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lobby - Page 2150

  • "La loi Taubira est homophobe"

    Ce n’est pas nous qui le disons mais un homosexuel, Philippe Arino qui, après avoir écrit "L’homosexualité en vérité" vient de sortir chez Frédéric Aimard Editeur un nouveau livre : "L’homophobie en vérité"... où on apprend que les homophobes et l’homophobie ne seraient pas ce qu’une certaine loi veut nous faire croire...

    Il a donné à France Catholique du 13 septembre dernier un excellent entretien dont nous retenons ce court passage :

    "Vous diriez que le " mariage pour tous " est une loi homophobe ?

    Oui. Et pour deux raisons majeures. D’une part, parce que la société bisexuelle donne le mariage aux personnes homosexuelles pile au moment où il n’a plus de sens ni de valeur à ses yeux, où elle divorce à gogo, où l’adultère devient banal, où les violences conjugales battent leur plein et les gens ne se marient plus. Elle refourgue ce qu’elle ne veut plus. Merci du cadeau ! D’autre part, parce que cette loi ne reconnaît pas la singularité du couple homosexuel. Elle donne à croire que ce dernier pourra singer le couple femme-homme + enfant grâce à un droit législatif, ce qui est purement et simplement faux. Elle ne respecte donc ni la réalité du mariage (qui structure par définition la différence des sexes et, si c’est donné, la procréation), ni la réalité conjugale du couple homosexuel (qui, par nature, n’intègre pas la différence des sexes, et n’est pas procréatif). "

    Le moins qu’on puisse dire est que notre auteur ne manie pas la langue de bois !

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-loi-Taubira-est-homophobe

  • David Duke et les immigrationnistes - Diviser pour régner ; en se faisant haïr

  • Grèce : le Système veut éliminer le mouvement nationaliste Aube dorée

    La police antiterroriste grecque a arrêté ce samedi le dirigeant du parti Aube dorée, Nikos Michaloliakos.
    Le député et porte-parole du parti Ilias Kassidiairis et aux moins dix autres membres du parti, accusé pour le coup d’être «une organisation criminelle», ont été également arrêtés, selon une source policière.

    Des mandats d’arrêt concernant 30 autres personnes ont été lancés à travers le pays par la Cour suprême grecque.

    Celle-ci prétexte d’une enquête sur la mort d’un antifa grec. La ressemblance avec les manipulations politiques françaises est patente.

    Le 18 septembre en effet, un activiste d’extrême-gauche, Pavlos Fyssas, trouvait la mort lors d’un affrontement que des groupes gauchistes avaient déclenchés contre des patriotes. L’individu avait participé à l’attaque d’un bar où des Grecs regardaient un match de football et, en agressant quelqu’un, avait reçu un coup de couteau fatal de la part d’un homme voulant défendre sa vie.
    Évidemment, les médias occidentaux ont présenté cela d’une toute autre manière, évoquant les hordes nazies grecques attaquant des innocents…

    Depuis la mort de cet extrémiste belliqueux, les autorités ont lancé une vaste « enquête » sur le parti nationaliste accusé de violences contre des envahisseurs clandestins et des extrémistes de gauche.

    «La démocratie a les moyens de se défendre» (à défaut d’aider le peuple), a indiqué le porte-parole du gouvernement, Simos Kédikoglou, à la télévision Skaï, quelques minutes après l’arrestation de ces députés…

    http://www.contre-info.com/grece-le-systeme-veut-eliminer-le-mouvement-nationaliste-aube-doree

  • Guerre de Sécession, le tabou racial tombe

    Alors que débutent aux États-Unis quatre années de commémorations des combats et événements liés à la guerre de Sécession, un débat surprenant prend de l’ampleur : celui du rôle joué par les Noirs dans les troupes confédérées.

    Tout a commencé à l’automne 2010. Le musée de la Confédération de Richmond, qui vendait dans sa boutique de souvenirs des soldats de plomb sudistes de race noire a du les retirer de la vente. Son directeur, John Coski en a expliqué clairement la raison : la présence de ces figurines dans son musée avait été la cause de très nombreuses pressions et menaces exercées tant à son encontre qu’à celle de son personnel. Quelques semaines plus tard, c’est un nouveau manuel scolaire proposé dans quelques écoles de Virginie qui soulevait la ire des tenants du politiquement correct et une vive campagne d’intimidation visait son éditeur pour qu’il mette un terme à la diffusion de l’ouvrage. Quel était donc le crime de Joy Masoff, son auteur ? Elle avait osé écrire que plusieurs milliers de soldats noirs avaient endossé l’uniforme gris.

    Et ce n’est pas tout ! Ces dernières semaines, la mairie de la petite commune de Monroe, en Caroline du Nord, a interdit à une association de défense du patrimoine historique sudiste d’ériger un monument commémoratif. Était-ce au motif que celui-ci risquait de troubler la paix raciale de la ville ? Pas le moins du monde… En effet, la stèle ne que devait témoigner du décès, dans les rangs des confédérés, de dix soldats noirs natifs de Monroe !

    De nombreux exemples tout aussi surprenants pourraient être encore cités. Ils témoignent que la guerre de Sécession n’est plus analysée en termes historiques mais en termes idéologiques voire quasi-religieux. La « vérité révélée », qu’il n’est pas possible de discuter, est simple : les armées de l’Union composées de philanthropes démocrates ont menée contre les Sudistes, une juste guerre qui avait pour unique but de libérer des esclaves martyrisés par des maîtres racistes et bigots.

    Or, une des conséquence du mouvement du Black Power des années 1970 a été la création dans les Universités américaines de nombreuses chaires d’études afro-américaine, dont certains titulaires se sont livrés récemment à des études poussées sur le comportement des Noirs du Sud, qu’ils soient esclaves ou libres.

    Ce qu’ils nous disent est passionnant et met à mal bien des schémas.

    Ainsi, John David Smith, enseignant à l’Université de Nord-Caroline et de Charlotte remarque : « Les causes de la guerre civile ne furent pas, comme on le croit maintenant, l’esclavage et le suprématisme blanc, mais le non-respect par l’État fédéral du droit des États fédérés. » Earl Ijames, conservateur du musée de Raleigh, où il est en charge des collections d’histoire locale et afro-américaines, quant à lui, bien qu’il soit Noir, relève qu’il est stupide d’affirmer qu’aucun afro-américain ne s’est opposé aux armées de l’Union et il affirme que « du fait d’un rapport particulier entre le sol et ses habitants, le patriotisme sudiste s’était développé y compris chez les esclaves des plantations ». Un autre historien Noir, Roland Young, déclare ne pas être surpris par tout cela. Il explique que « la plupart des Noirs du Sud, sinon tous, ont soutenu leur nation. En faisant cela, ils ont montré qu’il était possible de séparer le refus de l’esclave et l’amour de sa patrie. »

    Ed Smith, un universitaire qui a beaucoup travaillé sur le sujet, estime pour sa part qu’il est impossible de juger avec des yeux contemporains de la réalité de la société sudiste de la première moitié du XIXème siècle et de la complexité des liens qui y unissaient les Blancs et les Noirs et qui les rendaient solidaires face aux envahisseurs du Nord.

    Cela étant, la négation de la participation de troupes noires aux armées du Sud n’est pas récente. L’historien Ed Bearrs, la date des années 1910. Quant à Erwin Jordan, un autre universitaire spécialisé sur ce sujet, il affirme que la réécriture de l’histoire a commencée dès la défaite des Confédérés et il relate « Durant mes recherches, j’ai découvert de nombreux listings de prisonniers Noirs rédigés par des officiers nordistes. On se rend compte que ces afro-américain ont déclaré qu’ils étaient des soldats de la Confédération et que dans un second temps, ces mentions ont été biffées et qu’un scripte les a remplacées par serviteur, domestique, etc. »

    En réalité, il y eu environ 65.000 noirs qui servirent dans les rangs des Confédérés et 13.000 d’entre eux participèrent à un ou plusieurs combats. Les unités bi-raciales étaient fréquentes et ce n’est qu’à la fin de la guerre que furent organisés des régiments monochromes. L’historien Ervin Jordan remarque d’ailleurs que si le Sud avait gagné la guerre, il aurait alors disposé de la plus importante armée de couleur du monde et que cela aurait sans aucun doute totalement changé l’avenir des États-Unis en n’y permettant pas l’apparition de la ségrégation et du racisme contemporain.

    Ce racisme fut d’ailleurs totalement absent des rangs des anciens combattants sudistes, comme en témoignent deux exemples. En 1913, lors de la célébration du 50ème anniversaire de la bataille de Gettysburg, un rassemblement d’anciens combattants de l’Union et de la Confédération fut organisé. Les initiateurs - nordistes – de la cérémonie avaient prévu des tentes pour les soldats noirs de l’Union mais avaient omis d’en dresser pour ceux du Sud. Or de nombreux confédérés de race noire se présentèrent sur les lieux et partagèrent les tentes de leurs frères de combats blancs, alors que les nordistes, de leur côté, pratiquaient dans leur campement la ségrégation raciale… De même, en 1914, quand un monument en l’honneur des soldats sudistes tombés au combat fut élevé dans le cimetière militaire national d’Arlington, son sculpteur prit soin d’y représenter plusieurs soldats noirs confédérés mêlés à leur camarades blancs.

    C’était, il y a presque cent ans, à une époque où la police de la pensée n’existait pas ou presque. Maintenant on nous impose ce que nous devons penser, même si cela est contraire à la simple vérité historique.

    Les soldats noirs du Sud mieux traités que ceux du Nord !

    Les soldats noirs de la Confédération recevait exactement la même solde que les soldats blancs, soit 11 dollars mensuels.

    Dans les troupes de l’Union, un soldat afro-américain gagnait 10 dollars par mois, une retenue de 3 dollars était effectuée pour payer son uniforme et son équipement ce qui fait qu’au final il ne touchait de 7 dollars. Les soldats nordistes de souche européenne recevaient quant à eux 13 dollars chaque mois et aucune retenue n’était effectuée sur leur solde.

    De plus, des spécialistes noirs étaient rémunérés à grand frais par l’armée du Sud et ils gagnaient parfois un salaire supérieur à la solde d’un officier sudiste.  

    Christian Bouchet http://www.voxnr.com/

  • Bordeaux : La filière viticole va-t-elle entrer en guerre contre le gouvernement socialiste ?

     

    Bordeaux : La filière viticole va-t-elle entrer en guerre contre le gouvernement socialiste ?

     

    BORDEAUX (NOVOpress via Infos Bordeaux) – Le monde viticole (vignerons, producteurs, négociants) s’inquiète de mesures envisagées en France comme la taxation sur le vin, discutée en octobre dans le cadre du projet de budget de la sécurité sociale (PLFSS), et interpelle avec vigueur le gouvernement.

     

    En cause, des projets de réglementation que préparerait le gouvernement. Selon le site internet de l’association Vin et société, cinq mesures « contre le vin » sont envisagées par le gouvernement socialiste : « Interdiction de parler du vin sur internet, interdiction de parler positivement du vin dans les médias, taxation du vin au nom de la santé publique, radicalisation du message sanitaire et durcissement des mentions sanitaires sur les étiquettes« .

     

     

     

    Bordeaux : La filière viticole va-t-elle entrer en guerre contre le gouvernement socialiste ?

     

    L’association Vin et société, qui regroupe tous les acteurs de la filière, a lancé jeudi une campagne de mobilisation sur internet, cequivavraimentsaoulerlesfrancais, reprenant notamment un visuel de François Hollande, verre de vin en bouche, avec un message : « Merci, monsieur le président, de soutenir la 2e activité exportatrice de notre pays ».

     

    A Bordeaux, les professionnels menacent le gouvernement : « Nous ne pouvons accepter d’être considérés comme des dealers. La stratégie des Bisounours, c’est fini », lançaient jeudi le président, Bernard Farges, et le vice-président, Allan Sichel du Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB) à l’occasion de leur conférence de presse de rentrée.

     

    Selon la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie, la polémique n’aurait pas lieu d’être : « Toute cette affaire est partie d’une coquille qui s’est glissée dans la version finale que nous avons publiée sur notre site. Il n’a jamais été question d’interdire la promotion en ligne du vin, c’est une erreur de notre part ».

     

    Deuxième activité exportatrice du pays, la filière viticole est un des poids lourds de l’économie française. De juillet 2012 à fin juillet 2013, 2,36 millions d’hectolitres de vins de Bordeaux ont été exportés, soit près de 314 millions de bouteilles.

    Crédit photo en Une : DR. Crédit photo dans le texte : la campagne cequivavraimentsaoulerlesfrancais

    http://fr.novopress.info/141786/bordeaux-la-filiere-viticole-va-t-elle-entrer-en-guerre-contre-le-gouvernement-socialiste/#more-141786

  • Il faut riposter aux propos antichrétiens de Pierre Bergé !

     

    Communiqué d'Alain Escada, président de Civitas :

     

    "« Je suis pour la suppression intégrale de toutes les fêtes chrétiennes en France », déclarait hier soir Pierre Bergé sur les antennes de RTL France, dans l’émission « On refait le monde ». Des propos inadmissibles qui surviennent quelques jours après la provocation de Dounia Bouzar qui, à peine nommée à l’Observatoire de la laïcité par le Premier ministre, revendiquait la suppression de deux fêtes chrétiennes parmi les jours fériés reconnus par l’Etat et leur remplacement par Yom Kippour et l’Aïd. Ajoutez à cela les propos récurrents du ministre Vincent Peillon voulant « éradiquer » le christianisme en France et vous avez quelques indices d’une volonté manifeste de mener une nouvelle offensive antichrétienne avec le concours des plus hautes autorités de l’Etat et des puissances d’argent.

    La réaction des catholiques de France – ainsi que de toutes celles et ceux qui, ayant perdu la pratique de la Foi, n’en reconnaissent pas moins les bienfaits de la civilisation chrétienne – doit être sans appel et immédiate. Il faut stopper net cette surenchère destinée à accentuer la déchristianisation de la France.

    Que le changement de saison soit l’occasion de faire souffler un vent d’automne catholique ! Assez de mollesse, assez de tiédeur, assez de « politiquement correct », assez d’enfouissement de notre Foi au nom de stratégies consensuelles qui n’ont jamais apporté aucune victoire !

    Pierre Bergé a mis sa fortune, depuis des décennies, au service du vice, de l’anti-France et de l’antichristianisme. Ripostons en ciblant ses intérêts financiers.

    Cet appel s’adresse à toutes les forces de résistance qui ont émergé au cours des douze derniers mois et à cette génération qui a su faire preuve d’inventivité et de courage pour faire face aux destructeurs de la Famille. Que nos veilles et nos rondes de sentinelles se placent prochainement devant ces lieux chers à Pierre Bergé :

    -       la société de vente aux enchères Pierre Bergé & Associés ;

    -       la brasserie parisienne de luxe Prunier spécialisée dans le caviar et dont Pierre Bergé est PDG ;

    -       la Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent.

    Que nos voix se fassent entendre également devant ces médias dans lesquels Pierre Bergé a des capitaux - le journal Le Monde, le journal Libération, le magazine La Vie – ainsi que devant le siège de la radio RTL France qui se plaît à laisser ce personnage viscéralement antichrétien déverser sa bile sur ses ondes.

    Qu’à ces occasions, notre attachement à la Foi catholique soit fièrement affirmé. Christus vincit. Christus regnat. Christus imperat.

    Que ceux qui ne peuvent se déplacer devant ces lieux n’en prennent pas moins la peine de saisir leur téléphone, leur stylo ou leur clavier d’ordinateur pour adresser par toutes les voies envisageables des messages polis mais déterminés signifiant notre colère et notre mobilisation farouche.

    Il ne s’agit en aucune façon d’un appel à la violence. Mais il convient de rappeler cette vertu de force dont les catholiques doivent faire preuve lorsque les situations l’exigent.

    En avant ! L’automne catholique est de retour !"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le nouveau monstre urbanistique va au Sénat

    130927Adopté en première lecture par les députés, le 17 septembre le projet de loi ALUR présenté par Duflot se présente désormais sous la forme démentielle d'un document de 325 pages. Un tel pavé découragera les lectures les plus enthousiastes à l'idée de "favoriser l’accès de tous à un logement digne et abordable". (1)⇓

    Ce texte mélange tout; il aboutit à modifier profondément le Code de l'urbanisme, pour le rendre encore plus contraignant.

    Prétendant "mettre en place une garantie universelle des loyers" (2)⇓ , tout en les réglementant, cette réforme soulagera un certain temps la trésorerie, et déresponsabilisera un peu plus les offices publics de HLM mais il entraînera très vite les effets ordinaires du socialisme.

    Il faut cependant attendre la page 251 du document sur lequel les sénateurs devront se prononcer pour accéder à la relation du projet à l'activité économique.

    Et si l'on veut mesurer combien la Haute assemblée, "grand conseil des communes de France" attache d'importance au sujet on notera qu'il se prononcera essentiellement à partir du rapport de M. Daniel Goldberg. Ce député de la Seine-Saint-Denis, rattaché à la "gauche socialiste" fut saisi de la question au nom de la "commission des affaires économiques".

    À vrai dire on se demande cependant son degré de considération pour l'économie.

    Ce représentant du peuple s'était surtout illustré jusqu'ici par la défense des consommateurs de viande "halal", et le 3 août par une question écrite prenant la défense de la "kafala" et son introduction de fait dans le droit français. Enfin le 3 septembre 2013 on relevait la question écrite n° 36638 : "M. Daniel Goldberg appelle l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur les difficultés des habitants de Seine-Saint-Denis à pouvoir déposer un dossier de demande de naturalisation."

    Assisté de Mme Audrey Linkenheld, il a donc remis le 26 juillet un rapport n°1329, en 2 tomes. Le premier compte la bagatelle de 695 pages. Seules les pages 15 à 40 sont dûes au travail des deux rapporteurs; le reste retrace les discussions de la commision article par article. Dans tout cela l'urbanisme commercial pèse quelques lignes en pages 39 et 40, qui affirment seulement la préoccupation, à l'avenir, de "régler l’expansion anarchique des équipements commerciaux." Voilà ce qui s'appelle parler clairement...

    Quant aux travaux sénatoriaux proprement dits, on notera que, pour le moment  on peut, à ce jour, lire seulement le compte rendu de la commission économique de l'Assemblée qui commence comme cela :

    "Au cours d'une seconde réunion tenue (3)⇓ dans l'après-midi, la commission entend Mme Cécile Duflot, ministre de l'égalité des territoires et du logement, sur le projet de loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové (Alur).

    M. Daniel Raoul, président. - Quel plaisir, madame la Ministre, après le Duflot I, voici Alur, ou plutôt le Duflot II ! Le texte voté par l'Assemblée nationale n'est pas encore disponible à la distribution, mais le texte provisoire compte 324 pages. L'imagination est au pouvoir ! (...)

    Mme Cécile Duflot, ministre. - Je suis heureuse de présenter ce texte qui embrasse de nombreux sujets et auquel je vous avais renvoyé à plusieurs occasions.

    Réguler, protéger, innover, tel est le triptyque de ce projet. Le débat à l'Assemblée nationale a été constructif et a dépassé les clivages, d'où de nombreux ajouts au texte initial.

    Réguler, tel est le premier axe. (...)"

    Comme on le voit ça commence bien...

    Le nouveau monstre urbanistique est en marche. Son élaboration confirme donc que tous les jours on s'emploie dans l'Hexagone à bafouer le principe vital de la liberté du commerce et de l'industrie. Votée par l'Assemblée constituante en 1791, dans le cadre de la loi d'Allarde approuvée par le roi, cette liberté fondamentale est reconnue comme "principe général du droit" : elle devrait donc s'imposer au législateur. Elle s'inscrit aussi dans une longue tradition remontant, pour le royaume de France au mouvement communal du XIe siècle, et à l'alliance des Capétiens directs avec les gens de métiers, ce que l'Histoire confirme qous diverses formes dans la plupart des pays d'Europe.

    L'éclosion des villes se révèle partout et avant tout l'œuvre des marchands et des artisans.

    Quelle importance dira-t-on ? M Peillon n'a-t-il pas proclamé que le rôle de l'école est d'effacer toute trace historique pré-républicaine ? La loi d'Allarde date du 17 mars 1791. Or, la république ne sera proclamée qu'en 1792 : ça tombe donc comme une guillotine.

    Le Sénat se prononcera donc sur le Projet de loi "pour l'accès au logement et un urbanisme rénové" à partir du texte de l'Assemblée. Ses débats se dérouleront les 22, 23, 24 et 25 octobre 2013. On doit espérer une résistance des opposants mais peut imaginer dès maintenant le résultat.

    Il n'en deviendra que plus nécessaire de développer un courant d'opinion en faveur de la libre entreprise dans la Cité.

    JG Malliarakis  http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    "L'Imposture écologiste" par Christian Laurut. À commander sur le site internet des Éditions du TridentImposture-ecologiste
    1. C'est l'objet du Titre Ier de la Loi.
    2. Chapitre II, article 8.
    3. le 18 septembre.

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  • Une enquête qui dénonce les pratiques mafieuses des syndicats

    Roger Lenglet et Jean-Luc Touly, auteurs du livre « Syndicats, corruption, dérives, trahisons », ont dénoncé vigoureusement sur BFMTV le fonctionnement actuel des syndicats en France.