
Des malheureux par milliers étaient traqués à coups de fusils, de haches, de bâtons, si bien que dans certaines rues, il y avait des murailles de corps entassés et des fleuves de sang, écrit dans une lettre d’Adana, en date du 8 nov., M. Léopold Favre, le philanthrope genevois qui a visité le théâtre du sinistre pour y faire une enquête et distribuer aux survivants les secours du comité philarmène helvétique.






