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Au programme, le dernier ultimatum de Donald Trump à la Russie. Le président américain exige la paix dans un délai de 50 jours, en attendant, « business is business ».
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Au programme, le dernier ultimatum de Donald Trump à la Russie. Le président américain exige la paix dans un délai de 50 jours, en attendant, « business is business ».
Le billet de Patrick Parment
La nécessité de voter un Budget gérant les dépenses de l’Etat a pour objet premier, dans le contexte où nous sommes, de continuer de faire tourner la machine étatique mais aussi tous les acteurs économiques du pays. Ce Budget c’est une sorte de poumon économique de la nation. D’ordinaire, le gouvernement, fort d’une majorité à l’Assemblée nationale n’a aucun mal à le faire adopter. Tel n’est pas le cas aujourd’hui. Car de majorité, ce gouvernement n’en a pas. Dès lors, la signification de ce budget devient éminemment politique. François Bayrou annonce vouloir réaliser 40 milliards d’économie, avant qu’Emmanuel Macron ne lui balance dans les gencives l’augmentation du budget des armées. Autant dire qu’on nage dans la guignolade.

En quelques jours, il vient de se passer deux événements qui inquiètent les gauchistes et leurs commanditaires mondialistes. En Italie, un père de famille, éboueur âgé de 62 ans, dont le fils a été assassiné il y a cinq ans par cinq voyous, apparemment des autochtones, n’a pas supporté que l’un des tueurs de son fils se retrouve remis en liberté à peine 5 ans après la mort de son enfant. Mais lui a décidé de passer à l’action. Il a retrouvé la pourriture qui lui a volé son fils, et l’a abattu froidement dans un parc public. Le pays est divisé en deux, entre ceux qui approuvent la vengeance du père et ceux qui sont horrifiés par ce qu’ils considèrent comme un retour au Far West.

Petit décompte qui sent le roussi :
Washington a envoyé 31 chars Abrams en Ukraine : 27 ont été détruits ou capturés. Coût d’un char Abrams : plus de 10 millions de dollars, formation et maintenance comprises.
Les États-Unis ont envoyé plus de 400 véhicules Stryker en Ukraine. Beaucoup se sont empalés sur des champs de mines ou se sont fait tirer comme des lapins par les drones russes. Coût unitaire : 4 à 6 millions de dollars.
Le 14 juillet, ou les paradoxes d'une célébration...
Il est à la fois amusant et agaçant, à chaque 14 juillet, d'entendre souvent les mêmes fadaises reprises par moult journalistes et politiques, plus soucieux de communication que d'information et de vérité historique : alors, tant pis si je remets une énième fois cette note en ligne, mais cela ne me semble pas complètement inutile... "La vérité rend libre", dit-on : c'est donc l'occasion de se libérer un peu des discours convenus et conformistes et, surtout, des faux discours et des fautes historiques...
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Aujourd’hui, 14 juillet, Napoléon Micron haranguera la France au fond des yeux. Le pari de Jean-Paul Brighelli…
« … pour expliquer qu’avec nos 3000 milliards de déficit il faudra faire un effort de réarmement, car la IIIème guerre mondiale est proche… »

Dans une interview accordée à la chaîne de télévision russe Rossiya, le président Vladimir Poutine a donné un aperçu de l’évolution du point de vue de la Russie sur l’Occident.
Malheureusement, aucune transcription n’est encore disponible. Divers médias russes fournissent des extraits de l’entretien en anglais :

Un violent incendie a ravagé un ancien Ehpad squatté à Caen. Les 180 migrants occupant le bâtiment ont été évacués. Deux personnes ont été hospitalisées pour inhalation de fumée.

Dans un pays normal, le ministre des Universités qui a proféré de telles inepties sur l’inexistence selon lui, de l’islamo-gauchisme, aurait dû être immédiatement et sur-le-champ relevé de ses fonctions. Dans un pays normal… mais voilà, nous sommes en France, pays gouverné par des schizophrènes de la politique.