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anti-national - Page 332

  • France : l’aide au départ volontaire pour les migrants est portée de 650 à 2.500€ jusqu’à fin 2019

    L’aide au départ volontaire pour les sans-papiers et les demandeurs d’asile déboutés en première instance va passer de 650 à 2.500 € jusqu’à la fin de l’année 2019. Cette prime exceptionnelle du ministère de l’Intérieur vise à réduire le nombre d’expulsions forcées, qui coûtent très cher et sont peu efficaces. La France prend aussi en charge le billet d’avion.

    Selon l’Office français de l’immigration et de l’intégration(OFII), en 2018, 10.678 étrangers dont 2.709 mineurs ont bénéficié d’un retour volontaire, ce qui représente une augmentation de 50% par rapport à 2017. Côté expulsions, 15.677 éloignements forcés ont été effectués par la police l’an dernier. Le nombre de retours volontaires pourrait donc bientôt dépasser celui des départs forcés.

    Pour rappel, en juin dernier, deux députés du Modem et de LREM, Jean-Noël Barrot et Alexandre Holroyd, révélaient dans un rapport le coût très élevé des éloignements forcés, 14.000 € en moyenne, alors qu’un retour volontaire coûte de 2.500 à 4.000 euros, voyage compris.

    Le Dauphiné

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-france-va-offrir-2500-euros-et-le-billet-davion-aux-migrants-qui-acceptent-de-rentrer-volontairement-dans-leurs-pays

  • Les idéologues de la Commission européenne

    Les idéologues de la Commission européenne

    D’Olivier Bault dans Présent sur la nouvelle Commission européenne :

    […] la vice-présidence pour « la protection du mode de vie européen », attribuée au Grec Margarítis Schinás. Cette appellation fait hurler la gauche, qui y voit une reprise du discours « populiste » du Hongrois Viktor Orbán, car ce commissaire sera chargé des questions de sécurité et d’immigration [un orwellisme ? NDMJ].

    Mais les vrais poids lourds de cette Commission, qui doit encore être approuvée par le Parlement européen, et dont la composition peut donc encore changer si celui-ci refuse certains commissaires, ce sont les deux vice-présidents chargés de la concurrence et du climat. La concurrence revient à nouveau à la Danoise Margrethe Vestager, dont le choix surprend puisqu’elle supervise déjà la direction de la concurrence dans la Commission Juncker où elle affiche un assez mauvais bilan, la Commission européenne ayant perdu un nombre record d’affaires de concurrence devant la Cour de justice de l’UE ces derniers temps. Le climat sera attribué au socialiste hollandais Frans Timmermans, qui est chargé dans la Commission Juncker des questions d’Etat de droit. Frans Timmermans, grand partisan d’une Europe fédérale et progressiste (il aurait souhaité imposer le « mariage gay » à tous les Etats membres) s’était spécialisé dans les attaques contre la Pologne et la Hongrie qu’il accusait de ne pas respecter l’Etat de droit. Il pourra continuer son combat contre les gouvernements conservateurs de Varsovie et Budapest sous l’angle du climat, cette fois. La Pologne, notamment, dépend encore beaucoup du charbon pour son énergie.

    Von der Leyen, Timmermans et Vestager semblent ainsi constituer un triumvirat dans lequel sont représentés les trois partis de la nouvelle grande coalition qui contrôle le Parlement européen : le PPE (le groupe auquel appartiennent les députés LR français), le S&D social-démocrate (auquel appartiennent nos socialistes) et les libéraux de Renew Europe (le groupe de LREM).

    Les questions d’Etat de droit seront partagées entre la libérale-progressiste tchèque Vera Jourová, qui hérite d’une nouvelle direction « valeurs et transparence », et le Belge Didier Reynders qui sera chargé de la justice. Ils sont tous deux partisans de lier les fonds européens au respect de l’Etat de droit, chose qui, si elle est finalement mise en œuvre, permettrait de contourner les traités (qui prévoient une procédure très stricte en cas de non-respect de l’Etat de droit par un pays membre, avec un vote à l’unanimité des autres pays au Conseil européen) en donnant un énorme pouvoir discrétionnaire à la Commission. Par ailleurs, alors que Jourová aura les « valeurs » et la « transparence », la Croate Dubravka Suica sera chargée de « la démocratie et la démographie ». « Valeurs » et « démocratie » : ces champs d’action ne se recoupent-ils pas ?

    L’Italie est récompensée pour son nouveau gouvernement, puisque le social-démocrate Paolo Gentiloni, ancien Premier ministre (en 2016-2018), hérite de l’économie et du budget aujourd’hui attribués au socialiste français Pierre Moscovici, l’homme qui avait refusé le projet de budget du premier gouvernement Conte et avait promis de combattre la Ligue de Salvini jusqu’à son dernier souffle. Comptons donc sur Gentiloni, dont le Parti démocrate (PD) est désormais partenaire du M5S dans le deuxième gouvernement Conte, pour accepter le prochain projet de budget italien. Il sera cependant surveillé par le Letton Valdis Dombrovskis, aujourd’hui commissaire « à la stabilité financière, aux services financiers et à l’union du marché des capitaux », qui obtient avec von der Leyen une vice-présidence « pour l’économie au service des personnes » et les « services financiers ».

    N’oublions pas la Maltaise Helena Dalli, ministre des Affaires européennes et de l’Égalité à Malte, qui serait chargée de l’égalité. Idéologue du gender, elle a présenté en avril 2015 une loi établissant des droits étendus pour les personnes transgenres et intersexuées. L’année suivante, Dalli pilotait un projet de loi qui interdisait les thérapies pour personnes ayant des penchants homosexuels. Début 2017, elle a présenté au Parlement un projet de loi visant à dénaturer le mariage. Elle a mis en place une direction des droits de l’homme et de l’égalité chargée de la politique gouvernementale en matière d’égalité des sexes et d’intégration de la dimension de genre, d’égalité LGBTIQ, d’intégration des migrants et de lutte contre le racisme. Elle a également mis en place un conseil consultatif LGBTIQ, un conseil consultatif des droits de la femme et un forum sur les affaires d’intégration.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-ideologues-de-la-commission-europeenne/

  • Boris Johnson au bord du précipice. Et après ?

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    Apparemment, Boris Johnson va mal : le 3 septembre, après sa décision, ratifiée par la reine, de suspendre le Parlement, il perd sa majorité (très ténue) avec la défection d’un député. Le lendemain, ses opposants, désormais majoritaires, font passer un texte interdisant une sortie sans accord. Le jour même, une motion de sa part appelant à des législatives anticipées est rejetée. Le 11, la cour d’appel d’Edimbourg juge que sa décision de suspension est « illégale », infirmant le jugement de première instance. Malgré cela, Boris Johnson s’accroche. Il affirme toujours qu’il sortira le 31 octobre, avec ou sans accord.

    A-t-il raison de s’obstiner, alors qu’il ne subit que des revers ? Quel intérêt au maximalisme ? Ne faudrait-il pas mettre « de l’eau dans son vin », chercher des « compromis » ? Car, apparemment, Boris Johnson est « seul contre tous », selon Le Figaro. Mais l’est-il vraiment ?

    On a la clef de sa stratégie dans une statistique, : 48 % des Britanniques sont prêts à une sortie sans accord.

    S’il veut gagner, à court ou à long terme, BoJo n’a donc qu’une chose à faire : afficher sa fermeté sans faille, jusqu’à ce que le blocage soit tel que l’on soit obligé d’aller aux urnes.

    Il doit attendre, car plus le temps passe, plus les contradictions de ses opposants deviendront manifestes : en effet, si les Britanniques se représentent à Bruxelles sans être prêts au pire, ils n’obtiendront aucune concession sur le point bloquant de la négociation : celui de la frontière avec l’Irlande. Or, la solution concoctée autrefois par Bruxelles et Theresa May est celle du « backstop », un dispositif qui enferme la Grande-Bretagne dans une zone de libre-échange avec l’Irlande, et qui invalide l’ensemble du processus d’indépendance. Cette non-solution, qui a fait tomber l’ancienne dirigeante, n’a aucune chance de repasser, et Bruxelles n’a aucune raison de lâcher quoi que ce soit de plus. En effet, sa terreur, si frontière il y a, est que le conflit entre l’Irlande et l’Irlande du Nord ne ressuscite. Elle est donc arc-boutée sur le « backstop », et sa position ne s’assouplira donc, peut-être, que si le pire semble possible. Pour avoir une chance, Boris Johnson doit se mettre lui-même au bord du précipice.

    Avec cette stratégie, il a ainsi l’espoir que, au pied du mur, Bruxelles sera finalement poussée à un compromis. Mais pour cela, il doit d’abord obtenir des siens le mandat pour pouvoir faire, si nécessaire, son chantage au cataclysme. Ce mandat, il l’a déjà de son peuple, mais pas de son Parlement. Les parlementaires ne sont pas des idiots. En attaquant BoJo, ils cherchent à « ouvrir les parapluies », à lui faire « porter le chapeau », pour ne pas apparaître comme responsables si jamais, demain, ça se passe mal. Ils jouent leur carte personnelle et leur avenir politique, en trahissant au besoin le mandat qu’ils ont reçu du peuple.

    BoJo, lui, a l’air de penser qu’il faut affronter le problème et il cherche, pour cela, à s’en donner les moyens. Il hérite d’une contradiction entre le peuple et ses élus, contradiction qu’il doit gérer et réduire, en amenant les parlementaires, par la persuasion ou la contrainte, à choisir la seule solution possible.

    D’une certaine façon, il est dans la situation de son modèle Winston Churchill lorsque, pendant « les heures sombres », début juin 1940, ce dernier s’était retrouvé face aux tentatives du Parlement pour lui imposer une négociation avec Hitler alors que tout montrait que cette stratégie serait vouée à l’échec. À l’inverse, la volonté populaire était claire, partisane de la fermeté.

    Nous ne sommes pas en juin 40, mais pour la Grande-Bretagne, pays indépendant et résilient s’il en est, une vraie sortie n’est pas négociable. Confronté à un dilemme semblable, entre un peuple ferme sur ses choix et un Parlement terrorisé par les possibles conséquences, BoJo trouvera-t-il, comme son grand prédécesseur, la bonne tactique ? Bien malin qui pourrait le dire, mais c’est à cet exemple du passé, certainement, qu’il doit penser.

    François Martin

    https://www.bvoltaire.fr/boris-johnson-au-bord-du-precipice-et-apres/

  • Annulation de la vente de Mistral par Paris: la Russie va fabriquer ses porte-hélicoptères en Crimée

    Annulation de la vente de Mistral par Paris: la Russie va fabriquer ses porte-hélicoptères en Crimée
    © Jean-Sébastien Evrard Source: AFP
    Un des «Mistral» qui devait être livré à la Russie par la France, le 12 juin 2016, à la sortie du port de Saint-Nazaire, en France (image d'illustration).
    La Russie a fait savoir qu'elle allait désormais construire deux porte-hélicoptères amphibies suite au refus français de respecter le contrat signé en 2011.
    Ironie du sort : ils seront fabriqués dans la ville de Kertch, en Crimée.                             
    En mai 2015, Jean-Yves Le Drian, alors ministre de la Défense, annonçait finalement que la France refusait de livrer à la Russie deux porte-hélicoptères de type Mistral, dont la vente avait été conclue en 2011 entre la DCNS/STX française et la société russe Rosoboronexport, à cause de la position russe dans le conflit ukrainien.
    Quatre ans plus tard, la Russie a annoncé qu’elle allait se lancer elle-même dans la construction de deux porte-hélicoptères.
    L’information a été révélée par l’agence de presse TASS qui cite des sources issues du secteur de la construction navale.
    La fabrication du premier bâtiment débutera en mai 2020 et devrait être achevée en 2027 d’après les mêmes sources.
    Le contrat devrait être signé «dans les prochains mois», ont-elle également fait savoir.
    Moderniser la flotte russe
    Pour le colonel Mikhaïl Khodarionok, expert sur les questions de défense pour RT, ces navires devraient venir renforcer une flotte vieillissante composée de navires amphibies qui sont de «très mauvais nageurs» et ne peuvent «débarquer des troupes que dans des criques sécurisées en eau calme».
    En outre, Mikhaïl Khodarionok estime que les défis de la guerre moderne rendent totalement «impossible» le déploiement en conditions réelles de technologies datant de l’ère soviétique.
    Ce nouveau type de navire vient donc combler cette lacune.

  • Sondage: 60% des Français voient les migrants comme une menace

    bateau migrants.jpgUne étude de l'institut Ipsos publiée ce vendredi 13 septembre révèle notamment que 65% des Français pensent qu'accueillir les migrants n'améliorera pas la situation du pays.

    Moins d'immigration et la volonté d'un leader fort... Un sondage Ipsos publié ce vendredi 13 septembre révèle notamment que 60% des Français voient les migrants comment une menace.
    Ils sont même 65% à estimer que les accueillir n'améliorera pas la situation du pays et 45% à penser que l'arrivée des migrants « prive les Français de services sociaux ». Dans le même temps, 54% des sondés estiment que les Français devraient être prioritaires dans l'attribution d'un emploi.
    [...]
    En savoir plus sur valeursactuelles.com
  • Cette gauche qui délaisse l’identité de l’Europe, par Ivan Rioufol

    ivan-rioufol

    Scandale ! Le portefeuille du commissaire s’intitule : “Protection de notre mode de vie européen“. Le Grec Margaritis Schinas vient d’être nommé vice-président de la Commission européenne en charge des migrations, par la présidente Ursula von der Leyen, issue du PPE (droite). Schinas aura en charge, a priori, de veiller à l’identité du Vieux continent. Mais pour la gauche européenne, tant de gros mots ramassés dans l’intitulé de la mission ne passent pas. “Cela fait peur de voir proposer un portefeuille sur la “protection du mode de vie européen qui inclut la migration et la protection des frontières. Nous espérons que la présidente von der Leyen ne voit pas une contradiction entre soutenir les réfugiés et les valeurs européennes“, a déclaré la co-présidente du groupe Vert au parlement européen, Ska Keller.

    Le porte-parole d’Amnesty International a dénoncé “la rhétorique de l’extrême droite“, sur le thème “les migrants menacent le mode de vie européen“. Mardi, l’entourage de la présidente s’est employé à relativiser la polémique : “La protection de notre mode de vie européen fait référence aux valeurs européennes, à savoir la tolérance, l’accueil, l’asile“. Peu auparavant, elle avait déclaré : “Notre mode de vie européen, c’est s’accrocher à nos valeurs. La beauté et la dignité de chaque être humain est l’une des plus précieuses valeurs“.

    Rien n’illustre mieux le sentiment d’abandon que partagent de plus en plus de peuples européens que cette querelle soulevée par le “progressisme”. L’indignation rappelle celle née naguère, en France, avec l’installation par Nicolas Sarkozy d’un ministère de l’identité nationale. Si la gauche est la première à soutenir les peuples exotiques quand ils résistent aux influences occidentales, elle interdit à l’Europe d’avoir de semblables préoccupations pour elle-même; elles deviennent des marques de xénophobie.

    C’est ce pêché d’orgueil des universalistes, qui laissent croire que la culture européenne aurait vocation à être exemplaire dans ses ouvertures à tous, qui affaiblit le sentiment d’appartenance à l’Union européenne. La poussée populiste puise sa dynamique dans cette gauche irénique qui se persuade que les peuples sont remplaçables. En réalité, rien n’est plus naturel pour une civilisation que de se protéger en partie de l’extérieur. Claude Lévi-Strauss l’avait rappelé dans son fameux discours (“Race et culture”) devant l’Unesco en 1971. La commission “Protection de notre mode de vie européen” n’a en soi rien de scandaleux. Mais ces mots resteront des leurres si l’UE persiste à se croire tenue, au nom de ses valeurs, à s’ouvrir à une diversité de moins en moins respectueuse de cet Occident qui se saborde en s’admirant le nombril.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 3 juillet 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Bistro Libertés avec Majid Oukacha : A-t-on le droit d’être islamophobe ?

    Ce soir, pour ce « Bistro Libertés » de rentrée, Martial Bild et les sociétaires reçoivent l’essayiste et blogueur Majid Oukacha. Parmi les thèmes abordés :

    A-t-on le droit d’être islamophobe ?

    Lors de l’Université d’été de la France Insoumise, un intellectuel marxiste a suscité une vive polémique en affirmant « le droit d’être islamophobe ». Dans une grande confusion, entre diagnostic et idéologie, les médias et la classe politique se sont emparés du débat : A-t-on le droit d’être islamophobe ?

    Entre violences et homophobie, faut-il rééduquer les supporters ?

    Depuis la reprise du championnat de France de football, les incidents liés à des comportements présentés comme homophobes se multiplient. Le gouvernement réprime systématiquement les attitudes discriminatoires suscitant, en retour, une vive réaction des clubs de supporters. Et au final, faut-il rééduquer les supporters ?

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-avec-majid-oukacha-a-t-on-le-droit-detre-islamophobe-2

  • Reportage : « Éoliennes, le vent de la colère »

    Trouvé sur Boulevard Voltaire : Les projets d’implantation d’éoliennes se multiplient un peu partout en France. Parmi les derniers projets en cours, les Hautes-Alpes. Les Hautes-Alpes, c’est pourtant le lac de Serre-Ponçon, c’est un département à la nature préservée, c’est le parc naturel des Écrins, les parcs régionaux du Queyras, des Baronnies. Une centaine d’éoliennes sont prévues. Il y a les Pyrénées, le Maine-et-Loire, le Centre-Val de Loire.

    Il y a Chartres. Même le site emblématique de la cathédrale de Chartres, premier site classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est menacé d’encerclement par des éoliennes. De nombreuses associations appellent à une manifestation, le 21 septembre prochain, pour s’opposer au projet.

    Il y a l’Ille-et-Vilaine, en Bretagne, il y a aussi la Dordogne. Le 24 août 2019, près de 600 personnes ont défilé dans les rues de la commune de Saint-Aulaye. Dans le cortège, beaucoup d’élus. Des maires, des députés, des conseillers départementaux. Il y a aussi beaucoup d’associations de protection de l’environnement (la FED, la fédération Environnement durable, Association 3D, Forces Périgord 24, Stop Éolien 16, Vent du bocage). Il y a aussi l’association Chasse, pêche, nature et traditions. Le projet qui porte sur cinq éoliennes de 182 mètres de hauteur fait hurler une bonne partie de la population dispersées sur trois communes – 94 % des habitants concernés se sont prononcés contre.

    « Une affaire d’argent »

    Pour Jean-Louis Butré le président fondateur de la FED, l’association Environnement durable, « il s’agit d’une affaire d’argent. C’est subventionné ! À partir du moment où des promoteurs installent des éoliennes sur la France, ils gagent beaucoup d’argent qui est pompé sur la facture d’électricité des contribuables français. Les fonds financiers qui alimentent les sociétés éoliennes, il y en a partout ! Il y a des promoteurs d’éoliens qui sont partis avec un milliard d’euros ! »

    Pour Julien Aubert, député LR de Vaucluse et rapporteur spécial sur le budget de l’énergie, « il y a des promoteurs qui ont des attitudes de cow-boys et qui ne disent pas toute la vérité sur la manière dont les choses se déroulent. Certains m’ont raconté qu’on leur avait proposé de l’argent pour régler un problème sans avoir à passer par des tribunaux… »

    20.000 éoliennes prévues… pas aussi « propres » qu’ont le dit ?

    Avec la loi sur la transition énergique, l’État prévoit la mise en place de 20.000 éoliennes partout dans l’Hexagone. Il en existe 8.000, actuellement, dans le pays.

    http://www.contre-info.com/reportage-eoliennes-le-vent-de-la-colere#more-59260

  • Déjà des dizaines de trains, bus, covoiturages pour venir à Paris le 6 octobre

    Déjà des dizaines de trains, bus, covoiturages pour venir à Paris le 6 octobre

    De toute la France, des moyens de transport sont réservés pour se rendre à Paris le jour de la mobilisation.

    L’AFC du Rhône propose dès à présent d’acheter une ou des places dans les bus en partance de Lyon, Villefranche et Belleville. Une partie du billet est pris en charge par l’AFC pour ses adhérents à jour de cotisation, profitez-en ici !

    De l’ouest de la France partiront également des cars : Lorient, Vannes, Locminé, Ploërmel et Guer. Pour plus d’info, contactez l’AFC du Morbihan.

    Beaucoup d’autres inscriptions en ligne sur ce site :

  • Racisme anti-Blanc : merci Thuram, merci Diallo !

    Une tribune libre de Bertrand Estienne pour Contre Info : Après les propos insultants du footballeur au QI de poule, Lilian Thuram, sur les Blancs, c’est au tour de la militante « indigéniste » [sic] Rokhaya Diallo d’en ajouter une couche.

    Dans un entretien au magazine bobo les Inrocks, tout en parlant de « fragilité blanche » face au « stress racial », elle affirme que que ce n’est pas la même chose de traiter quelqu’un de « sale Noir » ou de « sale Blanc ». Selon elle, les Blancs, par manque d’habitude, sont chancelant à la moindre évocation de la race.

    A contrario, les extra-européens auraient l’habitude de subir des discriminations, des humiliations à cause de leurs origines. Mais dans le monde selon Diallo, c’est justement par ce que nous sommes des « privilégiés » que l’insulte raciste n’est pas vraiment une offense. Passons sur l’ineptie du raisonnement, notamment sur la valeur objective d’un acte ou bien sur la contradiction qu’il renferme, pour nous arrêter sur l’essentiel.

    Grâce aux Diallo, Thuram, Dhorasoo et consort, il n’est plus possible pour un esprit qui cherche ardemment la vérité, de ne pas se rendre à l’évidence. Cette génération d’extra-européens pourtant gâtée (2 footballeurs, 1 universitaire, etc.), se retourne aujourd’hui vers la main qui l’a nourri pour la mordre à pleine dents ! L’heure n’est plus à réclamer l’égalité des droits – qui était déjà une aberration en soi – mais ils exigent désormais la soumission de l’Homme blanc.

    Si ces discours racistes ont comme bénéfice de réveiller certaines consciences, ils participent également à l’écroulement d’un mythe, celui de la conception révolutionnaire de la nationalité. Selon le dogme républicain, peu importe le sang, l’antériorité historique sur le territoire ou même les services rendus à l’Etat, ce sont les papiers qui font foi.
    Un Érythréen détenteur du RSA avec la double nationalité depuis 2 mois est « autant français » que le petit-fils d’un Poilu mort à Verdun.
    Car dans la mythologie progressiste, la race n’existe pas. Elle ne peut donc pas faire partie de l’identité d’un individu, et ne peut être un élément constitutif de l’appartenance à une nation.

    Si la race n’est pas à elle seule l’identité, si elle n’est pas non plus un absolu, elle est une part de notre héritage. Elle en est la matière, le support physique. Son altération irréversible par le métissage généralisé, signerait la disparition définitive de la France.

    C’est en ce sens que nous pouvons remercier Diallo et sa clique d’abrutis. Leur idéologie dangereuse (pour nous) et l’échos qu’en fait une certaine presse, rappellent à la réalité de doux rêveurs.
    Le « Vivre ensemble » est un mensonge, il n’a jamais existé et n’existera jamais. Si les Français de sang ne veulent pas maîtriser et dominer l’apport allogène, ce sera une partie du corps étranger qui s’emparera du pouvoir. Si les Français ne désirent pas assumer la maîtrise de leur destin, Diallo et Thuram s’en occuperont.

    Bernanos écrivait en son temps : « Peut-être le vice est-il moins dangereux pour nous qu’une certaine fadeur ? Il y a des ramollissements du cerveau. Le ramollissement du cœur est pire. »

    http://www.contre-info.com/racisme-anti-blanc-mercithuram-mercidiallo#more-59245