Elles sont trente-cinq à avoir signé une « charte de la diversité », dernier avatar de la préférence étrangère. Trente-cinq entreprises qui devancent la folle inquisition lancée par jean-Louis Borloo pour imposer par « la voie législative » la discrimination positive.
PSA Peugeot Citroën, Adecco, France Télévision, Casino, Axa, Canal Plus, Carrefour, Pinault-Printemps-Redoute... pour ne citer que les plus connues. Il n'aura pas fallu de longues objurgations ministérielles pour que ces entreprises signent des deux mains la « charte de la diversité » proposée par l'institut Montaigne et son très cosmopolite président Claude Bébéar.
Partant une fois encore d'un sophisme récurrent (les discriminations à l'embauche dont seraient victimes les jeunes des banlieues), le ministre des Affaires sociales, le socialisant Jean-Louis Borloo, enjoint les entreprises à recruter des diplômés issus des zones sensibles, des cadres et ingénieurs non français, à favoriser l'embauche de personnes issues de l'immigration. Dans une République qui ne reconnaît pas les spécificités ethniques, ce communautarisme à peine voilé dérange et brise l'illusoire principe d'égalité.
Dans la France chiraquienne, les derniers arrivés doivent être les premiers servis.
Plus qu'un objectif, cette préférence étrangère deviendra un dogme, inscrit dans la loi si les entreprises traînent les pieds. « Si besoin est dans six mois, on choisira la voie législative » (le même Borloo).
Folle inquisition
Dans cette folle inquisition où l'on ne recule devant rien pour plaire aux pythies du politiquement correct, la majorité présidentielle se lance dans une course éperdue à la conquête du Graal cosmopolite. Laissant la gauche bouche bée. La tentative surréaliste d'instituer le cv anonyme, ne comportant ni le nom, le sexe, l'âge, la nationalité ou la photographie du demandeur d'emploi, a été finalement abandonnée. Ses prosélytes ne venaient pas des rangs du PC ou du PS, mais appartiennent au clan chiraquien pour la première (Françoise de Panafieu) et au cercle des Bayroutistes pour le second (Francis Vercarmer). Les deux élus avaient le soutien d'un Borloo dont l'unique préoccupation ministérielle se résume à l'apologie de la préférence étrangère (mais n'est-ce pas pour ce penchant immigrationniste prononcé que Chirac en a fait son protégé ?). Si la majorité a provisoirement reculé, le gouvernement n'entend pas en rester là. Le ministre des Affaires sociales a proposé à l'ancien ministre... socialiste (!) Roger Fauroux et ancien président du Haut Conseil à l'Intégration « de présider une commission technique sur ce sujet avec l'ANPE, les organismes de placement, les chasseurs de tête, le patronat et les partenaires sociaux ».
Histoire de ne pas lâcher si vite le morceau et de passer en force au cas où les derniers députés de droite perdus dans le magma UMP trouveraient cette offensive immigrationniste quelque peu gênante dans un pays où des millions de Français de souche sont sans emploi...
Le scandaleux rapport Bébéar
• Fanatique du libéralisme qui lançait en 2002 « un appel à plus d'immigration contrôlée », Claude Bébéar est un apôtre de la discrimination positive. Son rapport truffé de clichés remis au Premier ministre est un long catalogue de mesures toutes aussi dangereuses les unes que les autres (comme celle visant à faire croire que les jeunes des quartiers sont au chômage parce qu'ils sont victimes de discrimination et non parce qu'ils sont rétifs pour une bonne partie à l'idée de discipline, d'efforts et d'apprentissage). Du fichage des entreprises, où les salariés seront invités à déclarer leur appartenance à une minorité visible, aux « audits diversité », sorte de palmarès des entreprises les plus cosmopolites, le président du Conseil de surveillance d'Axa ne recule devant rien pour donner corps au fantasme d'une France pour tous. Une obsession poussée à son paroxysme qui ne cache même plus ses relents de racisme anti-français. Au nom du dogme de la diversité ethnique, on cherche à implanter dans le monde économique, des « entreprises aux couleurs de la France » qui ne tiennent compte ni des réalités, ni des exigences de la compétitivité.
Insensé mais ô combien révélateur de la pensée d'un homme, subjugué par le « melting-pot avec les jeunes issus de l'immigration africaine et nord-africaine » et qui plaide ouvertement pour une « intégration par le mélange des populations ».
Français d'Abord! janvier 2005
lobby - Page 2222
-
Discriminations : Ces entreprises qui n'aiment pas les Français (arch 2005)
-
En France, on peut entraver la liberté d'expression des défenseurs de la famille mais pas celle des blasphémateurs
Revenons sur quelques faits des dernières semaines. Un jeune garçon, Nicolas, étudiant bien noté, casier judiciaire vierge, a été condamné à quatre mois de prison dont deux fermes et jeté en cellule à Fleury-Mérogis pour avoir manifesté contre la loi Taubira lors de l'intervention télévisée de François Hollande sur M6.
Trente-deux personnes, bons Français sans histoire, ont été condamnés à des amendes, parfois lourdes (jusque 2.000 euros), pour avoir simplement exprimé leur indignation durant des représentations d'un spectacle subventionné au cours duquel on déversait un liquide symbolisant les excréments sur le portrait du Christ, odeur artificielle à l'appui. Leur "délit" relève de "l'entrave à la liberté d'expression".
Le Dr Xavier Dor a été envoyé devant les Tribunaux et un magistrat a évoqué la nécessité pour l'inculpé de se faire soigner psychiatriquement, au motif qu'il avait offert une paire de chaussons à une femme enceinte entrant dans un centre de planning familial.
Des "veilleurs debout" ont été arrêtés par la police pour être restés immobiles et silencieux, chacun tel un reproche vivant, devant l'Elysée.
Giorgi, un Rom arrêté à Arles pour avoir agressé une dame de 85 ans, a obtenu la relaxe devant le tribunal de grande instance de Tarascon.
En France, on peut insulter Dieu mais on ne peut pas critiquer la loi Taubira ni chahuter un ministre.
En France, on peut entraver la liberté d'expression des défenseurs de la famille mais pas celle des blasphémateurs.
En France, mieux vaut voler, piller, agresser, incendier des voitures, que défendre le Christ ou la Famille.
Pendant ce temps, les parlementaires continuent durant cet été d'échafauder leurs mauvais coups : proposition de loi autorisant la recherche sur l'embryon et les cellules souches embryonnaires, travaux préparant les offensives en faveur de l'euthanasie, de l'idéologie du genre,...
Marseille, capitale estivale des invertis
Et la dissolution des moeurs s'installe à l'aide de l'argent du contribuable.
Comme à Marseille qui s'apprête à accueillir du 10 au 20 juillet "l'EuroPride", grand rassemblement LGBTQI (pour... LesBiGayTransQueerIntersexe). Marseille dont le sénateur-maire Jean-Claude Gaudin, est chef de groupe UMP au Sénat. De quoi se souvenir de la façon dont les élus UMP, après avoir paradé à la Manif Pour Tous, avaient pratiqué l'entente cordiale avec la gauche lors du vote de la loi Taubira.
Mais revenons à Marseille et l'EuroPride. L'Office de Tourisme de Marseille publie sur son site : "L'événement EuroPride Marseille Méditerranée 2013, fortement soutenu par les collectivités locales et territoriales, est labellisé Marseille-Provence 2013 Capitale Européenne de la Culture". Voilà une petite phrase qui retient doublement notre attention.
1° D'abord au sujet du fort soutien des collectivités locales et territoriales. Traduisez : l'argent du contribuable subventionne cette méga-sauterie homosexuelle. Des subventions de plusieurs centaines de milliers d'euros accordées via l'entremise de la Ville de Marseille, du Conseil Régional PACA et du Conseil Général des Bouches-du-Rhône. Et ce alors que cette fiesta LBGTQI peut aussi compter sur de nombreux et importants sponsors et partenaires (Crédit Mutuel, Air France, Kronenbourg, Ricard, NRJ,...).
2° Mais à quoi va servir tout cet argent ? Au programme de l'EuroPride : village associatif, plage privatisée, conférences, festival cinématographique, expositions, défilé dans les rues de Marseille et beaucoup de soirées "électro sexe" avec "Pornos Stars" à l'affiche.
Et c'est ce genre d'événement qui mérite un label Marseille-Provence 2013 Capitale Européenne de la Culture !!!
Notons que les organisateurs avaient initialement annoncé que cette EuroPride serait l'occasion de 2013 "mariages" d'homosexuels français et de l'étranger. La provocation de trop ? Une mise au point précise : "Dans un but de rassemblement de toutes les dynamiques, en concertation avec les principaux protagonistes, la célébration des 2013 mariages sera remplacée par un acte fort" dont la teneur n'est pas encore rendue publique.
Signalons encore que les organisateurs ont voulu mettre "en avant la multiculturalité de Marseille" et donner à leur sauterie une dimension "Euro-Méditerranéenne", invitant pour l'occasion des homosexuels du Liban, de Palestine, du Maroc, de Tunisie, d'Algérie, d'Egypte, etc. Il est notamment prévu d'évoquer le 17 juillet les "dynamiques LGBT dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord". Qu'en pensent les musulmans installés dans la cité phocéenne ?
Mais on ne lâche rien !
Quelles que soient les tentatives d'intimidation du régime et malgré toute la puissance du rouleau compresseur totalitaire auquel il faut faire face, la résistance des défenseurs de la Famille ne faiblit pas, multiforme, imaginative et dynamique.
C'est à ce titre que j'insiste sur la nécessité de profiter de cet été pour saisir les opportunités de se former et d'oeuvrer à la mise en place des nouvelles ripostes de la rentrée. Des combats essentiels s'annoncent, notamment contre l'idéologie du genre. Ne manquez pas de vous inscrire au plus vite à la session d'été que Civitas organise à ce sujet, du 26 au 29 juillet à Unieux. Toutes les informations sont ici..
Alain Escada,
président de CIVITAS -
Une préférence étrangère
Après DSK affirmant il y a quelques jours sur une chaîne américaine qu’il n’a pas de problème avec les femmes, c’est au tour de François Fillon de nous dire que lui en a un avec les hommes. En l’occurrence ceux qui soutiennent Nicolas Sarkozy au sein de l’UMP et avec l’ex chef de l’Etat qui a précipité son retour depuis la décision du conseil constitutionnel d’invalider ses comptes de campagne. Un Sarkozy « qui en cinq ans, de 2007 à 2012, a perdu toutes les élections intermédiaires » mais « qui a été fêté comme une rock star par la centaine de militants ameutée à cet effet devant le siège de l’UMP » lundi rappelait Michèle Cotta dans Le Point . Ce qui a contraint «François Fillon a contre-attaqué jeudi : Pas d’accaparement de l’UMP par un homme providentiel, pas de recours ou de retour automatique, pas de piédestal, pas de traitement de faveur… » a-t-il déclaré à l’adresse de son rival. Traitement de faveur que la droite et la gauche aux affaires réservent en général aux étrangers au détriment des Français.
Le Maine Libre indiquait cette semaine le cas de cette « mère de sept enfants d’origine Tchadienne (qui) a fraudé 35 831 euros à la Caisse d’Allocations Familiales (CAF). La femme de 39 ans était retournée à deux reprises avec ses enfants au Tchad pendant plusieurs mois, en omettant de prévenir les services sociaux. Elle a donc continué à percevoir les aides, sans en avoir le droit (…) Elle a reconnu les faits et a avoué un oubli de sa part ». Bien sûr cette somme ne sera jamais remboursée et ce comportement de prédation ne suscite pas l’indignation de la gauche morale qui préfère se mobiliser pour faire barrage au FN.
Les Français-vaches-à lait sont invités à financer encore et toujours l’immigration de peuplement des duos Fillon-Sarkozy et Ayrault-Hollande. A titre indicatif, la Caisse nationale d’allocations familiales (Cnaf) affirme d’ailleurs que grâce à une amélioration des méthodes de contrôle, les fraudes détectées ont augmenté de 20% en 2012 , soit 110 millions d’euros, tandis que 18.000 personnes ont dans ce cadre fait l’objet d’un redressement de la Sécurité sociale.
Si la proportion des fraudeurs allogènes n’est pas communiquée, l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) s’est livré à une étude relayée il y a peu dans Le Figaro sur « la part des étrangers dans les «multimises en cause pour crimes et délits» à l’aide du « fichier des antécédents judiciaires (STIC) du ministère de l’Intérieur».
A été ainsi scruté et analysé « un large échantillon d’environ 1500 personnes mises en cause pour cinq infractions ou plus ayant eu lieu en 2009 et 2010 à Paris ou dans sa proche couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne. »
Est-ce une surprise, et ce taux grimperait encore si l’on y incluait les Français originaires des pays maghrébins et africains, « On y découvre qu’ils (les étrangers, NDLR) pèsent un tiers des multimis en cause dans l’agglomération parisienne. Et encore ces chiffres ne sont-ils pas rapportés à ce que représente dans la population globale du Grand Paris chaque communauté, Français, d’un côté, forcément les plus nombreux, et étrangers, de l’autre. »
L’auteur principal de cette étude scrupuleuse, Étienne Perron-Bailly, constate que «les étrangers multimis en cause présentent une part d’atteintes aux biens supérieure à celle des Français (76,4%, à comparer à 58,6%)».
Alors qu’au 1er janvier 2014 les Roms pourront venir s’installer sans plus aucune entrave chez eux chez nous, il est indiqué que « Chez les étrangers mis en cause au moins cinq fois par les agents (450), ceux de nationalité roumaine représentent plus de la moitié de l’effectif (231). Parmi ces derniers, 89,6% sont mineurs: 37,7% de garçons et 51,9% de filles (…) ».
« Quel que soit l’âge des étrangers plusieurs fois mis en cause, sur les 450 cas isolés par les statisticiens comme représentatifs, selon eux, après les Roumains et les ressortissants des Balkans viennent les étrangers du Maghreb (105 cas), d’Afrique (63 cas) et de Chine (12 cas). Les autres nationalités représentent 39 cas (…) ».
L’ONDRP précise encore que « les hommes mineurs d’Afrique hors Maghreb sont assez souvent mis en cause pour atteintes volontaires à l’intégrité physique, c’est-à-dire de faits de violence. »
Toutes choses qui préoccupent infiniment plus nos compatriotes affirme Bruno Gollnisch, que la guéguerre Fillon-Sarkozy, a fortiori au regard du calamiteux bilan qui est le leur dans le domaine de l’insécurité et de l’immigration entre 2007 et 2012.
-
Cécile Kyenge veut plus d’Africains en Italie et en Europe
ROME (NOVOpress) – La ministre italienne au sang congolais, Cécile Kyenge (photo), enfonce le clou : elle souhaite accélérer l’immigration de remplacement en Europe. Pour elle, il est temps que les Européens commencent « à raisonner ensemble pour se donner des règles communes » en matière d’immigration. Dans un entretien au journal Il Messaggero, elle fait référence au modèle français : « Si une personne prend, par exemple, la nationalité française, elle devient, par voie de conséquence, citoyenne européenne ». Traduction : Cécile Kyenge, qui compte 37 frères et sœurs au Congo, milite pour une propagation de l’immigration extra-européenne à l’échelle du Vieux continent.
La dirigeante africaine, incorporée au gouvernement de coalition formé par le démocrate Enrico Letta depuis avril dernier, axe son action politique en faveur de l’octroi de la nationalité italienne aux enfants nés dans la Péninsule de parents étrangers. Dans son viseur : la loi sur la citoyenneté italienne, basée sur le seul droit du sang, à la différence de la France (droit du sol). Cécile Kyenge veut remettre en cause aussi le délit d’immigration clandestine, rendre le marché du travail plus accessible aux étrangers et, dans une langue de bois très politiquement correcte, « lutter contre la violence sexiste, raciste et de toute autre nature ». Une sorte de Taubira transalpine, adversaire acharnée de l’identité italienne et européenne.
Crédit photo : European University Institute via Flicr (cc). http://fr.novopress.info/
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, Europe et Union européenne, immigration, lobby 0 commentaire -
Faire peur
Si les opposants à la loi instituant un mariage homosexuel continuent de subir une répression démesurée, d’autres personnes souffrent également des ordres à caractère politique donnés à la police. Quand l’exécutif joue avec le feu...
Dimanche 23 juin : à l’issue d’une manifestation devant la préfecture de police de Paris pour protester contre l’incarcération de Nicolas Bernard-Buss (dont la peine a été muée le 9 juillet à 3000 euros d’amende, après trois semaines de prison...), la foule se dispersait vers le quartier Saint-Michel. Deux jeunes filles du mouvement des ’Salopards’ (qui effectuent des actions habillés en salopette rose) rentraient chez elles. Une discussion s’engageait, durant laquelle elles expliquaient qu’un policier en civil était venu les voir sur le lieu du rassemblement, leur demandant ce qu’elles faisaient là, cherchant à savoir si elles avaient préparé un « flash-mob » (une action de rue dansante). Puis il était reparti comme il était venu... « On se fait souvent contrôler », ajoutaient-elles. Du simple contrôle d’identité à la garde à vue, certains des opposants les plus actifs à la loi Taubira ont subi plus de trente interpellations en quelques mois.
Une crainte savamment distillée [...]
La suite sur Politique Magazine
-
Malaise des commissaires face à la répression commandée par Manuel Gaz
Lu dans Le Figaro :
"Il y a quelques jours, les CRS s'indignaient, dans un tract du syndicat Alliance, de leur mission «ridicule» contre les «veilleurs debout». Aujourd'hui, c'est chez les commissaires de police que la colère gronde. Dans le dernier numéro de la Tribune du commissaire, deux des trois «tribunes libres» sont consacrées au «malaise grandissant» de l'institution policière face à la répression des manifestations anti-mariage gay.«Du jamais vu!», commente un membre de ce syndicat, qui représente 60 % des commissaires, et qui a toujours été très légitimiste. «Cela montre l'ampleur du mécontentement».
Signé «un collectif de commissaires de police», le premier article évoque «une vidéo ayant circulé sur Internet», «qui montre deux de nos collègues remettant en liberté des personnes portant un vêtement assorti du logo d'une association engagée dans un débat de société, après un simple contrôle d'identité». «S'il apparaissait que des instructions ont été données à toute la chaîne hiérarchique policière d'interpeller des personnes sur ce seul motif, soulignent les auteurs, les commissaires de police qui ont décidé de les élargir honorent le Corps de Conception et de Direction». Et de conclure: «il était temps de prouver que notre Institution n'est pas une police d'opinion».
Le deuxième texte - une tribune «poignante», juge le secrétaire général du SCPN, Emmanuel Roux - est une lettre d'«un commissaire de police attentif à l'actualité» à un «cher collègue». Vraisemblablement pied-noir, il lui parle de sa grand-mère, Eugénie, qui «aimait beaucoup la France, bien qu'elle n'y soit jamais allée avant que le sens tragique de l'Histoire ne la contraigne (…) à quitter pour toujours notre terre natale il y a 51 ans». Un jour, raconte-t-il, «elle commit l'acte fou de brandir un drapeau français à sa fenêtre». Des uniformes «déboulèrent», «défoncèrent sa porte», à la recherche du drapeau.
Aujourd'hui, le petit-fils d'Eugénie est commissaire divisionnaire. «Depuis plusieurs mois, le pays gronde, poursuit-il. Je vois des uniformes, de jeunes manifestants que l'on colle contre le mur. J'en ai vu qui tombaient, d'autres que l'on conduisait vers des fourgons, le regard perdu mais fier». Avant d'asséner: «Je ne serai jamais l'un de ces officiers. J'aime trop ma grand-mère».
Emmanuel Roux admet avoir hésité avant de publier ces «collègues qui parlent avec leur tripes». Mais il a reçu plusieurs appels dans le même sens, et a voulu jouer son «rôle de syndicat, lieu de parole». «Je n'ai pas eu connaissance de pratiques policières qui auraient été différenciées selon les manifestants, tempère-t-il. Mais l'ordre public, c'est une alchimie complexe…»
Au sein du SCPN, on affirme toutefois que «beaucoup ne se reconnaissent absolument pas dans les méthodes appliquées». «C'est pas qu'on soit pro ou anti mariage gay, témoigne un commissaire signataire du premier article. On est simplement choqués. On voit une distorsion énorme entre ce qui se passe avec les voyous récidivistes et des gamins pacifiques qu'on met en garde-à-vue simplement parce qu'ils portent un tee-shirt! Parfois, il faut avoir la force de dire «non». Notre message, c'est que l'on refuse d'être une police politique, quel que soit le pouvoir»."
-
La diversité, par NB
On ne cesse de parler de l’« Autodestruction des peuples d’Europe ». C’est faux, archi-faux ! En fait, les peuples ne sont pas masos, ils sont toujours détruits par un autre, et en l'occurrence par un autre qui se fait passer pour eux.D’où, l’apparence d’un suicide. Mais il est interdit de prononcer le mot meurtre. C’est à peine si l’on peut le dire, le murmurer, le susurrer. Alors je le dis doucement, très doucement, le plus doucement possible : avec le progrès, la terre promise est devenue la Terre promise… avec un T majuscule, c'est-à-dire la planète.Dans une Terre promise, il ne peut y avoir de Nations. Il faut donc tout mélanger, malaxer, broyer, triturer, pétrir, aplatir, piétiner, bref, désidentifier.Un esclave n’a bien sûr pas de couleur, pas de passé, pas d’avenir et bien évidemment pas de Nation. La diversité est le poison mortel dont LEURS médias nous abreuvent tous les jours et qu'ils vont jusqu'à instiller dans le biberon de nos enfants.
Il faut à tout prix lutter CONTRE la diversité.Chez moi tout est propre, clair, net, ordonné, rangé, fonctionnel et efficace. Il fait bon y vivre.Les outils sont dans le garage, les fauteuils dans le salon, les chaises dans la salle à manger, les lits dans les chambres et partout chaque chose a sa place et chaque place a sa chose.Si vous ouvrez les tiroirs et les portes des placards, vous verrez : les couteaux son avec les couteaux, les fourchettes avec les fourchettes, les cuillères avec les cuillères, les draps avec les draps, les couvertures avec les couvertures, les sous-vêtements avec les sous-vêtements, les chemises avec les chemises, les pantalons avec les pantalons, les torchons avec les torchons, les serviettes avec les serviettes.Chez moi tout est propre, clair, net, ordonné, rangé, fonctionnel et efficace. Il fait bon y vivre.Il n’y a pas de diversité… sinon dans un endroit, un seul : LA POUBELLE ! -
Egypte : un copte retrouvé décapité
L’islam est une religion de paix, d’amour et blablabla….
Lu sur le Figaro :
Un chrétien d’Egypte (copte) a été retrouvé mort, après avoir été décapité, aujourd’hui dans le nord de la péninsule du Sinaï, plusieurs jours après son enlèvement par des hommes armés, ont affirmé des responsables de sécurité et des témoins.
L’homme, dont l’âge n’a pas été précisé, avait les pieds et poings liés, ont-elles précisé.
D’après une source de sécurité, il avait été enlevé par des « groupes extrémistes » samedi dernier, le jour même où un prêtre copte a été tué par des hommes armés.Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, insécurité, international, lobby, religion 1 commentaire -
Nous devons lui dire merci…
Un grand merci à Nicolas Bernard-Buss. N'a-t-il pas renvoyé dos à dos l'UMP et le PS, acteurs de la «déshumanisation ambiante» ? N'a-t-il pas justement dressé le constat de bien de nos maux terribles ? Employant des mots simples, compréhensibles par tous : «En République française, l'argent est roi, Dieu rejeté, et le peuple soumis»
Nous ne connaissons pas Nicolas Bernard-Buss alias « Berns ». Si forte soit notre sympathie pour lui, nous ne lancerons pas des Nicolas à tous vents. Nous lui disons merci du fond du cœur. Nous ne sommes pas assez grand clerc pour dire de lui qu'il est un « martyr ». Nous ne savons pas plus si, prisonnier politique il est... Nous savons qu'il a été et qu'il est fort maltraité. Mais ce que nous percevons par-dessus tout, c'est sa lucidité.
Il prend le soin de dire « En République française » et non pas « En République... ». Convenez qu'il fait preuve d'une grande finesse d'esprit ! D'une connaissance certaine de notre histoire...
Sa phrase simple ne fait-elle pas écho à la réflexion du « vieux » poète de Martigues qui dressait lui aussi un constat ?
« Quelques centaines de familles sont devenues les maîtresses de la planète. Les esprits simples qui s'écrient : « révoltons-nous, renversons-les », oublient que l'expérience de la révolte a été faite en France, il y a cent quinze ans ; et qu'en est-il sorti ? De l'autorité des princes de notre race, nous avons passé sous la verge des marchands d'or, qui sont d'une autre chair que nous, c'est-à-dire d'une autre langue et d'une autre pensée. Cet Or est sans doute une représentation de la Force, mais dépourvue de la signature du fort. On peut assassiner le puissant qui abuse ; l'Or échappe à la désignation et à la vengeance. Ténu et volatil, il est impersonnel. Son règne est indifféremment celui d'un ami ou d'un ennemi, d'un national ou d'un étranger. Sans que rien le trahisse, il sert également Paris, Berlin et Jérusalem. »
http://maurras.net/textes/92.htmlIl se dit que Nicolas Bernard-Buss est un « Veilleur » de la première heure. Nombreux sont ceux qui louent cette belle réponse à la « déshumanisation ambiante » couronnée par une loi... Belle réponse donnée par toute une jeunesse française que personne n'attendait.
En son temps, le poète de Martigues pressentait-il une telle réponse en nous disant :
« Il suffirait de supposer qu'une lucide conscience du péril, unie à quelques actes de volonté sérieuse, suggère à l'Intelligence française, qui, depuis un siècle et demi, a causé beaucoup de désastres, de rendre le service signalé qui sauverait tout. » Charles Maurras- L'avenir de l'Intelligence.
http://maurras.net/textes/92.htmlOui, nous disons merci à Nicolas Bernard-Buss, un très grand merci ! A Nicolas Bernard-Buss qui s'insurgeait en lançant :
«Quand est-ce que les forces prétendument de l'ordre cesseront-elles d'obéir à des ordres absurdes? Quand prendront-elles enfin conscience que les voleurs et les menteurs ne sont pas le peuple pacifiste en face d'eux, mais les vieillards malades au-dessus d'eux? C'est après cette oligarchie qui s'en prend aux enfants qu'il faut courir, Messieurs les policiers!»
Source :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/06/20/01016-20130620ARTFIG00745-nicolas-23-ans-anti-mariage-gay-deux-mois-de-prison-ferme.phpNicolas Bernard-Buss ne fait-il pas écho à celui qui lançait en son temps :
«Enfants de France, ce n'est pas votre pays qui s'est écroulé sur vous, c'est le règne des vieux. Le règne des vieux s'écroule d'ailleurs partout dans le monde et les dictatures qui se vantaient d'être jeunes travaillaient aussi pour lui en exploitant et en déshonorant l'enfance. Le monde a failli périr d'une espèce d'usurpation universelle de l'esprit de vieillesse contre l'esprit d'enfance, voilà la vérité.» Georges BernanosLe pire n’est jamais certain. Des « Enfants de France », d’instinct pourrions-nous dire, se lèvent et disent Non ! Nicolas Bernard-Buss est l’un d’eux. En lui disant merci, nous les remercions tous !
Portemont
-
Les crimes d'état du mondialisme
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, culture et histoire, international, lobby 0 commentaire