Entretien avec Alain de Benoist
Alors que François Hollande vient tout juste d’annoncer, depuis les États-Unis, une accélération des négociations concernant le Grand marché transatlantique (GMT), Alain de Benoist revient pour Boulevard Voltaire sur les conséquences dramatiques d’un tel Traité…
Le GMT, gigantesque zone de libre-échange entre l’Europe et les États-Unis, est le grand projet du moment. Mais les médias n’en parlent que fort peu. Pourquoi ?
Parce que l’opinion est tenue à l’écart, et que les négociations se déroulent à huis-clos. C’est pourtant une affaire énorme. Il s’agit en effet de mettre en place, en procédant à une déréglementation généralisée, une immense zone de libre-échange, correspondant à un marché de plus de 800 millions de consommateurs, à la moitié du PIB mondial et à 40 % des échanges mondiaux. Le projet porte le nom de « Partenariat transatlantique de commerce et d’investissements ». S’ajoutant au « Partenariat transpacifique » également lancé en 2011 par les États-Unis, il vise à créer la plus grande zone de libre-échange du monde grâce à une vaste union économique et commerciale préludant à une « nouvelle gouvernance » commune aux deux continents.
En créant une sorte d’OTAN économique, l’objectif des Américains est d’enlever aux autres nations la maîtrise de leurs échanges commerciaux au bénéfice de multinationales largement contrôlées par leurs élites financières. Parallèlement, ils veulent contenir la montée en puissance de la Chine, aujourd’hui devenue la première puissance exportatrice mondiale. La création d’un grand marché transatlantique leur offrirait un partenaire stratégique susceptible de faire tomber les dernières places fortes industrielles européennes. Elle permettrait de démanteler l’Union européenne au profit d’une union économique intercontinentale, c’est-à-dire d’arrimer définitivement l’Europe à un grand ensemble « océanique » la coupant de sa partie orientale et de tout lien avec la Russie.
Ces négociations se font à haut niveau, sans que les gouvernements concernés aient leur mot à dire. Nouvelle défaite du personnel politique ?
La « libéralisation » totale des échanges commerciaux est un vieil objectif des milieux financiers et libéraux. Le projet de grand marché transatlantique a discrètement mûri pendant plus de vingt ans dans les coulisses du pouvoir, tant à Washington qu’à Bruxelles. Les premières négociations officielles se sont ouvertes le 8 juillet 2013. Les deuxième et troisième rounds de discussion ont eu lieu en novembre et décembre derniers. Une nouvelle réunion est prévue à Bruxelles en mars prochain. Les partenaires espèrent parvenir à un accord d’ici 2015. Les gouvernements européens ne sont pas partie prenante aux discussions, qui sont exclusivement menées par les institutions européennes. Les multinationales y sont en revanche étroitement associées.
Sachant qu’à l’heure actuelle, quelque 2,7 milliards de biens et de services s’échangent déjà tous les jours entre l’Europe et les États-Unis, la suppression des derniers droits de douane va-t-elle vraiment changer quelque chose ?
La suppression des droits de douane n’aura pas d’effets macro-économiques sérieux, sauf dans le domaine du textile et le secteur agricole. Beaucoup plus importante est l’élimination programmée de ce qu’on appelle les « barrières non tarifaires » (BNT), c’est-à-dire l’ensemble des règles que les négociateurs veulent faire disparaître parce qu’elles constituent autant« d’entraves à la liberté du commerce » : normes de production sociales, salariales, environnementales, sanitaires, financières, économiques, politiques, etc. L’objectif étant de s’aligner sur le « plus haut niveau de libéralisation existant », « l’harmonisation » se fera par l’alignement des normes européennes sur les normes américaines.
Dans le domaine agricole, par exemple, la suppression des BNT devrait entraîner l’arrivée massive sur le marché européen des produits à bas coûts de l’agrobusiness américain : bœuf aux hormones, carcasses de viande aspergées à l’acide lactique, volailles lavées à la chlorine, OGM (organismes génétiquement modifiés), animaux nourris avec des farines animales, produits comportant des pesticides dont l’utilisation est aujourd’hui interdite, additifs toxiques, etc. En matière environnementale, la réglementation encadrant l’industrie agro-alimentaire serait démantelée. En matière sociale, ce sont toutes les protections liées au droit du travail qui pourraient être remises en cause. Les marchés publics seront ouverts « à tous les niveaux », etc.
Il y a plus grave encore. L’un des dossiers les plus explosifs de la négociation concerne la mise en place d’un mécanisme d’« arbitrage des différends » entre États et investisseurs privés. Ce mécanisme dit de« protection des investissements » doit permettre aux entreprises multinationales et aux sociétés privées de traîner devant un tribunal ad hoc les États ou les collectivités territoriales qui feraient évoluer leur législation dans un sens jugé nuisible à leurs intérêts ou de nature à restreindre leurs bénéfices, c’est-à-dire chaque fois que leurs politiques d’investissement seraient mises en causes par les politiques publiques, afin d’obtenir des dommages et intérêts. Le différend serait arbitré de façon discrétionnaire par des juges ou des experts privés, en dehors des juridictions publiques nationales ou régionales. Le montant des dommages et intérêts serait potentiellement illimité, et le jugement rendu ne serait susceptible d’aucun appel. Un mécanisme de ce type a déjà été intégré à l’accord commercial que l’Europe a récemment négocié avec le Canada.
Entretien réalisé par Nicolas Gauthier., Le 13 février 2014
Source : Boulevard Voltaire
http://www.polemia.com/gmt-comment-les-usa-vont-continuer-de-depecer-leurope/
économie et finance - Page 686
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GMT : comment les USA vont continuer de dépecer l’Europe…
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Traité transatlantique : une affaire aussi de géopolitique
C’est en Septembre dernier que la fondation Respublica organisait un colloque sur le projet de marché transatlantique, colloque auquel participaient autour de Jean-Pierre Chevènement, maître de cérémonie, Hubert Védrine, Xavier Bertrand, le journaliste Jean-Michel Quatrepoint et l’économiste Jean-Luc Gréau.
Le traité transatlantique ? Une vraie question de géopolitqiue dont il faudrait sans doute parler.
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S’il aboutit, le traité de libre-échange en cours de négociation depuis Juin dernier entre les Etats-Unis et l’Union Européenne aura des conséquences géopolitiques considérables. Raison de plus de ne pas en parler, apparemment !
« La classe politique ne s’exprime pas sur ce sujet ! La classe médiatique non plus ! », s’exclamait Xavier Bertrand (UMP), invité le 16 Septembre dernier par le Président de la Fondation Res Publica, Jean-Pierre Chevènement, à s’exprimer sur ce projet de traité aux côtés d’Hubert Védrine, ancien Ministre des Affaires Etrangères. [...]
Pascale Fournier - La suite sur Mediapart
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Traite-transatlantique-une-affaire
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Manifestation Bonnets Rouges à Brec'h ( affrontements avec les CRS à Brech le 15 02 2014 )
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Ecotaxe : la mobilisation des Bonnets rouges continue en Bretagne
RENNES (NOVOpress Breizh / Bulletin de réinformation) - A l’appel du collectif « Vivre, décider et travailler en Bretagne », plusieurs centaines de Bonnets rouges se sont retrouvés dans le Morbihan. Ils sont venus rappeler au gouvernement leurs revendications, à savoir le maintien de la gratuité des routes en Bretagne et la suppression pure et simple de l’écotaxe. Rapidement, ce rassemblement qui se devait pacifique, a tourné à l’affrontement avec les forces de l’ordre. Aux œufs envoyés par les manifestants, la police a répondu par des coups de matraque, des jets de gaz lacrymogène, ainsi que par des tirs de flashball.
Une dizaine de contestataires auraient été blessés. Il serait également établi que les forces de l’ordre ont utilisé des munitions dures, normalement interdites à moins de 10 mètres, blessant deux personnes à la tête. Une telle démonstration de force aurait été sûrement appréciée par les habitants de Rennes, lorsque les militants d’extrême gauche avaient saccagé le centre‑ville la semaine dernière.
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France à vendre : elle est belle, elle est fraîche, elle est pas chère…
La France qui se lève tôt reçue à l’Élysée ? Pourquoi pas ? Mais, en Hollandie, ce n’est guère tendance !
Qu’on se le dise, la France n’a pas vocation à se vendre au seul Qatar, prédateur qui n’a d’ailleurs plus trop la cote chez nous. Non suite au changement de locataire à l’Élysée, mais pour de simples raisons de concurrence avec BeIN Sports, la chaîne qatarie Al Jazeera… On veut bien vendre ses bijoux de famille, mais pas touche aux retransmissions des matchs de foot !
C’est pourquoi François Hollande, qui souhaite « davantage d’investissements venant de pays émergents », a accueilli à l’Élysée une trentaine d’investisseurs internationaux. Pour leur dire tout haut et leur démontrer (si possible) tout l’intérêt d’investir chez nous.
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Que de bonnes nouvelles au pays de la Liberté
M. Hollande a cherché ce 17 février à convaincre les investisseurs étrangers de venir en France.
Voici quelques nouvelles récupérées ce même jour en vrac.
Excellentes, comme vous pouvez le mesurer, elles vont sûrement contribuer à les convaincre.
Les voici en vrac :
- Claude Goasguen poursuivi après ses propos sur les jeunes musulmans français.
Le député maire UMP du 16e arrondissement de Paris estiment qu’ils «ont été drogués dans les mosquées»…
Ses mots pourraient lui coûter cher. Claude Goasguen, député maire UMP du 16e arrondissement de Paris, est cité à comparaître au tribunal correctionnel de Nîmes le 7 avril pour diffamation, révèle Midi Libre. Abdallah Zekri, président de l'Observatoire national de l'islamophobie (une émanation du Conseil français du Culte musulman), poursuit l’élu en diffamation après ses propos polémiques sur les jeunes musulmans français.(…)
→ Lire la suite sur le site de "20 minutes"
- Naïma Charaï et Mehdi Ouraoui, deux membres du conseil national du Parti socialiste, saisissent le CSA contre Alain Finkielkraut qui a prononcé les mots "Français de souche" sur France 2(…)
→ Lire la suite sur Atlantico
- Manuel Valls remet la légion d'Honneur à l'imam d'Evry Khalil Merroun lequel pense qu'il "n'existe pas de culture judéo-chrétienne occidentale" (…)`
→ Lire la suite sur le site Islamisation.fr
- Le procès intenté à l'écrivain Renaud Camus devant la XVIIe chambre (…)
→ Lire la suite sur le site Innocence.org
Rennes. Après l'émeute, les "antifas" peuvent dormir tranquille. (…)
Lire la suite sur le site du Télégramme de Brest
Et c'est dans cet excellent climat que...
- Fabius négocie avec les Saoudiens le financement du Grand Paris
Bon. Ils pourraient investir 15 milliards (…)
→ Lire la suite sur le site de Challenges
Bienvenue au pays de la Liberté et des Droits de l'Homme !
Sympathique tout ça... Non ?
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Location d'utérus : le gouvernement complice
Communiqué des Juristes pour l'Enfance :
"Il y a trois semaines, l’association Juristes Pour l’Enfance a saisi la justice face aux agissements illégaux d’une entreprise qui intervient sur le territoire français pour mettre en relation des couples et des mères porteuses en vue de conclure des contrats de gestation pour autrui. Cette action juridique est une première en France.
Cette société américaine, Extraordinary Conception, annonce depuis quelques jours sur son site Internet, via son compte twitter @conceptionFR, et sur sa page Facebook que des représentants organiseront des réunions dans les villes de Paris, Lyon, Lille, Nice et Toulouse pendant tout le mois de mars. Cette société commerciale informera des « différentes options qu’ils proposent ». Les personnes intéressées sont invitées à prendre rendez-vous via les emails mario@extraconceptions.com ou bernadette@extraconceptions.com.
Il s’agit d’une double manipulation.
- Une manipulation juridique : en annonçant de « simples réunions d’information », Extraordinary Conception tente de faire croire que cette démarche ne relève pas du délit d’entremise.
L’article 227-12 alinéa 3 du code pénal réprime l’entremise en vue d’une GPA, c'est-à-dire le fait de s'entremettre entre une personne ou un couple désireux d'accueillir un enfant et une femme acceptant de porter en elle cet enfant en vue de le leur remettre. Lorsque ces faits ont été commis à titre habituel ou dans un but lucratif, comme c’est le cas d’Extraordinary Conception, les peines sont doublées.
Or, toute publicité ou réunion d’information est de nature à caractériser la tentative d’entremise, incriminée et punie de la même peine que l’entremise elle-même (article 121-4 du code pénal)
Et dès lors que des actes préparatoires à l’infraction sont accomplis en France, la tentative d’entremise est localisée en France et peut être poursuivie en France sur le fondement de la loi française.
- Une manipulation médiatique : en se posant comme défenseur de la lutte contre les discriminations, Extraordinary Conception tente de faire croire qu’elle agit dans un but désintéressé.
Or, cette société organise avant tout un véritable démarchage commercial avec pour seul objectif, le profit. Ses intérêts financiers ne sauraient lui conférer une quelconque légitimité à discuter du bien-fondé des lois de la République.
Les Juristes pour l’Enfance demandent à la Justice, au Gouvernement et aux Parlementaires de tout mettre en œuvre pour que le droit républicain s’applique, sous peine de voir s’instaurer une véritable fraude organisée à la loi."
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Le Président n'a ni les moyens ni la volonté de dégager 50 milliards d'économies
Le propos est du sénateur socialiste Gaëtan Gorce :
"En créant un Conseil stratégique à l'Elysée on donne un maximum de visibilité à une opération qui, sur le terrain, ne débouchera que sur des ersatz. Et ceci pour une raison simple : social - démocrate, le Président appartient toujours à la Gauche et n'a nullement l'intention d'infliger au pays une diète supplémentaire. Le voudrait-il, il sait que celui-ci ne le supporterait pas. Il s'agit donc d'un leurre visant à enfumer la Commission avec laquelle la France a rendez-vous en Avril. Passé cette date, le gouvernement n'oubliera pas les engagements pris, l'Exécutif étant bien conscient de la nécessité de ne pas laisser dériver les comptes, mais il les limitera au strict nécessaire. Un accord européen en Juin sur un début de relance par l'Investissement devrait clôturer cette remarquable opération de communication."
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L’UE importe chaque année entre 300 000 et 500 000 tonnes de viande bovine issue du clonage des États-Unis et d’Argentine
Après les OGM, la Commission européenne bousculée sur le clonage
La Commission européenne a fait mercredi l’unanimité contre elle au Parlement européen pour son refus d’imposer dans l’immédiat la traçabilité des produits issus d’animaux clonés servis dans les assiettes européennes.
Déjà contesté pour sa gestion du dossier des cultures génétiquement modifiées, le commissaire à la Santé, Tonio Borg, s’est vu accusé de servir les intérêts américains par les chefs de file de tous les groupes politiques lors d’un débat en commission parlementaire sur l’environnement.
Rouvrant un dossier gelé depuis 2011, la Commission a proposé en décembre d’interdire le clonage animal à but alimentaire dans l’UE. Mais elle n’a pas prévu de bannir la vente de viande ou de lait des descendants des animaux clonés, ni d’assurer la traçabilité de ces produits, jugeant cette option irréaliste dans l’immédiat.
L’élu conservateur allemand Peter Liese a rejeté l’argument comme «inacceptable», accusant la Commission de vouloir «faire plaisir aux Américains» dans la perspective des négociations en cours pour un vaste accord de libre-échange UE-USA.
La proposition de la Commission équivaut «à externaliser» le clonage, a ironisé la travailliste britannique Linda McAvan. «Les États-Unis clonent, nous importons le sperme et nous mettons dans la chaine alimentaire, tout en gardant les mains propres, c’est cynique», a-t-elle dénoncé.
«Aucun citoyen n’a demandé à consommer de la viande issue de produits clonés», a relevé pour sa part la libérale française Corinne Lepage, plaidant pour qu’au moins la Commission impose l’étiquetage pour les produits concernés.
M. Borg a concédé que cette option n’était pas totalement exclue, mais l’a renvoyée à un examen ultérieur. Sur le fond il a campé sur ses propositions, qui doivent désormais faire l’objet de négociations entre Parlement européen et gouvernements.
Les exigences de traçabilité des élus européens avaient déjà bloqué en 2011 une première tentative de l’UE d’encadrer le clonage et la consommation des produits en découlant.
Au sein de l’Union européenne, le clonage animal à but alimentaire ne se pratique qu’au Danemark, tandis que la viande de clones n’est pas destinée à la consommation au vu de son prix très élevé. Mais les embryons et semences de ces spécimens sont commercialisés et exportés, et l’UE importe chaque année entre 300 000 et 500 000 tonnes de viande bovine issue du clonage des États-Unis et d’Argentine.
Vouloir imposer à ces partenaires une traçabilité de ces produits risquerait selon la Commission de mener à une guerre commerciale similaire à celle provoquée jadis par l’interdiction du boeuf aux hormones américain.Source : Lapresse.ca via wikibusterz : http://www.wikibusterz.com/lue-importe-chaque-annee-entre-300-000-et-500-000-tonnes-de-viande-bovine-issue-du-clonage-des-etats-unis-et-dargentine/
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GPA : un système de détournement de la loi se met en place, avec la complicité du Gouvernement
Communiqué du sénateur Bruno Retailleau :
"Quelques semaines seulement après avoir été mise en cause par l’association des Juristes pour l’Enfance, la société américaine Extraordinary Conception, qui propose à des couples français de conclure des contrats de gestation pour autrui, annonce qu’elle sera présente en France au mois de mars pour informer sur les services qu’elles proposent.
Il s’agit d’une nouvelle violation de la loi française, rendue possible par le laxisme du Gouvernement sur la GPA.
- Un mois après que le Ministère de la Justice a déclaré dans le Journal Aujourd’hui en France que les poursuites n’étaient pas possibles lorsqu’il s’agit de « réunions d’information », cette entreprise propose aux couples français qui le souhaitent « de s’informer sur les différents aspects à prendre en considération pour réaliser une GPA ». Qui peut croire un seul instant que ces soi disantes réunions d’information ne sont pas des réunions de démarchage pour inciter des couples français à conclure des contrats de GPA ?
- A ces déclarations irresponsables du Ministère de la Justice s’ajoutent la circulaire de Christiane Taubira qui favorise l’obtention du certificat de nationalité française pour les enfants nés de GPA.
La vérité, c’est qu’un véritable système de détournement de la loi est en train de se mettre en place, avec la complicité hypocrite du Gouvernement.
- D’un côté, devant la mobilisation de La Manif Pour Tous, le Gouvernement affirme qu’il n’est pas question de légaliser la GPA en France.
- Et de l’autre côté, il favorise dans les faits une impunité totale pour ceux qui font commerce du corps de la femme et de l’enfant avec la GPA.
Cette hypocrisie gouvernementale sur la GPA doit cesser : le Gouvernement doit prouver par les actes son opposition à la gestation pour autrui en prenant des mesures concrètes pour que ceux qui organisent cette pratique illégale soient poursuivis devant la justice.