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Europe et Union européenne - Page 901

  • La Hongrie menace de quitter l’UE

     

    Un nouveau scandale a éclaté cette semaine dans la noble famille européenne. La Hongrie a menacé de se retirer de l’UE. Le président du parlement hongrois Laszlo Kövér a fait comprendre que si Bruxelles dictait à la Hongrie la façon de gouverner le pays, elle pourrait quitter l’UE.

     

    La question des sanctions antirusses et la demande de réformes intérieures adressée par l’UE à la Hongrie, poussent de plus en plus souvent les politiques de Budapest à réagir très vivement. Si auparavant, ces réactions ne concernaient que des politiques bruxellois concrets, il s’agit cette fois de l’ensemble de l’UE. Les conflits opposant Bruxelles à Budapest éclatent de plus en plus souvent depuis quelques années et portent la plupart du temps sur la politique intérieure appliquée par la Hongrie qui refuse de réduire son programme social et n’est pas prête à adapter son système politique aux normes de l’UE.

    Iouri Bondarenko, directeur du Centre russo-polonais « Dialogue et Concorde », estime que le « divorce » que la Hongrie est en train de consommer avec l’UE et l’OTAN, coule de source :

    « Je crois que la Hongrie finira par se retirer de l’UE de son plein gré ou y sera contrainte. Je ne peux rien dire au sujet de sa participation à l’OTAN parce que cela dépend de l’évolution de la situation en Ukraine mais son retrait de l’Alliance n’est pas à exclure non plus. C’est que la classe politique hongroise est déterminée à défendre les intérêts nationaux qui vont à l’encontre de ceux de Bruxelles. »

    Ces derniers temps, Bruxelles critique de plus en plus vivement Budapest au sujet de sa position concertant les sanctions antirusses. La politique menée par l’UE est qualifiée de contreproductive en Hongrie qui refuse de s’y joindre. Selon Laszlo Kövér, « si Bruxelles nous dicte comment gouverner le pays, il s’assimilera à Moscou avant la chute du régime en 1989 ». Fait paradoxal, Budapest estime actuellement que les relations avec Moscou sont plus prometteuses que celles qu’il entretient avec Bruxelles. Kövér avait également souligné que le fait même d’être membre de l’UE et de l’OTAN n’était pas un problème pour la Hongrie mais que par contre « l’attitude spéciale » de Bruxelles envers ses affaires intérieures devenait de plus en plus importune au fil des ans. [....]

    La suite sur La Voix de la Russie

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-Hongrie-menace-de-quitter-l-UE

  • Ukraine : l’Europe à la remorque des Américains

    Le comportement chaotique et ambigu de la diplomatie des membres de l’Union européenne traduit l’absence totale de vision géopolitique de celle-ci.   

    Le conflit qui se déroule depuis plusieurs mois en Ukraine est une parfaite illustration d’une constante de la géopolitique anglo-saxonne : s’opposer par tous les moyens à la constitution d’un bloc continental euro-russe.

    Cette stratégie très ancienne – elle remonte, en effet, au XVIIIe siècle, a été théorisée dès 1904 par H.J. Mackinder et complétée, beaucoup plus tard, par N. Spykman – s’est manifestée dans la politique de « containment » (« endiguement »), définie pendant la guerre froide par John Foster Dulles et appliquée sans interruption depuis lors. Elle est sous-jacente dans la pensée de Zbigniew Brzeziński telle qu’elle est exprimée dans Le Grand Échiquier. C’est elle qui inspire également le récent article de George Soros publié dans la presse européenne le 24 octobre dernier et qui présente l’Union européenne, selon ses propres termes, comme « de facto en guerre ». L’arrimage de l’Ukraine à l’Occident, son intégration dans l’OTAN et dans l’Union européenne sont alors conçus comme des moyens de déstabilisation et, à terme, de dislocation de la Russie.

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  • La Novorossiya martyrisée élit ce dimanche ses représentants politiques. Vidéo accablante

    La campagne électorale dans le Donbass

    Elle s’est terminée hier soir pour des élections qui auront lieu demain dimanche 2 novembre 2014. Il s’agit pour les Novorusses d’élire les représentants de la Novorossiya qui a fait sécession d’avec l’Ukraine, suite au coup d’Etat de Kiev d’avril 2014 qui privait les habitants de l’Est, entre autre, de la reconnaissance de leur langue, le russe. S’en est suivi l’agression militaire brutale des autorités de Kiev.
    La Novorossiya n’a pas pour le moment de représentants démocratiquement élus. Les frontières du nouvel Etat 
    doivent s’établir sur la ligne de front qui sépare les deux parties belligérantes conformément aux accords de Minsk.

    A Donetsk, le poste de président de la république est brigué par Alexandre Zakhartchenko, Iouri Sivokonenko et Alexandre Kofman. A Lougansk ce poste sera disputé par le président sortant Igor Plotnitski, Oleg Akimov, Larissa Aïrapetian et Viktor Penner. Les Novorusses doivent également élire leurs parlementaires. Les deux républiques ont conclu, début septembre, un accord d’union.

    La Russie reconnait et appuie le bienfondé de ces élections, contrairement aux avis de Ban Ki Moon, le secrétaire général de l’ONU, de l’UE et des USA qui lui ont demandé de ne pas les reconnaître. Cela n’empêche nullement l’affluence des observateurs sur place:

    « 51 observateurs étrangers sont déjà enregistrés pour les élections. Il y a des observateurs en provenance de Russie, de Serbie, du Monténégro. A notre surprise, il y a beaucoup d’observateurs de l’Union européenne, il y a même un député européen. Parmi les observateurs, il y a aussi des Américains », a annoncé vendredi, Roman Liaguine, le chef de la Commission électorale centrale (CEC).

    Les bruits en provenance de Kiev s’intensifient pour alerter les autorités novorusses sur d’éventuels sabotages durant le déroulement du scrutin. Alertes analysées sur place comme des provocations pour empêcher les élections. Le vice premier ministre de Donetsk, Alexandr Pourguine déclarait hier vendredi au cours d’une conférence de presse:

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  • La vidéo de l’aveu! – Les Français vont payer la facture de l’Ukraine!

    Français et Allemands, à vos porte-feuilles! La France est grande, elle est généreuse sur le dos des contribuables!

    Alors que l’oligarque Arseni Iartsienouk, inféodé à Washington, vient d’être reconduit à son poste de Premier Ministre par Pietro Porochenko qui remporte les élections en Ukraine d’une très courte tête devant lui, ce n’est pas Washington qui paiera la note de gaz d’une Ukraine corrompue jusqu’à la moelle, mais bien les Français et les Allemands!
    Les Ukrainiens vont donc se chauffer sur notre compte! C’est peut-être ce que voulait dire Ségolène Royale lorsqu’elle déclarait que les augmentations de la facture EDF  ne concernaient pas la transition vers les énergies renouvelables… Mais alors que concerne-t-elle cette augmentation de 2,5% (ENOOORME!)?

    Parmi les gabegies, le cadeau que nos gouvernants viennent de faire à l’Ukraine pour les beaux yeux de Washington, est-il compris dans la note ? Il faut craindre que non! Nous ne sommes pas au bout des augmentations!

    Vidéo fort éloquente de ce qui nous est soigneusement caché, de l’aveu même de Iartseniouk et du ministre des affaires étrangères de Russie: Sergeï Lavrov, avec une petite entrée en matière par un journaliste allemand!  A vos porte-feuilles!

    E.D.

    http://www.medias-presse.info/les-francais-vont-payer-la-facture-de-lukraine/17357

  • Sécu : quand on est tout seul, on est toujours le meilleur

    L’article de Christophe Servan sur les Français qui quittent la Sécurité sociale mérite de larges commentaires.

    1) Ils ne seraient que 472 selon les chiffres de cet organisme ; mais pour le fréquenter professionnellement depuis des décennies, je suis bien placé pour savoir qu’il est aussi expert en manipulation de chiffres que le ministère de l’Intérieur pour la Manif pour tous, par exemple…

    2) Les contestataires ne sont pas « farouchement pro-européens et partisans d’un libéralisme extrême », mais simplement des gens désireux de jouir d’une liberté reconnue dans la majorité des pays civilisés, et tirer des textes européens le peu qu’ils ont de bon.

    3) La controverse n’est nullement tranchée, et « l’obligation de s’affilier » n’est contestée par personne, pas plus que celle d’assurer sa voiture…

    4) Conséquemment, il n’est nullement « normal dans un État de droit » d’engager contre eux des poursuites judiciaires, d’autant que les tribunaux des affaires de Sécurité sociale sont évidemment juges et parties. Curieusement, on vient de voter le durcissement de la loi punissant ceux qui inciteraient à l’évasion, alors que la loi ancienne n’a jamais été appliquée à personne.

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  • Hongrie : le Jobbik confirme sa percée aux élections locales

    Alors que la presse officielle se félicite des résultats du vote organisé par les pro-UE et pro-Otan ukrainiens, relativement peu d’informations ont filtré sur le vote hongrois de la semaine dernière.

    Le parti nationaliste Jobbik (Mouvement pour une meilleure Hongrie) a réalisé des résultats importants lors de ces élections municipales remportées par le parti Fidesz du Premier ministre Viktor Orban, pourtant considéré comme “ultra-nationaliste” par les médias occidentaux.

    Le Jobbik est arrivé deuxième dans 18 des 19 comtés et a pris le contrôle de 14 villes, largement devant les socialistes (comme aux élections européennes de mai) mais tout de même à la traine derrière le parti actuellement au pouvoir. Ces bons résultats restent néanmoins en deçà des ambitions affichées par son leader Gabor Vona.

    Le Fidesz a de son côté a remporté le scrutin dans la capitale, Budapest, partout sauf dans six quartiers, et son candidat Istvan Tarlos a été réélu. Fidesz a une majorité de deux tiers au Parlement et ce scrutin local a consolidé sa position politique. Il est arrivé en tête dans pratiquement toutes les grandes villes du pays et démontrant à nouveau le soutien important de la population à son égard.

    Le Jobbik est ainsi le troisième parti du pays.

    “En 2018, Jobbik dirigera ce pays”, a déclaré Gabor Vona à ses partisans qui l’acclamaient à Budapest à l’annonce des résultats des dernières élections. Mais dépasser le Fidesz sera compliqué : le Premier ministre en poste, Viktor Orban, a récupéré les principales positions eurosceptiques du Jobbik.

    Il est à noter que la victoire la plus spectaculaire de ces élections pour le Jobbik est la prise de la grande ville industrielle du nord, Ozd, où vit une importante population rom.

    Ce parti commence à séduire de plus en plus les classes moyennes déçues de la politique économique du parti en place et des contraintes imposées par l’UE.

    Source BBC News Europe

  • Les évêques de Croatie dénoncent la « révolution inhumaine » qu’est l’idéologie du genre

    Croatie – Les évêques ont publié un communiqué qui tranche avec la mollesse de l’épiscopat français. Les évêques croates dénoncent l’idéologie du genre, tentative pour installer une « révolution inhumaine » et expression ultime de la révolution sexuelle entamée au vingtième siècle.

    La 49e session plénière de la Conférence des évêques de Croatie a appelé « toutes les personnes de bonne volonté » à résister à ce «danger qui menace l’homme et son avenir sur la terre. »

    «(…) l’idéologie du genre est devenue une sorte de dictature spirituelle qui (…) impose sa révolution anthropologique », dénoncent les évêques dans cette déclaration, intitulée «Homme et Femme il les créa».

    Les évêques croates ont également annoncé se préparer à la Deuxième rencontre nationale croate pour la famille catholique, qui se tiendra le 19 avril 2015. La rencontre aura pour thème « La famille! Le porteur de la vie, l’espoir et l’avenir de la Croatie« .

    Il y a un an, l’écrivain croate Josip Horvaticek, défenseur de la Famille, déclarait au journal italien La Nuova Bussola Quotidiana, que la menace de ces idéologues du genre n’a d’égal dans l’histoire que celle de la dictature communiste. Il a aussi rappelé que le nouveau gouvernement de gauche de l’ «ex-communiste» Zoran Milanovic travaille à systématiquement marginaliser l’Église, même si la population est très catholique.

    Les évêques croates ont également annoncé se préparer à la Deuxième rencontre nationale croate pour la famille catholique, qui se tiendra le 19 avril 2015. La rencontre aura pour thème « La famille! Le porteur de la vie, l’espoir et l’avenir de la Croatie« .

    http://www.medias-presse.info/les-eveques-de-croatie-denoncent-la-revolution-inhumaine-quest-lideologie-du-genre/17294

  • De plus en plus de Français quittent la « Sécu ». Le système est-il dépassé ?

    La France a-t-elle intérêt à abolir le caractère obligatoire de l’Assurance publique comme en Allemagne en Autriche ou aux Pays-Bas ?   

    Cette question, vous l’avez certainement entendue poser dans les media, ces derniers mois, et de ce fait, elle peut vous sembler légitime. Pourtant, formulée de cette façon, elle est déjà partiellement mensongère car il est faux de dire que, de plus en plus, de Français ont choisi cette démarche. Selon les chiffres arrêtés au 30 septembre dernier, seuls 472 français sur près de 60 millions d’assujettis avaient été identifiés dans cette situation. Même si leur nombre exact est probablement supérieur à celui-ci, autant dire que c’est un non-événement, un phénomène anecdotique qui ne mériterait pas une ligne s’il n’avait pas été orchestré, dès l’origine, dans un but politique par des lobbys farouchement pro-européens et partisans d’un libéralisme extrême.

    Ces Français qui relèvent tous du régime social des indépendants (qui compte 3 millions d’assujettis), puisqu’il est le seul qui fonctionne sur une base déclarative, s’exposent aujourd’hui à des poursuites judiciaires ce qui est parfaitement normal dans un État de droit. Cette controverse née de l’apparente contradiction entre les textes a, en effet, été tranchée, une première fois par la Cour de justice européenne dans un arrêt du 16 mai 2006 (« Le droit communautaire ne porte pas atteinte à la compétence des États membres pour aménager leur système de Sécurité sociale » et une seconde fois par la Commission européenne, le 28 octobre 2013 : « Dans l’état actuel du droit européen, et en l’absence d’une harmonisation, les États membres restent libres d’aménager leur système de Sécurité sociale, y compris en ce qui concerne l’obligation de s’affilier ». Fermez le ban !

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  • Le président du Parlement hongrois évoque une sortie de l’UE…

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Le président du Parlement hongrois, Laszlo Köver (co-fondateur et membre de la direction de Fidesz), a déclaré vendredi que si Bruxelles voulait dire à un pays comment il doit être gouverné, alors elle ressemblerait à Moscou avant le changement de régime. Et si telle est la direction que devait prendre l’UE, alors la Hongrie devrait envisager de la quitter. Mais ce n’est qu’un scénario de cauchemar, a-t-il ajouté, disant qu’il doutait qu’on en arrive à ce point.

    Cette déclaration n’est pas passée inaperçue… Le parti de gauche E-PM a demandé à Viktor Orban de recadrer Köver, dont les propos sont contraires aux intérêts nationaux, et a signifié au Premier ministre qu’il était temps qu’il décide si l’avenir du pays est du côté de Bruxelles ou du côté de Moscou. Et le parti libéral a qualifié le propos de « grave erreur », alors que six personnalités hongroises sont interdites de visa aux Etats-Unis. Cela dit, le parti libéral, c’est 5 députés, et E-PM, 1 député."

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le renseignement allemand préfère traquer les néonazis plutôt que les islamistes

    D'après le Frankfurter Allgemeine, qui a recueilli les confidences d'un agent du Verfassungsschutz (le bureau fédéral de protection de la Constitution), les services allemands de renseignement sous-estiment sensiblement le nombre de musulmans partis faire le djihad en Syrie et en Irak :

    "« Nous devrions multiplier par quatre le chiffre officiel pour obtenir un nombre réaliste ». Les services allemands de renseignement annonçaient 400 ressortissants musulmans partis au djihad, pour l’informateur leur nombre serait très proche de 1 800. Tout comme en France, cette sous-évaluation serait due au manque de personnel ou, plus exactement, à l’affectation des personnels disponibles à la traque des néo-nazis... Les déplacements de ces islamistes allemands vers les théâtres d’opérations de Syrie et d’Irak sont facilités et rendus impossible à contrôler du fait qu’il n’est pas nécessaire d’obtenir un visa pour se rendre d’Allemagne en Turquie. Selon Hans-Georg Maassen, patron du Verfassungsschutz, l’Allemagne pourrait compter, d’ici à la fin de l’année, près de 7 000 Salafistes, et elle héberge déjà quelque 950 membres actifs du Hezbollah..."

    Louise Tudy http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html