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lobby - Page 1307

  • Octobre 2016 : la glace maritime arctique doit avoir entièrement fondu

    Selon les prévisions des réchauffistes. Mais comme les sectes qui vous prévoient la fin du monde, les climatologues aboient et la date passe:

    6a00d83451619c69e201b7c89e88ce970b.jpg"Leurs prédictions sont à ce point erronées que l’on constate aujourd’hui une augmentation de l’emprise des classes maritimes arctiques, comme viennent de le prouver les dernières images satellites. Il y a aujourd’hui davantage et même bien davantage de glace dans l’océan Arctique qu’en 2012.

    Les dits experts n’en ont pourtant pas démordu. Largement cités par les médias, ils ont continué de faire des annonces catastrophistes soutenues par leur réputation de spécialistes : ainsi le professeur Peter Wadhams, de la prestigieuse université de Cambridge, a publié il y a peu un livre consacré à la perte de glace maritime arctique, Un adieu à la glace, où il réitérait sa prévision selon laquelle l’Arctique n’aurait plus de glace au milieu de cette décennie. Cet été encore, il annonçait un septembre sans glace.

    Comment croire que les climatologues sont capables de faire des prédictions à long terme alors que leurs prévisions d’un mois sur l’autre sont à ce point erronées ? Les chiffres présentant le minimum annuel constaté le 10 septembre, atteignent 4,14 millions de km2, soit 21 % de plus que le plus bas constaté en 2012. Globalement sur le mois de septembre, les chiffres publiés par le National Snow and Ice Data Centre font état d’une l’emprise de la glace de 31 % supérieure à celle de septembre 2012.

    [...] Les prédictions fausses récemment mises au jour ne manquent pas. Au début de la semaine, les environnementalistes ont été accusés de tromper le public à propos de la « Plaque de déchets du Pacifique » dont des images aériennes viennent de prouver qu’elle n’existe pas : non, il n’y a pas un tas d’ordures au milieu de l’océan comme on nous le racontait. En juin, on apprenait la refermeture du trou de la couche d’ozone, alors que les experts ne cessaient d’affirmer qu’il ne se refermerait jamais.

    [...] De nombreux scientifiques annoncent depuis une dizaine d’années que la glace arctique aura fondu d’ici à 2050. Le GIEC continue d’affirmer qu’il y a 66 % de chances d’arriver à un Arctique sans glace en 2050 si les émissions de CO2 continuent de croître. En 2007, Wadhams prédisait l’échéance pour 2013, après que les niveaux eurent chuté de 27 % en une seule année. Mais en 2013, le niveau était au contraire 25 % plus élevé qu’en 2007. En 2012, une nouvelle chute record amenait Wadhams à repousser sa prédiction à 2016, soutenu en cela par d’autres scientifiques prestigieux.

    On constate en 2016 que l’Arctique a connu une glaciation extrêmement rapide avec une poussée de la glace qui a atteint 1,05 million de kilomètres carrés en trois semaines seulement depuis le minimum du 10 septembre. Selon l’Institut météorologique danois, la glaciation a connu son record de rapidité depuis la mise en place d’un registre quotidien depuis 1987. [...]"

    C'est un fait avéré : les tenants du réchauffisme polluent le discours sur le respect de l'environnement.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Approuvez-vous l'installation de nouveaux migrants, imposée par l'État, sans consultation du conseil municipal?

    C'est la question que Robert Ménard souhaite poser à ses administrés le 8 janvier 2017 dans le cadre d'une "consultation locale pour avis".

    Robert Ménard est néanmoins conscient que c'est l'Etat qui décide :

    "Dans un contexte économique difficile, l'arrivée prochaine de migrants, probablement dans le centre-ville, n'est pas sans conséquence sur notre commune. Que ce soit par l'augmentation du nombre d'enfants scolarisés ou par l'atteinte à la redynamisation du centre-ville", détaille la proposition que soumettra le maire.

    "Le but de la municipalité, avec cette consultation et les affiches, est de dire la vérité aux Biterrois, c'est-à-dire que l'État a décidé d'imposer, sans daigner consulter le conseil municipal et le maire, l'installation de nouveaux migrants dans le centre-ville de Béziers. Le maire n'est pas d'accord avec cette manière de fonctionner et il souhaite poser la question aux Biterrois"

    Cette annonce a été accompagnée d'une nouvelle campagne d'affichage dans les rues de Béziers...qui provoque la colère de la bien-pensance :

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    Midi-Libre publie une photo pour illustrer cette campagne d'affichage qui montre qu'ils sont déjà là :

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    Philippe Carhon

  • Découvrez la carte de répartition des migrants de Calais

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  • Petite leçon de sémantique globalo-mondialiste à l’usage des habitants de la Nouvelle-Hollandie.

    Bernard Plouvier

    Il ne faudrait en aucun cas, sous peine d’attrister notre bien-aimé et si dévoué chef de l’État, confondre acte légitime de guerre, fraiche et joyeuse, et crime de guerre, vil autant qu’abominable.

    Lorsque les aéronavales US et française, avec ou sans le secours de l’aviation turque, bombardent la ville de Mossoul, il s’agit d’une action très honorable, en quelle que sorte d’une saine leçon infligée à d’immondes barbares… et pour le coup, on ne peut qu’approuver la propagande des sieurs Obama-Erdogan-Hollande.

    Toutefois, s’il est logique, dans le contexte terroriste actuel, d’écraser sous les bombes la capitale de l’État Islamique (variantes : Daesh ou Daech, comme on voudra), il est important de constater que seuls des militaires ennemis, de vilains partisans fanatiques d’un dénommé allah, sont tués. Les chasseurs-bombardiers de la coalition du Bien, du Droit, pilotés par de preux chevaliers de Dame Démocratie, sont des gentils avions propres, qui ne touchent pas d’innocents civils… écoutez la propagande des media officiels globalo-mondialistes et vous ne pourrez qu’en être convaincus.

    En totale opposition, il importe de conspuer radicalement les bombardements des quartiers rebelles de la ville d’Alep par les avions de l’armée régulière, obéissant aux ordres du chef légitime de l’État syrien et les aéronefs de son allié russe. Ces bombardements ne font que d’innocentes victimes civiles… et notre bien-aimé président d’entonner dévotement son antienne sur la nécessité d’en appeler à l’ONU (le « machin » si utile et si cher à de Gaulle), voire au Tribunal Pénal International de La Haye.

    Car si les bombardements du premier type sont souhaitables, voire même éthiquement justes et bons, ceux du deuxième type sont ignobles, malsains, en un mot criminels. Bientôt, l’on ressortira à leur propos l’accusation infamante (et imprescriptible) de « crime contre l’humanité », soit l’horreur suprême, l’abomination de la désolation, un attentat presque aussi grave que le piratage des données les plus confidentielles de la Bourse de Wall Street.

    Cette puérile opposition manichéenne, entre des individus tout pleins bons et de très hideux méchants, fait recette depuis l’aube des temps cléricaux. Toute religion bien organisée se dote d’ennemis mortels, suppôts haïssables d’un Satan quelconque.

    En matière de politique, ces niaiseries ont envahi le cirque médiatique lors de la Révolution française de 1789 sq. Plus tard, dès les premiers jours de cette guerre qui parut Grande parce qu’on y faisait entrer un nombre ahurissant d’États et qu’on immolait des millions d’êtres humains et détruisait des milliards d’unités de compte, ce fut un délit grave, voire un crime de haute trahison, que de ne pas approuver la propagande d’État, opposant les défenseurs du (bon) Droit, de la Justice et de la Liberté aux ennemis, inspirés par le Malin. Aux vrais soldats du front des combats, ces sornettes firent très rapidement l’effet d’un « bourrage de crânes ».

    On fit bien mieux lors du conflit suivant, où, certes, les Allemands firent tout pour être aisément diabolisés, ce qui permit de passer à la trappe leur extraordinaire démonstration d’efficacité guerrière et le patriotisme héroïque de leur Nation.

    On aurait pu croire qu’après les inepties du Traité de Versailles (et des autres « traités de la région parisienne », de 1919-1920), après le déni de justice de certains procès des années 1945 sq., l’opinion publique internationale serait devenue moins crédule, moins facilement dupe. Que nenni !

    Au XXIe siècle de l’ère dite chrétienne (si l’on préfère : au premier et dernier – espérons-le – siècle de l’ère globalo-mondialiste), on réutilise les mêmes grosses ficelles, la même sottise digne d’un jardin d’enfants (et encore de jeunots pas très « cortiqués »). Et l’on en remet une couche : d’un côté le gentil Obama (et ses amis dévoués Hollande, Erdogan et consorts arabo-islamo-pétroliers), de l’autre les lucifériens Poutine et Hassad…. si l’on préfère Peter Pan et ses amis versus le capitaine Crochet et ses infects pirates.

    Quand les intérêts politico-économiques globalo-mondialistes auront changé, les agents de publicité « du Monde libre » - si l’on préfère : de la Société ultra-libérale - recadreront les cibles.

    Entre Chine, Iran, Corée du Nord, voire, pourquoi pas, de vilains Européens ayant la nausée des gentils Yankees et de leurs agents de pourrissement social – nos chers immigrés-réfugiés-envahisseurs -, il n’y aura que l’embarras du choix. On utilisera les mêmes schémas accusatoires en variant les noms des États et de leurs dirigeants… et les Margots de service viendront une nouvelle fois pleurer dans le casque du gentil capitaine des pompiers made in USA.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Commencer l'année électorale par La Manif Pour Tous du 16 octobre

    A l'approche de la grande manifestation pour la famille, dimanche, Le Salon Beige a interrogé Ludovine de la Rochère, présidente de La Manif Pour Tous :

    Pourquoi manifester le 16 octobre ?

    6a00d83451619c69e201bb0941ed42970d-800wi.jpgComme souvent, cette manifestation répond à une double urgence, suivant un double tempo :

    D’une part, la nécessité impérative de mettre un coup d’arrêt puissant à la reprise des offensives anti-famille de François Hollande.

    En effet, le Président, quoiqu’incapable de gouverner la France, n’a qu’une seule obsession : sa réélection. Son seul domaine d’action possible et sa seule manière de rassembler la gauche est le domaine sociétal.

    Or cette gauche considère que l’émancipation de l’individu doit être totale et elle s’appuie sur une liberté mal comprise. Cela explique la volonté de dissoudre la famille, le mariage et de redéfinir la filiation - laquelle devrait être fondée sur le « choix parental ». Cela explique aussi la volonté de donner à chacun la possibilité de s’auto-déterminer. Cela explique, enfin, la volonté d’une Najat Vallaud-Belkacem d’intervenir « dès le plus jeune âge » auprès des enfants, lesquels doivent être « libérés » de tout ce que leur transmettent leurs parents.

    Les projets néfastes du gouvernement ont donc repris dans ce sens depuis le printemps dernier : volonté d’avancer  vers la PMA pour les femmes célibataires ou lesbiennes, absence de réaction face à la nouvelle condamnation de la France sur la GPA par la CEDH, systématisation de la célébration des PACS en mairie – qui relativise encore davantage le mariage -, légalisation du changement d’identité sexuelle sans constat médical voire sur simple déclaration, ou encore instauration du statut du beau-parent qui mettrait en place des parents « sociaux » à côté des parents « biologiques » de l’enfant, premier pas vers la multi-parentalité.

    6a00d83451619c69e201b8d2288e4a970c-800wi.jpgA cela s’ajoute la politisation de l’école, notamment avec la diffusion rampante de l’idéologie du genre, mais aussi la volonté de restreindre la liberté scolaire. Dans ce contexte, comment les parents pourraient-ils faire confiance et continuer à déléguer l’instruction de leurs enfants à l’école ? Ils le peuvent d’autant moins que la Ministre, en plus, poursuit le nivellement par le bas du système scolaire par idéologie égalitariste.

    D’autre part, nous sommes bien évidemment au seuil d’une année politique majeure pour la France.

    Nous sommes immensément nombreux – et il faut précisément le dire et le montrer - à souhaiter un véritable bouleversement de la logique philosophique et politique qui prévaut depuis des années. La France a urgemment besoin de responsables qui agissent pour le bien commun avec, enfin, une vision à moyen et long terme. Cela implique, évidemment, de rebâtir tout ce qui concerne la famille : mariage, adoption, filiation. Cela suppose, également, un véritable changement de culture et de mentalité.

    Nous souhaitons une politique qui corresponde aux valeurs de notre civilisation et à une ambition réelle pour la France, ce qui passe par la promotion de la famille, qui donne une identité personnelle et collective, veille sur chaque personne, transmets ses valeurs, humanise la société et assure l’avenir de la nation.

    6a00d83451619c69e201b8d2288f97970c-250wi.pngLa participation de tous est indispensable le 16 octobre. Le RDV est à 13h Porte Dauphine et nous rejoindrons le Trocadéro (Pour des raisons de sécurité et pour réduire le temps d'attente (nous serons nombreux !), l'accès à la manifestation se fera depuis la Porte Dauphine).

    Pensez vous vraiment que la GPA mobilise les Français ?

    La GPA est une pratique véritablement sidérante en ce qu’elle rassemble tout ce qui porte atteinte à l’être humain : dans ce contexte, celui-ci est considéré comme un outil (la femme) ou un produit (l’enfant) dont on peut disposer suivant ses désirs, d’où le choix sur catalogue, les manipulations, l’eugénisme, l’achat, l’arrachement à sa mère, la déconstruction de sa filiation, etc.

    Certes, on peut se dire que la GPA ne concerne que quelques centaines de personnes en France. Mais d’abord, n’y en aurait-il qu’une seule, ce serait déjà inacceptable ! Ensuite, la GPA parachève l’acceptation d’un nouveau statut de l’être humain : même pas celui d’un animal (beaucoup sont protégés), mais bien celui d’un produit.

    C’est en cela que la GPA nous concerne tous : elle est la poursuite du changement de civilisation voulu par le François Hollande et incarné par Christiane Taubira.

    Quant à savoir si ce sujet mobilise particulièrement, c’est difficile de le dire. Je peux simplement faire remarquer que la manifestation du 5 octobre 2014 contre la GPA avait été très importante. Je souligne aussi que cette pratique est rejetée par des personnes de toutes sensibilités philosophiques et politiques et que cette opposition, notamment par le travail de La Manif Pour Tous, n’a fait que grandir. Aujourd’hui, rares sont ceux qui osent se dire favorable à la GPA. Nous savons, enfin, que tous ceux qui se sont mobilisés en 2013 refusaient notamment le principe de la GPA.

    6a00d83451619c69e201bb0941ed48970d-800wi.jpgA partir de combien de manifestants considérez-vous la mobilisation de dimanche comme réussie ?

    La réussite dépend bien-sûr de l’ampleur de la mobilisation, mais aussi du déroulement de la manifestation. En 2013, le gouvernement a largement exploité la prétendue violence  de tel ou tel moment des manifs pour nous faire passer pour des « extrémistes », c’est-à-dire pour nous décrédibiliser. Il s’agissait bien-sûr d’une manipulation énorme mais, j’allais dire, « plus c’est gros, plus ça passe » ! En 2014 d’ailleurs, le gouvernement et les médias étaient tous aux aguets, en particulier sur les fins de manifs, mais ils n’ont pas trouvé une seule photo de supposées violences… et nous avons obtenu le retrait complet et définitif du projet de loi « Familles » de Dominique Bertinotti.

    Pour en revenir à votre question, je pense que nos voix seront entendues si l’ampleur de la mobilisation est incontestable. Et, croyez-moi, les récentes attaques politiques et médiatiques comme les très nombreuses questions qui nous sont posées révèle l’inquiétude de nos opposants et leur crainte d’une mobilisation immense. Ils savent que cela pèserait beaucoup dans les mois à venir.             

    Ce succès dépend de chacun d’entre nous : à chacun d’être l’ambassadeur de l’enfant et de la famille en mobilisant jusqu’au dernier moment notre entourage, nos amis, nos voisins, nos collègues… Il est aussi possible de contribuer au succès de la manifestation en participant activement à son bon déroulement en devenant volontaire (http://recrutement.lamanifpourtous.fr).

    La suite demain

    Michel Janva

  • Une case en moins

    Victime du succès de son émission diffusée dimanche soir surM6, Une ambition intime,  Karine Le Marchand s’est faite étriller par quelques politiciens…  qui lui ont reproché sans le dire  ses 3,1 millions de téléspectateurs…et surtout le pic enregistré  à 4 millions pour l’entretien avec Marine, pourtant programmée après ceux de  MM. Le Maire, Montebourg et Sarkozy. A titre de comparaison, Alain Juppé dans l’Émission politique sur France 2 avait rassemblé jeudi dernier 2,8 millions de téléspectateurs. Certes, le ton intimiste, complice, sans rugosité, ni critiques, qui donne justement sa spécificité à ce rendez-vous, n’en fait pas une émission politique classique. Or, celle de K. Le Marchand  a eu justement le grand tort  aux  yeux de ses détracteurs de montrer la présidente du FN sous un jour aimable, à égalité de traitement avec d‘autres ténors de partis du Système.

    D’où la colère de la très aigrie militante anti FN   Sophia Aram sur France inter. Une  comique qui souffre  apparemment toujours de l’humiliation subie lors de son bref et désastreux  passage sur France 2 pour son émission  de début de soirée (sous la barre des 3% d’audience), et qui a déversé son fiel et sa jalousie sur K. Lemarchand. Même hypocrisie du ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault affirmant, « C’est assez consternant. On se moque de la politique américaine, mais on est en train de vouloir la copier » . C’’est ce même M. Ayrault qui comme une vulgaire Hillary Clinton avait dévoilé des photos familiales  intimes dans Paris-Match…

    Pour le ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, « il faut faire attention (…) de ne pas faire trop de mélange des genres. On est déjà souvent entraîné dans ce type d’exposition parce qu’on est un peu traqué partout », a-t-elle dit sur iTELE. Mme Royal avait posé  également pour Paris-Match  dans sa chambre à  la maternité juste après son accouchement … sans mélange des genres ?

    Quant à Roselyne Bachelot, ministre  sous MM. Chirac et Sarkozy,  habituée de longue date des émissions les plus racoleuses,  elle  s’est pareillement  déclarée « totalement contre » le concept de l’émission. « Ce genre de traitement n’a aucun intérêt pour le débat politique » (sic). Virginie Spies, universitaire spécialiste de la télévision,  collaboratrice régulière de l’Obs  fait mine de s’inquiéter pour de bonnes raisons:  « on est sous le règne de l’émotion et on laisse sous-entendre que celui qui verse sa larme remportera éventuellement plus de suffrages » – Marine n’en a versé aucune, NDLR. « Ce n’est pas forcément une bonne nouvelle pour la démocratie. »

    Démocratie à géométrie variable quand elle concerne le FN.  Sur le site d’Orange, Karine Le Marchand  s’est défendue contre  les attaques dont elle a été l’objet:  « C’est (Marine, NDLR) une femme comme les autres. Moi je fais une émission avec les présidentiables. Elle a toute sa place. » Si je ne l’avais pas faite (cette interview, NDLR), tout le monde me serait tombé dessus, mes agriculteurs en premier »« J’ai l’impression d’être au tribunal parce que j’ai fait Marine Le Pen. Franchement, j’étais obligée de la faire, et de la faire comme tout le monde. Sinon, on interdit le FN et on ne l’invite pas. »

    Interdire le FN ? Ou continuer, sans cesse, sans relâche, indéfiniment  à  regarder dans le rétroviseur, à gratter de vieilles plaies, à  ressasser de vieilles haines, de vieux mensonges ? C’est la méthode choisie  par  le très démonétisé  Jean-François Copé. Il a repris hier sur  le site de Valeurs actuelles  leséléments de langage d’un Manuel Valls ou d’un Jean-Christophe Cambadélis pour dissuader  les électeurs de voter FN : « certains ont la mémoire qui flanche, on a déjà essayé l’extrême droite ! Ils ont laissé un souvenir effroyable. Je me souviens quand même d’une période de l’Histoire où le gouvernement n’était plus à Paris mais à Vichy. On les a vus à l’œuvre. La filiation de l’extrême-droite, c’est Vichy (…) Arrêtons de berner les gens. » Un bon conseil que cet ami très proche  de Ziad Takieddine pourrait  tenter de s’appliquer  à lui-même. Mais à l’impossible nul n’est tenu…

    Interdiction du FN qui ne ferait  pas les affaires de ses adversaires qui vivent grassement à ses crochets. Exemple, la récente bande dessinée (La  présidente, 2015)  consacrée à Marine Le Pen commise par le très clintonien spécialiste des Etats-Unis pour BFM TV  François Durpaire et le dessinateur Farid Boudjellal. Ce fut un gros succès, avec plus de 100 000 exemplaires écoulés, BD plébiscitée  par une clientèle captive et/ou  peu ou pas cultivée:  profs de gauche, éducateurs de MJC,  militants desréseaux associatifs et  citoyens, et autres  bobos conformistes.

    Un filon qui a donné des idées à Riss (directeur-dessinateur  de Charlie Hebdo),  Richard Malka (avocat  de l’hebdomadaire), et Saïd Mahrane (journaliste au Point) qui viennent de sortir une autre BD, La Face crashée de Marine Le Pen, qu’ils espèrent refourguer aussi bien  que « La Face karchée de Sarkozy »  (230.000 exemplaires  vendus selon Grasset). Pour l’éditeur, ce roman graphique compte « un soupçon de perfidie, une légère malice, une pincée d’irrévérence, un constant souci de vérité » (sic).

    Le magazine publicitaire  socialo-progressistes Elle, est entré en pâmoison. Le ton de cette BD, qui déroule son récit sur un jour, celui du 7 mai 2016,  est  «comique, juste, affligeant (…).  On rit jaune d’un parti qui tient plus de l’asile politique, où personne n’est d’accord sur rien, entre Soral, Dieudonné et Gollnisch, les anciens du Gud qu’il faut planquer, les vieux copains nazis de papa, et les conspirateurs de l’ombre, Zemmour, Villiers et Buisson, qui se réunissent, pour déjeuner, une fois par mois. Sans oublier Marion Maréchal qui évoque la France catholique, tandis que le siège de campagne, en plein quartier du Marais, est gardé par des types en cuir et moustache à la façon YMCA.»

    Bref on le constate à la lecture de cette brève recension, les auteurs ont coché toutes les cases, oublié aucune des rengaines obligées… Interrogé dans Marianne, qui comme ses confrères y ayant consacré un papier,  tressent des lauriers à cette BD, Richard Malka affirme: « Marine Le Pen va être le personnage de cette présidentielle. Mon intuition de scénariste (sic), est qu’elle sera au second tour, de manière quasi-certaine. Que va-t-il se passer si cette femme arrive au pouvoir ? ». « J’ai livré mon interprétation de Marine Le Pen. Je ne suis pas forcément dans l’objectif (sic) mais c’est comme cela que je l’ai appréhendée ». Pas forcément dans l’objectif ? On s’en doutait et c’est même plutôt, si ce n’est une qualité,  du moins peut-être un devoir quand on a été l’avocat-scénariste de  Marek Halter, DSK, Caroline Fourest ou Fiameta Venner.

    http://gollnisch.com/2016/10/11/une-case-en-moins/

  • Attaque de policiers à Viry Châtillon : vers le début de la guérilla ?

    FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :

    Il semblerait que le scénario de Laurent Obertone décrit dans son dernier roman Guérilla ait commencé à prendre forme samedi dernier. Deux véhicules de police ont été incendiés au cocktail molotov par des assaillants cagoulés dans cette banlieue de l’Essonne. Quatre policiers ont été blessés dont deux sérieusement. Le pronostic vital est engagé pour un adjoint de la sécurité de 28 ans, qui a été plongé dans un coma artificiel. Les forces de l’ordre avaient pour mission de surveiller le matériel de surveillance à un carrefour réputé pour les vols à la tire. A peine installée, la caméra précédente avait été défoncée à la voiture bélier par les mêmes voulant continuer leurs activités criminelles sans être inquiétés.

    Quelle a été la réaction du gouvernement ?

    Comme d’habitude, ton martial et coups de menton étaient de mise. François Hollande a dénoncé comme « inqualifiable et intolérable » l’agression des quatre policiers, appelant à ce que les auteurs soient « condamnés à une peine à la mesure de la gravité de leur acte ». Manuel Valls a lui déclaré que « les auteurs de ces attaques seront poursuivis sans relâche et traduits en justice. Au moment où les forces de l’ordre répondent avec courage aux menaces auxquelles notre pays est confronté, des actes aussi intolérables appellent des sanctions exemplaires ». Quant au ministre de la Justice, Jean Jacques Urvoas, il a assuré qu’« il n’y a pas de zone de non droit en France ».

    Y a t il un risque d’embrasement de la zone urbaine ?

    Peu de risques que la guerre civile éclate cette semaine. Même si de nombreux renforts ont été envoyés sur place, aucune interpellation n’a été opérée pour l’instant. Il est vrai que les forces de l’ordre ont depuis longtemps ordre de ne pas utiliser leur arme de service, la légitime défense étant considérée en France comme une bavure par les prêtres de la religion du vivre ensemble. Tant que la peur ne changera pas de camp, nos policiers envoyés au casse pipe dans ces zones de non droit seront en danger.

    http://fr.novopress.info/

  • Génération contraception : on n'a plus le droit d'éprouver la difficulté d'être mère

    Hélène Bonhomme, créatrice du blog Fabuleuses au foyer, écrit dans le Point :

    6a00d83451619c69e201bb0940eef5970d-200wi.png"Ma génération de mamans est épuisée par le perfectionnisme maternel : plus que jamais, il faut « réussir son enfant », comme le suggère une grande marque de puériculture. La faute au contrôle des naissances : « Cet enfant, tu l'as voulu. Tu ne vas pas te plaindre. Tu te dois d'être une bonne mère, tu te dois d'éduquer ton enfant correctement, sans oublier de le faire manger bio et local. »

    C'est l'héritage des petites-filles de la révolution sexuelle. Génération contraception : aujourd'hui, la grande majorité de celles qui ont un enfant ont désiré l'avoir. Le revers de la médaille, c'est que l'on n'a plus le droit d'éprouver la difficulté d'être mère. Subtilement, au désir maternel se mêle la performance maternelle. Le résultat ? Une génération de mères épuisées.

    En 2016, il faut réussir son enfant tout comme il faut réussir sa carrière et son couple. « J'avais fait miens tous les problèmes de la famille, raconte Adeline. Je voulais tellement que tout se passe bien que je m'occupais de tout, du goûter à mettre dans le cartable au brossage des dents. Et comme je me débrouillais bien, c'est moi qu'on venait solliciter en cas de souci : un bouton à coudre, une queue de cheval à refaire, un sac de sport perdu, l'aide aux devoirs, les insomnies et les cauchemars des enfants, les problèmes de mon mari, les repas, le ménage, les vêtements adaptés aux activités et à la météo, les résultats scolaires..., il fallait que tout se passe bien, alors je mettais tout dans mon sac à dos émotionnel, et je portais tout sur mes épaules. » Et petit à petit, à force de se faire passer après les autres, on oublie que ce dont nos enfants ont besoin, ce n'est pas d'une maman qui gère tout. C'est d'une maman qui va bien ! « Je m'étais enfermée dans une prison que j'avais pris beaucoup de soin à construire. J'ai envisagé de divorcer pour échapper à tout ça. Je pleurais les nuits, je me sentais coincée. Le pire, c'est que personne ne m'avait demandé de faire tout ça. »

    La maternité est une grande leçon de pagaille. On peut planifier l'arrivée d'un nouvel être sur terre, mais on ne peut pas contrôler chaque détail de cette nouvelle relation qui se crée entre lui et nous. Les enfants sont les premiers concernés par cette pression perfectionniste. Mamans, prenez soin de vous ! Donnez-vous le droit d'être imparfaite... Et laissez vos enfants être imparfaits."

    Michel Janva

  • Les Européens n’ont pas à subir les bidonvilles – par Gabriel Florent

    Source : Les Identitaires – « Les Européens n’ont pas à subir les bidonvilles « 

    Il paraîtrait que les camps de clandestins qui, après Calais et Grande-Synthe, vont se multiplier sur l’ensemble du territoire Français, sont destinés à durer. Qu’ils sont inévitables. Qu’il faut nous habituer à vivre avec et même les prendre en compte dans le développement de nos villes.
    La Jungle, futur quartier calaisien ? Avec ses bars branchés, son restaurant, ses mosquées ? C’est inévitable, on vous dit ! Impossible de l’empêcher, alors autant l’organiser. Le gérer. Pour que ça se passe au mieux.
    Mais les populations autochtones pendant ce temps ? Qui leur demande leur avis ? Qui se soucie de leurs intérêts ?

    Personne, assurément. Car l’intérêt des Européens, c’est bien de voir ces camps démantelés et leurs occupants expulsés. Regardons plus en détail.

    S’il faut gérer et organiser les camps de migrants clandestins, il faut fournir aux occupants de ces camps un certain nombre de services élémentaires : eau courante, chaude et froide ; tout-à-l’égout ; électricité ; accès aux infrastructures de santé. Bref, des investissements importants, et un coût de fonctionnement conséquent.
    Or, les clandestins peuplant ces camps sont, chacun le sait, des gens miséreux. Ils n’ont aucun revenu, leur épargne éventuelle a été siphonnée par les passeurs, leur famille ne peut leur envoyer d’aide financière. Sauf rares exceptions, ils n’ont pas de compétences à haute valeur ajoutée, et ne pourront au mieux occuper que des emplois précaires et très mal payés.
    Bref, l’ensemble de la facture sera à la charge des pouvoirs publics, c’est-à-dire des Européens, qui paieront soit en voyant leurs impôts augmenter, soit en subissant une baisse de la qualité des services publics et des prestations sociales.

    Les camps de clandestins sont également une problématique en termes de sécurité publique. Cyrille Hanappe le dit lui-même : si la police n’y est pas présente, les mafias s’y développent. Ce qu’il ne précise pas par contre, c’est que les migrants clandestins sont une population où le crime organisé peut opérer comme un poisson dans l’eau.
    Les migrants clandestins sont des déracinés. Ils ont traversés des milliers de kilomètres, sont coupés de leurs familles, de leurs amis, de l’ensemble des structures sociales qu’ils connaissaient et où ils s’inséraient naturellement. Arrivés en Europe, la seule structure qu’ils connaissent est le groupe criminel qui les aura transportés. Ils vont donc, naturellement, avoir tendance à se tourner vers ces groupes criminels pour leur vie quotidienne. Les pouvoirs publics, sauf à consentir des investissements encore plus massifs, ne pourront pas concurrencer efficacement le niveau d’encadrement des groupes criminels.
    Il suffirait que la police se déploie dans ces camps pour empêcher les mafias d’agir ? Voilà une vision bien naïve de la chose. Peu importe la présence policière au sein des camps, celle-ci sera de la pure poudre aux yeux. Coupés de la population environnante, étrangers aux us et coutumes des migrants clandestins, ne parlant pas la même langue que ces derniers, les policiers seront condamnés à patrouiller sans rien comprendre. Ils ne pourront qu’effleurer l’écume de ce qui se passe dans le camp, sans être en mesure d’empêcher mafieux et gangsters de prospérer dans l’ombre.
    Ces camps seront donc de véritables havres de paix pour les mafias. Enracinées, protégées par la population, invisibles aux yeux des forces de l’ordre, elles pourront prospérer et se répandre dans les régions environnantes.

    Quand aux moyens policiers détournés pour assurer l’ordre à l’intérieur des camps, ils manqueront cruellement aux populations autochtones des régions concernées. Car en plus des mafias et des groupes criminels, les clandestins eux-mêmes causeront de l’insécurité supplémentaire à une Europe qui n’en avait vraiment pas besoin.
    Dans leur immense majorité, les migrants clandestins sont des hommes seuls. Sans travail, ils n’ont pas grand-chose à faire de la journée et vont donc traîner dans les rues des villes environnantes. Sans argent, ils ne consommeront pas, ou très peu, et n’apporteront aucune plus-value aux commerces locaux. Par contre, ces regroupements d’hommes seuls aux coutumes et pratiques étrangères créeront un sentiment d’insécurité qui fera fuir les touristes et incitera les locaux à rentrer directement chez eux après le travail sans s’attarder dans l’espace public.
    Les migrants clandestins passeront leurs journées dans les rues des villes et villages environnant. Ils seront entourés de maisons périurbaines laissées sans surveillance, les deux occupants travaillant pendant la journée. Peu importe les moyens policiers engagés, les clandestins n’auront aucune difficulté à pénétrer dans ces maisons pour voler ce qu’ils y trouveront.
    Ces hommes seuls venant de pays où le rapport aux femmes est radicalement différent de l’Europe, ils auront tendance à se comporter avec les Européennes de façon inappropriée (dans le meilleur des cas). Le harcèlement de rue, déjà un fléau dans les grandes villes occupées par la racaille, deviendra le quotidien des femmes vivant à proximité des camps. Il est même à craindre une multiplication des agressions sexuelles, voire des viols : n’oublions pas Cologne ! Mais sans doute les associations d’aide aux clandestins nous expliqueront que les victimes exagèrent…

    Et ne parlons pas du risque terroriste… L’Etat Islamique a largement annoncé qu’il avait envoyé des centaines de ses opérateurs parmi les flux migratoires, avec pour but de commettre des attentats en Europe. Qu’est-ce qui garantit aux Européens que les migrants clandestins qui s’installent dans ces camps ne sont pas des terroristes prêts à frapper dès que l’ordre leur viendra de Syrie ? Ou même qu’il n’y a pas, parmi ces migrants clandestins, d’individus qui décideront un jour, tout seul, de se racheter leur conduite auprès d’Allah en livrant le djihad contre l’infidèle ?
    Il ne s’agit pas, loin sans faut, d’un fantasme ou d’une exagération. Le Pakistanais Riaz Khan Ahmadzai, qui a blessé cinq personnes à la hachette dans un train de Wurtzbourg (Allemagne) avant d’être abattu par la police, était un demandeur d’asile. Mohammad Daleel, le Syrien auteur de l’attentat-suicide d’Ansbach, en Allemagne, était un migrant. Tarek Belgacem, le terroriste tunisien qui a attaqué le commissariat de la Goutte d’Or et a été tué par les policiers en faction, était un migrant. Mohammad al-Mahmod et Ahmad al-Mohammad, kamikazes du Stade de France le soir du 13 novembre 2015, étaient des migrants entrés en Europe par la Grèce.

    Et c’est cette situation qu’on voudrait imposer aux Européens ? Sans leur demander leur avis, sans les consulter, on devrait les faire payer, rogner leur qualité de vie, mettre leur sécurité en danger ? Et tout ça pour quoi ? Au nom de quoi les Européens seraient obligés d’accueillir des gens à qui ils ne doivent rien, avec qui ils ne partagent rien, et qui n’ont rien à leur apporter ? Parce qu’il ne serait pas possible de faire autrement ?
    La vérité c’est qu’il y a une solution aux problèmes causés par la présence massive de migrants clandestins sur le sol européen : il s’agit de les expulser.

    Gabriel Florent
    Directeur national – Les Identitaires

    http://fr.novopress.info/200952/les-europeens-nont-pas-a-subir-les-bidonvilles-par-gabriel-florent/#more-200952