60 % des animaux de boucherie sont abattus selon le rite halal sans étourdissement préalable. Le Dr Alain de Peretti, vétérinaire, président de Vigilance halal, en souligne le quadruple danger : souffrance animale, risque sanitaire, financement de l’islamisation et contrôle des populations. Nos lecteurs pourront retrouver les analyses du Dr de Peretti dans L’islam sans voile : ouvrez les yeux, qui vient de paraître à la Nouvelle librairie, collection Cartouches de l’Institut Iliade), 7€.
Polémia
Les problèmes liés au halal
L’abattage halal est en passe de devenir la règle, ce qui le différencie de manière fondamentale du casher (moins de 1% versus plus de 60% des cas).
Ce mode d’abattage, régi par un système de dérogation, présente trois anomalies :
a) Souffrance animale par non étourdissement.