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international - Page 1024

  • Fermeture des McDo en Russie : représailles ou problèmes sanitaires ?

  • Jean-Michel Vernochet - "Situation actuelle en Irak" (video)


    Jean-Michel Vernochet - "Situation actuelle en... par zapataguevara

  • Hollande avoue qu’il a fait livrer des armes aux djihadistes en Syrie

    François Hollande au « Monde » aujourd’hui : « La communauté internationale porte une responsabilité très grave dans ce qui se passe en Syrie […] Si, il y a un an, il y avait eu une réaction des grandes puissances à la hauteur de l’utilisation [par Bachar Al-Assad] des armes chimiques, nous n’aurions pas été face à ce choix terrible entre un dictateur et un groupe terroriste, alors que les rebelles méritent tout notre soutien. »

    Et quelle était cette « rébellion démocratique » ? Sinon les djihadistes de l’Etat Islamique ?

    « La communauté internationale porte une responsabilité très grave dans ce qui se passe en Syrie », dites-vous, responsabilité d’autant plus grande, Monsieur le Président, qu’il a été prouvé depuis que l’utilisation des armes chimiques incombait non à l’armée de Bachar Al Assad mais à la « rébellion syrienne démocratique »…

    Les renseignements français doivent être en-dessous de tout pour que vous n’en ayez pas été informé…

    http://medias-presse.info/hollande-avoue-quil-a-fait-livrer-des-armes-aux-djihadistes-en-syrie/14324

  • La TURQUIE doit-elle absolument intégrer l’U.E ?

    Au sommet d’Helsinki (en décembre 1999) les ministres des Quinze avaient reconnu à la Turquie son statut de pays candidat, le début des négociations devant rester lié à la conformation aux « critères de Copenhague » quant aux droits de l’homme.

    Comment ces droits sont-ils respectés lorsqu’un pays (la Turquie) occupe militairement un membre de l’Union économique tel que Chypre ? L’ensemble de la communauté internationale a condamné cette invasion militaire et une résolution de l’ONU a exigé en 1974 le retrait immédiat des troupes turques.

    Depuis 40 ans ANKARA maintient son occupation militaire et spolie la population chypriote.

    Turki$tan

    Il faut se souvenir que MM. Valéry Giscard d’Estaing (ancien président de la République française) et Robert Badinter (ex-garde des Sceaux du président François Mitterrand) étaient résolument contre l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne.

    Le 18 juin 1987, le Parlement européen votait une résolution en 15 points. Celle-ci subordonnait l’admission de la Turquie dans la Communauté européenne à plusieurs conditions précises. Parmi celles-ci, la reconnaissance du génocide arménien et l’évacuation de la partie nord de Chypre, occupée militairement par les turcs depuis leur invasion en 1974.

    Ces deux faits suffisent amplement à refuser l’entrée de ce pays asiatique et peuplé à 92% de musulmans, dans l’Union européenne !

    Et 27 ans après, cette résolution du Parlement européen n’a pas été appliquée.

    Entre-temps, Chypre est devenue membre de l’UE.

    L’obligation faite à la Turquie est restée sans effet. Elle garde cependant tout son sens car le P.E avait adopté le 26/02/2004 un rapport du député Per Gahrton qui
    réitère sa position telle que la résolution l’avait énoncée le 18 juin 1987.

    A ce jour, Ankara n’a pas changé de position sur les deux points ci-dessus.

    L’on pourrait donc se demander si pour faire respecter le droit international, comme cela c’est passé en Irak, en Yougoslavie, en Lybie ou ailleurs, après avoir fait
    bombarder Bagdad, Belgrade et Tripoli, l’ONU ne devrait pas prendre la résolution de faire bombarder Istanbul ou Ankara ?

    Avant de commencer à imaginer une quelconque alliance avec les pays de l’Est, d’Asie ou du Maghreb, la Commission serait mieux inspirée de convaincre la NORVEGE, L’ISLANDE et la SUISSE de rejoindre le noyau dur des pays européens à vocation et culture identiques qui, comme mentionné dans le Traité de Maastricht, s’engageaient à défendre la préférence européenne …on perdrait moins de temps !

    Pieter KERSTENS

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/la-turquie-doit-elle-absolument-integrer-lu-e_114526.html#more-114526

  • [Chez nos confrères] La bombe estivale d’Aymeric Chauprade (Minute)

    Quel avenir pour la « doctrine Chauprade » ? C’est maintenant la question qui se pose au Front national, et singulièrement à Marine Le Pen, après que le géopoliticien, qui est son conseiller, a publié un texte qui a fait l’effet d’une bombe. Il y décline tout ce qui devrait constituer la politique étrangère de la France. Or pour le moment, ce qu’il avance n’est pas la doctrine du Front national.

    A trois mois du XVème congrès du Front national, qui se tien­dra les 29 et 30 novembre à Lyon et s’annonçait sans enjeu majeur, Aymeric Chauprade vient de frapper un grand coup qui a, entre autres mérites, celui de poser les véritables questions de fond, celles qui fâchent et que le Front national, qui rechignait à les traiter frontalement, va bien devoir trancher s’il veut accéder au pouvoir.

    Le 11 août, au jour anniversaire de la bataille des Thermopyles qui, en 480 av. J.-C., vit les Spartiates commandés par le roi Léonidas se sacrifier pour donner aux Grecs le temps de s’organiser face à l’avancée perse qui allait les submerger, au jour anniversaire, aussi, de la canonisation de Louis IX devenu saint Louis, Aymeric Chauprade, député au Parlement européen et conseiller de Marine Le Pen pour les affaires internationales, a publié un long manifeste.

    Certes, sa publication est intervenue sur son blog personnel(1) et n’engage pas le Front national. Certes, le texte est simplement titré : « La France face à la question islamique : les choix crédibles pour un avenir français ». Mais il est déjà perçu comme un « Manifeste pour une nouvelle politique internationale de la France », en rupture totale avec la diplomatie de François Hollande, avec celle de son prédécesseur… et avec la ligne non dénuée d’arrière-pensées d’une partie du Front national, de ses compagnons de route et de certains conseillers occultes de sa présidente.

     

    Si l’« ennemi mondialiste » est « imaginaire »…

    Que dit Chauprade ? Enormément de choses. Il en dit tellement que, dans les réactions qui se multiplient dans les milieux de la droite nationale ou de l’extrême droite, il apparaît que chacun n’y a vu que ce qu’il voulait y lire – ou plutôt ce qu’il aurait préféré ne pas y lire, tant les réactions sont vi­ves, voire insultantes. Dans la mouvance d’Egalité et Réconciliation, le mouvement d’Alain Soral dont l’influence est importante sur une partie des cadres du Front national (et au-de­là), les mots de « traître » et de « ven­du » sont employés.

    En adepte du théoricien et philoso­phe catholique allemand Carl Schmitt, Chauprade fait sienne la notion d’ennemi prioritaire. « La France, écrit-il,n’a aujourd’hui qu’un véritable ennemi : le fondamentalisme islamique sunnite. » En vertu de quoi il affirme ceci, écrit en caractères gras : « A moins donc qu’il ne soit gouverné par un antisémitisme obsessionnel, un patriote français ne peut chercher à former, contre Israël, et avec l’extrême gauche pro-palestinienne, la racaille de banlieue et les islamistes une alliance à la fois contre-nature et sans issue politique. »

    Evidence pour l’électeur frontiste de base, direz-vous, mais pas pour une partie – en voie de réduction mais toujours influente – de l’appareil frontiste, qui persiste d’une part à croire à la possibilité, pour Marine Le Pen, de s’attirer le vote musulman, d’autre part à tenir le « sionisme » pour la source de tous les maux, camouflant (mal) derrière ce vocable au sens mystérieux un antisémitisme en effet « obsessionnel ».

    Sur ce même thème, Chauprade va encore plus loin, rompant cette fois, sans prendre de gants, avec la li­gne défendue, par exemple, par le vice-président du FN Florian Philippot, se démarquant aussi clairement avec la ligne de Jean-Yves Le Gallou, le très écouté président du laboratoire d’idées Polémia (lequel n’a pas encore réagi) : « Un vrai patriote français doit être capable de hiérarchiser les dangers qui menacent la France, de refuser l’idéologie et les constructions intellectuelles simplistes lui désignant un ennemi mondialiste imaginaire contre lequel il faudrait mener une révolution mondiale. »

    Or si le mondialisme est un enne­mi « imaginaire », c’est tout un pan, et pas le moindre, de la doctrine frontiste qui est à repenser. Y compris et d’a­bord le plus contesté : son volet économique.

    Pour lire l’article dans son intégralité

    1) http://blog.realpolitik.tv

    http://fr.novopress.info/173566/chez-nos-confreres-la-bombe-estivale-d-aymeric-chauprade-minute/#more-173566

  • Afghanistan : l'héritage laissé par l’Amérique

    Par La Voix de la Russie | A l'automne l'opération de l'OTAN en Afghanistan aura 13 ans. Les experts qui dressent le bilan de la campagne reconnaissent son fiasco. Au fond, les talibans se sont renforcés au lieu d'être battus.

    Au lieu de la paix et du développement promis à l'Afghanistan, la présence des troupes de l'OTAN a créé des problèmes supplémentaires. La Force internationale d'assistance et de sécurité (FIAS) quitte le pays laissant derrière elle une économie ruinée par la guerre. Selon les experts, le taux de chômage s'élève à 80 %. Les simples Afghans se voient obligés de travailler dans les plantations d'opium ou de se joindre aux talibans pour trouver les moyens de subsistance arme à la main a déclaré l'ex-candidat à la présidence en Afghanistan Baz Mohammad Kufi :

    « Cette année 280 000 hectares en Afghanistan ont été plantés en pavot à opium. Si le peuple a la possibilité de gagner son pain par un travail honnête, je vous assure qu'aucun Afghan n'optera pour le narco-terrorisme et ne ralliera les talibans ».

    Les problèmes de l'Afghanistan sont ressentis dans les Etats voisins. Le problème majeur est la drogue. Sa production a triplé pendant la présence de l'OTAN sur le territoire afghan. L'Afghanistan est devenu, de fait, le numéro un mondial dans la production des opiacés livrés en Russie et en Europe via les pays d'Asie centrale. Le Tadjikistan est le pays qui a endossé le fardeau de premier obstacle dans la voie du trafic de drogue, estime le directeur de l'Agence de contrôle du trafic de drogue près le président du Tadjikistan Roustam Nazarov :

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  • Comment l’EIIL incite les jeunes filles d’occident au jihad

    Des femmes européennes membres de l’État islamique tentent d’attirer leurs «sœurs» dans la couche nuptiale des saints guerriers du califat.

    L’État islamique auto-proclamé, anciennement connu sous l’acronyme ISIS, recrute activement des femmes et des filles occidentales. Ce «califat» qui occupe désormais d’importantes parties de la Syrie et de l’Irak montre, une fois de plus, dans ses procédés, qu’il est presque aussi fin avec les médias sociaux qu’il est impitoyable sur le champ de bataille.

    Les tweets et les blogs sont apparemment écrits par des femmes occidentales mariées à des guerriers djihadistes. Ils visent à persuader les soi-disantes «sœurs» en Europe et aux Etats-Unis d’aller au Moyen-Orient pour aider ce dérivé d’al-Qaïda à bâtir sa vision extrémiste de la société islamique.

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  • Une population peut être chassée ou se voir remplacée par une autre

    Extrait du discours prononcé par le Général Lalanne-Berdouticq (ancien commandant du 3ème REI (Régiment Étranger d’Infanterie) et ancien chef du BDL (Bureau De Liaison) de la FINUL (Force Intérimaire des Nations Unies au Liban), lors de la clôture d'une récente session de l'IHEDN :

    "Méfions-nous du prêt à penser. Il est presque toujours faux et ordonné à des fins peu recommandables.

    Non le Kosovo n’est pas meilleur après la campagne qu’y ont conduite les alliés en 1999, montée suite à une incroyable guerre d’intoxication médiatique diabolisant les Serbes et présentant les Albanophones comme des anges persécutés…

    Il en résulta la fondation du premier pays presque totalement mafieux du continent européen, dont la population originelle, serbe, a été sans pitié chassée de chez elle dans le silence des médias ; ses monastères détruits et ses maisons incendiées.

    Non l’Afrique d’aujourd’hui ne vit pas mieux que du temps de la colonisation, à commencer parce que l’esclavage (personne ne le dit) et les massacres ethniques sont repartis de plus belle et que bien des États officiellement constitués sont en faillite aussi bien financière que politique.

    Non la Libye d'aujourd'hui n'est pas meilleure que celle d'hier, puisque au demeurant elle n'existe tout simplement plus, et que son tyran a été remplacé par d'autres, en plus grand nombre.

    Non la démocratie occidentale n’est pas applicable à tous les continents et à tous les pays. D’abord parce que ce n’est pas un système unique (voyez comme la nôtre est différente de celle des États-Unis ou d’Israël, ou bien encore de la Grande-Bretagne) ; ensuite parce que ce système politique ne peut s’épanouir qu’au sein de peuples voyant la personne comme un individu et non comme une partie d’un tout (société personnalistes contre sociétés holistiques)…

    Dans les grandes questions du monde n’oublions jamais de considérer le paramètre démographique. Il est capital et le silence des médias et des analystes sur ces sujets en dit long sur l’aveuglement – qui ne peut qu’être volontaire – de nos élites autoproclamées.

    Ainsi, quel est l’avenir de l’Allemagne, qui aura perdu sept millions d’habitants en 2030 et se verra peuplée en grande partie de ressortissants d’origine turque ? Sera-t-elle-la même ?

    On sait que l’islam confond la sphère publique et la sphère privée en refusant absolument de distinguer "Dieu" et "César". Or, cette distinction est à la base même des systèmes démocratiques.

    Enfin, oublie-t-on qu’une population peut être chassée de chez elle, ou se voir remplacée par une autre, les autochtones se retrouvant alors comme étrangers sur leur propre sol ?

    Sans remonter à la diaspora juive du premier siècle, pensons aux Coptes d’Égypte, aux chrétiens de Turquie et d’Asie (20% de la population en 1900 alors qu’ils sont aujourd’hui 0,02%, soit mille fois moins) ou bien encore aux Serbes du Kosovo, déjà cités (90% de la population en 1900 et moins de 10% aujourd’hui) !

    Hors les idéologues, qui peut être assuré qu’en France, nous sommes à l’abri de tels phénomènes ?

    Refuser d’examiner la question sous couvert de mots en -isme est singulièrement irresponsable.

    Or, entendons nous que l’on pose cette question ? – Non !"

    Michel Janva