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Amalgame et extrémisme laïcard.
À Vesoul, une religieuse catholique s'est vue refuser une place dans une maison de retraite tant qu'elle ne quitterait pas son voile et son habit religueux. Celà au nom de la laïcité qui, comme on le sait, est un principe sacré de notre République. Petit père Combes pas mort.Nous sommes bien dans le plus affligeant des amalgames, celui dans lequel se vautrent intellectuels dévoyés, gauchardins rouges, roses, noirs, verts, et progressistes de toute obédience.La France est chrétienne. Nos religieuses en sont les servantes, elles que nous sommes fiers d'appeler "ma mère" ou "ma sœur". Elles appartiennent à la communauté de destin, spirituelle et nationale que l'on appelle France et les signes extérieurs de leur appartenance moniale ne sauraient être confondus avec l'utilisation/provocation que font des leurs les tenants de l'islamisme politique.Ce que nous voyons à l'œuvre dans cette affaire, c'est bien le totalitarisme laïcard anti-chrétien adossé au complexe islamophile. -
Agnès Thill : la conversion tardive d’une résistante « en marche » !
Hier soir, Mme Agnès Thill était invitée par « Marchons enfants » à Marcq-en-Barœul. Soirée très instructive. Cette députée désormais non inscrite a été exclue du parti LREM et du groupe à l’Assemblée en raison de son opposition à la PMA pour les femmes seules et les lesbiennes.
C’est un premier sujet de réflexion : lorsque je me suis engagé en politique, au RPR, il était convenu que sur les questions qui engagent les valeurs morales ou spirituelles propres à chacun, il fallait admettre une grande liberté. À l’Assemblée, il était logiquement plus grave de voter différemment de son groupe sur le budget que d’avoir une opinion différente sur le PACS, la peine capitale ou l’avortement. Dans le premier cas, cela consistait à passer de la majorité à l’opposition, ou l’inverse, et donc de trahir. Dans le second, chacun estimait que la liberté de conscience devait prévaloir. Le fait qu’aujourd’hui, et j’en ai fait moi-même l’expérience, règne un totalitarisme de la pensée unique sur les sujets dits « sociétaux » est une régression liberticide dont on ne mesure pas les conséquences lorsqu’on prétend encore parler de démocratie.
Mme Thill a vécu cette douloureuse expérience avec courage. Elle avait soutenu la réforme du droit du travail, mais sa résistance à l’idée de « fabriquer » des enfants sans père, qui est un cri du cœur, a été écrasée sans pitié. Cette directrice d’école, issue d’un milieu ouvrier, a été socialiste, favorable dans un premier temps aux prétendus « progrès sociétaux ». Brusquement, les écailles lui sont tombées des yeux devant la loi bioéthique et son « innovation » sur la PMA. Elle en est à souhaiter la victoire de la droite, en espérant qu’il n’y en ait qu’une à la prochaine présidentielle, sans doute dans son esprit, une droite conservatrice qui arrêterait le processus délétère dont elle a enfin pris conscience. Il faut l’entendre dire à un public « catho » et de droite : « Ne lâchez rien ! »
Ainsi, Mme Thill est devenue conservatrice par bon sens. Mais son parcours amène deux autres réflexions. D’abord, il montre à quel point la fraîcheur d’esprit qui la caractérise peut être manipulée sans vergogne par les « progressistes ». Mais, désormais, la résistance intellectuelle est chez elle, si on peut dire, « en marche » ! « Les mots servent à nous contraindre à prendre les choses comme elles ne sont pas », dit-elle. L’idée absurde de la « théorie du genre » qui veut faire du sexe une création sociale est dénoncée par son créateur même.
Il y a bien, derrière LREM, une idéologie « progressiste » qui est à la fois totalitaire et destructrice du corps social. L’ancienne militante socialiste se rend compte que le progressisme, c’est l’individualisme roi et mondialisé, que l’on va fabriquer des enfants sans père, venus de nulle part, sans passé, sans généalogie, des atomes dans l’espace, des instants toujours au présent, des personnes sans identité charnelle.
En second lieu, cette conversion tardive devant cet auditoire de vétérans de la lutte contre le mariage unisexe révèle la faiblesse de la stratégie conservatrice dans notre pays. Le conservatisme est un bloc qui doit garder sa cohérence. L’idée que la famille fondée sur le mariage entre un homme et une femme afin de mettre des enfants au monde et de les élever n’est pas une préférence mais une nécessité pour préserver la continuité et la solidité du corps social, c’est-à-dire de la nation, famille et nation étant les deux sources de la solidarité entre les individus. L’absence de reconnaissance juridique du lien entre deux personnes de même sexe est fondée sur l’intérêt social et le long terme. C’était, évidemment, sur cette ligne qu’il fallait se battre, et on est aujourd’hui acculé à vouloir que les enfants aient un père.
Le progressisme est fondé sur l’extension permanente des « libertés » individuelles, dont Mme Thill s’est aperçue qu’elles confinaient au caprice et qu’elles entraînaient des conséquences odieuses, comme l’achat d’enfants, ce retour à une pratique quasi esclavagiste. La liberté conservatrice n’est pas le caprice d’un individu mais le choix responsable d’une personne qui jouit d’autant mieux de ses libertés qu’il vit dans une société solide et qui le protège. Agnès Thill nous faisait la confidence d’un échange avec son père qui estimait avoir connu une époque où l’on était plus libre. Et il avait, hélas, raison.
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Les retraités fantômes étrangers coûteraient 1 milliard d’euros aux caisses françaises
Les faux retraités étrangers coûteraient 1 milliard d’euros aux caisses françaises.C’est le chiffre avancé par le magazine économique Capital, dans son dernier numéro.Sur 6,5 milliards de retraites versées à l’étranger en 2015, notamment à d’anciens travailleurs immigrés retournés au pays, il y aurait 15 % de fraude.Ce milliard d’euros représenterait 83 euros par mois en plus pour un millions de petites retraites.En cause, des retraités qui s’obstinent à ne pas mourir…une immortalité suspecte : les familles enverraient aux caisses françaises des faux certificats de vie tamponnés par l’administration locale corrompue et continueraient à toucher une rente après la mort de l’ayant-droit.L’Algérie serait la première concernée.Au Sénégal et au Mali, ce serait plutôt par le biais des pensions de reversion que l’arnaque fonctionnerait.Car à l’heure de Mee-Too, la France reconnait la polygamie des retraités africains.Et dans ce mic-mac, de vraies-fausses pensions de reversion peuvent être versées, sur un temps très long à de très jeunes veuves.
Un système de protection sociale incompatible avec la mondialisation
La mondialisation du marché du travail est une cause de ce genre de fraude, puisqu’il est difficile d’enquêter dans des coins perdus à l’autre bout du monde.Mais même légalement le système migratoire mine le principe de la retraite par répartition.Cette dernière repose en effet sur une économie circulaire, les rentes des retraités étant réinjectées dans l’économie nationale et produisant ainsi des cotisations pour les caisses de retraite.Avec la délocalisation des retraités vers d’autres pays moins taxés, les rentes sont versées à fonds perdus…Ces 6.5 milliards représentent tout de même 2.2 % des dépenses de retraite, et à l’heure où les réformes vont réduire les retraites futures des Français, ils constituent une perte nette non négligeable pour un système de solidarité qui fuit de toute part.
Telle est l’impression que donne la lecture du dernier Capital, consacré au pillage organisé de la solidarité nationale.Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine -
Immigration illégale en Europe, par Jean Rouxel
Une récente étude du think tank américain Pew Research Center évalue la population d’immigrés clandestins en Europe un peu au-dessous de 1% de la population globale en 2017: entre 3,9 et 4,8 millions d’immigrés clandestins sur 500 millions d’habitants dans les 32 pays d’Europe étudiés.
Ce chiffre est déjà, à lui seul, extravagant. J’ai beau être conscient de la gravité du problème, j’ai été ébahi de lire une telle estimation – surtout sous l’autorité d’un organisme qui ne passe pas vraiment pour être d’«extrême droite»!
Plus grave encore, le Pew Research Center explique que 70% des immigrés clandestins sont répartis parmi 4 principaux pays: l’Allemagne, le Royaume-Uni, la France et l’Italie.
La France, loin de s’opposer à l’immigration illégale, refuse en effet de garder ses frontières, de condamner sévèrement les trafiquants de chair humaine qui font passer des dizaines de milliers de clandestins chaque année, et réserve même des prestations sociales (notamment la fameuse Aide médicale d’État) aux personnes n’ayant aucun droit d’être sur notre territoire.
Il aurait donc été surprenant que les clandestins ne soient pas nombreux chez nous.
Pourtant, il est très vraisemblable que les chiffres du Pew Research Center soient nettement minimisés.
D’abord, un rapide calcul montre une différence de 5% environ entre les chiffres de clandestins indiqués pour chacun des 4 pays les plus « accueillants» et 70% de l’ensemble: si l’on additionne les populations de clandestins entre Angleterre, Allemagne, France et Italie, nous serions entre 2,6 et 3,5 millions, alors que 70% de la population globale donne un intervalle de 2,73 à 3,36 millions.
Surtout, pour la France, l’étude indique 300000 à 400000 clandestins en 2017, dont 38000 demandeurs d’asile en attente de décision. Ces 38000 ne devraient, par définition, pas être (encore) des clandestins. Pourquoi d’ailleurs ne pas comptabiliser tous les plus de 100000 demandeurs d’asile enregistrés en 2017? Il est donc probable que ces 38 000 «demandeurs d’asile» soient en réalité des déboutés du droit d’asile devenus clandestins.
J’ajoute qu’il y a si longtemps que l’on estime à 300 000 le nombre de clandestins, sachant qu’au moins 100000 entrent chaque année en France, qu’il me semble peu vraisemblable que nous soyons encore à ce chiffre.
La fourchette basse consiste à prendre la proportion de clandestins en Europe (0,87%) et à l’appliquer à la population française. Soit au minimum 565 000 clandestins. Et, sans doute deux fois plus puisque la France est l’une des destinations préférées des clandestins!
Jean Rouxel
Tribune reprise de les4verites.com
https://fr.novopress.info/216067/immigration-illegale-en-europe-par-jean-rouxel/
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Lutte conte l’immigration clandestine en Espagne : le parti VOX promet de construire un « mur infranchissable »
Le parti populiste national espagnol Vox, le troisième plus grand parti du pays depuis cette semaine, a promis d’ériger un « mur infranchissable » autour de ses exclaves d’Afrique du Nord pour empêcher l’immigration clandestine.
Avant les élections nationales du pays qui ont eu lieu dimanche dernier, le parti Vox a présenté une liste de 100 propositions comprenant des politiques qui travaillent à réduire de façon drastique le nombre de migrants clandestins vivant en Espagne.
Une augmentation des expulsions des migrants illégaux, des contrôles aux frontières plus strictes, et la construction d’un « mur infranchissable » autour des exclaves d’Afrique du Nord du pays, font parties des priorités du parti Vox, rapporte le journal en ligne El Confidencial.
Les barrières de sécurité qui séparent les exclaves d’Afrique du Nord de l’Espagne, notamment à Melilla et Ceuta, n’ont toujours pas fait leurs preuves au fil des ans. Des centaines de migrants ont gravit à l’aide d’échelles les clôtures existantes à plusieurs reprises au cours des dernières années.
En outre, dans les 100 propositions que Vox a décrites, le parti a promis qu’il fournirait du matériel supplémentaire et un soutien financier à la police, aux forces armées et au personnel de sécurité chargé de patrouiller la frontière espagnole.
L’actuel chef de Vox, Santiago Abascal, a également dit qu’il sanctionnerait les bateaux d’ONG opérant dans la mer Méditerranée, qui aident les trafiquants d’êtres humains dans le convoyage des migrants vers l’Europe depuis l’Afrique du Nord.
Traduction: alter INFO
Source: Voice of Europe
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Sur Sud Radio avec André Bercoff, David Le Bars : "La minorité qui déteste la police et véhicule la haine est très active!"
André Bercoff reçoit David Le Bars, patron du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), auteur de « La Haine dans les yeux » (aux éditions Albin Michel).
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Et la palme du dhimmi est attribuée à…
Suite au magnifique festival contre l’islamophobie, les nominés pour recevoir la palme du dhimmi ont enfin été révélés.
Malheureusement absents, François Ruffin ne pourra concourir car il jouait au foot et mangeait des gaufres, tout comme Yannick Jadot qui avait un rendez-vous chez l’ophtalmo pour régler ses problèmes oculaires qui l’empêchent de lire correctement les pétitions qu’il signe. N’ont pas été retenus, non plus, Philippe Martinez et Nathalie Arthaud ainsi que leur bande syndicaliste au complet. Leur prestation surjouée n’a pas convaincu le jury. On sent la fin de carrière, des comédiens fatigués, peu aidés par des scénaristes plus très inspirés.
Est, en revanche, retenue, dans la catégorie fiction historique, Esther Benbassa pour sa magnifique adaptation de la déportation des Juifs version musulmane. Il fallait être sacrément culotté pour transposer la Shoah à des citoyens bénéficiant, comme tous les autres, de l’assurance chômage, des congés payés, de la couverture maladie universelle, des allocations familiales et du système de retraite. Elle l’a fait !
L’incontournable Edwy Plenel est, évidemment, nominé comme chaque année pour sa nouvelle comédie sentimentale, un rôle un peu mielleux, mais ses admirateurs apprécieront. Ses pleurs lors de « la Marseillaise » chantée à l’unisson resteront ; on ne sait pas si ce grand sensible a également versé sa petite larme lorsque la foule a scandé à multiples reprises « Allah akbar ».
La lutte s’annonce acharnée pour la palme du meilleur espoir féminin. Danièle Obono et Clémentine Autain sont toujours fidèles au poste, mais pourraient bien se faire rafler la mise par Elsa Faucillon, particulièrement zélée ces derniers temps.
Enfin, on ne voit pas comment la palme suprême pourrait échapper à Jean-Luc Mélenchon. On reconnaît la marque des plus grands, capable de jouer des rôles de laïcard par le passé et de dhimmi aujourd’hui… Une carrière gigantesque.
La cérémonie aura lieu à l’Institut du monde arabe et sera présidée par Jack Lang. La récompense, un magnifique croissant en or massif, est généreusement offerte par le CCIF et les Frères musulmans.
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Ça va péter ! Alors, on fait quoi ?
Faire simple
Ça va péter ! Tout le monde le dit. Quand ? That is the question… Mais c’est sûr… Alors, il serait peut-être temps de faire quelque chose, Monsieur le Président.
Vous mettez en pratique un triptyque de l’ancien monde : communiquer, légiférer, manœuvrer.
Face à cette chienlit généralisée il faut gouverner, simplement, avec efficacité.
Qu’est-ce que gouverner ? Il faut revenir aux fondamentaux.
Staline et Bodin sont d’accord sur un point. Ce sont les hommes qui constituent le capital sur lequel il faut miser et s’appuyer. Le premier : « De tous les capitaux, le plus précieux, ce sont les hommes. » Le second : « Il n’est de richesses que d’hommes. ». Pareil recoupement mérite qu’on s’y arrête et qu’on en tire des enseignements, sachant que l’un et l’autre ont été de redoutables gouvernants !
Nous avons besoin d’un État qui gouverne les hommes.
D’accord, mais comment ?
Toujours simple : bien commun et principe de subsidiarité.
Paul-François Schira, dont le livre La Demeure des hommes n’a pas eu le succès qu’il mérite, conclut très bien son analyse sous-titrée Pour une politique de l’enracinement par ce qui pourrait être un excellent programme politique du bien commun :
– Assumer le commun.
– Habiter le commun.
– S’ouvrir au commun.
– Servir le commun.
Il y en a assez de ces programmes politiques en je ne sais combien de points, ressemblant à des catalogues de La Redoute, tous plus idéologisés les uns que les autres.
Nous sortons du siècle des idéologies avec son cortège de millions de morts. Ne l’oublions pas. Le pire siècle de l’Histoire. On n’avait jamais atteint un tel niveau de barbarie. Nous avons besoin de pragmatisme. Assez de systèmes. Assez de constructions intellectuelles. Servir le bien commun au sens classique et chrétien.
Le principe de subsidiarité, ensuite. Il a été défini par le cardinal Ratzinger : « Donner la responsabilité de ce qui peut être fait au plus petit niveau d’autorité compétent pour résoudre le problème. » Ce qui revient, finalement, à reprendre à notre compte la formule de Georges Pompidou « Arrêtez d’emmerder les Français ! » en l’étendant à tous les problèmes sociétaux.
Du pragmatisme et du gouvernement des hommes ! C’est tout !
Nous avons besoin d’un président de la République qui aurait un programme simple. Faire travailler les meilleurs à leurs places au service du bien commun. Assumer le commun, l’habiter de manière active, s’y ouvrir en permanence, en tout et partout et le servir afin que les citoyens se retrouvent dans un État dans lequel ils puissent retrouver la confiance ! Limiter les lois nouvelles de manière temporaire au domaine du régalien ; faire une pause !
Un président de la République se fixant pour seule ambition de restaurer le lien entre l’État et les citoyens, d’assurer la paix intérieure et extérieure et de faire régner la justice. C’est la priorité !
C’est sans doute le seul moyen d’éviter que la chienlit ne se transforme en une bombe à fragmentations qui provoquerait une véritable explosion sociale, lourde, très lourde de conséquences.
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Génération identitaire a organisé une marche contre les islamistes à Paris
Le mouvement Génération identitaire a tenu, ce 17 novembre, une marche à Paris contre les islamistes, en réaction, en particulier, à l’attentat de la préfecture de Paris d’octobre. Des slogans appelant à la «remigration» s’y sont fait entendre.
«Nous voulons la remigration. Pas d’islamistes, pas d’attentat», scandaient, entre autres slogans, les manifestants, selon le reporter de RT France présent sur place.
Certains manifestants arboraient des portraits d’auteurs d’attentats islamistes en France, comme celui du terroriste responsable de l’attaque sanglante de l’Hyper casher à la Porte de Vincennes à Paris en janvier 2015, Amedy Coulibaly.
L’organisation identitaire, hostile à l’immigration et à l’«islamisation» de Europe, avait appelé à manifester contre l’«islamisme», en faisant référence en particulier à l’attaque du 3 octobre à la préfecture de police de Paris, perpétrée par Mickaël Harpon, un employé de l’administration converti à l’islam. «Harpon était habilité secret défense alors qu’il fréquentait des imams salafistes fichés par la DGSI. Un islamiste était donc infiltré au plus haut niveau de l’Etat, du jamais-vu dans toute notre Histoire», pouvait-on lire dans l’appel à manifester sur Facebook. De fait, selon un rapport interne de la Direction du renseignement de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP), Mickaël Harpon était habilité secret défense. Il avait fréquenté, à Gonesse (95) où il vivait, un imam fiché S, selon des sources proches de l’enquête citées par l’AFP.
Génération identitaire, néanmoins, ne fait pas que dénoncer l’islamisme et le terrorisme islamiste : prenant la parole devant les manifestants, la porte-parole du mouvement Anaïs Lignier a accusé sans ambages «une grande partie des musulmans» vivant en France, de souhaiter faire «appliquer la charia, les lois islamiques en France» afin «que celles-ci prennent le dessus sur nos propres lois».
Interrogée par RT France sur la marche contre l’islamophobie organisée la semaine précédente, la porte-parole a déclaré que la manifestation de ce 17 novembre se voulait aussi en être une «réponse», même si il n’y a pas de «lien direct» entre ces deux appels au rassemblement.
«Quand on compare l’islamophobie qui n’a fait aucun mort en France […] en comparaison de 250 morts [du terrorisme islamiste] en quelques années, évidement qu’on répond à cela et qu’il faut être aussi dans la rue», a-t-elle déclaré.
Pour lire la suite, c’est ici !
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Les cocus de l’antiracisme
Effet boomerang chez les professionnels de l’antiracisme :
Voilà que les idéologues de l’antiracisme « première génération » expriment de plus en plus souvent leur indignation et leur amertume en découvrant le racisme de « deuxième génération ».
On a pu ainsi, ces derniers jours, voir et entendre sur plusieurs chaînes l’avocat Alain Jacubowicz, ancien président de la LICRA, déclarer : « Oui, nous avons fait des erreurs ! », évoquant le fait que l’antiracisme d’origine était fondé sur un a priori de défense de minorités (« les juifs », « les noirs », « les arabes », « les musulmans ») et que le méchant était « toujours le blanc », « de droite » et « souvent nanti ».
Ainsi, il n’y a pas longtemps que Jacubowicz a découvert la réalité du racisme antiblanc de l’islamo-gauchisme d’Houria Bouteldja et de ses « indigènes de la République » : avec à peine dix ans de retard sur l’AGRIF !
Et comme si, d’ailleurs, le fait d’avoir érigé en principe que « le blanc » était le méchant, n’avait pas relevé d’un parfait a priori raciste. Votre racisme en vérité, Me Jacubowicz !
Mais quelle belle preuve, aussi, de votre ignorance de l’idéologie islamique.
Si vous aviez, au long de votre carrière, un tant soit peu pris la peine de parcourir le Coran et les Hadîths, vous en auriez trouvé, de l’appel à la haine contre les juifs et contre les « polythéistes » (les chrétiens). Et que n’avez-vous lu au moins sur cela quelques ouvrages de votre excellente coreligionnaire Bat Ye’Or !
Ce communautarisme n’est en réalité objectivement qu’un principe d’apartheid comme cela a toujours été pratiqué dans l’islam. L’islam n’a d’ailleurs pas le monopole de cela ! Et pour ce qui est du christianisme, s’il a pu en être jadis ainsi, ce ne put jamais être fondé ni sur la lettre ni sur l’esprit de l‘Évangile.
Pour ce qui est du combat contre le racisme antiblanc modèle Bouteldja, je conçois que vous soyez furieux de vous être somme toute fait idéologiquement cocufier par dame Bouteldja et sa clique.
Mais voilà que vous en venez aussi à l’heureuse formulation qu’il y a des racistes partout, dans tous les peuples et sur tout l’échiquier politique.
Et pour ce qui est du racisme antiblanc, voilà que vous vous retrouvez désormais en accord avec votre remarquable confrère, notre cher Gilles-William Goldnadel qui, lui, l’a depuis longtemps analysé et dénoncé. Il se trouve aussi que, par un hasard de « zappinge », je suis tombé la semaine dernière sur un excellent documentaire passant sur la chaîne Histoire : « Heureux comme un juif en France ».
Qu’il était émouvant aussi, ce bon juif, aussi franc qu’islamiquement inculte, avouant ingénument que, militant antiraciste et immigrationniste, il avait pendant des années œuvré pour faire entrer en France le plus possible d’immigrés, notamment musulmans. Mais voilà que maintenant, il s’en mord les doigts. Il a certes le courage de l’avouer.
Et pour ce qui est de nous, à l’AGRIF, nous efforçant, ô certes pas toujours très facilement, à être dans la conformité avec notre modèle évangélique, nous sommes très satisfaits de voir arriver des « ouvriers de la onzième heure » du combat contre l’authentique racisme des néo-antiracistes !
Puissent-ils du moins ne pas nous reprocher d’avoir eu raison avant eux puisque nous n’en tirons aucun mauvais orgueil.