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  • Ornella Guyet : L’archétype de la désinformation

    Ornella Guyet se déclare “journaliste spécialiste des réseaux d’extrême droite”. Sous le pseudonyme de « Marie-Anne Boutoleau » et par l'intermédiaire du site Indymedia Paris, elle s’est fait connaître par des campagnes de diffamation et d'injures à l'encontre de nombreuses personnalités de gauche qu'elle associe aux « fascistes ». Parmi la longue liste des offensés, nous retrouvons François Ruffin, Pierre Carles, Michel Collon, Frédéric Lordon, Hervé Kempf, Alain Gresh, ou encore Noam Chomsky.

    L’expression "confusionnisme” fait désormais partie de la novlangue d'Ornella Guyet et de nombreux groupuscules qui se réclament de la lutte antifasciste . Afin d'amalgamer la lutte contre néolibéralisme et impérialisme à l'extrême droite, ces “activistes” n'ont jamais eu le moindre scrupule pour employer des arguments fallacieux habituellement utilisés par les propagandistes du néocolonialisme qui se doivent de justifier une guerre tout les six mois.

    Via son site Confusionnisme.info , Ornella Guyet nous signale ici très succinctement pour ne pas dire de manière simpliste, que “le confusionnisme politique peut relever d’une stratégie mûrement réfléchie (c’est notamment souvent le cas à l’extrême droite) comme il peut aussi être le fruit de l’ignorance ou de la naïveté de certains militants (notamment à gauche).” Sans plus de précisions Ornella Guyet rajoute : “Historiquement, on peut situer les débuts de ce phénomène en France à la fin du 19ème siècle”.

    Mais plusieurs questions se posent : Qui est vraiment Ornella Guyet ? Quelles sont ses motivations ? Pourquoi reprend-elle à son compte la rhétorique et les méthodes habituellement utilisées par les néo-conservateurs ? Comment expliquer qu'elle fustige une très grande partie de la gauche alors qu’elle ne dit mot sur une certaine extrême droite ? Quelles sont les sources de cette "journaliste antifa" ? Pour répondre à ces interrogations il nous a semblé important de revenir attentivement sur la sémantique d es diatribes diffusées par Ornella Guyet.

    Afin d'échapper à la confusion, ouvrons le dictionnaire :

    Pour le petit Larousse, le mot confusionnisme se traduit par le fait d'entretenir la confusion dans les esprits et d'empêcher l'analyse objective des faits. Cependant, il est vrai que cette expression a une existence antérieure dans les discours politiques... une antériorité qu’Ornella Guyet, toujours dans le flou, ignore ou omet simplement de préciser. Ainsi au début des années 30, Léon Trotsky qualifiait la ligne politique de la Fédération communiste catalane-baléare (FCCB) dirigée par Joaquín Maurín de « mélange de préjugés petits-bourgeois, d’ignorance, de “science” provinciale et de coquinerie politique » . Voilà selon Trotsky « Le confusionnisme de Maurín et de la Fédération catalane ».

    La revue “Monde” et les trotskystes furent eux aussi qualifiés de “confusionnistes”. En novembre 1930 à l'occasion du deuxième congrès des écrivains révolutionnaires qui se tient à Kharkov , “Monde”, créée et animée par l'écrivain Henri Barbusse , est accusé d’être « un journal sans principes directeurs, qui dès le départ avait pris une position anti-marxiste », de se caractériser par « le confusionnisme », d’avoir pour collaborateurs « des agents du trotskisme, des social-fascistes, des radicaux bourgeois, des pacifistes », bref d’être hostile à l’idéologie prolétarienne. Voir un éditeur pour le socialisme libertaire

    1. Décryptage de la “méthode Guyet”

    Injures et calomnies

    Au printemps 2011, Ornella Guyet sous le pseudonyme de Marie-Anne Boutoleau" entame une campagne d’injures et de calomnies contre plusieurs sites internet. Le journal d’information alternative de gauche "Le Grand Soir" est l’une des première cibles de Guyet qui se réclame d’ACRIMED. Or voici ce que dit Acrimed à propos d'Ornella Guyet (alias Marie-Anne Boutoleau) qui produit quasiment tous ses articles avec les mêmes méthodes fallacieuses :

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  • Plus d'Europe ou moins d'Européens ?

    Soudain, le 7 octobre au Parlement européen, on eut un instant l'impression que le président de la république française se réveillait de sa torpeur habituelle, le temps d'une profession de foi. Pépère, puisqu'il faut l'appeler par son nom, plaida ce jour-là, contre les sirènes souverainistes, pour ce qu'il appelle "plus d'Europe".

    Dommage, penseront certains, que le mode d'emploi de ce slogan quantitatif et répétitif n'ait pas été fourni.

    Les pétitions de principes de ce genre ne sont en effet jamais élucidées.

    De quelle quantité "d'Europe" parle-t-on ? S'agit-il d'un rôti dont on reprend une tranche ? D'une pilule dont la posologie figure sur une ordonnance ? Ou très prosaïquement d'une monnaie.

    Il existe autant de différences entre les conceptions de l'Europe qu'entre les substances respectives des nations qui la composent et notamment de la France.

    Ainsi, un discours proeuropéen entendu en 1959, reste encore dans notre souvenir, "l'Europe n'est ni un marché, ni un continent, c'est une race d'hommes qui ont bâti une civilisation et qui doivent s'unir pour la défendre" : une telle définition ne pourrait plus être énoncée dans ces termes, depuis la jurisprudence Nadine Morano.

    Au moins comprend-on ce qu'elle veut dire.

    Elle ne ressemble pas en effet à celle de l'ex strauss-kahnien Le Guen : "L'Europe, a-t-il déclaré sur Radio Classique le 16 septembre, c'est deux choses : l'euro et Schengen."

    La première définition de l'Europe inclut la Grande Bretagne.

    La seconde l'exclut, comme elle écarte aussi d'ailleurs la Suède, la Pologne ou la Tchéquie.

    La passe d'armes franco-françaises du 7 octobre au Parlement européen laissait de côté le vrai problème, du moins celui qui va se poser dans les mois à venir à l'Union européenne : l'éventualité du retrait de la Grande-Bretagne si le référendum promis par son gouvernement donne un résultat négatif, fin 2016 ou en 2017.

    Les observateurs londoniens s'accordent considérer, face à cette question du maintien dans l'Union européenne, trois grandes tendances et pas seulement deux se dessinent dans les rangs conservateurs, y compris parmi les ministres.

    Ceux qu'on appelle les "eurosceptiques" sont décidés à voter non au référendum d'appartenance. Ils espèrent, depuis plus de 30 ans, aboutir effectivement au "brexit" c'est-à-dire à la sortie du Royaume Uni.

    Mais ils ne sont pas seulement confrontés aux partisans du maintien dans l'Union européenne, ils doivent surtout compter avec une manœuvre britannique typique : la "renégociation".

    Cette dernière option, celle dont le cabinet que dirige David Cameron se nourrit, bien évidemment, de la menace d'un "brexit" que les concessions, notamment allemandes, sauront empêcher.

    La conférence du parti conservateur à Manchester le 6 octobre avait pourtant montré une très forte progression de cette hypothèse, malgré des sondages légèrement favorables au maintien et en dépit de l'imbroglio juridique qui résulterait du fait que l'Écosse, elle, est désireuse, de demeurer dans l'Union européenne.

    On doit bien mesurer à cet égard qu'à Manchester la question de l'immigration était en fait celle qui, manifestement préoccupait le plus les Tories. Elle fut soulevée de façon très ferme par Mme Theresa May, ministre de l'Intérieur qui semblait inamovible depuis 2010 et qui a provoqué une sorte de mini-scandale par ses propositions jugées politiquement incorrectes par les bien-pensants.

    En regard on pourrait remarquer aussi que sur un discours de clôture du 7 octobre d'une durée d'une heure, le Premier ministre ne consacra que 2 (deux) minutes à la question européenne, et pour dire qu'il accordait la priorité à la défense des intérêts britanniques en demeurant au sein de l'Union.

    Un groupe appelé "Vote Leave" s'est donc formé au sein des Tories. Il est composé de chefs de d'entreprises, de donateurs et d'anciens dirigeants résolus à faire campagne pour le Non au maintien. Ce comité non seulement ne croit pas à la capacité du premier ministre de renégocier les conditions d'appartenance du Royaume Uni, mais il développe une critique, fondamentale et non négociable, de la réglementation européenne.

    Or, le 9 octobre au soir, David Cameron, dont c'était le 49e anniversaire recevait Angela Merkel aux Chequers. En cette circonstance, 3 questions furent à l'ordre du jour des entretiens bilatéraux, dont celle de la campagne pour ou contre le "brexit", mais aussi, sinon surtout, la crise migratoire et l'affaire syrienne.

    Le Premier ministre a fait part de quatre objectifs du Royaume Uni dans la renégociation : 1° la garantie que l'on ne s'achemine plus de façon irréversible vers un Super-État 2° la renonciation au statut de l'euro monnaie de l'Union 3° la fin du primat de la Zone Euro à 19 sur l'Union à 28, 4° la possibilité pour les parlements de remettre en cause les réglementations bruxelloises.

    À y regarder de plus près ces revendications, essentiellement de principe, pourraient bien convenir au gouvernement de Berlin.

    La question du "plus d'Europe" ne se résume pas en effet à "plus ou moins de Bruxelles". Et, aux yeux de beaucoup, la question la plus urgente semble bien de savoir si en Europe nous acceptons qu'il y ait moins d'Européens et plus d'islamistes. 

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • L’immigration, une chance pour la France et l’Europe ?

    Le problème des migrants nous impose de parler librement de l’immigration. Une grande partie de notre classe politique a abandonné cette question aux militants antiracistes. Il y a désormais urgence.

    En France, les zones urbanisées sont les premiers lieux de rassemblement ethnique provenant de l’immigration. Ivan Rioufol, dans son ouvrage La fracture identitaire, prend l’exemple de l’Ile-de-France qui « regroupe 19% de la population française et contribue à 43% à l’accroissement naturel du pays, notamment sous l’effet de la fécondité d’une immigration africaine et nord-africaine. » Il se désole aussi en citant la démographe Michèle Tribalat que « ces concentrations ethniques risquent de déboucher sur des enclaves où pourraient apparaître des revendications politiques d’un droit dérogatoire sur des bases ethnico-religieuses. »

    Confrontée au problème récurrent des migrants, la France doit-elle encore esquiver le sujet de l’immigration uniquement dans le seul but d’espérer en l’avenir soi-disant radieux que nous décrivent les partisans de la société multiculturelle ? Ne pouvons-nous pas débattre d’un tel changement survenu dans l’Histoire contemporaine de notre pays ?

    L’immigration de travail du début des années 70 a été transformée, à cause du regroupement familial voulu par le gouvernement Chirac sous la présidence de Giscard d’Estaing, en immigration de peuplement. Cette dernière, arrivée au début d’une période de crise économique débouchant sur une forte hausse du chômage, ne désire plus épouser les valeurs et principes de la France républicaine et se transforme comme nous le dit Philippe de Villiers, dans son livre Les mosquées de Roissy, en « une immigration d’allocataires ».

    Selon les chiffres de Yves-Marie Laulan, président de l’Institut de géopolitique des populations, repris par de Villiers, l’immigration et l’intégration coûteraient près de 40 milliards d’euros par an à la France ce qui représente « 80% du déficit du budget de l’Etat, 13,5% des dépenses publiques, trois fois et demie le trou de la Sécurité sociale, deux fois le budget de la Recherche et de l’Enseignement supérieur, 87% du budget de la Défense… ». Et nous continuons à faire comme si de rien n’était !

    Nous sommes-nous posés simplement la question à savoir si la France possédait encore les moyens financiers de sa politique d’immigration ? Selon l’Institut de géopolitique des populations, « les immigrés par leur contribution à l’économie couvrent environ les deux tiers de leurs coûts sociaux, le solde étant à la charge de la société d’accueil. » L’immigration, une chance pour la France ! Curieuse chance, ne trouvez-vous pas ?

     

    Christopher Caldwell, auteur du livre Une révolution sous nos yeux, pose une autre question d’une importance capitale : « L’Europe peut-elle rester la même si sa population change ? » Avez-vous déjà entendu Hollande ou Sarkozy débattre librement et objectivement de cette question en dehors de l’affaire Morano ? La réponse est non.

    À présent, il est grand temps qu’elle soit au centre de nos discussions pour que les Européens puissent enfin retrouver une liberté d’expression trop longtemps confisquée par la pensée antiraciste. Car l’immigration d’aujourd’hui, majoritairement musulmane, diverge des immigrations précédentes. Les allégeances nationales s’effacent et « l’Europe n’a plus du tout affaire à un problème d’immigration ordinaire, mais à une culture concurrente. »

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/

  • Allemagne : les autorités accusées de taire les violences commises par les immigrés

    Lu sur Réinformation.tv :

    Images-3"Depuis plusieurs jours, l’Allemagne, pays en pointe dans l’accueil irraisonné des « migrants », est le théâtre de violences toujours plus inquiétantes entre différents groupes ethniques, mais également à l’encontre des femmes et des chrétiens. Désormais, police et associations accusent les autorités de taire l’augmentation des violences et des viols commis par les clandestins.

    La police allemande a récemment averti que la violence qui s’exprime à l’intérieur comme à l’extérieur des centres d’asile est désormais hors de contrôle : des dizaines de personnes ont déjà été blessées dans des affrontements communautaires ou ethniques.

    Plusieurs réfugiés chrétiens ont par ailleurs témoigné de violences à leur égard dans les camps de réfugiés. Certains ont même décidé de rentrer dans leur pays d’origine ou de fuir les centres d’accueil après avoir reçu des menaces de mort. De nombreuses autorités, notamment policières, ont préconisé la séparation entre chrétiens et musulmans, ce que le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière, a jugé « inacceptable », faisant fi de toute réalité.

    Le constat est le même dans de nombreuses villes allemandes : les rixes se multiplient et les centres d’accueil sont toujours plus remplis. La spirale infernale ne peut s’arrêter.

    A titre d’exemple, en Rhénanie du Nord-Westphalie, la police a été appelée près de 1.000 fois en août. Le responsable du second plus gros syndicat allemand de police décrit cette situation comme « le plus grand défi dans l’histoire d’après-guerre ». [...]

    Plusieurs syndicats de police ainsi que quelques associations de défense des femmes sont pourtant montés au créneau, accusant les autorités allemandes de taire ces crimes par intérêt politique et par peur de provoquer un plus grand rejet de ces vagues migratoires incessantes. [...]"

    Michel Janva

  • Drôle de climat: avec « eux », tout est possible

    Authentique patriote, biographe talentueux, maître d’œuvre des très enracinés et très remarquables spectacles historiques du Puy-du-Fou, Philippe de Villiers est actuellement en tournée de  promotion  dans les médias pour la sortie de son nouveau livre «Le moment est venu de dire ce que j’ai vu » (éditions Albin Michel).  Il  «balance sec», non pas que ses jugements soient très étonnants, ils sont énoncés,  développés depuis trente ans par Bruno Gollnisch comme par  les autres dirigeants du  FN.  Mais ils sortent cette fois de la bouche d’un homme  qui a cru possible pendant des années de peser sur les orientations politiques de la droite libérale en lui apportant son soutien.  L’ex député, ex secrétaire d’Etat, ex président du Conseil général de Vendée  n’épargne pas la classe politicienne.  A commencer par ses anciens compagnons de l’UDF, du RPR, de l’UMP,  les libéraux, les ralliés à l’euroatlantisme, tous ceux qui ont  rendu les armes devant le moloch mondialiste,  par manque de courage, cynisme, intérêt ou conviction. 

    Sur Radio  courtoisie Philippe de Villiers a souligné à quel point le mondialisme a contaminé les esprits. Nous le savons,  le transfert des prérogatives politiques des Etats membres vers les instances bruxelloises relève déjà sur le fond   d’une idéologie cosmopolite. La social-démocratie qui règne en maître dans les instances européistes  fait sienne  les préoccupations supranationales d’un « père de l’Europe » comme Jean Monnet (1888-1979) qui affirmait déjà   que « les nations souveraines appartiennent au passé» et que «la communauté européenne elle-même n’est qu’une étape vers les formes d’organisation du monde  de demain. »

     M. De Villiers a  ainsi  confié: « J’ai compris ce qui se passait, de manière définitive, le 17 mars 2007. Je suis à Bruxelles, je me retrouve dans le grand salon d’honneur du Parlement européen. Il y a 400 personnes présentes, cela m’intrigue donc je me dis je reste là. Je vois Henri Kissinger, Brzezinski, les gens de Goldman Sachs avec Peter Sutherland, il y a Javier Solana, Mario Draghi, Trichet, Henri de Castries, etc… Des patrons, des grands journalistes, des banquiers, beaucoup d’Américains et évidemment des grands Européens. Je me demande la raison de leurs présences et à entendre les discours je comprends. Ils parlent de société sans racine, de gouvernance mondiale, comment utiliser la réchauffement climatique, ensuite ils expliquent qu’il faut créer un grand marché transatlantique pour tuer l’Europe et tuer les nations. A plusieurs reprises, Sutherland explique : « aidez-moi à dissoudre les nations », il deviendra le délégué de l’Onu pour défendre un rapport qui s’appelle La migration de remplacement, ce soir là ils disent tout.»

    Dans un petite pastille vidéo de promotion de son livre, il explique encore : «  J’ai vu se profiler derrière les petits mensonges et les grands menteurs, la haute trahison, je pèse mes mots. La haute trahison de celles et ceux, des élites mondialisées françaises qui ont abandonné la France et blessé son âme. C‘est à dire, ceux qui avaient intérêt, des entreprises post-nationales notamment, à démolir, abattre les frontières, les Etats, les Nations. Et ceux qui par idéologie voulaient un homme nouveau, un homme nomade, fabriquer un homme nomade, détacher de ses patries charnelles, de ses attachements vitaux, sans patrie ni sexe et qui soit manipulable comme un consommateur compulsif. Donc un homme nomade déraciné.»

    Dans le même esprit de Villiers pointe aussi la soumission de nos « élites » non seulement devant  Washington mais aussi  devant le  Qatar et l’Arabie saoudite, nos clients qui sont devenus nos maîtres par la puissance de leur pétrodollars et l’esprit de dhimmitude, la veulerie, la lâcheté des partis dits de gouvernement.

    « Le désastre ne peut plus être maquillé. Partout monte, chez les Français, le sentiment de dépossession. Nous sommes entrés dans le temps où l’imposture n’a plus ni ressource ni réserve. La classe politique va connaître le chaos. Il n’y a plus ni précaution à prendre ni personne à ménager. Il faut que les Français sachent »

    Jusqu’ou va-t-on descendre ? On peut aussi se le demander quand on apprend qu’un escroc intellectuel comme le philosophe pipo(le) Bernard-Henri Lévy a été invité lundi comme conférencier à l’IHEDN (Institut des Hautes Études de Défense Nationale) ! François Jourdier le rappelait sur boulevard voltaire, l’IHEDN « relève du Premier ministre, « a pour mission de donner à des hauts fonctionnaires, officiers supérieurs, cadres des différents systèmes d’activité, une information approfondie sur la défense nationale comprise au sens large du terme ».

    BHL n’a bien évidemment rien à y faire lui  que  l’on a « vu en 2008 conseiller Mikheil Saakachvili, président de la Géorgie, dans sa folle tentative de récupérer contre les Russes l’Ossétie du sud. Plus tard en 2011, il poussera Nicolas Sarkozy à intervenir en Libye, entraînant l’assassinat de Mouammar Kadhafi et l’éclatement du pays, la déstabilisation du Sahel et, maintenant, l’afflux de migrants à travers la Méditerranée. Il affirmera le 11 novembre 2011 s’être engagé en Libye en tant que juif et sioniste : «J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël. Et maintenant en Syrie, il défend l’intervention de la France »…et joue le même jeu trouble et malsain de  boutefeu en Ukraine.

    Autre illustration de la guerre idéologique livrée à tous ceux qui remettent en cause la  propagande mondialiste (et la question du climat est utilisée aussi à des fins supranationales comme le notait aussi P. de Villiers), le cas de Philippe Verdier.  L’express relate aujourd’hui  que ce dernier, « chef du service météo de France Télévisions, auteur d’un livre (Climat Investigation, éditions Ring)  a annoncé ce mercredi que le service public lui avait demandé de rester chez lui.

    Pourquoi ? Et bien parce que dans son ouvrage  il  ose «(mettre)   en cause la probité des scientifiques du Groupe d’experts sur l’évolution du climat (Giec) qui regroupe des spécialistes du monde entier et fait référence ».

    Bruno Gollnisch le rappelait dans un  entretien accordé à Civitas en mai dernier, «le réchauffement climatique paraît aujourd’hui à peu près établi. En revanche, a-t-il véritablement sa cause dans l’activité humaine ou pas? C’est un point tout à fait central, et sur lequel nous devons approfondir notre réflexion, mais à partir d’expertises scientifiques indépendantes. J’avais moi-même, quand je dirigeais le comité scientifique du Front National, organisé un colloque à ce sujet où des spécialistes éminents avaient exprimé un point de vue sensiblement différent de celui qui est aujourd’hui communément admis. Parce que la réaction du politique doit être tout à fait différente, selon qu’il se confirme ou pas que ce réchauffement a une origine humaine ».

    Les dogmes du GIEC qui impute à la seule l’activité humaine le réchauffement climatique, sont en effet remis en question par une large partie de la communauté scientifique qui a peu,  ou très rarement,  accès à la parole médiatique.

    Bref, il est légitime de  douter des affirmations du GIEC , comme le font nombre de scientifiques avec des arguments sérieux. C’est le  cas de  Sami Solanki, spécialiste de physique solaire, du météorologiste Henrik Svensmark ou encore de Gerd Wendler, directeur du Centre de recherche climatique de l’université d’Alaska, qui réfutent certaines positions du GIEC.

    Pour ne rien dire des travaux  étoffés du mathématicien Benoît Rittaud « Le mythe climatique»,  du géochimiste, membre de l’Académie des sciences française et de la National Academy of Sciences Claude Allégre «L’imposture climatique», ou encore « CO2, un mythe planétaire» du polytechnicien Christian Gerondeau …

    A quand une loi pour interdire, criminaliser  tout débat, toute pensée déviante sur la question ? Après tout, quand ont constate l’inquiétante évolution  orwellienne, totalitaire de notre démocratie progressiste, tout est possible…

    http://gollnisch.com/2015/10/15/drole-de-climat-avec-eux-tout-est-possible/

  • Migrants : en Autriche, la police déplore une situation devenue « ingérable »

    Nombreux sont les membres de la police à s'assurer « pour leur propre espace privé, d'avoir des réserves d'eau, de nourriture et de munitions » !

    En France, des proches du pouvoir ont le sentiment que « ça va péter quelque part ». En Autriche, des policiers travaillant sur la question des réfugiés décrivent une situation devenue « ingérable » et « intolérable »…

    Non seulement chaque jour des milliers de migrants arrivent en Autriche et en Europe, dont quelques centaines seulement peuvent être enregistrés, ce qui représente déjà un travail colossal pour les policiers, les bénévoles et autres interprètes en nombre insuffisant, raconte un membre de la police au cours d’un entretien avec info-direkt, mais à l’intérieur des centres d’asile, la cohabitation entre migrants génère d’ores et déjà beaucoup de conflits. À commencer entre populations chiites et sunnites, à tel point qu’un Syrien déplore de trouver en Autriche ce qu’il a fui dans son pays. C’est dire…

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  • La taxe du jour

    Images-2Le gouvernement vous avait dit que les impôts ont baissé. Et vous avez tous reçu (sauf ceux, nombreux, qui ont vus leurs impôts augmenter) dans votre boîte aux lettres un courrier du ministère de la baisse d'impôts dont vous avez bénéficiés.

    Mais l'Etat compte reprendre de l'autre main ce qu'il a pu concéder. La taxation du gazole augmentera d'un centime par litre en 2016 et 2017 et celle de l'essence sera réduite du même montant sur la même période, a annoncé mercredi Matignon.

    Michel Janva

  • SNCF : des voyages gratuits pour les « réfugiés »

    Sur certains trajets, la SNCF prévoit de laisser voyager les groupes de « réfugiés » gratuitement, pour peu qu’ils en expriment la volonté. De plus, dans sa note de service, elle prévoit les risques de « fraudes et d’utilisation abusive ». En clair, les vrais « migrants » voyageront à nos frais, mais pas question d’en profiter pour resquiller. Nous n’avons pas connaissance de pareils dispositifs pour les précaires Français…

    clandestins train (1)


    http://fr.novopress.info/

  • Les USA sont abasourdis. Poutine impose des lignes rouges à Israël

    Lors de sa mémorable allocution à l’ONU, le Président Poutine n’a pas mentionné Israël. Toutefois, plus tard, lors de sa conférence de presse, les choses ont pris une tournure inhabituelle. Le Président Poutine y a annoncé une relation de partage de renseignements avec le haut commandement militaire d'Israël, reposant sur ce qu'il a souligné être l’intérêt national d'Israël dans la sécurité de la Syrie. 

        Il a dit ensuite une chose surprenante. Nous devons encore discuter du problème des attaques aériennes d'Israël (sur la Syrie). 

        Avec la demande officielle du Président Assad, en conformité avec le droit international, de l'aide militaire de la Russie, la déclaration de Poutine prend une toute autre signification, surtout parce que les Russes vont déployer des défenses aériennes de pointe au-dessus de la Syrie grâce à la supériorité de leurs avions de chasse. 

        La liberté de mouvement d'Israël, qui attaque continuellement l'armée syrienne pour soutenir les forces de l’ISIS, que l’on sait à présent renforcées par au moins 800 commandos israéliens spécialement formés, pourrait bien être terminée. 

        La déclaration de Poutine, de s’occuper d’Israël et de ses attaques aériennes hors-la-loi en Syrie, a été passée sous silence par la presse mondiale. Le ton de Poutine, comme une réflexion après coup, était loin d'être bienveillant ou innocent. 

        L’une des raisons de l'Ouest d’avoir choisi de faire comme si rien de pareil n’avait été prononcé, est simple. Imaginez le président Obama se présentant devant le peuple américain au sujet de la menace russe à Israël : 

        La Russie menace Israël de représailles pour son soutien hors-la-loi à l'organisation terroriste ISIS et pour son recours à des armes et munitions US afin de l’aider à conquérir le Moyen-Orient. Les USA ne peuvent autoriser pareille ingérence russe et doivent continuer à soutenir non seulement l'État d'Israël, mais aussi les deux organisations terroristes ISIS et al Nusra, au Moyen-Orient et dans le monde, comme nous le faisons depuis des décennies. 

        Obama est sous le choc de sa déconvenue récente à propos de l'échec de son projet de formation de « rebelles modérés » dirigé en Turquie par le Pentagone. Comme l’a indiqué la presse mondiale, la deuxième fournée de diplômés s’est jointe aux terroristes avec leurs armes US modernes. 

        Or, il y a un micmac derrière cela, une affaire que nul n'a abordée. 

        Selon des initiés du Pentagone, les opérations de l'ISIS et de ses organisations sœurs sont guidées à l’extérieur par le Pentagone lui-même. Voici comment il m'a expliqué ça : 

        Vous savez que la direction du Pentagone est constituée presque exclusivement de chrétiens sionistes de la « fin des temps ». Le leadership militaire des USA estime qu'il est nécessaire que l’ISIS conquière non seulement la Syrie et l'Irak, mais aussi la Jordanie. C’est seulement quand l’ISIS prendra le contrôle de suffisamment de sites bibliques, comme Palmyre et le Second Temple de Salomon à Tadmoor, que les prophéties sur la Fin des Temps pourront se réaliser. C’est pour ça que les bombardements n’ont pas d’effet, c’est pour ça que les opérations de ravitaillement de l’ISIS sont appuyées par des largages aériens US, c'est pour ça que l’ISIS a le plein accès au renseignement US et c'est pour ça qu’Israël se sert de son armée de l'air et maintient des troupes sur le sol syrien pour aider l’ISIS. 

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  • La France des débats interdits

     Les mêmes qui criaient en Mai 68 « Il est interdit d’interdire » expliquent qu’il est interdit de réfléchir, de débattre et d’écorner les derniers totems d’une gauche préhistorique.

     

    L’écrivain Joseph Joubert, qui fut d’abord le secrétaire de Diderot avant d’être l’ami intime de Chateaubriand, disait : » Il vaut mieux débattre d’une question sans la régler que la régler sans en avoir débattu. »

     C’était à une époque où les élites, encore envoûtées par le siècle des Lumières et désireuses de prendre une part active à la reconstruction d’une France abîmée par la Révolution française, pouvaient discuter des heures ou écrire des centaines de pages, comme Tocqueville, sur les grandes questions de philosophie politique, d’organisation de la société, voire même de diplomatie au moment où se déroulait le congrès de Vienne. Ce goût pour le débat, voire pour les grandes joutes intellectuelles a enrichi la France de l’affaire Dreyfus, puis celle des années trente, de l’après-guerre et jusqu’à la disparition de Sartre, d’Aron, de Revel ou de Peyrefitte.

    Curieusement, dans la France d’aujourd’hui où éclôt toute une nouvelle génération de grands esprits comme Michel Onfray, Alain Finkielkraut, Pascal Bruckner, Nicolas Baverez ou Christophe Guilluy, il est interdit de soulever le moindre enjeu d’une France pourtant en proie à une crise identitaire, politique et économique. Que l’un d’entre eux évoque les risques que les flux migratoires font peser sur la concorde civile, et la bien-pensance de gauche sort l’étiquette Front national, de la même manière que Goebbels sortait son revolver lorsqu’il entendait parler de culture. Michel Onfray vient ainsi de se trouver accusé de faire le jeu de Marine Le Pen pour avoir osé soulever la question du peuple de France face à l’afflux de migrants. Il y a dix-huit mois, Alain Finkielkraut, auteur de cette remarquable Identité malheureuse, n’était pas élu à l’Académie française depuis quelques heures que certains habitués du Café de Flore n’hésitaient pas à hurler avec les loups que le FN venait de faire son entrée sous la Coupole.

    Tous les débats dont une société a besoin pour évoluer, se renforcer et s’adapter à un monde qui bouge sont ainsi systématiquement biaisés, refermés avant d’être ouverts et clos par l’invective et la tyrannie de tartufes qui s’appellent Libération, Bernard-Henri Lévy ou Edwy Plenel. Mais cette chape de plomb ne concerne pas que les grands débats de société comme ceux qui opposaient il y a encore quarante ans Sartre à Aron et il y a vingt ans, Revel à Bourdieu. Il suffit qu’un ministre de l’Économie s’interroge à huis clos sur le statut de la fonction publique — débat qui vient d’être réglé par la loi en Italie —, et c’est toute la classe politique et syndicale française qui sort de ses gonds avec en point d’orgue cette déclaration riche en arguments de Martine Aubry : « Macron ? Ras-le-bol ! » Silence dans les rangs. Les mêmes qui défilaient devant la Sorbonne en 1968 en criant “il est interdit d’interdire” vont sur les plateaux de télévision pour expliquer qu’il est interdit de réfléchir, de changer quoi que ce soit et d’écorner les quelques totems d’une gauche désormais préhistorique.

    Il n’est plus possible de dénombrer tous les débats aujourd’hui interdits en France. Celui des contrôles discriminants à l’entrée des trains afin d’éviter un nouveau drame comme celui du Thalys a valu à son auteur, Alain Vidalies, d’être écarté du ministère du Travail. Celui des statistiques ethniques a valu à Robert Ménard un début de poursuites judiciaires. Celui sur l’ineptie de notre société d’assistanat a valu à Laurent Wauquiez un procès en sorcellerie. Celui sur les 35 heures a placé hors système des représentants de la gauche moderniste comme François Rebsamen ou Emmanuel Macron. Celui pourtant essentiel sur l’assimilation vaut désormais à Nicolas Sarkozy, soutenu toutefois par 95 % des adhérents de son parti, l’anathème d’Alain Juppé. Celui sur l’imbécillité et l’aveuglement de notre politique étrangère, notamment en Syrie ou en Ukraine, a valu à François Fillon des ridicules procès en incompétence. Et l’on pourrait, hélas, poursuivre à l’infini la liste des sujets dont il n’est plus possible de parler sans se faire traiter d’ultradroitier, de fasciste ou d’inhumain.

    C’est parce qu’à Valeurs actuelles nous estimons qu’il faut débattre de tout en toute indépendance que nous avons décidé de créer, à partir de cette semaine, un vaste espace de réflexion où interviendront toutes les grandes voix qui osent transgresser les bornes de l’insupportable pensée unique. Ce cahier, dénommé “L’Incorrect” et placé sous la responsabilité de Raphaël Stainville, créera chaque semaine un ou plusieurs débats, surtout s’ils sont interdits. Parce que c’est la vocation d’un magazine d’opinion comme le nôtre. Parce que c’est notre devoir de donner la parole à ceux qui en sont privés. Et parce que Valeurs actuelles est libre de toute influence, n’est inféodé à aucune obédience et n’a de comptes à rendre qu’à ses lecteurs, chaque semaine plus nombreux.

    Yves de Kerdrel, 02/10/2015

    http://www.polemia.com/la-france-des-debats-interdits/

    (*) Note de la rédaction : ne parlons même pas de la loi Gayssot, promulguée le 13 juillet 1990, dont l’auteur n’ose pas prononcer le nom !

    Source : L’éditorial – Valeurs actuelles