
Les résultats des votes pour l’élection présidentielle américaine montrent la déconnexion totale entre le narratif médiatique et le réel : Kamala Harris, présentée comme la candidate des pauvres, des opprimés, des exclus, des discriminés, des immigrés, ne gagne que parmi les « riches » des villes.
Dans les quartiers les plus riches, dans les villes, la majorité vote à gauche