Le délitement : un mot que le pouvoir refuse d’entendre quand il est utilisé à son propos. Pour l’avoir employé dans un manifeste, en avril 2021, vingt généraux en retraite et d’autres vieux soldats s’étaient fait rappeler à l’ordre par le gouvernement. Leur faute ? Avoir écrit trop lucidement : « L’heure est grave, la France est en péril (…) Notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre pays ». Le 13 mai 2023, leur manifestation « pour la Fierté française » avait même été interdite par Gérald Darmanin, qui avait vu derrière ces patriotes des extrémistes factieux. Or les scènes de guerre qui désormais se banalisent, dans le milieu du grand banditisme issu de la contre-société, illustrent l’effondrement de l’Etat.
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Iran et Israël : des ennemis jurés
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Bêtise, couardise, cynisme et barbarie
Par Hildegarde
À Malmö, ville islamisée de Suède (islamisation qui a provoqué le renversement de la politique progressiste citée en exemple durant des décennies) des manifestants exigent l’exclusion d’Eden Golan, représentante d’Israël à l’Eurovision avec une chanson en mémoire des victimes du massacre du 7 octobre.
Il y a bien longtemps que nous ne nous intéressons plus à ce show vampirisé par la langue anglaise, mais il y a lieu de s’interroger sur la qualité des énergumènes qui piétinent le drapeau israélien…
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Pour les pays du Visegrád, la première menace d’ingérence, c’est… l’UE !
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Des soldats ukrainiens ivres se sont entretués à Semionovka, selon un habitant
© AP Photo / Kostiantyn LiberovDes chars ont été endommagés par des militaires ukrainiens ivres à Semionovka, a déclaré à Sputnik Sergueï, habitant de la localité. Le groupe Secteur droit menaçait les soldats qui voulaient battre en retraite. -
Vers l’auto-attestation pour les arrêts de travail courts car il n’y a plus assez de médecins
Voilà qui va nous rappeler de sacrés souvenirs, ceux du Covid.
Il faut dire qu’en économie de pénurie, il faut appeler un chat un chat.
C’est la dure loi du réel.
Quand il n’y a plus de médecins, il ne faut plus jouer à « et si nous avions des médecins ».
Déjà, il faut supprimer les certificats médicaux pour les pratiques sportives. Ce n’est pas bien « grave », il y aura juste un peu plus de morts sur les terrains de sport.
Et comme nous n’avons pas plus de médecins puisque Cuba ne veut pas nous en envoyer assez, « le gouvernement étudie la piste de l’auto-déclaration des arrêts de travail courts » !
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Marion Maréchal : relance de la natalité, abolition de la GPA, lutte contre la pornographie…
Marion Maréchal, tête de liste Reconquête ! a présenté lundi son programme pour les européennes à travers 92 propositions et appelant notamment à «inscrire dans les traités la mention des racines grecques, latines et chrétiennes de l’Europe» :
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Les Démocrates Suédois négocieraient actuellement avec le gouvernement pour créer les conditions propices à la remigration des personnes qui ne se sont pas intégrées.
Le mois prochain (6-9 juin), auront lieu les élections au Parlement européen. Le slogan des Démocrates de Suède (SD) avant les élections est : « Mon Europe construit des murs », une attaque mal dissimulée contre ceux qui, lors de la crise migratoire de 2015-2016, voulaient briser les frontières extérieures de l’Europe. Le chef du parti, Jimmie Åkesson, souligne qu’il est important de sécuriser les frontières extérieures et intérieures.
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Sarah Knafo sur France 2 : Vivement le 10 juin pour entamer la libération des Européens !
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Santé : une politique de liquidation générale ?
La dépense hospitalière globale en France, c’est environ 100 milliards d’euros par an, avec 80 milliards pour le public et 18 milliards pour les cliniques. Si ces établissements privés venaient à disparaître, pour passer à un système 100 % public, il faudrait, selon des estimations, dépenser 4 à 5 milliards d’euros de plus par an. Ces les cliniques privées, comme les hôpitaux publics, sont dans le rouge, mais ne bénéficient pas de la garantie de leurs dettes par l’Etat. La proportion des établissements privés en déficit augmente, pour atteindre 40 % aujourd’hui, soit une augmentation de plus de 50 % par rapport à 2021. En cause, une forte inflation n’a pas été compensée par des augmentations de tarifs. Ces cliniques devraient bénéficier de seulement 0,4 % de leur grille tarifaire en 2024, contre 4,4 % pour les hôpitaux publics. Et l’hôpital public a récupéré, à lui seul, les 470 millions d’euros de la sous-exécution de la Sécurité sociale en 2023