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  • Des manifs spontanées en France, une brutale répression

    Le coup de force de François Hollande, hier, sur le mariage gay, a provoqué en France des manifestations de grande ampleur, notamment à Paris et à Lyon, qui ont été durement réprimées sur l’ordre de Manuel Gaz, par les mercenaires du régime.

    Lyon : Ils étaient des centaines à se rassembler spontanément place Bellecour à 21h30 pour montrer leur colère face au mépris du gouvernement et au déni de démocratie que constitue la précipitation du Parlement.

    La suite sur Le Salon Beige

    Paris, évidemment (Le Salon Beige) :

    Voir également FdeSouche

    http://www.actionfrancaise.net

  • LA MANIF DU 26 MAI AVANCÉ AU 5 MAI

    LA MANIF DU 26 MAI AVANCÉ AU 5 MAI :

    MOBILISATION GÉNÉRALE CONTRE UN POUVOIR DISCRÉDITÉ !

    TOUS À PARIS LE 5 MAI !

    Lu sur Nouvelles de France : Anti-Hollande de tout le pays, unissez-vous. Après Jean-Luc Mélenchon et Riposte laïque/Résistance Républicaine, c’est au tour de la Manif pour Tous d’annoncer, par la voix de Tugdual Derville, le délégué général d’Alliance Vita, une probable manifestation parisienne dimanche 5 mai prochain, alors que le calendrier parlementaire a été accéléré ce vendredi, rendant inutile car trop tardif le rassemblement prévu le 26. On attend encore la confirmation de ce rendez-vous. Et si, le changement de Président et de Gouvernement, c’était bientôt ?

    Addendum 22h45 : « La #manifpourtous du #26mai est avancée au #5mai. Tous à #Paris le #5mai ! #RetraitLoiTaubira #onlacherien #IlsPassentEnForce » a tweeté vendredi soir Frigide Barjot.

    http://www.actionfrancaise.net

  • L’armée aurait précipité la chute de Cahuzac

    « Les Services de renseignements français ont fait tomber Jérôme Cahuzac, selon le journal suisse L’Hebdo. L’ex-ministre du Budget prévoyait des coupes drastiques dans les finances de l’armée.

    Les coupes prévues par l’ex-ministre Jérôme Cahuzac dans le budget de la Défense l’auraient conduit à sa perte. C’est ce qu’affirme L’Hebdo dans son édition de jeudi. L’hebdomadaire romand publie sur le sujet une enquête citant des «sources sécuritaires», des députés UMP et des membres de la Commission de défense de l’Assemblée nationale.

    Avant sa démission, l’ex-ministre du Budget considérait l’armée comme un poids lourd à alléger. Il envisageait ainsi de raboter dans son budget jusqu’à 1 milliard d’euros en 2014. D’autres milliards étaient prévus les années suivantes.

    Le tout aurait figuré dans la future loi de programmation militaire (LPM) couvrant la période de 2014 à 2019. La LPM aurait fait passer les dépenses de l’armée de 1,5% du PIB français à 1,1%. Un plus bas historique pour la France.

    Concrètement, la taille aurait signifié la suppression de 31 régiments dans l’Armée de terre, la vente du porte-avion Charles-de-Gaulle, l’annulation de commandes d’hélicoptères Tigres et de deux sous-marins nucléaires Barracuda, l’arrêt de production des avions Rafale et des transporteurs Airbus A400M, ainsi que la suppression de quelque 51’000 postes. Des bases françaises à l’étranger auraient été fermées et les budgets des renseignements intérieurs et extérieurs revus à la baisse.

    Coupes inacceptables

    Ces mesures auraient été jugées inacceptables de l’intérieur, affirme L’Hebdo. Davantage d’économies dans le ministère de la Défense risquaient même aux yeux de certains de mettre en péril le statut de grande puissance internationale de la France et de rendre le pays indigne de siéger au Conseil de Sécurité de l’ONU.

    Ainsi, avant que le président François Hollande ne se prononce le 22 mars sur le projet de loi de Jérôme Cahuzac, ce dernier a fait face le 19 mars à l’ouverture d’une enquête judiciaire à son encontre. Il démissionnera dans la même journée. Le 2 avril, il avouera devant la justice posséder un compte non déclaré à l’étranger, détruisant ainsi durablement sa carrière politique.

    Les «sources sécuritaires» de L’Hebdo sont très claires. Aucun hasard n’est à lire dans cet enchaînement d’événements. «L’armée a eu sa peau. On ne s’attaque pas impunément à nous. Il voulait notre mort. Nous l’avons eu. Et d’autres ministres pourraient suivre si Hollande continue sur cette voie», menace l’une des sources.

    La précision des informations aux mains de la justice française sur le compte en Suisse de l’ex-ministre du Budget ont surpris les autorités genevoises, souligne encore L’Hebdo. Cette minutie porterait la marque de l’intervention des Services de renseignements français qui enquêtent depuis des années sur les fraudeurs du fisc. »

    Source et suite  http://www.contre-info.com/

  • La police verbalise pour... port de sweat shirt!

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    La mésaventure de Franck Talleu, le 1er avril au jardin du Luxembourg, n'était ni une farce ni un cas isolé. Verbalisé pour avoir porté un sweat-shirt dont le dessin figurait un père et une mère tenant leurs deux enfants par la main, ce père de famille nombreuse, venu pique-niquer et cacher les œufs de Pâques, a été emmené au poste par deux gardiens assermentés. Après un interrogatoire d'une heure, il a reçu une amende cas n° A. D'abord pour «port d'une tenue contraire aux bonnes mœurs», requalifié ensuite en «organisation d'une manifestation ludique dans le jardin du Luxembourg sans autorisation spéciale». Il attend maintenant d'être convoqué par le tribunal de police. L'objet du scandale -le sweat-shirt- pourtant sans slogan «pouvait choquer», s'est-il entendu répondre par les autorités qui ont reconnu le dessin symbolique de la Manif pour tous. Mi-amusé mi-médusé, il craint pour l'avenir des familles: «Si le seul dessin d'une famille sur un tee-shirt est contraire aux bonnes mœurs, quid d'un couple dans la rue qui se baladera demain par la main avec ses enfants? Il se fera verbaliser ?»

    Lire la suite sur le site du Figarohttp://rivarol.over-blog.com/

  • La gauche la plus bête du monde !

    Prenant la parole pour répondre à une collègue écologiste, le sénateur UMP Bruno Retailleau a déclaré hier, dans l’hémicycle : « Nous n’avons pas la même couleur politique. D’autres couleurs non plus d’ailleurs, mais on peut s’entendre ». Qu’est-ce qu’il n’avait pas dit !

    Depuis, la gauche dénonce un « dérapage ». Encore que pour déraper, il faut sortir d’un sentier balisé…reste à savoir qui met les balises. Mais la gauche moralisatrice à l’habitude de se prendre elle-même pour la mesure du bien et du mal, et c’est toujours à l’aune de son nombril qu’elle juge ce qu’il est autorisé de dire et ce qui ne l’est pas.

    En l’état, le sénateur UMP est accusé du crime inexpiable de « racisme » ! Évoquer « d’autres couleurs » que la couleur politique, vous pensez… C’est très suggestif, hein ? Sauf que la sénatrice écologiste est blanche, comme monsieur Retailleau. Et que la seule couleur qui jure un peu chez cette dame, c’est la couleur de ses cheveux, teints en rouge ! Auxquels il faisait manifestement allusion…

    Comme quoi, la gauche est très sensible au réflexe pavlovien. Quand elle entend le mot « couleur« , elle salive et elle sort du bois. Ne cherchez pas, c’est un comportement totalement irrationnel. Enfin, il faut bien faire feu de tout bois pour disqualifier son adversaire politique…

    http://www.contre-info.com/

  • Quand la République pactise avec l’islam radical

    Le journal Sud-Ouest nous informe que Vincent Feltesse, le chef du PS girondin, va financer une partie de la mosquée islamiste de l’imâm Oubrou (UOIF) : « le député, président de la CUB et archi-probable candidat du PS aux futures municipales, va en effet verser une partie de sa réserve parlementaire à l’association qui porte le projet, la Fédération des musulmans de Gironde. Cette réserve, une somme que chaque député est libre d’attribuer à des associations de sa circonscription, s’élève, pour l’année, à 130 000 euros : 50 000 euros issus de cette enveloppe iront au projet de centre cultuel et culturel musulman. »

    Vincent Feltesse explique en effet qu’ « il y a un gros travail, autour de l’imam Oubrou, sur l’articulation de l’islam et des valeurs républicaines, c’est une démarche à laquelle je suis sensible« .

    Or, une enquête intitulée Ces maires qui courtisent l’islamisme, aux éditions Tatamis,  a révélée en 2010 que l’imam Oubrou enseigne à ses fidèles de lire le coran « comme des salafistes« , de rétablir le Califat transfrontalier et de faire de l’islam un parti politique car « L’islam comme le veut le Coran touche à tous les domaines de la vie. C’est un État, c’est un pays (…) La politique est une donnée, est une partie, est un élément de l’islam. Le Prophète était un chef d’Etat.(…) La politique des musulmans ce n’est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge« . Des citations immédiatement issues de ses conférences, en ligne sur internet !

    Il n’y a cependant pas à s’étonner. Car l’imam ne fait qu’enseigner à ses fidèles la foi musulmane qui ne reconnaît en effet aucune frontières entre le public et le privé, entre le temporel et le spirituel. C’est l’oumma. Le double discours de l’imam n’est pas davantage surprenant, car le coran enseigne lui-même la duplicité : ‘ »Baise la main que tu ne peux pas couper« …

    http://www.contre-info.com/

  • La « loi rapide » est à la loi ce que la restauration rapide est à la gastronomie

    Une chronique de Michel Geoffroy.
    L’habitude a été prise de légiférer à tout propos pour tenter de restaurer la crédibilité du pouvoir face aux événements et face aux emballements médiatiques.
Un crime odieux, un accident tragique dans un ascenseur : hop ! une nouvelle loi, de nouveaux règlements, de nouvelles normes. Il y avait le fast-food. Voici la fast-law ou loi rapide. A consommer debout ou en regardant la télévision, comme l’autre.
Dernier exemple en date : « l’affaire » (un terme bien choisi) Cahuzac.
    Une loi pour que les hommes politiques fassent preuve de… décence !
    Ladite affaire contribue manifestement à accélérer la dégringolade historique du président et du gouvernement socialistes dans l’opinion, de gauche comme de droite. Pas de problème : on va proposer très rapidement une loi pour « moraliser la vie politique » et l’on va restaurer la confiance. Colossale finesse !
    Curieux : on croyait la fraude – notamment fiscale –, l’abus de biens sociaux, le trafic d’influence ou la prise illégale d’intérêts déjà amplement sanctionnés par nos lois. On croyait même que de nombreux fonctionnaires et de juges se chargeaient de les faire respecter sans faiblesse. Mais on avait sans doute dû mal comprendre : il n’y avait pas assez de lois.
    On pensait aussi que la décence commune conseillerait à un ministre chargé notamment du contrôle des contribuables de se montrer lui-même irréprochable sur ce plan.
    Mais il s’agissait d’un raisonnement primitif, typique des Franchouillards de la France d’en bas. Non, il faut désormais une loi pour que les hommes politiques fassent preuve de décence. Nous voici rassurés sur la nature humaine en général, et la nature des politiciens en particulier.
    La philosophie pernicieuse de Hobbes en action
    La fast-law traduit en effet une curieuse conception de l’homme et de la société : pour être honnête, travailleur, bon voisin, bon mari, bonne épouse, bon père ou bonne mère, pour ne pas tuer son prochain, il faut que les lois nous y obligent, avec, bien sûr, des radars, des policiers, des délateurs (on dit « associations » en novlangue) et des juges partout, pour surveiller qu’on respecte bien les lois et les « valeurs ». Sinon, bien sûr, tout le monde volerait, mentirait ou s’entretuerait allégrement.
    Voilà la philosophie de Hobbes (*) en action, qui a malheureusement pour corollaire que tout ce qui n’est pas formellement interdit serait donc licite et qui réduit la société au droit procédural, pour le plus grand bonheur des cabinets d’avocats et des truands. Et l’on continue de nous expliquer que cette lubie, née au moment des guerres de religion, constitue un indépassable progrès humain !
    De la com avant tout
    Que l’on se rassure toutefois : la fast-law n’a vocation à s’appliquer que très marginalement, comme toutes les lois de circonstance votées – en général à l’unanimité – dans un grand élan de victimisation médiatique. Car une loi votée n’est pas forcément appliquée ni applicable (que l’on pense à la loi sur le port du voile intégral dans l’espace public, par exemple). En outre, elle ne produit pas nécessairement l’effet escompté, ce qui ne se voit qu’à moyen terme. Enfin, l’empilement législatif aboutit à un résultat contre-productif : il débouche sur un droit confus, contradictoire et finalement impuissant, comme le relève chaque année le Conseil d’Etat.
    Mais nos politiques s’en moquent, car la vraie finalité de la fast-law reste la pure communication à court terme.
    Au cas d’espèce, cela nous fera chaud au cœur de voir tous ces politiciens se prononcer en faveur de la transparence et de la morale : un meilleur effet, assurément, que lorsqu’ils se votent une amnistie…
    La fast-law de la fausse monnaie législative
    La fast-law sert la fiction d’un gouvernement qui gouverne et d’un parlement qui légifère au nom du Bien.
    C’est là une fiction car, dans l’Union européenne post-démocratique, le pouvoir se situe ailleurs : dans les grandes entreprises mondiales et les institutions financières qui obéissent au contraire à la loi de l’intérêt marchand et du profit immédiat, qui considèrent les politiques comme leurs employés, et les Etats et les peuples comme des obstacles qu’il faut remplacer.
    Il va de soi que cette nouvelle fast-law ne changera pas cette impitoyable réalité qui conduit à ce que les politiques perdent de vue la notion d’intérêt public et ne savent plus faire la différence entre ce qui est décent ou non. Les vices privés ne constituent-ils pas les vertus publiques ?
    La fast-law correspond à de la fausse monnaie législative : elle sert seulement à donner le change. En bon français : à tromper le citoyen et surtout l’électeur. Mais il semble, d’après les sondages, que le cours de ces assignats politiques soit quand même en forte dépression…
    Michel Geoffroy Polemia 
9/04/2013
    Note de la rédaction :
    (*) Thomas Hobbes, philosophe anglais, 1588 – 1679, dont l’œuvre majeure est le Léviathan, pourrait être, avec son Element of Law, le maître à penser de François Hollande. Voir ac-grenoble.fr

  • L’affaire Cahuzac “Argent à gauche et mensonge d’État” ! – par Jean-Michel VERNOCHET

    Jean-Michel Vernochet revient sur l’affaire qui secoue l’actuel gouvernement.

    http://www.propagandes.info/blog/