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  • Des femmes avortent à l’étranger de bébés à un terme avancé, en toute illégalité, aidées par des organismes payés par nos impôts

    6a00d83451619c69e2022ad39a7168200b-250wi.jpgMarie Philippe a créé il y a dix ans le site ivg.net. Elle est interrogée par FC sur son dernier ouvrage.

    "D’après votre expérience, les femmes ont-elles habituellement des séquelles de leur IVG ?

    Les idéologues de l’avortement soutiennent que les femmes vont très bien. Mais, quand on les écoute, on entend qu’elles ont souvent une blessure affective, parfois sournoise, qui peut se manifester de manière très variable : addiction à la cigarette, l’alcool, instabilité affective, dépressions, scarifications, pensées suicidaires... Elles deviennent dures et ont du mal à assumer leur féminité. Elles nous racontent qu’elles ont des cauchemars, des insomnies, une angoisse profonde, une perte de confiance en elles. Elles peuvent même se sentir sales, criminelles. Ce mot terrible, je ne l’utilise jamais, mais elles disent parfois : « J’ai tué mon enfant ! »

    Elles ont entre 14 et 45 ans et viennent de tous les milieux. Elles veulent savoir comment se passe une IVG. Et ce qui se passe après. Elles veulent aussi se livrer. Nous les écoutons longuement et nous continuons, ensuite, à dialoguer, même après l’avortement, si telle a été leur décision. La très grande majorité de ces femmes aimeraient au fond d’elles accueillir leur enfant.

    Ce peut être des femmes musulmanes qui ont déjà plusieurs enfants, et à qui le corps médical dit : « Fatima, vous êtes sûre ? Vous allez être fatiguée... » C’est plus proche d’une forme de racisme à l’égard de cette population qui est ouverte à la vie que de la compassion ! Des jeunes musulmanes sont enceintes dans le cadre d’une relation hors mariage. Elles sont reniées et mises dehors. Elles vivent un calvaire. D’autres encore, jeunes ou moins jeunes, n’ont pas le courage de se battre contre les pressions de leur entourage. Combien me disent : « Marie, je n’en peux plus, je suis trop seule, personne ne m’aide ! » Ou encore : « J’ai ma vie professionnelle et je ne peux pas mettre en cause ma carrière ! » La France a complètement perdu l’amour des bébés. Attendre un enfant n’est plus une joie, mais un « problème » dont il faut se débarrasser.

    Je reçois aussi de plus en plus d’appels qui proviennent de femmes qui ont avorté à l’étranger de bébés à un terme avancé, en toute illégalité, mais aidées par des organismes payés par nos impôts, et qui se sentent, ensuite, extrêmement mal. Le bébé est parfois avorté à vingt-deux semaines alors qu’il est presque viable.

    Pourquoi estimez-vous que ces femmes sont victimes ?

    Les femmes sont prisonnières d’une contraception qui fonctionne mal. Elles croient qu’avec la pilule, elles n’auront pas d’enfant. C’est faux ! La majorité des femmes qui avortent étaient sous pilule ou stérilet. Elles sont comme assujetties à leur compagnon. Ce sont les hommes qui veulent l’IVG. Les personnes qui m’insultent au téléphone sont le plus souvent des hommes. La contraception leur fait perdre le sens de la paternité responsable. Ils sont comme des gamins qui, à l’annonce d’une grossesse, répondent : « Oh ! mais je ne suis pas prêt ! » Il y a une telle pression hédoniste ! Ce petit bout, c’est la catastrophe. C’est l’homme, la clé de voûte. Quand il dit : « On le garde », alors la femme accepte mieux la grossesse.

    La femme est aussi polluée par un discours ambiant sur le « désir » d’enfant. En fait, ce terme n’a pas grand sens, car il désigne un sentiment versatile. Il place l’enfant dans une position de petit prince, fruit d’un présumé « projet parental » au point qu’on entend qu’il vaudrait mieux, pour lui, qu’il soit avorté plutôt que d’être éduqué par une mère célibataire. La pression sociale est très forte.

    Enfin, elles manquent de liberté à cause d’un manque d’informations sur les conséquences graves de l’IVG. Pire, elles ont des informations fausses, par exemple sur le site du gouvernement, qui disent que l’avortement est sans risque, notamment sur leur fertilité.

    Pourquoi ces femmes ne trouvent-elles pas refuge auprès de leur famille ?

    Je suis frappée par le peu de proximité des adolescentes ou des jeunes femmes avec leur mère. Nous leur posons la question : « En as-tu parlé à ta maman ? » Elles disent : « Nous ne sommes pas proches. Depuis que j’ai un copain, la seule chose qu’elle dit, c’est de ne pas oublier ma pilule. » Il y a bien une démission des mères. Aussi, les femmes, à leur tour, n’éprouvent pas le désir de choyer un enfant, de donner la vie. Souvent les mères qui ont elles-mêmes avorté poussent leur fille à faire de même. De façon inconsciente, elles veulent créer un lien à travers cette souffrance vécue comme une malédiction. En revanche, j’observe que celles qui n’ont pas été accueillies du tout, placées dans des familles d’accueil, ressentent un grand besoin d’avoir un enfant pour compenser cet amour qui n’a pas été donné. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les trafics de migrants, les États et les mafias

    180620

    Il règne autour de l'affaire de l'Aquarius et plus généralement du chantage humanitaire des officines une désinformation stupéfiante. Revenons sur l'accusation, portée de façon explicite le 18 juin, par Dupont-Aignan à l'encontre contre ce que l'on appelle "les ONG", ou bien encore "les associations". Celles-ci n'interviendraient pas seulement pour secourir, mais aussi pour organiser la marche vers l'Europe de ceux qu'on nous présente pour des réfugiés.

    Cette hypothèse semble se confirmer au vu de diverses vidéos accablantes.

    Le Salon Beige faisait ainsi connaître à ces lecteurs le 14 juin un document révélant que "La fondation Gefira a enregistré pendant 2 mois les déplacements des bateaux des différentes ONG récupérant des immigrés. Ces ONG vont chercher les migrants au plus près des côtes libyennes. Aucune intervention n'a lieu en pleine mer..."[1]

    Les gardes-côtes libyens préviennent SOS Méditerranée que la présence de l'Aquarius favorise les passeurs : "Vous rendez service aux passeurs. [...] Les passeurs savent que vous êtes là, et donc ils envoient chaque fois plus de gens en mer." Reprise aussi par TV Libertés cette information dérangeante sera éventuellement rapprochée de la censure, de fait, opérée au nom des droits d'auteurs, le 14 juin par Youtube, c'est-à-dire par Google, à l'encontre de cette chaîne insupportablement indépendante des pouvoirs. Big Brother aime si fort notre liberté qu'il l'étouffe en l'embrassant.

    Tout se passe donc comme si de très grosses influences voulaient à tout prix nous apitoyer, presque de force, sur la nécessité d'accorder à ceux qui fuient l'Afrique et l'orient, l'asile que leurs coreligionnaires du Golfe, si richissimes soient-ils, ne leur proposent jamais.

    Or, si l'on en croit les sondages, actuellement 56 % des Français estiment que la France a fait le bon choix en n'accueillant pas elle-même, directement, tout ou partie des 629 passagers de l'Aquarius[2]. Suivre sur ce point l'opinion du peuple souverain ne peut pas être respecté, nous assure-t-on, comme digne de la démocratie. Ce doit être considéré au contraire comme du populisme.

    En Allemagne, un sondage publié le 15 juin montrait que près de 90 % de la population veut plus d'expulsions de clandestins. Sous la pression de ses alliés Frau Merkel se voit contrainte de reculer dans ses projets immigrationnistes. Soulignons aussi qu'au gré des plus récentes élections plusieurs pays ont porté à leur tête des dirigeants aux positions restrictives contre les migrations de masse.

    Mais que sont, en face de l'opinion massive des Européens, les associations actives en faveur de ce trafic de migrants.

    On connaît en France Médecins sans Frontières, fondée en 1971 et qui a même reçu, en dépit de la scission de Médecins du Monde en 1980, le Prix Nobel de la paix en 1999. Elle continue à faire parler d'elle, non plus par de grandes interventions médiatisées comme par le passé, mais par une manière de labellisation des autres petits intervenants.

    Aquarius par exemple est affrété par SOS Méditerranée. Cette dernière structure a été créée en 2015. L'association, sise légalement à Marseille, est dirigée par un marin allemand, Klaus Vogel, et par une activiste française Sophie Beau. Officiellement elle serait financée à 98 % par de petites contributions participatives individuelles recueillies sur internet. Elle se flatte d'avoir aidé à transférer depuis les côtés libyens près de 30 000 migrants depuis 2016. Et malgré le durcissement annoncé des politiques migratoires européennes, l'organisation entend rester fidèle à "sa promesse, celle de sauver des gens".

    D'autres organisations peuvent être citées, qui ont mis à la mer de plus petites embarcations. Par exemple : SeaWatch, association allemande fondée en 2015, Seafuchs ou encore Open Arms, organisation catalane. Au total, tout de même, des structures très légères et relativement inconnues du grand public et/ou impopulaires.

    Il faut donc à tout prix que ces migrations soient perçues comme des appels au secours, jamais comme des trafics.

    Qui les soutient ? Certains voudraient pouvoir prouver l'intervention de George Soros : on ne prête qu'aux riches. Thierry Meyssan ne manque pas d'apporter sa petite pierre à l'édifice conspirationniste. Il dénonce, de son côté, trois personnages qu'il considère comme les "tireurs de ficelles[3]: Peter Sutherland, Gerald Knaus et Diederik Samsom. Explication quelque peu complotiste diront ses détracteurs.

    N'oublions pas de mentionner surtout l'implication de certains pays dans ce qui, dans le cas précis, ne peut être interprété que comme un trafic de migrants.

    Ayant indiqué que deux d'entre eux, au moins, sont officiellement candidates à l'Union européenne, un de mes correspondants me demande si l'un des deux ne serait pas l'Albanie.

    Effectivement, on doit évoquer cette connivence, mais en la situant au niveau des organisations criminelles, très présentes également au Kossovo.

    Car contrairement à l'autre État impliqué, à savoir la Turquie, ce pays relativement petit ne dispose que d'une administration policière très faible. Quand on le cite on doit toujours se représenter la faiblesse de son pouvoir central. Province ottomane jusqu'en 1913, le Pays des Aigles a certes connu au XXe siècle deux périodes d'unité. Ce fut pendant une dizaine d'années sous le règne relativement bienfaisant du roi Zog, de 1928 à 1939. Puis, régna l'abominable dictature communiste d'Enver Hoxha, de 1945 à 1985. En dehors de ces deux périodes, peu démocratiques d'ailleurs, le gouvernement de Tirana s'est trouvé impuissant à juguler les héritages claniques, bases matérielles du recrutement des mafias.

    Dans la Turquie d'Erdogan, en revanche, on peut redouter, d'abord, que le régime se durcisse encore plus au lendemain du vote du 24 juin. Ce ne sera pas pour le bonheur du peuple. Car non seulement ce pouvoir ne jugule pas les réseaux criminels et les structures de corruption, mais il en constitue l'incarnation visible, il les renforce, il les structure. À plusieurs reprises l'opposition turque a cherché à déjouer ou à dénoncer les trafics liés à la famille d'Erdogan elle-même. Mal en a pris aux journalistes courageux.

    Les complicités turques et albanaises doivent être aussi comprises au regard des filières islamiques, abritées par les confréries, tels les Naqshbandis[4].

    Remarquons enfin que la Commission européenne pense obtenir un accord sur les questions migratoires lors du Conseil européen de Bruxelles des 28 et 29 juin. Fasse le Ciel qu'il réponde aux dangers qui s'accumulent sur nos pays tragiquement désarmés parce que désinformés et culpabilisés.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] Cf. l'article "Les ONG, ces négriers des temps modernes"

    [2] sondage réalisé par OpinionWay pour les médias Public Sénat, Les Échos et Radio Classique.

    [3] Cf. son article "Les tireurs de ficelles de la crise migratoire" sur le réseau Voltaire

    [4] Qu'on me permette de renvoyer à mon article publié dans Histoire et Liberté, n°65, juin 2018.

    http://www.insolent.fr/

  • LIBERTÉ CHÉRIE, QUE DEVIENS-TU SOUS MACRON ?

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    Il semblerait que rien ne va plus en Macronie. La liberté de la presse, si chère à l’évangile révolutionnaire des droits de l’homme, lesquels ont allègrement bafoué les droits de Dieu, vient d’en prendre un coup. Ou plutôt, sa mise à mal s’accélère.

    Si le pouvoir tient au chaud, grâce à de stupéfiantes subventions, la presse dite mainstream, sans oublier la nuisance de publicités de plus en plus envahissantes, il va essayer par tous les moyens de limiter la liberté de penser autrement. Face à la pensée officielle, au politiquement correct, à tous ces journalistes qui prennent ouvertement parti pour l’immigration massive – parlant, par exemple, des clandestins de l’Aquarius comme de naufragés, ce qu’ils n’ont jamais été -, face à ce bourrage continu de nos crânes, il y a tous les médias alternatifs, des médias sans moyens, et que la grande presse désigne, avec dédain et par paresse intellectuelle « fachosphère ».

    Aujourd’hui, c’est le quotidien Présent qui, après trente ans de bons et loyaux services à la défense de la catholicité, de la droite et des valeurs chrétiennes, risque de mettre la clef sous la porte. Jean Raspail, abonné de la première heure, vient de lancer un cri d’alerte. C’est, depuis vendredi dernier, la chaîne TV Libertés de notre ami Martial Bild (un site d' »extrême droite », soulignait Paris Normandie) qui vient de se voir, sans préavis, retirer quatre années d’archives et sa diffusion quotidienne par YouTube. À la demande de qui ? La question est posée.

    La loi que l’Assemblée macronienne est en train de concocter sous la férule du ministre de la Culture est la loi de tous les dangers, de toutes les craintes. Macron veut absolument revoir la loi sur la liberté de la presse votée par le Parlement le 28 juillet 1881. Cette loi était parfaitement adaptée à la situation actuelle. Il suffisait d’y ajouter l’expression de « presse numérique » et le tour était joué. Mais non, Mme Nyssen souhaite que les chaînes de Radio France « chang[ent] la mentalité des Français ». Autrement dit, elle veut nous rééduquer. Ce n’est plus « Radio Kremlin », c’est Radio-Paris revu et corrigé par le jupitérisme.

    Cette loi sur les « fake news », ces fausses nouvelles pourtant diffusées très allègrement par nos médias mainstream, n’a qu’un seul but : réduire au minimum l’influence des réseaux sociaux. Une loi qui nous conduit tout droit vers la réélection de Macron et vers une dictature soft.

    http://www.bvoltaire.fr/liberte-cherie-deviens-macron/

  • Les mondialistes aux commandes de la gay pride à Varsovie

    On connaît le procédé : pour saper un pays, il suffit de le pervertir. Les mondialistes aimeraient donc transformer la Pologne en une nouvelle Sodome. Le samedi 9 juin, les officines mondialistes ont tout mis en place pour donner de la visibilité une gay pride à Varsovie.

    Dès qu’un internaute polonais faisait appel au moteur de recherche Google.pl, un drapeau arc-en-ciel apparaissait. Et Google avait son char dans le défilé LGBT.

    La société Accenture, dirigée par le Français Pierre Nanterme depuis son siège de Dublin, en Irlande, était également de la partie. L’ensemble du personnel de l’antenne polonaise de cette multinationale a reçu ce message : « Pour la troisième année de suite Accenture Poland est fière de participer à la Parade de l’égalité de Varsovie, soulignant ainsi notre engagement constant en faveur de l’inclusion, de la diversité et du droit de chacun à être vraiment lui-même au bureau comme en dehors du bureau. Marchez avec nous ! Date : samedi 9 juin 2018. Heure : 14h30. Lieu / Immeuble Proximo II (hall d’entrée), ul. Przyokopowa 26. CLIQUEZ ICI POUR VOUS INSCRIRE. Inscrivez-vous ici pour devenir un Allié et contribuer à faire du bureau un endroit meilleur pour vos collègues LGBT. »

    La marque américaine de crèmes glacées et sorbets Ben & Jerry’s, était partenaire officiel de ce défilé homosexuel, et a installé un hologramme d’arc-en-ciel LGBT place du Saint-Sauveur à Varsovie, insistant sur sa page Facebook sur son aspect « incassable ». Cette dernière allusion fait référence au fait que les précédents arcs-en-ciel en fleurs artificielles ont systématiquement été détruits par les opposants à cette propagande homosexuelle. Quant à la symbolique de l’installation de cet arc-en-ciel aux couleurs LGBT devant l’église du Saint-Sauveur à Varsovie, elle avait été inscrite dans le programme « culturel » de la présidence polonaise du Conseil de l’Union Européenne, lorsque l’actuel président du Conseil européen Donald Tusk était Premier ministre.

    Un « village de l’égalité » avait également été installé au lieu d’arrivée de cette Gay Pride polonaise. On y trouvait les stands des sociérés Accenture Pologne, Google Pologne, Microsoft Pologne, MTVPologne, Sony Music Pologne, NielsenIBM Pologne, Goldman Sachs et la Royal Bank of Scotland.

    Par ailleurs, les organisateurs de ce défilé homosexuel l’avouent : « C’est grâce à l’engagement et au soutien des postes diplomatiques étrangers en Pologne – y compris sur le plan financier – que nous pouvons organiser cet événement sous la forme rêvée et exactement comme nous l’avions planifié. »

    Une lettre ouverte de soutien a même été signée par les ambassadeurs de 40 pays (dont la France) et remise en mains propres aux organisateurs par l’ambassadeur d’Autriche. Les ambassades des Etats-Unis et du Royaume-Uni ont fait défilé leur délégation officielle. Et l’ambassade de la République d’Irlande, gouvernée par un Premier ministre homosexuel, était partenaire officiel de l’événement.

    http://www.medias-presse.info/les-mondialistes-aux-commandes-de-la-gay-pride-a-varsovie/93381/

  • Cruauté du gouvernement anglais : le patriote dissident Tommy Robinson transféré dans une prison pleine d'islamistes

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    Source Breizh info cliquez là

    Le journaliste dissident Tommy Robinson – qui a fait de l’alerte sur l’immigration et l’islamisation du Royaume-Uni son cheval de bataille, se trouve en prison depuis le 25 mai dernier.

    Pire encore, il vient d’être déplacé dans une prison peuplée majoritairement de musulmans alors que de nombreuses voix s’élèvent pour demander sa libération.

    Désormais, c’est sa sécurité, et sa vie, qui sont mises en danger en raison des décisions de la justice anglaise.

    Lors de son transfert dans la nouvelle prison, un de ses proches explique que les prisonniers ont tapé au mur toute la nuit, hurlant le nom de « Tommy Robinson », le menaçant de mort. Un contrat a été placé sur sa tête, avec une récompense pour quiconque parmi les prisonniers le tuera.

    Sa famille et son entourage ont depuis fait savoir qu’ils travaillaient activement, avec des avocats, pour tenter de changer la situation qu’ils décrivent comme « vraiment inquiétante ».

    Des parlementaires américains ont écrit aux autorités britanniques, tandis qu’au parlement européen, c’est  la député britannique – anciennement proche de l’UKIP et désormais indépendante - Janice Atkinson  qui a tenté d’évoquer la situation de cet activiste, avant que son micro ne soit tout simplement coupé au moment où elle évoquait la forte présence musulmane dans la prison.

    Des interventions diplomatiques seraient en cours. En attendant, une manifestation se déroulera à Londres, le 14 juillet, pour exiger sa libération, dans un contexte particulièrement tendu. Ses soutiens dans toute l’Angleterre commencent en effet à ne plus supporter l’autoritarisme des autorités concernant le cas Tommy Robinson.

    Lire aussi cliquez ici 

  • Il faut libérer Tommy Robinson !

    Par Pierre de Meuse

    Il y a quelques années, nous avions fait partager aux lecteurs de LFAR une information concernant le scandale de Rotherham, où plus d’un millier de jeunes anglaises, souvent mineures et même des enfants de 11 ans, avaient été violées et prostituées par des membres de la pègre pakistanaise, avec le silence complice des autorités craignant le développement du racisme.

    Voilà qu’une affaire similaire se produit à Telford, avec un caractère pédophile encore plus marqué et la présence de plusieurs meurtres, mais la même indifférence policière, judiciaire, médiatique  et administrative. Indifférence partagée par les médias français, à tel point qu’un journaliste aussi engagé à gauche que Claude Askolovitch remarquait sur France Inter que sans le site anti-immigrationniste « François Desouche », personne n’en aurait rien su en France. Il s’étonnait également que « les jeunes Anglaises violentées ne percent pas le mur de notre compassion ». On aurait cherché en effet vainement  une star balancer ainsi des « porcs » à la peau trop sombre, ou le site « me too » laisser la parole aux victimes de cette dégradation insoutenable. Ces pédophiles profitent pourtant de l’effroyable misère morale et culturelle des « lower classes » britanniques que les « autorités morales » devraient dénoncer. C’est que le black-out est imposé sans aucune honte Outre-Manche. Ainsi la députée travailliste Naz Chah a osé déclarer publiquement, sans être  désavouée par son parti : « ces filles devraient la fermer pour le bien de la diversité ». Dans le même temps la journaliste de gauche  Sarah Champion a été exclue du Labour  Party pour avoir osé briser l’omerta. Dans le même temps 75% des mosquées britanniques ont refusé de condamner ces abus pédophiles .

    4284419699.jpgDu reste, le procès en cours a été placé sous la procédure de la « reporting restriction » qui interdit d’en parler sous peine de sévères sanctions.  Cette ordonnance conservatoire du juge est en principe destinée à préserver la sérénité des débats. En fait la raison profonde de ce black-out médiatique est la crainte de voir la construction sociale britannique devenir la proie de graves conflits. Il est donc interdit de dénoncer les crimes commis par certaines populations car  le "vivre ensemble" britannique risquerait d’en être fragilisé. Plus profondément, le principe de non-discrimination en vigueur en Grande Bretagne comme en France interdit d’apercevoirles prédispositions de certaines cultures à favoriser certains comportements : il édicte un réquisit d’aveuglement. Ce que l’on peut légitimement analyser comme une dissolution de l‘ordre social due à une trop grande mixité doit être réduit à une foule de faits divers auxquels on doit s’interdire de prêter une signification. Un exemple : lorsque la députée conservatrice locale, Lucy Allan, réclama une enquête, elle fut ainsi accusée d’attiser les tensions interraciales en désignant un gang indo-pakistanais. Cette situation est rendue plus aiguë encore par le fait que la Grande Bretagne, à la différence de la France, encourage le communautarisme, pour les différentes ethnies qui composent le kaléidoscope insulaire, à l’exception, bien entendu, des britanniques de souche. Les médias sont donc mobilisés pour exercer la « pédagogie diversitaire » afin de « guérir les mentalités  européennes de leurs pesanteurs ». La falsification du réel devient alors un devoir des autorités. Il existe pourtant des hommes assez courageux pour braver la censure de ce « pays de liberté » qu’est le Royaume Uni. Au premier rang d’entre eux se trouve le jeune journaliste Tommy Robinson, fondateur de l’ « English Defence League », qui a osé « couvrir » le procès de Telford malgré le black-out imposé par le juge. Tommy Robinson a donc été interpellé et, dans une hâte exceptionnelle, condamné à  13 mois de prison ferme, sans que le prévenu ait pu choisir son avocat ni bénéficier d’un procès équitable. La presse n’a pu relater cette procédure d’exception car les juges ont appliqué à sa condamnation une nouvelle « reporting restriction », sans aucune raison autre que le désir d’écraser toute protestation. De plus, Tommy a été transféré à la prison de  Leicester, dans un secteur peuplé de 71% de criminels musulmans dangereux, sur l’ordre du nouveau ministre de l’Intérieur, Sajiv Javid, d’origine pakistanaise. Cette situation le met en permanence en danger de mort. A son arrivée, les prisonniers ont d’ailleurs fait un énorme tapage, hurlant : « A mort Tommy Robinson ».

    Certes, on pourra dire que ce jeune activiste n’est pas dans notre style, et que l’hostilité à l’Islam ne constitue pas un programme politique. Cependant il nous semble que nous sommes tout de même concernés par cette répression qui n’est qu’une partie de ce que nous subissons et qui a pour but de bâillonner toute résistance à la société de l’indifférenciation. De plus le courage de ce jeune homme est impressionnant. Naturellement les organismes de défense des journalistes se sont fait remarquer par leur silence.  

    Une pétition circule actuellement en faveur de la libération de Tommy Robinson. Elle a reçu l’appui de personnalités aussi diverses que Samantha Markle, demi-sœur de Megan Markle, Donald Trump Jr, fils du président américain, Yvan Rioufol ou Renaud Camus. Elle a déjà recueilli plus de 600 000 signatures.

    Vous trouverez ci-dessous le lien permettant de pétitionner en faveur de la libération du jeune journaliste :

    https://www.change.org/p/theresa-may-mp-free-tommy-robinson

    Pierre de Meuse est Docteur en droit, conférencier, sociologue et historien.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Comment les « Grooming Gangs » humilient le Royaume-Uni – Anthony Grange (Les Identitaires)

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    Pour quiconque sait ce qu’il s’y est passé, le nom de Telford, au Royaume-Uni, apparaît comme synonyme d’horreur. De Telford, mais aussi de Rotherham, de Rochdale, de Derby, d’Oxford, de Banbury, de Bristol, d’Aylesbury, d’Halifax, de Newcastle ou Peterborough.

    Ces villes anglaises ont connu, pendant des dizaines d’années, des viols de masses sur des adolescentes. On parle d’un total de 4 000 victimes sur toute l’Angleterre.

    Vous n’en avez pas, ou peu, entendu parler ? Ce n’est guère surprenant. Car les médias français se sont montrés d’une prudence de Sioux sur ces affaires. Eux, si prompts à dénoncer la moindre blague sexiste, évitent à tout prix d’aborder le cas de ces milliers d’adolescentes violées.

    La raison de cette prudence est simple : c’est parce que ces viols ne cadrent pas avec la grille de lecture des féministes progressistes. Car dans ces viols collectifs, les agresseurs sont des hommes issus de l’immigration (notamment pakistanaise), et leurs victimes des jeunes filles de la classe ouvrière blanche.

    Les actes commis à Telford, Rotherham ou Rochdale correspondent à ce que les Anglais appellent des « Grooming Gangs ». En français, cela correspond à des viols collectifs, ou à des tournantes, mais avec une dimension supplémentaire.

    Comment se passent un grooming ? Prenez une jeune fille de onze ou douze ans. Elle est blanche, issue d’une famille ouvrière prolétarisée par la crise des années 1980. Elle évolue dans un environnement où le chômage, l’alcoolisme, la toxicomanie se développe.

    Cette jeune fille va traîner dans la rue. S’initier à la cigarette, peut-être même frayer avec la délinquance juvénile. Et elle va entrer en contact avec un jeune homme, majeur, d’origine pakistanaise. Il va la traiter comme une grande. Lui donner des cigarettes, la faire sortir tard le soir. Lui payer un repas à McDo, lui offrir des petits cadeaux. Lui faire boire de l’alcool. La présenter à ses amis, du même âge.

    Et il va la violer.

    Et ses amis vont la violer.

    La jeune fille va rentrer chez elle, mais le lendemain, elle croisera à nouveau son violeur. Qui l’emmènera encore pour la violer. Il va la battre, pendant des heures. Lui donner de la drogue et la rendre accro au crack. La prostituer.

    Elle connaîtra les coups, l’humiliation. Elle n’est qu’une blanche, une salope, une Anglaise. Une « white cunt ». Elle mérite ce qui lui arrive, à cause de son comportement, de la façon dont elle s’habille, de sa couleur de peau.

    Elle n’est pas musulmane, elle n’est pas digne de considération. Elle n’est que de la viande. Parfois, on récite des versets du Coran en la violant.

    On la menace. « Si tu parles, je violerai ta mère devant toi. » On la force à ramener ses amies, ses sœurs, qui entreront dans le même engrenage infernal.

    Les viols se font par plusieurs hommes en même temps, pendant des heures. Les victimes subissent morsures, brûlures, étranglements. On leur urine dessus. Elles sont torturées à coups de couteau, de hachoir, de batte de base-ball, de marteaux.

     

    Une victime a eu les fesses marquées des initiales de son bourreau. Une autre a eu la langue clouée à une table.

    Une victime a été poignardée quarante fois et son cadavre jeté dans un canal. Une autre brûlée vive dans sa maison avec sa sœur et sa mère.

    Comment des faits aussi horribles ont-ils pu se produire pendant des dizaines d’années et dans tant de villes différentes sans que les autorités britanniques réagissent ? Cela paraît sidérant… et pourtant c’est arrivé. Pour deux raisons.

    Déjà, les victimes. Issues de la classe ouvrière, elles sont ignorées, méprisées par les pouvoirs publics. Elles sont perçues comme des citoyennes de seconde classe. Elles ne sont défendues ni par les élites anglaises, ni par une quelconque organisation communautaire, ni par les associations antiracistes.

    Personne ne s’occupe d’elles.

    Et puis il y a les bourreaux. Dans leur immense majorité, ils sont issus de l’immigration. Ils sont membres d’une communauté solide, soudée, qui a ses entrées au conseil municipal et au commissariat.

    S’en prendre à cette communauté, c’est être raciste.

    Entre risquer de ruiner sa carrière pour aider leurs victimes et ne rien faire, le choix a été vite fait.

    La police n’a rien fait. Des policiers qui sont tombés sur une gamine de douze ans ivre au milieu d’adultes pakistanais ont poursuivis la fille pour ivresse publique sans même relever les identités des hommes. Des adultes pris en flagrant délit de relation sexuelle avec des mineurs, qui avaient des photos d’autres actes sexuels avec d’autres mineurs sur eux, ont été relâchés. Des policiers qui ont voulu enquêter en ont été dissuadés par leur hiérarchie. Une policière qui a relevé l’origine ethnique des agresseurs a été contrainte de suivre un cours de sensibilisation antiraciste.

    Les professeurs n’ont rien fait. Leurs élèves vivaient l’enfer, et ils sont restés les bras croisés.

    Les services sociaux et de santé n’ont rien fait. Des filles allaient chercher une pilule du lendemain plusieurs fois par mois, avortaient à répétition, présentaient des traces de torture et de viols, et ils n’ont rien fait.

    Les municipalités n’ont rien fait. Certaines ont même délibérément entravé les enquêtes.

    Ils avaient peur de paraître raciste. Ils avaient peur de nuire au vivre-ensemble. Ils avaient peur de créer des tensions communautaires.

    Ils avaient peur pour leur carrière, pour le qu’en dira-t-on.

    Les viols collectifs de Telford, Rotherham, Rochdale, et de toutes ces autres villes, ont été permis par la lâcheté des institutions qui ne voulaient pas être accusées de racisme.

    Et ils ont été permis par la haine. La haine contre les Anglais, la haine contre les Européens, la haine contre les Blancs. La haine de ces populations venues d’ailleurs qui se comportent en conquérants.

    La haine qui harcèle, qui agresse, qui tabasse, qui viole, qui tue.

    La haine de la racaille, la haine des islamistes, la haine des violeurs.

    Cette même haine, que l’on retrouve partout en Europe.

    Nous avons récemment appris qu’aux Pays-Bas, 1 400 adolescentes néerlandaises étaient, tous les ans, victimes de proxénètes immigrés.

    Et en France ?

    Anthony Grange

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/211250/comment-les-grooming-gangs-humilient-le-royaume-uni-anthony-grange-les-identitaires/#more-211250

  • PMA : Les Pères de Famille s’indignent et entrent en résistance

     

    Indignés de voir l’individualisme, l’égoïsme et le matérialisme de notre société consacrer l’effacement de la figure du père, des pères de famille de plusieurs villes de France se sont constitués en un Collectif des Pères Indignés (CPI) qui a mené samedi 16 Juin une vaste opération de tractage dans les rues d'Angers, du Mans et de Nantes.

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    L’objectif, en cette veille de Fête des Pères, était d’alerter les Français du danger que représenterait pour notre société l’autorisation de recourir à la Procréation Médicalement Assistée pour les femmes (PMA dite sans père). Une telle autorisation réduirait l’enfant à une marchandise tout en ouvrant la voie à l’autorisation de la Grossesse Pour Autrui (GPA) véritable esclavage moderne exploitant la misère des femmes des pays pauvres pour satisfaire un égoïste droit à l’enfant contraire à la déclaration universelle des droits de l’enfant ratifiée par la France.

    Face à de tels dangers, le CPI veut rappeler non seulement aux pères mais également aux mères et à toute la société française que chaque enfant a le droit d’être élevé par son père ET sa mère :

    • qu’un père c’est un repère pour un enfant
    • qu’un enfant a besoin de son père
    • le droit fondamental pour un enfant de connaître ses racines
    • que le droit DE l’enfant passe avant le droit À l’enfant

    Le CPI veut alerter les Français sur les dérives de la PMA dite sans père :

    • la création par la loi d’orphelins de père
    • la réduction du rôle du père à celui d’un « fournisseur de spermatozoïdes »
    • la réduction du corps humain à une simple marchandise
    • le risque d’eugénisme à travers le diagnostic préimplantatoire [qui existe déjà avec la PMA]
    • l’inévitable légalisation de la GPA (Grossesse Pour Autrui)

    C'est pourquoi les pères indignés vont à la rencontre des Français !

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’AQUARIUS : UN MODERNE NÉGRIER

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    L’information passe inaperçue, tant elle est banale. La moitié des 630 migrants de l’Aquarius veulent s’établir en France. C’est l’annonce faite par le gouvernement espagnol le 18 juin après qu’il a accueilli le navire dans le port de Valence, conformément à l’annonce qu’il avait faite quelques jours plus tôt.

    N’en déplaise aux bonnes âmes et autres bien-pensants, professionnels de la compassion, internationaux de la pleurnicherie et spécialistes de l’accueil par les autres, l’Aquariusest un « négrier ». Un navire en provenance des côtes africaines, où il est allé chercher ces personnes qui n’étaient pas en péril au milieu des eaux internationales, mais à proximité immédiate des côtes libyennes. Un navire qui a embarqué des centaines de malheureux, à qui le voyage depuis leur pays natal a dû coûter une fortune qu’ils n’ont pas, à moins qu’ils aient gagé leurs hypothétiques revenus futurs pour rembourser leurs passeurs. Un navire qui a mené jusqu’en Europe de gens qui n’ont rien à y faire, qui ne parlent pas nos langues et qui finiront au mieux assistés sociaux, au pire semi-esclaves au profit d’entrepreneurs sans scrupules.

    C’est d’une véritable traite qu’il s’agit. Cette traite justement dénoncée de nos jours, grâce à laquelle des armateurs peu regardants se sont enrichis, il y a quelques siècles, sur le commerce du bois d’ébène. Ces « migrants » sont le bois d’ébène moderne. Et notre société n’en a pas encore conscience.

    Monsieur Macron a fustigé l’attitude de l’Italie dans cette affaire. En refusant d’accueillir ce bateau dans ses ports, la péninsule a justement rappelé que les associations pro-migrants ne se contentaient pas de secourir les naufragés en passe de se noyer. Elles vont les chercher en Afrique et les transportent en Europe. Les Italiens ont également rappelé que les secours en mer relevaient de la responsabilité des États, et que ces derniers avaient la capacité de les organiser sans avoir recours à des ONG dont les motivations sont beaucoup moins charitables. En réalité, ces navires de passeurs sont les complices des mafias qui organisent, des deux côtés de la Méditerranée, un odieux trafic d’êtres humains.

    Un trafic d’autant plus odieux que ces personnes, qui viennent et resteront en Europe, n’ont rien à y faire. Certaines passeront en France, d’autres en Grande-Bretagne. Là, elles seront alimentées par notre système de solidarité, sans aucune possibilité de travailler, faute de maîtrise de la langue et des compétences élémentaires requises. Parmi elles, quelques islamistes qu’on nous dira modérés s’égailleront dans la nature pour y préparer la subversion de nos nations, ou un attentat qui tirera de nos bon samaritains incrédules quelques larmes de crocodile et une nouvelle extinction de la tour Eiffel.

    La presse unanime a salué la décision espagnole. En réalité, dans cette affaire, tout est communication. Dès lors que nos dirigeants libéraux et démocrates peuvent pointer du doigt l’attitude « scandaleuse » de l’Italie et de son gouvernement « populo-fasciste », pourquoi se priver d’une publicité à bon compte, quitte à piétiner allègrement la volonté des peuples qui n’en peuvent plus ? Et puis, qui se soucie de la volonté des peuples ? Ni les socialistes espagnols, ni le gouvernement français.

    Dans quelques jours personne n’en parlera plus. Et d’autres Aquarius accosteront sur les quais européens, dans l’indifférence la plus totale. Anesthésiés par le foot et la société de consommation, nos compatriotes ont le sommeil lourd. Jusqu’au jour du réveil, qui tarde à venir, mais qu’il faut craindre brutal. Hélas.

    http://www.bvoltaire.fr/laquarius-moderne-negrier/

  • Manifeste pour le renouveau de la France

    2810382302.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Un an après l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, Hervé Juvin publie son douzième livre, France, le moment politique (Éditions du Rocher, 2018, 285 p., 16,90 €). Il s’agit d’un vigoureux manifeste « pour que la France vive ! » selon son sous-titre.

    En témoin avisé des événements du monde, l’économiste et chef d’entreprise qui se déplace sur les cinq continents pour des motifs professionnels développe un ambitieux projet pour la France qu’il considère « comme porteuse des droits des peuples à disposer d’eux-mêmes, comme voix précieuse de ce qui dure, de ce qui résiste et de ce qui demeure (p. 278) ». Il est appréciable qu’un homme qui connaisse et comprenne les rouages de l’économie soutienne l’avènement d’une civilisation écologique en Europe. Il en explicite même les enjeux majeurs !

    Non, Hervé Juvin ne verse pas dans le moindre écolo-gauchisme. Il exprime au contraire une réalité toujours incomprise pour les petits-enfants des baba cools. « Seuls l’État et la Nation peuvent affronter la crise des ressources vitales qui vient (p.14). » Ainsi améliore-t-il l’engagement souverainiste et identitaire en annonçant que « l’union profonde des Français et des territoires de la France, c’est l’unité d’un combat pour la vie (p.20) ». Son écologie se veut nationale parce que « le combat pour les frontières, c’est le combat pour une société écologique, qui respecte chaque identité, chaque modèle social, chaque organisation économique. C’est le combat qui enrichit nos biens communs, contre leur exploitation commerciale, leur braderie touristique (pp. 21 – 22) ».

    Serait-ce pour autant la première manifestation tangible d’illibéralisme dans la République hexagonale des Lettres ? Probablement pas. « Pour que l’économie française renaisse, affirme Hervé Juvin, il faut engager une politique de nationalisme libéral (p.218). » À la suite des travaux pionniersdu Club de l’Horloge, on trouve donc des thématiques nationales-libérales républicaines, françaises et européennes, même si on relève parfois de fortes similitudes avec le programme présidentiel de Jean-Luc Mélenchon au sujet en particulier de l’inexploitation scandaleuse du deuxième domaine marin du monde. L’auteur pense que « la France bleue est un axe central de la renaissance nationale (p.28) ».

    Après Patrick Buisson, théoricien de la fameuse « droite hors les murs », ce sont de vraies munitions intellectuelles qu’offre en praticien averti Hervé Juvin. À Robert Ménard et aux « Amoureux de la France » de s’en saisir d’urgence !

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°83, diffusée sur Radio-Libertés, le 15 juin 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/06/17/manifeste-pour-le-renouveau-de-la-france-6060317.html