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Europe et Union européenne - Page 904

  • Mikhaïl Khodorkovski : le joker de la CIA contre la Russie

    Ex: http://www.gfaye.com

    Les médias occidentaux font actuellement de ce personnage peu clair un héros, une icône virginale, symbole de la résistance contre la ”dictature” de Poutine. En réalité, c’est un pion dans la stratégie de l’administration de Washington pour affaiblir et subvertir la Russie. Retour sur le parcours d’un imposteur.

    Le faux martyr

    Mikhaïl Borissovitch Khodorkovski était jadis le tout puissant PDG milliardaire de la compagnie pétrolière post-soviétique Ioukos. Il fut jugé, condamné et emprisonné pour fraude fiscale. Immédiatement, tous les médias occidentaux ont raconté que c’était un procès politique et que ce nouveau Soljenitsyne avait été envoyé au « goulag » parce qu’il faisait partie de l’opposition ”libérale” à Vladimir Poutine. Argument sans preuves et ridicule, fabriqué par la propagande de la CIA : en effet, bien d’autres ”oligarques” ploutocrates corrompus et fraudeurs ont été incarcérés alors qu’ils ne faisaient pas de politique et, d’autre part, des centaines de personnalités russes, des opposants politiques à Poutine, vivent tranquillement et parlent librement sans jamais avoir étés inquiétés par la justice. De plus, en quoi, M. Poutine, qui a été élu à deux reprises par une majorité écrasante de son peuple (”par fraude !” dit, bien sûr, la propagande) aurait-il besoin de faire incarcérer ses opposants ? Si M.B. Khodorkhoski s’était présenté à la présidentielle, il n’aurait même pas obtenu 5% des voix.

    M. Poutine a, par l’équivalent de notre droit de grâce présidentiel, fait libérer Khodorkovski avant les Jeux olympiques d’hiver de Sotchi. On a, bien sûr, répété partout que c’était un cynique moyen d’apparaître humain et magnanime pour éviter le boycott des Jeux. Où sont les  preuves  de ces allégations ? Une fois libéré,  M. Khodorkovski se lance, avec  l’aide de ses amis américains, dans une violente campagne internationale contre Poutine, contre son propre pays, la Russie et sa nouvelle politique de renaissance identitaire, d’indépendance et de puissance.

    Entretemps, la crise ukrainienne a commencé. Provoquée par Washington et une UE aux ordres, elle vise à museler la Russie en relançant la guerre froide et, à terme, à renverser le régime de Poutine – et tout autre régime patriotique et populaire qui lui succéderait – au profit d’un régime de type  ”eltsinien” entièrement soumis à Washington, c’est-à-dire ”démocratique occidental”. Neutraliser la renaissance russe est l’objectif principal – et normal – des dirigeants US. On choisit donc Khodorkovski, collaborateur des intérêts américains, comme l’emblème de la ”résistance russe” à Poutine et candidat de la CIA à sa succession.

    L’agitateur intrigant

    M. Khodorkoski multiplie les conférences aux USA ; il est l’invité des galas de l’ONG Freedom House, filiale de la CIA, qui le payent très largement. Il a obtenu des entretiens au State Department  (Ministère des Affaires étrangères), il a été reçu à la Maison-Blanche et au Congrès. Il est devenu la coqueluche de tout le lobby washingtonien anti-Poutine. Les USA seraient-il sa nouvelle patrie ?

    Quelles sont les idées de M. Khodorkovski et qu’il répand dans tous les médias américains et européens, avec une extraordinaire prétention à faire parler de lui ? Tout d’abord, que le régime de Poutine est une dictature qui opprimerait le peuple russe CQFD ; ensuite qu’il menace la sécurité de l’Occident et du monde et qu’il risque de provoquer une Troisième guerre mondiale. (Au fait, M. Khodorkovski n’a pas pensé à la menace extraterrestre ?)

    Outre ses conférences aux États-Unis, M. Khodorkovski  se rend en Ukraine pour prêcher la bonne parole contre la Russie actuelle de Poutine. Il se présente, ne doutant pas de son génie et de sa hauteur morale, comme une alternative à Poutine, au Kremlin, à la tête d’une future Russie. Il est entouré d’un service de presse et de relations publiques international. Son organisation ”Russie ouverte” (1) – qui est une antenne de la CIA – mène en Russie une campagne de propagande pour lancer un mouvement d’opposition. Dans ses interviews (en France au Monde et au Figaro), il assène le même discours : le régime actuel, despotique, impérialiste et corrompu, va s’effondrer, donc il faut être prêt ; il qualifie ainsi la popularité de Poutine : « le pouvoir bénéficie aujourd’hui d’un soutien hystérique parce qu’il utilise la carte nationaliste en surfant sur la crise ukrainienne ».

    Inversant la réalité, il prêche, se présentant comme ”patriote” alors qu’il est un agent des desseins de Washington  : «  rompre avec l’Ouest est un pas dangereux pour la Russie qui la couperait de son identité culturelle » : ou bien : « les vrais patriotes russes doivent dire la vérité, la guerre en Ukraine a pour seule motivation de préserver un régime moribond » ; il entend être celui qui «  permettra au peuple de réaliser l’exploit nécessaire pour sauver la Russie ».  Ou bien encore, cette prédiction ridicule : « ceux qui en Occident font semblant de ne pas comprendre l’enjeu de l’Ukraine ont tort. Ils ne veulent pas voir le danger de l’agressivité du régime russe. Mais si vous n’arrêtez pas Poutine, c’est votre propre sécurité qui sera en jeu, demain. » Grosse ficelle : il s’agit de relancer l’esprit de guerre froide en faisant croire à l’opinion qu’il existe une menace militaire russe contre l’Europe !

    Le côté pervers (et l’esprit faux) du discours de MBK est qu’il prétend que la Russie patriote de Poutine est anti-européenne parce qu’elle serait ”anti-occidentale”, alors que c’est exactement l’inverse. Elle est ”anti-occidentale”, parce qu’elle est pro-européenne ! Ce que Khodorkovski appelle l’ ”Occident” n’a rien à voir avec l’Europe historique et enracinée, ni d’ailleurs avec la véritable Amérique profonde ; c’est tout simplement l’atlantisme, l’Union européenne vassale de l’OTAN et de Washington, la civilisation décadente que nous connaissons. La Russie de Poutine est à la fois ”anti-occidentale”, consciente de ses racines européennes et désireuse d’un partenariat global avec l’Europe.

    L’objectif de la subversion

    Le patriotisme russe est ce que déteste le plus M.B. Khodorkovski. On nous le fait passer pour un petit Saint alors qu’il est un joker de l’administration américaine destiné à déstabiliser le pouvoir russe actuel et le remplacer par un régime soumis. Exactement la même stratégie qu’en Ukraine et en Géorgie. Le programme de M. Khodorkovski  est, sous couvert de ”démocratie”, la soumission de la Russie à  l’Occident sous direction de l’OTAN. Khodorkovski est souvent considéré en Russie comme un traître à son pays, un personnage parfaitement méprisable, qui se drape dans la posture de la résistance au ”despote” Poutine et à son bellicisme.

    Saint Khodorkovski est à la tête d’un lobby, piloté depuis les USA, et le but de la CIA est limpide : imposer Khodorkovski, dans les prochaines années, comme une icône, à la fois dans l’opinion russe et sur la scène internationale. Il s’agit de fabriquer un personnage qui s’imposerait comme le nouveau président russe, comme le successeur ”démocratique” de Poutine. Un proconsul, au service des intérêts US, à la tête d’une Russie décapitée. Cette stratégie a peu de chances de réussir. En effet MBK et son lobby sont complètement déconnectés du peuple russe des couches populaires, profondément patriotes et attachées à l’identité, à l’ordre et aux valeurs. MBK n’est en phase idéologique qu’avec une fraction minoritaire de l’opinion russe, une certaine petite bourgeoisie cosmopolite et occidentaliste concentrée à Moscou et dans les grandes villes. De plus, son discours de propagande sur la ”menace”, notamment militaire, que représenterait la nouvelle Russie n’est pas crédible et risque de ne pas passer dans l’opinion occidentale elle-même. Cette dernière, en effet, voit bien que la vraie menace est islamiste.

    Khodorkovski espère qu’il aura un destin national en Russie parce qu’il parie sur l’échec et l’effondrement du régime de Poutine, notamment sur le plan économique. Les sanctions occidentales, voulues par Washington, vont dans ce sens : créer une crise socio-économique en Russie pour y semer le désordre. Et puis sortir le joker Khodorkovski. Cette stratégie, voulue par la CIA et certains milieux du Congrès, a peu de chances de réussir. Mais si elle réussissait, ce serait une très mauvaise nouvelle pour l’Europe.

    (1)  Le terme même de « Russie ouverte » est très significatif d’une certaine idéologie laxiste et décadentiste, dont souffre toute l’Union européenne : ouverture des frontières à tous les flux commerciaux et migratoires, ouverture d’esprit à toutes les doctrines délirantes, abandon de la souveraineté et de l’indépendance, renoncement à l’identité et à la puissance.

    Guillaume Faye

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2014/10/12/mikhail-khodorkovski-le-joker-de-la-cia-contre-la-russie.html 

  • Sortir l’Europe de l’impolitique par Georges FELTIN-TRACOL

    Impolitique est un adjectif de la langue soutenue qui se rapporte à un manque d’habilité dans une situation où des intérêts sont en jeu. Dans un nouvel essai, L’effacement du politique, Pierre Le Vigan ne l’utilise pas et, pourtant, l’actuelle politogenèse (pseudo-)européenne ou « construction euro-atlantiste » à vocation mondialiste et d’ambition oligarchique correspond parfaitement à cette définition. Pis, elle la dépasse en excluant le politique de son champ d’horizon. L’auteur constate en effet que « notre continent est sans existence politique, sans volonté, sans défense. Un embryon de gouvernement européen existe, mais en fait, ce sont des équipes de technocrates. Le pouvoir européen n’a pas de légitimité démocratique. Il n’a pas non plus acquis une légitimité par son efficacité. Il a beaucoup réglementé mais n’a guère construit (pp. 21 – 22) ». A contrario, «  tout vrai projet politique repose sur la vision d’une singularité de civilisation. C’est pourquoi il est absurde de dire que seule la politique extérieure compte. Extérieure à quoi ? De quel intérieur est-elle l’envers ? C’est toujours la question à se poser. Politique intérieure et politique extérieure sont toujours profondément liées (p. 121) ». Mieux encore, « il n’y a pas de politique sans identités collectives (p. 27) ».
    La phobie du politique qu’il discerne dans les discours et les actes officiels de la bureaucratie euro-atlantiste provient en droite ligne du refus d’affirmer l’identité propre de l’Europe. « L’Europe actuelle se veut d’abord universaliste. Sa seule identité serait d’être le réceptacle des identités des autres. On y célèbre tout ce qui n’est pas nôtre (p. 22). » Il faut reconnaître, à sa décharge, que « l’Europe a eu comme destin l’Occident, qui a fini par nier l’Europe elle-même. C’est-à-dire que l’Europe a eu comme destin la démesure, l’hubris. […] L’occidentalisation du monde est devenue la déseuropéanisation de l’Europe. L’Europe n’a pas vocation à offrir un modèle au monde (p. 159) ».
    Mais comment définir alors l’identité européenne ? « La géographie donne des indications (Bornéo, non, ce n’est décidément pas l’Europe) mais pas de réponses indiscutables à la question des frontières. C’est le politique qui doit trancher (p. 61). » Il examine ensuite d’autres critères comme le fait ethnique. Sur ce point, Pierre Le Vigan dénie l’ancestralité indo-européenne et rejette la thèse du foyer boréen originel circumpolaire qu’il trouve absurde. Il passe ensuite l’Europe au crible de la religion, puis des valeurs sans, finalement, les estimer déterminantes. Aucune définition ne lui convient parfaitement. En fait, l’auteur récuse toute idée essentialiste de l’Europe. Si une délimitation floue demeure concernant les frontières orientales de l’Europe, l’identité fondamentale européenne repose sur un riche patrimoine spirituel commun et une anthropologie évidente d’ordre bio-culturel partagée entre des peuples issus du même terreau auxquels se rattachèrent d’autres peuples européanisés (Finnois, Estoniens, Lapons, Hongrois, Gagaouzes, etc.). Si son présent est certes marqué par l’impuissance et l’affliction mémorielle, son avenir peut être riche en espoir ou… en désespérance.
    Cette désespérance semble prendre le pas sur toutes les tentatives, vénielles et partielles, de renaissance continentale. Du fait de la sécularisation, « le pouvoir politique va s’obliger à ne croire en rien d’ultime. Il va se restreindre à une croyance évidente et minimale : que les hommes veulent la liberté et le bonheur. L’État va donc devenir l’État garant des droits de l’homme (p. 43) ». Désormais, « le processus démocratique consiste en une production sans fin de nouveaux droits de l’homme (p. 90) » si bien que « c’est l’homme qui déclare ses propres droits (p. 87) ». Cette lourde tendance fait que « notre société n’est plus régulée que par le Droit et par le Marché (p. 156) » d’autant que « la pensée libérale est du côté du commerce, et des puissances maritimes. Elle privilégie la morale et l’économie par rapport au politique et à l’État (p. 80) ». La conséquence la plus visible est, à part l’hypertrophie du secteur médiatique au point qu’il phagocyte le minable petit personnel politicien, l’exagération du «  pouvoir judiciaire [qui] est une façon de ne pas faire de la politique ou plutôt de la laisser faire par les juges, car il ne suffit pas de nier le politique pour le dissoudre (p. 136) ». Parallèlement, la neutralisation du politique bouleverse la fonction même de l’État. « L’État est fort pour assurer un certain nombre de missions. S’il ne le fait pas, il perd sa légitimité (p. 132). » À croire qu’on arrive au terme d’un cycle     historique !
    « Au Moyen Âge, les Européens avaient le choix entre trois formes politiques : la Cité, l’Empire, l’Église. La Cité était trop petite, l’Empire trop grand, l’Église trop universelle. Ils ont choisi une forme nouvelle : la nation (p. 136). » Aujourd’hui, le concept de nation apparaît comme une coquille vide, voire comme le serviteur zélé du mondialisme. L’exemple le plus flagrant de ce détournement n’est pas les États-Unis d’Amérique, cette aire peuplé par des strates successives d’immigration, mais la France pervertie par les sottes idées d’une république mortifère. « Les intellectuels de la pensée dominante pensent, non seulement que tout le monde peut devenir français, mais que tout le monde doit souhaiter le devenir, devenir citoyen du “ pays des droits de l’homme ” donc de la seule patrie qui n’est pas une patrie. Ils ont pour le coup raison puisque, être français au sens actuel du terme, cela veut dire : être membre de “ la patrie de la sortie de toutes les patries ”. C’est le comble de l’hypermodernité (ou archimodernité), et par là même c’est le comble de l’humanité. Pourquoi ? Parce que c’est là le stade suprême du dessaisissement de soi, de la rupture avec tous les attachements. C’est la victoire du présentisme intégral (pp. 99 – 100). »
    Pierre Le Vigan concède volontiers que « l’Europe actuelle apparaît […] une prison des peuples, une négation de la souveraineté populaire (p. 160) ». En revanche, il assure que « l’Europe actuelle n’est pas fédérale, c’est là l’équivoque qu’il convient de dissiper. Elle est faussement fédérale (p. 162) ». Par cette mise au point, il exprime son attachement à la vocation d’une d’Europe à la fois unie et diverses, d’une Europe politique, véritable garante des procédures démocratiques authentiques. C’est pour l’heure une gageure, « mais qu’entendent les élites par démocratie ? Moins le gouvernement du peuple par lui-même (les élites globalisées ne comprennent tout simplement pas ce que veut dire la notion de “ peuple ”) que le respect de procédures, et des droits individuels : la démocratie, c’est les droits de l’homme. La démocratie selon les élites devient donc un processus de déliaison par rapport au politique : c’est plus de droits de l’homme et moins de droits des citoyens (pp. 58 – 59) » à un moment crucial où « nous vivons une stasis : à la fois une guerre civile interne, moléculaire, et une dissolution de l’intérieur (p. 23) ».
    Au terme de son raisonnement de philosophie politique, il considère que la réponse idoine aux défis du XXIe siècle s’appelle l’Empire. Il ne s’agit pas pour lui de relever les vieux slogans totalitaires du XXe. À la suite du philosophe Philippe Lacoue-Labarthe qui appréhendait le national-socialisme hitlérien comme un humanisme, Pierre Le Vigan, Pierre Le Vigan pense que « le nazisme était essentiellement un vitalisme (p. 124) » et qu’il « était, à sa façon, un progressisme (p. 125) ».
    Pourquoi donc l’Empire ? Peut-être parce qu’il « est porteur d’un sacré et d’un universel (p. 51) ». Universel et non universaliste, cela a son importance. Le retour du politique passerait-il nécessairement par un compromis post-moderne entre le holisme d’antan et l’individualisme présent ? Pierre Le Vigan le suppose, lui qui voit en Jean-Jacques Rousseau, le seul penseur apte à dépasser cet antagonisme (cette aporie ?) : « Être libre peut pourtant vouloir dire être libre de s’engager, voire libre d’aliéner sa liberté apparente pour une liberté intérieure plus profonde. Mais la modernité refuse cette forme de liberté. La modernité voit l’engagé convaincu comme un aliéné. Il ne faut que des engagements de circonstances et surtout, des engagements qui n’engagent à rien (p. 94). »
    Nul doute que L’effacement du politique de Pierre Le Vigan est un essai qui fera date, au-delà des querelles désuètes et déplacées entre un européisme aveugle et un souverainisme réductionniste.
    Georges Feltin-Tracol
    • Pierre Le Vigan, L’effacement du politique. La philosophie politique et la genèse de l’impuissance de l’Europe, préface d’Éric Maulin, La Barque d’or (12, rue Léon-Blum, 94600 Choisy-le-Roi), 2014, 163 p., 15 € + 4 € de port.

  • Vidéo – Sanctions européennes contre la Russie : qui commande en Europe ?

    Quand Joe Biden, le vice-président des USA, avoue sans détour que le Président des USA est le véritable décideur dans l’Union Européenne!

    Cette vidéo dévoile aussi le dessous de cartes économiques. Quels sont les intérêts privés sous-jacents qui font monter les enchères à propos de l’Ukraine ?

    Version anglaise sous-titrée en français 

     

    http://medias-presse.info/video-sanction-europeennes-contre-la-russie-qui-commande-a-qui-profite-le-crime/16343

  • Un califat en Europe à deux heures de Paris ? La menace existe!

    C’est ce qui se profile à l’horizon si les mondialistes de l’OTAN continuent de jouer avec le feu en compagnie de leurs alliés sunnites du Moyen-Orient. Après le drapeau noir de l’Etat Islamique hissé théoriquement au Vatican, les Balkans risquent de s’enflammer.

    L’association Solidarité-Kosovo rapporte aujourd’hui un type d’événement qui menace de s’étendre à l’ensemble de l’Europe:

    Belgrade, lundi 13 octobre – Les trente moines de Visoki Dečani sont sous le choc depuis la découverte hier matin de graffitis et d’inscriptions en arabe et anglais annonçant l’arrivée de l’État islamique et du califat au Kosovo. Depuis samedi soir, la muraille en construction destinée protéger les moines et le monastère est recouverte de plusieurs inscriptions et sigles dont celui de l’« ISIS », l’État islamique en Irak et en Syrie et de l’ « UÇK », considérée autrefois par la communauté internationale comme une organisation terroriste albanaise.
    « Caliphate is coming – Le califat arrive » un graffiti devenu slogan
    Dépêché sur le terrain en urgence, le Lieutenant Angelo Minelli, commandant de la KFOR locale, la force armée de l’OTAN a assisté hier à une scène troublante. Alors qu’il constatait l’infraction en compagnie de l’higoumène Sava Janjić, sa visite fut chahutée par un groupe de jeunes Albanais, ameuté par les radios locales qui relayaient en boucle le motif de sa venue au monastère de Dečani. Se positionnant à tout juste quelques mètres du religieux et du militaire, une dizaine de jeunes hommes est venue crier à visage découvert et à pleins poumons les slogans tagués la veille au soir sur les façades du monastère. Une horde de soutien confirmant un peu plus l’hypothèse d’un acte de vandalisme réfléchi et délibéré.

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  • Zone euro : La reprise est différée, les déficits filent, le budget 2015 est irréaliste

    Le sérieux sans l’austérité budgétaire. L’Elysée pensait avoir trouvé la formule magique. C’est tout le contraire. Les historiens choisiront sans doute ce 1er octobre, date de présentation de la loi de finances pour 2015, comme la Journée des Dupes du quinquennat. Au moment où tout semblait en ordre pour le nouvel élan, tout s’effondre. Ce pronostic, comme tout pronostic, a sa part d’aléa. Mais en disant que “la reprise est différée”, l’Insee a pris acte du refus de ce pays de se projeter dans l’avenir. Tous les freins restent serrés. Le budget 2015 n’y changera rien. C’était celui de la dernière chance.

    Par Jean-Michel Lamy

    Le gouvernement défend une relance pro-entreprise incarnée par le Pacte de responsabilité et ses 41 milliards d’euros d’allégement de charges à l’horizon 2017. Les ministres trublions ont été virés. Les impôts baissent pour les smicards. A l’Assemblée nationale le Premier ministre Manuel Valls a obtenu la majorité, même si elle est relative, sur sa déclaration de politique générale. A Bercy, les deux ministres en charge du Budget ont expliqué que “l’effort de maîtrise de la dépense publique est sans précédent et sera intégralement respecté avec un plan de 50 milliards d’économies sur trois ans”.

    Pourquoi alors un tel désenchantement et à quoi faut-il s’attendre sur le front d’un endettement peut-être bientôt hors de contrôle ?

    Un ‘‘1%’’ de croissance illusoire

    François Hollande est le premier responsable de ce grand décalage entre les intentions gouvernementales et les actes des agents économiques.

    Le chef de l’Etat aura vécu tout le quinquennat en croyant en sa bonne étoile, autrement dit au redémarrage de l’activité. Au moment même où tous les cabinets ministériels prenaient connaissance du diagnostic atterrant de l’Insee – tous les indicateurs sont au rouge -, le Président continuait le 2 octobre à défendre “la sincérité de la prévision, réaliste, de 1% de croissance l’an prochain” inscrite dans la loi de finances 2015.

    “A l’été le climat des affaires s’est à nouveau dégradé dans tous les secteurs.” souligne en effet l’Insee qui ajoute “l’attentisme est plus fort qu’attendu”. L’acquis de croissance pour 2015 ne serait que de 0,1% – voire négatif.”

    Ce 1% est tout bonnement improbable et suffit à décrédibiliser toute la trajectoire de redressement des comptes publics. “A l’été le climat des affaires s’est à nouveau dégradé dans tous les secteurs. L’investissement des entreprises recule, notamment dans la construction. En particulier, les nouvelles normes anti-pollution du 1er janvier 2014 ont pesé sur les immatriculations de véhicules lourds”, souligne en effet l’Insee qui ajoute “l’attentisme est plus fort qu’attendu”. L’acquis de croissance pour 2015 ne serait que de 0,1% – voire négatif. Il y a zéro croissance de PIB en magasin.

    Gros doutes sur l’efficacité des mesures pro-entreprise

    En l’absence de toute accélération perceptible fin 2014, le Haut Conseil des finances publiques a donc qualifié d’“optimiste” le “1%” de Bercy. Doux euphémisme. Tout en concédant qu’une baisse de l’euro peut soutenir la compétitivité, le Haut Conseil relève aussi que “le CICE n’a eu pour l’instant qu’un impact limité sur la faiblesse des taux de marge”. Il en a un en revanche sur les contorsions salariales de certaines entreprises qui cherchent à contourner la barre des 2,5 Smic maximum pour bénéficier du dispositif.

    Ainsi l’efficacité des mesures pro-entreprise du pouvoir sont mises en doute alors qu’elles sont au cœur de la stratégie budgétaire. C’est même la justification ultime des 50 milliards d’économies. Qui elles-mêmes sont mises en doute, notamment pour la contribution des hôpitaux et des collectivités locales !

    “l’efficacité des mesures pro-entreprise du pouvoir sont mises en doute alors qu’elles sont au cœur de la stratégie budgétaire”

    Une telle superposition de mesures reposant sur ce qui s’apparente à des sables mouvants aura rarement été atteinte.

    “On attend les détails, il n’y a absolument pas 21 milliards d’économies dans le projet de loi de finances 2015”, accuse Charles de Courson, député UDI de la Marne. Dans quel état en sortira la construction budgétaire 2015 ? Avec le risque d’un dérapage des déficits publics supérieur aux 4,3 % de PIB déjà programmés, eux-mêmes en dérapage par rapport à la trajectoire fixée l’an dernier.

    Contre-performances de la zone euro

    Du coup, le gouvernement s’en prend aux contre-performances de la zone euro. Il attendait une arrivée d’oxygène et il se retrouve au bord d’une déflation qui rogne les recettes fiscales en valeur. Bercy n’anticipe que 0,6 % d’inflation en 2014 et 0,9 % en 2015. Certes, Michel Sapin, ministre des Finances, ne manque pas de féliciter Mario Draghi pour sa réactivité. Le président de la BCE reste pleinement déterminé à contenir les risques pesant sur les perspectives d’inflation à moyen terme et à “user d’instruments non-conventionnels si cela devenait nécessaire”. Mais la panoplie “Draghi” patine : la BCE est incapable à elle seule de multiplier les demandes de crédit des entreprises et de pallier les blocages d’une union monétaire prisonnière des intérêts divergents des Etats membres. Et surtout Berlin commence à donner de la voix contre le laxisme monétaire de la BCE.

    “Au lieu de prendre des décisions radicales et globales pour redresser sa propre croissance potentielle – le Conseil d’analyse économique vient d’en fournir le programme franco-français clef en mains – l’Elysée a choisi de laisser filer les déficits.”

    C’est pourquoi la France joue un jeu dangereux. Au lieu de prendre des décisions radicales et globales pour redresser sa propre croissance potentielle – le Conseil d’analyse économique vient d’en fournir le programme franco-français clef en mains – l’Elysée a choisi de laisser filer les déficits. Voici l’argumentaire signé Michel Sapin : “Faudrait-il, dans une situation économique difficile, faire plus d’efforts parce que la mesure de nos efforts se dégrade ? Cette discussion, légitime, nous l’aurons avec nos partenaires européens.”

    La bombe à retardement du coût de la dette

    Les “partenaires”, y compris les périphériques du Sud, ont déjà donné au Parlement européen un début de réponse en étrillant le candidat Pierre Moscovici au poste de commissaire au Budget. A tel point que l’ancien ministre de l’Economie a juré qu’avec lui jamais la Commission ne proposerait des “eurobonds” – la mutualisation au niveau communautaire d’une partie des dettes. C’est un naufrage avant l’heure pour les thèses françaises.

    “En cas de péril majeur, il n’y aura plus que la BCE pour monétiser (acheter) la dette française à un taux “raisonnable”. En tant que pays systémique – trop gros pour ne pas être secouru – la France peut penser qu’elle a cette carte en réserve. ”

    Si cela tourne mal sur le front des taux d’intérêt, que va-t-il se passer avec 2 000 milliards d’euros de dette sur les bras ? En 2015 la France battra son propre record en émettant 188 milliards d’euros de dette à moyen-long terme. A ce jour, seul François Fillon parle brut de décoffrage. En conférence de presse, il explique : “Ce qui entraîne des effets récessifs c’est l’absence totale de perspective pour les investisseurs. Comment investir en France avec la perspective d’une dette dont on sait qu’un jour ou l’autre elle va exploser ?Si les taux d’intérêt à long terme augmentent, ce qui n’est pas impossible compte tenu de ce qui se passe aux Etats-Unis, nous allons vers un accident financier dans notre pays.”

    L’échéance n’est pas forcément immédiate, mais tôt ou tard le coût de la dette s’envolera. Jusqu’à présent la France bénéficie sur les marchés de la solidarité de fait entre la dette française et la dette allemande. En cas de péril majeur, il n’y aura plus que la BCE pour monétiser (acheter) la dette française à un taux “raisonnable”. En tant que pays systémique – trop gros pour ne pas être secouru – la France peut penser qu’elle a cette carte en réserve. On comprend qu’un tel transfert de risque potentiel sur les “partenaires” soit un grand motif d’inquiétude – pas seulement à Berlin. Oui, la France joue un jeu dangereux.

    enouveleconomiste.fr

    http://fortune.fdesouche.com/358323-zone-euro-la-reprise-est-differee-les-deficits-filent-le-budget-2015-est-irrealiste#more-358323

  • Espagne :La moitié des électeurs du PP ne revoteront pas pour le PP

    ... en raison de son refus de restreindre l'avortement :

    "Ainsi, le Parti populaire est parvenu en cédant à toutes les révolutions sociétales socialistes (« mariage gay », avortement…) à descendre presque aussi bas que le PS français alors qu’il fait nettement mieux sur le terrain économique : réduction des déficits publics, légère baisse du chômage (qui reste malgré tout très élevé), retour à une croissance modérée après plusieurs années de récession… Tout ceci après avoir hérité d’une situation catastrophique causée par plusieurs années de gestion socialiste calamiteuse (immigration de masse, bulle immobilière gigantesque…). [...]

    De leur côté, les associations pro-vie appellent les Espagnols à ne plus voter pour le PP et à venir manifester massivement contre l’avortement le 22 novembre prochain. Cet appel a été lancé par une quarantaine d’associations qui représentent plus de 4 millions de familles espagnoles."

    Michel Janva

  • Les franco-sceptiques acceptent mal les critiques de l'UE

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "« Le projet de budget de la France est assez loin de l'objectif, à la fois en terme de déficit et de mesures effectives, concernant le déficit structurel et le nombre et la qualité des réformes qui doivent être réalisées… On leur a donné deux ans et la question est : comment ont-ils utilisé ce temps ? Pour être tout à fait franc, je crois qu'ils ne l’ont pas utilisé. »

    Le propos est de Jeroen Dijsselbloem, ministre des Finances des Pays-Bas et actuel président de l’Eurogroupe.

    Michel Sapin a répondu :

    « Monsieur Dijsselbloem n'est pas l'Europe. Monsieur Dijsselbloem ne représente pas l'Europe. »

    Et Manuel Valls :

    « Il faut respecter la France, c'est un grand pays. Je n'accepte pas de leçons de bonne gestion. Je demande à chacun beaucoup de sang-froid, beaucoup de respect, surtout de la part de partenaires européens. »

    Mais Jeroen Dijsselbloem, qui « représente l’Europe » dans la mesure où il est le président du club des pays qui ont la monnaie unique, ne fait que dire tout haut ce que les experts de la Commission européenne disent tout bas – pas si bas que cela, d’ailleurs.

    On remarque que pour défendre leur gestion désastreuse nos politiques jouent sur le sentiment de l’honneur national bafoué, alors que lorsqu’il faut faire accepter de nouvelles pertes de souveraineté ils expliquent qu’il faut dépasser le cadre national. Ainsi quand on met davantage encore la France sous la coupe de Bruxelles (notamment en permettant à l’exécutif européen de contrôler les budgets nationaux), on nous explique que l’union fait la force et que la France est un trop petit pays pour jouer seule dans la compétition mondiale, mais quand ce même exécutif européen menace de nous sanctionner avec les sanctions que nous lui avons octroyées, tout à coup la France devient un grand pays auquel on ne fait pas la leçon… C’est pitoyable."

    Michel Janva

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  • Grande-Bretagne : la montée de l’islam

    Lu ici, cet état des lieux de l'islamisation de l'Angleterre :

    La-montée-de-l’islam

    "Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire."

    Ces paroles du président algérien Houari Boumédiène, qu’il prononça lors de son discours à l’ONU en 1974 semblent de plus en plus être d’actualité. Si au Moyen Orient le fondamentalisme islamique est toujours en train de conquérir de nouveaux territoires, en Occident en revanche, sa montée est silencieuse, mais elle est inarrêtable.

    Le cas de l’Angleterre est en ce sens emblématique : le pourcentage de musulmans dans les villes des Midlands et dans certains quartiers de Londres a dépassé le 30 % de la population. Ces avertissements et ces chiffres ont été confirmés ponctuellement par les données que vient de publier le 15 août 2014 l’Office for National Statistics (ONS)à propos des prénoms masculins les plus donnés en 2013.

    Il s’avère que le nom le plus répandu en Angleterre et au pays de Galles pour ces douze derniers mois est Mohammed. Certes, la recherche a officiellement mentionné le prénom « très anglais » d’Oliver comme prénom le plus donné : 6.949 fois. Pourtant une analyse plus attentive de ces données indique que ce calcul n’a pas tenu compte des différentes orthographes utilisées pour transcrire le prénom arabe Mohammed (Muhammed, Mohamed, Muhammad et Mohammad) : il en ressort que le prénom du Prophète Mahomet apparaît 7.445 fois, arrivant largement en tête des classements.

    Londres, la capitale, est en train d’expérimenter à ses frais cette évolution démographique. Dans son édition du 5 août 2014, le quotidien italien “Il Messaggero.it” publiait ces lignes : « Prenons par exemple la mairie de Tower Hamlets, proche de la City et des Docklands : les musulmans y représentent désormais 35 % des habitants. Dans la City de Westminster même, – le “council” du centre de la capitale, le symbole de l’Angleterre libérale et démocratique, avec Big Ben, le Parlement et le siège du Gouvernement -, les musulmans représentent presque 20 %. Et à Luton, où se trouve le troisième aéroport de Londres, on compte plus de 50.000 musulmans (soit plus de 25 % de la population)».

    Dans le nord du pays, la situation n’est guère différente. Ainsi à Manchester, dans ce qui fut le cœur industriel de l’Angleterre, « les musulmans représentent 17 % de la population, à Birmingham : 22 %, avec des faubourgs entiers où la culture et la pratique du Coran sont prédominantes ». Et le processus d’expansion n’en est qu’à ses débuts.

    Les spécialistes estiment en effet que d’ici la fin de l’année 2014 la population musulmane du Royaume Uni dépassera les 3 millions et demi. Cette croissance incessante incite les groupes radicaux à intensifier encore plus leur action dans un contexte social toujours plus « favorable ». Un épisode alarmant et emblématique illustre cet état de fait. Il s’est déroulé à Londres il y a quelques mois, mettant en scène les membres d’un jeune gang d’islamistes qui ont été filmés tandis qu’ils arrêtaient dans la rue les passants, leur demandant de respecter les commandements de lachariaen leur disant : « Ici vous êtes dans un quartier musulman. Que cela vous plaise ou non c’est nous qui allons commander et qui allons combattre le mal. Allah est grand ! Nous sommes en train d’arriver ». Un imam musulman radical qui a été interviewé quelques jours après cet épisode n’y est pas allé par quatre chemins pour commenter ce qui s’était passé : « On assiste à un réveil. Ce qui est en cours, c’est nettement un affrontement entre l’Islam et la démocratie libérale dans certains des points-clés de Londres ».

    Par ailleurs, de nombreux musulmans de citoyenneté britannique ont quitté le pays pour aller rejoindre lejihad. Le quotidien anglais “The Independent” a publié au cours des derniers mois, des récits de vie de nombreux jeunes, hommes et femmes, qui sont partis en hâte pour se battre sous les drapeaux noirs d’Abu Bakr al-Baghdadi pour instaurer, par des persécutions, des exécutions sommaires et des décapitations, l’État Islamique de l’Iraq et du Levant (ISIS).

    L’un d’entre eux, Abu Dugma al-Britani, a lancé par un message posté sur twitter une prophétie bien précise à l’adresse du Royaume Uni et des Anglais : « Nous occuperons DowningStreet (une rue de Londres au Royaume-Uni où se situent depuis plus de deux cents ans les résidences du Premier Ministre britannique et de son chancelier de l’Échiquier, NDLR) et nous égorgerons à Trafalgar Square tous ceux qui ne voudront pas se convertir. L’Isis (l’État Islamique de l’Irak et du Levant) arrive ».

    En Angleterre l’Islam fait donc de plus en plus peur, et l’échec de la politique « multiculturelle » appliquée depuis plusieurs années est désormais évident pour tous. L’intégration ne s’est pas produite et les paroles du président algérien Houari Boumédiène résonnent chaque jour comme plus tragiquement prophétiques."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/10/grande-bretagne-la-mont%C3%A9e-de-lislam.html

  • Italie : Extrême gauche et lobby LGBT créent des incidents pour faire interdire les rassemblements de Sentinelles

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    C’est en Italie que le mouvement des Sentinelles, né en France, a fait le plus d’émules. Le 5 octobre, pendant que la Manif pour Tous défilait à Paris et Bordeaux, les Sentinelle in Piedi se rassemblaient paisiblement, en silence, un livre à la main, sur de nombreuses place à travers toute l’Italie.

    Les Sentinelles italiennes ont beau en appeler à la liberté d’expression et revendiquer une démarche pacifique, leur démarche n’en est pas moins jugée insupportable et « homophobe » par le lobby LGBT et l’extrême gauche. De façon régulière, les rassemblements des Sentinelle in Piedi sont désormais perturbés par des opposants aux intentions bien moins pacifiques que les défenseurs de la Famille. Le lobby LGBT et ses supplétifs anarcho-communistes veulent créer des incidents et obtenir l’interdiction des rassemblements de Sentinelles au nom du risque de trouble à l’ordre public.

    suite et fin.