
La pape François, mort à 88 ans en ce lundi de Pâques, s’est laissé prendre au piège de l’idéologie « antiraciste », qu’Alain Finkielkraut avait décrit comme « le nouveau communisme du XXI e siècle ». Il suffit de lire, ce mardi matin, les dithyrambes de la presse de gauche pour se convaincre du militantisme progressiste qui fut celui du Saint Père. « Le pape humaniste », titre La Marseillaise. L’Humanité salue sa mémoire « au nom de la paix, des migrants et du Saint Esprit ». Le Parisien voit en lui « Le pape du peuple ». François est notamment salué pour ses combats contre le réchauffement climatique et pour l’immigration musulmane. Jean-Paul II, en 2003, avait invité l’Eglise à avoir « un juste rapport avec l’islam », en ayant en tête les « divergences notables » entre les deux civilisations.
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