a eu lieu la décapitation :
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Guillaume Bigot, après l’attentat de Conflans : « On assiste à un retournement de veste des politiques sur l’islamisme »
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, on assiste à de nombreuses prises de parole de la part des politiques ayant la volonté d’engager « la guerre » contre l’islamisme.
Guillaume Bigot, qui vient de publier La Populophobie (Plon), s’interroge sur la portée de la parole de la classe politique et se dit « écœuré » devant l’hypocrisie de ceux qui dénoncent l’islamisme après avoir souvent « cherché l’accommodement » .
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, on sent une volonté de la part de nos politiciens d’engager la guerre, pour reprendre leurs mots contre le terrorisme islamiste. Cependant, derrière les mots, on attend encore une action claire. Le moins que l’on puisse dire, la parole est assez chaotique. Quelle est votre opinion sur la parole politique ?
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Hasting, clef de l'Angleterre
Esprit particulièrement brillant, Guillaume, duc de Normandie, réussit là où Philippe II, Napoléon et Hitler échouèrent après lui en 1066, sa victoire à Hastings lui ouvrit les portes de l'Angleterre.
Cette chronique fait trop souvent la part belle aux gros volumes universitaires, qui peuvent frustrer plus d'un de nos lecteurs dont la liste des ouvrages à lire ne cesse de s'allonger. Or, les éditions Tallandier viennent d'inaugurer une collection qui répond aux exigences d'un travail sérieux sans décourager le lecteur réticent à accumuler les « pavés », puisque les titres proposés font moins de 200 pages. Cette collection intitulée « L'Histoire en batailles », peut être aussi considérée comme une belle réponse aux sarcasmes dont l'historiographie politique a longtemps été la victime, face à une école des Annales heureusement en voie de disparition.
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Les Technocrates contre le pays réel
Au lendemain des deux journées du 27 et du 28 octobre, on ne peut pas se contenter d'être seulement atterrés. La manière dont est imposé le reconfinement, le chef de l'État n'ayant fait recevoir les dirigeants politiques que par son valet de chambre, un personnage de moins en moins crédible à dire vrai, incapable de dire sur quel projet il faudrait se prononcer, les a tous scandalisés.
Une fois encore votre chroniqueur tient à bien préciser son ignorance de la dimension médicale des problèmes. Et il ne donc peut se fier, dans ce domaine, qu'aux prescriptions officielles.
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Reporter Noël en juillet, en voilà une bonne idée !
Le coronavirus fait des ravages. Dans les poumons, certes, mais aussi dans les têtes. À se demander s’il ne fait pas des trous dans le cerveau comme les vers dans le fromage. Les éminences scientifiques qui défilent à longueur de temps devant les caméras et les micros nous en offrent, chaque jour, l’illustration : le virus leur chamboule la cervelle.
Dans cette foire aux idées qu’est devenue la science médicale, une figure a émergé, hier, chez nos voisins belges. Elle s’appelle Frédérique Jacobs, est chef du service infectiologie à l’hôpital Érasme de Bruxelles.