Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Europe et Union européenne - Page 696

  • France relève toi par le colonel Chamagne - Meta TV 1/3

  • Le Pen vs Hollande at the European Parliament English subtitles

  • Stockholm : le plan de nettoyage « féministe » paralyse la ville

    Certains pays sont en avance sur nous dans la mise en pratique de l’idéologie du genre. C’est le cas de la Suède qui interdit déjà aux hommes, sous peine d’amende, d’uriner debout !
    Anne Dolhein de Reinformation.tv nous apprend que le pays s’enfonce un plus dans l’absurde :

    « Oui, l’idéologie du genre peut semer le chaos et créer des embouteillages monstres. Cela s’est passé à Stockholm, en Suède, où la chute de neige la plus importante depuis 111 ans a paralysé toute la circulation automobile. Normal, direz-vous : on n’a pas besoin de déranger l’idéologie du genre pour cela. Mais si ! Le plan de nettoyage de la ville en cas d’intempérie est aujourd’hui « féministe », par décision de la nouvelle équipe municipale contrôlée par une coalition des Verts et de la gauche.
    Je vous explique. Si la neige tombe également sur les hommes et les femmes, les routes et les trottoirs, l’œil avisé des politiques soucieux de l’égalité de genre savent que le trafic automobile est « dominé par les mâles » tandis que les femmes, plus adeptes de la forme et plus respectueuses de l’environnement, sont plus nombreuses à faire de la marche à pied ou à se servir de leur bicyclette.

    Déblayer la neige à Stockholm dans le respect de l’idéologie du genre

     Ce civisme évident fait qu’elles sont plus nombreuses que les hommes sur les trottoirs et les voies pour vélo. Et s’agissant d’une catégorie à protéger contre la discrimination, la solution s’impose d’elle-même : il faut déblayer avec autant d’énergie trottoirs et pistes cyclables que le macadam machiste des pollueurs.
    Hélas pour les femmes comme pour les hommes, le retard pris à dégager les artères de circulation a empoisonné la vie de chacun lors de la grosse chute de neige sur la Suède l’autre jour. Des centaines de bus – majoritairement empruntés par les femmes eux aussi – se sont retrouvés bloqués parmi les voitures. De nombreux Stockholmois ont  été contraints de se déplacer à pied sur des trottoirs et pistes pour vélos, vite verglacés : on ne compte plus les chutes.
    Pour autant, un élu municipal Vert chargé de la circulation, Daniel Helldén, estime qu’on n’en a pas fait assez dans le déblayage genré. « On constate un manque dans l’enlèvement de neige égalitaire. Il est toujours difficile de marcher sur les trottoirs – et il est important que le déblayage de la neige concerne en priorité les zones de marche, les transports publics et les pistes cyclables », dit-il.

    Stockholm paralysé par le déblayage genré

     Puis, sans rire : « Cela fait plus mal lorsque vous marchez ou faites du vélo, et que vous tombez, alors que ceux qui conduisent sont confortablement installés même s’il neige. Environ trois fois plus de piétons que de conducteurs sont blessés par ce genre de temps… Mais il y a aussi l’argument de l’accessibilité, selon lequel la ville doit être accessible à tous. La neige et la glace obligent de nombreuses personnes à rester à la maison. Surtout, elles affectent la vie des femmes qui de plus en plus, marchent et font du vélo davantage que les hommes. »
    L’idéologie du genre n’a décidément aucune raison de se laisser déranger par la réalité. »

    http://www.contre-info.com/stockholm-le-plan-de-nettoyage-feministe-paralyse-la-ville#more-42862

  • Journal du Jeudi 17 Novembre 2016 : Fiscalité / Impôt à la source : le refus des contribuables

  • Toujours plus de terroristes parmi les migrants

    Terroristes-Migrants-Chard.jpg

    Selon l’édition de dimanche du quotidien allemand Die Welt, le renseignement allemand (BND) a rendu un rapport confidentiel confirmant que l’Etat islamique entraîne ses terroristes à se fondre dans la masse des demandeurs d’asile et à répondre aux questions des autorités de manière à ne pas éveiller les soupçons. 

    Le média public pro-immigration Deutsche Welle (DW) semble lui-même reconnaître ses erreurs et cite une experte en terrorisme islamique, Susanne Schröter qui affirme : « On le savait depuis le début. […] L’EI avait annoncé qu’il enverrait des combattants en Europe par la route que prenaient les réfugiés. A ce moment-là, les politiciens niaient cette éventualité. […] Nos leaders pensaient que si nous admettions qu’il pouvait y avoir des terroristes parmi les réfugiés, cela ferait le jeu des populistes de droite et aggraverait les sentiments anti-migrants. Ils ont donc choisi de bagatelliser, ce qui n’était pas la bonne solution. »

    Mais pour ne pas reconnaître s’être trompé sur toute la ligne en harmonie avec le gouvernement allemand, DW cherche à s’en sortir en expliquant à ses lecteurs que la masse des « réfugiés » musulmans accueillis, c’est autant de gens dont la radicalisation sera rendue plus difficile que s’ils étaient restés au Moyen-Orient ! Ceci ne l’empêche pas d’avouer, pour justifier l’intensification du contrôle des communications des simples citoyens par les services allemands, que « la sécurité de l’Allemagne et de ses citoyens ne va plus de soi ». Car ce qui inquiète le BND, outre la présence de djihadistes venus spécialement avec les « migrants » en profitant de l’ouverture des frontières à l’automne 2015, c’est le recrutement de nouveaux djihadistes dans ces mêmes milieux par les musulmans radicaux déjà présents en Allemagne.

    C’est ainsi que la police allemande a conduit mardi 200 perquisitions dans tout le pays, pour fouiller les bureaux de l’organisation salafiste « Vraie religion » qui se spécialise dans la distribution gratuite d’exemplaires du Coran et, accessoirement, dans le recrutement de partisans de l’Etat islamique sur le territoire allemand. Le ministère de l’Intérieur a donc annoncé l’interdiction de cette organisation en expliquant que sa traduction du Coran servait à « diffuser des messages de haine et des idéologies contraires à la constitution ».

    Mais si c’était un simple problème de traduction du Coran, le BND ne serait pas aussi inquiet de ces centaines de milliers de demandeurs d’asile musulmans arrivés l’année dernière.

    Olivier Bault

    Article et dessins paru dans Présent daté du 17 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Populisme. À gauche aussi… par Georges FELTIN-TRACOL

    Samedi 26 novembre à Strasbourg, vous êtes pris !

    Invité par le GUD – Alsace à 17 h 30, Georges Feltin-Tracol tiendra une conférence sur « Abattre l’UE pour sauver l’Europe ». Il dédicacera ensuite ses derniers ouvrages. PAF : 5 euros.

    Venez nombreux !

    Chers Amis de Radio-Libertés,

    Le Système le ressasse jusqu’à la satiété. Cumulant des facettes conservatrices, traditionalistes, réactionnaires, nationalistes, rétrogrades, une vague populiste irrésistible se répand en France, en Allemagne, en Italie, en Suisse, en Grande-Bretagne, en Belgique et même aux États-Unis. Or ce soi-disant mal politique pernicieux, qui n’est pas une idéologie mais plutôt une sensibilité politique, ne se limite pas aux seules « droites radicales ». Il se manifeste aussi à gauche.

    En Grèce, avant de se plier avec complaisance au joug germano-bancaire de la sinistre Troïka, Syrizaen symbolisait la version hellénique. En France, Jean-Luc Mélanchon s’affirme en candidat de la « France insoumise » et prend des accents buissoniens au sujet des travailleurs détachés et des migrants. En Allemagne, bien que désavouée, la députée fédérale du parti Die Linke, Sahra Wagenknecht, maintient ses vives critiques de mai 2016 contre la folle politique migratoire de Merkel. En Grande-Bretagne, Jeremy Corbyn vient de remporter une victoire éclatante qui renforce sa légitimité à la tête du Parti travailliste en dépit d’une tentative d’éviction fomentée par des parlementaires déconnectés des milieux syndicaux et populaires. Républicain, pacifiste, végétarien, anti-OTAN, pro-Palestinien et eurosceptique convaincu, Corbyn approuve l’immigration, défend l’unification de l’Irlande et met dans les poubelles de l’histoire l’infâme blairisme social-libéral. Quant à la Belgique, elle pourrait voir en 2018 l’entrée au Parlement du Parti du Travail, l’ultime formation néo-maoïste d’Europe. En Islande, les législatives anticipées du 29 octobre dernier ont vu l’entrée en force des dix députés du Parti pirate. Inventé en 2006 en Suède, le terme recouvre souvent des intérêts politiques variables selon les pays.

    Mais c’est en Espagne où le populisme de gauche demeure le plus fécond. Sur cette vieille terre anarchiste, cet « autre populisme » se décline en plusieurs variantes : ethno-communistes chez les Basques proches d’ETA; indépendantiste radicale pour la CUP (Candidature d’unité populaire) catalane; sociale et protestataire avec Podemos. Aux législatives de décembre 2015, la formation de Pablo Iglesias effectua une véritable percée, suite à une campagne résolument tournée contre l’Établissement. Aux législatives suivantes de juin 2016, ce parti perdit plusieurs milliers de voix, car Iglesias s’était associé à La Gauche unie, l’antique coalition écolo-communiste, et renoncé à tous propos trop virulents. Cependant, la crise interne qui secoue les socialistes espagnols entre une direction révoquée, hostile à tout compromis avec la droite, et des barons locaux prêts à des concessions, pourrait relancer Podemos et en faire la future opposition à Mariano Rajoy.

    Le populisme de gauche s’est enfin trouvé sa théoricienne, la philosophe belge Chantal Mouffe qui a déjà contribué à la revue Krisis d’Alain de Benoist. Avec son compagnon aujourd’hui décédé, l’Argentin Ernesto Laclau, elle a posé les bases théoriques d’un populisme de gauche. Chantal Mouffe qui se réfère à Carl Schmitt, admet proposer « un populisme de gauche, affirme-t-elle dans Fakir (septembre – octobre 2016), avec un “ nous ” qui inclut les immigrés, mais qui pointe comme adversaires les multinationales, les grandes fortunes, “ ceux d’en bas ” contre “ ceux d’en haut ” ». Sa suggestion est hélas bien trop limitée. Hormis le cas particulier italien, le populisme, comme toutes les manifestations politiques de la Modernité, conserve une malencontreuse et incapacitante hémiplégie.

    Bonjour chez vous !

    Georges Feltin-Tracol

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 8, diffusée sur Radio-Libertés, le 10 novembre 2016.

    http://www.europemaxima.com/populisme-a-gauche-aussi-par-georges-feltin-tracol/

  • Donald Trump, Marine Le Pen et une période d’incertitude

    C’est un nouveau monde qui s’ouvre devant nous. Ou du moins, pour ces médias qui n’ont rien vu venir, chaque jour ressemble un peu plus à une exploration de la Terra Incognita que représente maintenant chaque consultation du peuple souverain. Malheureusement pour eux, l’année n’est pas finie et celle qui suit promet, là encore, tant de douloureux rebondissements possibles qu’on sent poindre chez les gentils animateurs du Camp du Bien comme un petit vent de panique.

    Bien sûr, ce vent de panique s’explique facilement compte-tenu des bouleversements que le nouveau venu provoque : Trump voulant renoncer à certains traités internationaux, cela explique les réactions outrancières de tant de journalistes et de politiciens qui, pourtant, voudraient bien qu’on renonce à certains traités internationaux. Trump étant isolationniste, tous nos journalistes, régulièrement épris d’anti-américanisme, tremblent de peur à l’idée que l’Amérique s’isole et qu’il n’y aura peut-être plus de bombardements au Moyen-Orient, ou quelque chose comme ça…

    Bref, la confusion règne en maître et on comprend sans mal que Trump au lieu de Clinton, ça bouscule non seulement du chaton, mais ça froisse autant la génération 68, qui jacasse chez nous, qu’elle « trigge » la génération Flocon de Neige outre-Atlantique.

    Mais surtout, stupeur et cassoulet froid, cela remet sur la table l’hypothèse d’une accession de Marine Le Pen au pouvoir ! Eh oui : dans l’esprit simple (simplet ?) de la classe médiatique et politique actuelle, puisque Donald Trump a été taxé de populisme et qu’il en va de même en France avec Marine Le Pen, puisque le Donald est (évidemment) un gros fasciste et qu’on sait que la Marine est (évidemment) une grosse fasciste, ce qui est arrivé à l’un pourrait (évidemment) arriver à l’autre.

    Horresco referens, les journaux de gauche tremblent. HuffingtonPost, L’Express, l’Obs, et même le petit dernier avatar payé avec vos sous, FranceTVinfo.

    L’analyse des chroniqueurs politiques de nos superbes médias sur-subventionnés est d’ailleurs validée, sans souci, par rien moins que Le Président De La République Fromagère Française puisque, comme le rapporte le Monde, même pour François Hollande, la victoire de Trump « ouvre une période d’incertitude »

    Eh oui : initialement, tout le monde a interprété les bredouillis hésitants du petit rondouillard comme un jugement personnel du chef de l’État français à l’égard du nouveau locataire de la Maison Blanche, qui serait, dans cette hypothèse, facteur d’agitation ou d’inquiétude dans le monde et dans son pays. Peut-être. Mais surtout et avant tout, la vraie pensée du politicien est que Donald Trump incarne un vote jusqu’à présent impensable par la classe jacassante qui devient possible, et qui ne se transpose que trop bien en France en laissant entrevoir un vote majoritaire pour Marine Le Pen.

    Or, ça, c’est de l’incertitude qui pèse bien plus que tout le reste sur les épaules boudinées du petit François : se représenter, même avec 4% de satisfaits, il peut encore le faire, d’autant qu’il a été hontectomisé très jeune. Cependant, Trump élu, c’est aussi prendre le risque de faire élire Marine Le Pen, au deuxième tour, en face de lui… Et pour Hollande, devoir perdre devant Marine Le Pen, voilà qui serait une humiliation sans borne, d’autant qu’il ne commence que maintenant à intégrer cette possibilité, palpable, dans ses petits calculs politico-politiciens.

    Bref, il apparaît à présent que les médias et la classe politique prennent violemment conscience que tout pourrait ne pas se dérouler comme prévu pour eux.

    Cependant, comparaison n’est pas raison. Marine Le Pen n’est pas Donald Trump, loin s’en faut.

    Oh, certes, l’un et l’autre personnage ont tous les deux une vision bien arrêtée de ce qu’il faudrait faire concernant l’immigration. L’un et l’autre ont expliqué assez clairement ce qu’ils pensent être bon en matière de protectionnisme. Et tous les deux n’ont jamais eu l’occasion d’exercer un mandat présidentiel. Pour Trump, on va donc pouvoir jauger en grandeur réelle de sa détermination et de sa capacité à tenir ses promesses. Pour Le Pen, l’élection n’est pas encore dans la poche.

    En effet, si Donald peut se targuer d’avoir bâti un empire, et d’en avoir le cuir tanné, ce n’est pas du tout le cas de Marine qui est bel et bien une politicienne jusqu’au bout des ongles. La carrière politique de l’une aura bien du mal à faire oublier la carrière industrielle et financière de l’autre. Si le second a pu se réclamer du peuple, et savoir de quoi il parlait lorsqu’il évoquait l’entreprise et le capitalisme, le sujet promet d’être ardu pour Marine qui ne connaît ni l’une, ni l’autre.

    D’autre part et plus fondamentalement, on comprend lorsqu’on lit le programme de Trump que malgré une tendance étatiste indéniable et largement présente dans ses propositions, il lui apparaît nécessaire de diminuer le poids des impôts, des taxes, et d’une législation galopante (sa proposition de ne créer une nouvelle loi qu’avec l’assurance d’en supprimer deux anciennes est une bonne idée, par exemple). N’imaginez même pas voir un jour ce genre de propositions dans le giron du FN ou de la part de Marine Le Pen : l’étatisme y est puissamment implanté.

    Enfin et surtout, la structure du vote français est fondamentalement différente du vote américain ce qui a permis à Trump de se jouer du système qu’il connaît bien. Le vote français, direct et en deux tours, signifie que la candidate du Front National devra rassembler bien au-delà de sa famille pour espérer l’emporter. Concrètement, elle devra viser 18 millions de votants, soit, grosso modo, trois fois son score actuel (modulo une abstention à peu près équivalente aux autres scrutins). Autrement dit, s’il y a un effet Trump en France, Marine Le Pen a peu de chance d’en bénéficier à moins d’une abstention record.

    Il semble encore bien trop tôt pour déterminer de quoi l’élection présidentielle française sera faite. D’ici mai 2017, de nombreux paramètres sont encore incertains. Trop nombreux sont les candidats sur les rangs, et certains ne se sont toujours pas déclarés.

    En outre, la dynamique des votes peut se modifier grandement en fonction du contexte économique ou international ; en cela, l’élection de Trump apporte, elle aussi, son lot d’incertitudes, comme le dirait Pas De Bol Hollande. La situation internationale peut s’améliorer ou s’embraser, accroissant le risque d’attentats en France, ce qui modifierait certainement l’opinion publique et obligerait les candidats à se positionner plus crûment sur des sujets éminemment glissants, électoralement parlant. La situation économique peut s’améliorer ou (Pas De Bol) continuer à se détériorer, accroissant le mécontentement des Français pour l’équipe en place ou les demi-mesures palotes proposées par nos candidats sépias.

    En tout cas, il paraît donc particulièrement hasardeux de faire un rapprochement entre l’élection d’un magnat de l’immobilier au discours populiste plutôt conservateur et une politicienne de carrière au discours carrément socialiste.

    Bien sûr, si les médias, dans leur immense clairvoyance, tiennent les mêmes discours, observent le même comportement général vis-à-vis de Marine Le Pen et de ses électeurs que ce que furent ses discours et ses comportements pour les électeurs du Brexit ou ceux de Trump, si la déferlante d’imbécilité et de remarques contre-productives est la même, alors oui, le résultat final pourrait être surprenant. Les pleurs et les grincements de dents auront ensuite beaucoup de ressemblance avec ce qu’on peut voir aux États-Unis ces derniers jours.

    Ainsi, si nos médias se contentent de jeter l’anathème sur Marine Le Pen et ses électeurs, pourtant de plus en plus nombreux, en insultant copieusement ceux qui votent pour elle, ils ont toutes les chances de ne surtout pas aborder les problèmes de fond, bref, de refaire exactement les mêmes erreurs que celles qui furent faites en Grande-Bretagne puis aux États-Unis.

    J’écrivais dans un précédent billet que les leçons pour les médias ne seront pas tirées, les comportements ne seront pas adaptés et que la grille de lecture restera la même. Et partant, la trajectoire étant la même, obtenir un résultat totalement différent de ce à quoi tout le monde s’attend ne semble plus improbable. Ici, on pourrait gloser à bon compte sur Juppé, LE candidat « proposition des médias » par excellence : jolie surprise et beau pied-de-nez s’il ne passait pas le second tour de la primaire, n’est-ce pas ?

    Autrement dit, si rien ne change, au contraire de ce que prétend François Hollande, une surprise (de tout ordre) n’est pas incertaine, elle est plutôt garantie sur facture.

    Source

    http://www.voxnr.com/5979/donald-trump-marine-le-pen-et-une-periode-dincertitude