
À force d’avoir voulu plaire à tout le monde, Pap Ndiaye n’aura satisfait personne. Et son discours de passation de pouvoirs, ce 20 juillet, à son successeur Gabriel Attal n’a rien qui puisse éventuellement arranger les choses, bien au contraire, sachant qu’il s’agit là d’une sorte de catalogue de tout ce qu’il aurait pu faire quand il était ministre et ne fera encore moins depuis qu’il ne l’est plus.