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  • Libération de djihadistes français : Guillaume Larrivé sonne l’alerte

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    Le 13 février 2020, le député LR  écrivit une lettre ouverte, publiée par Le Figaro, adressée à Emmanuel Macron au sujet de la libération de  français d’ici 2022 :

    « 531 individus sont incarcérés pour des faits de terrorisme islamique. Or, parmi eux, objectivement regardés comme les plus dangereux à ce stade, 43 seront libérés au cours de l’année 2020, 57 le seront en 2021, et 46 encore en 2022. »

    L’association de mots « djihadistes français » pourrait être perçue pour beaucoup comme un oxymore, mais c’est pourtant la réalité de la société française actuelle. De la même façon que l’État français envisage de rapatrier des islamistes partis en Syrie pour prêter allégeance à l’État islamique, la logique du système judiciaire impose dorénavant la libération de ces détenus, de nationalité française.

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  • «Amoureux de l’Italie» : après son renvoi devant la justice par le Sénat italien, Salvini se défend

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    Matteo Salvini pour «séquestration» de migrants en mer. Le chef de la Ligue risque 15 ans de prison et six à huit ans d’inéligibilité.

    Le Sénat italien a validé le 12 février le renvoi de Matteo Salvini devant un tribunal de Sicile, qui l’accuse d’«abus de pouvoir et de séquestration de personnes» pour avoir bloqué en mer un navire rempli de migrants clandestins prêt à accoster sur les côtes italiennes alors qu’il était ministre de l’Intérieur.

    Le natif de Milan – qui fédère la droite italienne derrière lui et dont le seul parti est crédité de plus de 30% d’intention de vote au niveau national – pourrait donc faire face à un tribunal pour avoir refusé plusieurs fois l’entrée dans le pays à 116 migrants naviguant à bord d’un navire des gardes-côtes italiens, le Gregoretti.

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  • La leçon de Zemmour à Marlène Schiappa, par Paul Vermeulen

    9554-20200215.jpgZemmour et Schiappa qui débattent le lundi 10 février 2020 dans l’émission phare de CNews, « Face à l’info », en un face-à-face bien orchestré et dans une émission maintenant bien rodée, depuis sa création en octobre 2019, l’affiche ne pouvait qu’être alléchante pour qui suit l’actualité politique à travers le prisme des médias et des réseaux sociaux, malheureusement très souvent éloignés de la vie concrète des Français. Un événement médiatique qui a battu le record d’audience de CNews, avec plus de 390 000 téléspectateurs (1,9 % des parts d’audience). 75 000 personnes de plus que lors du précédent record. Face-à-face, donc, entre le journaliste, essayiste, polémiste, Zemmour, défenseur de la civilisation française et des « somewhere », et l’« anywhere » Marlène Schiappa, pour reprendre la distinction proposée par Goodhart dans Les Deux Clans paru en 2019. Lundi 10 février, Marlène Schiappa n’est pas venue pour vendre l’une des potions illusoires du gouvernement, pas même celle de la fumeuse « grande cause du quinquennat », l’égalité « femmes-hommes », mais pour se frotter à Zemmour.

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  • Le décolonialisme, une idéologie de collabos

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    Mon collègue Driss Ghali signe, dans les colonnes de Causeur, un bel article sur l’idéologie décoloniale. Il dit, en résumé, que le décolonialisme ne sert à rien. Philosophiquement, je suis d’accord : le décolonialisme n’est pas un raisonnement ou un questionnement, mais une pure assertion victimisante. Il n’est construit sur rien de sérieux et ne peut rien construire de sérieux. Il n’a pas d’avenir philosophique, mais il a une logique politique.

    En effet, il est certain que les philosophies victimisantes enferment ceux qui les croient dans une impossibilité d’action, parce que la base de toute action est une responsabilisation : un retour sur soi, une analyse de ses erreurs et une décision de corriger. Si le discours est « On ne me doit rien et personne ne m’attend, donc je vais le faire », l’action peut être efficace. Elle est motivée et motivante parce qu’elle s’enracine dans une vraie liberté. Si, par contre, le discours reste « On me doit ça parce que je suis ça », le sentiment de « dignité offensée » fera croître une certaine forme de contentement de soi, avec une haine du monde et des autres qui poussera à l’enfermement et à l’inaction. C’est le principe même de l’aliénation, et cela est vrai pour toutes les philosophes victimisantes, y compris celles qui touchent, aujourd’hui, les femmes et toutes sortes de minorités. La victimisation est un piège.

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  • Trafic de migrants, 200€ pour passer d’Italie en France

    Ils demandaient 200€ pour un passage clandestin en France. Le payement, auquel il ne fallait pas que manque un seul centime sous peine de se voir laisser sur place, était anticipé. 10 passeurs ont été arrêtés hier à la frontière de Vintimille, au cours de l’opération baptisé Sciarun, le nom arabe de Charon, le fameux passeur de l’au-delà dans la mythologie antique. Ils sont accusés d’avoir favorisé l’immigration clandestine.

    Parmi les arrêtés, se trouvent des Algériens et des Tunisiens mais également une femme albanaise et un homme français. Les « clients » étaient tous des « migrants » de diverses nationalités, mais surtout des Africains, repérés par les trafiquants dans des quartiers et des bars de Vintimille fréquentés par les clandestins. Le passage d’Italie en France se faisait en voiture, train ou autobus.

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  • Le libéralisme : à l’origine de toutes les gauches.

    2737274333.10.jpgNotre ami Christian Vanneste écrivait ici, il y a quelques jours, que le libéralisme n’est pas une idéologie parce qu’il y a un grand nombre de courants en son sein. Mais il en va de même pour le socialisme, pour le nationalisme ou pour le conservatisme, ce qui n’ôte rien à leur caractère idéologique.

    Les libéralismes ont un socle commun, l’individualisme ; or, c’est précisément l’individualisme, lequel est au cœur du libéralisme depuis ses origines au XVIIe siècle, qui pose problème parce qu’il affirme que les communautés (dont les communautés nationales) sont des illusions.

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  • Jean Messiha : « Les minorités sont très bien représentées à la télé, faut arrêter ! » (Vidéo)

    Jean Messiha : « Les minorités sont très bien représentées à la télé, faut arrêter ! ». Extrait tiré de l’émission « L’Heure des Pros » (CNews) du 10 février 2020.

    https://www.tvlibertes.com/actus/%f0%9f%8e%a5jean-messiha-les-minorites-sont-tres-bien-representees-a-la-tele-faut-arreter-video

  • L’affaire Gabriel Matzneff : pas un scandale, une chasse à l’homme…

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    « Certains même doivent applaudir ses éditeurs – parmi les plus prestigieux de France – qui, du jour au lendemain, semblent découvrir ce qu’ils ont imprimés et diffusés : Oh zut ! la boulette… »

    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

    (Propos recueillis par Guirec Sèvres)

    Que vous inspire le scandale autour de l’écrivain  Gabriel Matzneff ?

    Soyons précis : ce n’est pas un scandale, mais une chasse à l’homme… Cela aurait été un scandale si on avait « découvert » que Gabriel Matzneff est pédophile, qu’il était passé à l’acte et avait tout fait pour le dissimuler comme c’est en général (toujours ?) le cas avec les prédateurs sexuels ; en ce qu’il le concerne, c’est exactement le contraire : cela fait plus d’un demi-siècle que non seulement il défend, à qui veut le publier ou l’inviter à s’exprimer, sa conception de l’amour – autant sentimentale que physique – avec les « moins de seize ans » ; jusqu’à en avoir fait le titre, pour le moins explicite, d’un de ses livres.

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  • Donald Trump ridiculise Nancy Pelosi

    Donald Trump ridiculise Nancy Pelosi

    Nancy Pelosi, présidente démocrate de la Chambre des représentants, s’est acharnée à traîner Donald Trump dans la boue, avec la procédure d’impeachment, qui a échoué au Sénat. Lors du traditionnel discours sur l’état de l’Union, le 5 février, à la fin de l’allocution, Nancy Pelosi a déchiré ostensiblement le texte du discours.

    Le lendemain, Donald Trump a publié une vidéo visant à critiquer ce geste médiatique. Intitulée « De puissantes histoires américaines réduites en pièces par Nancy Pelosi », elle dure cinq minutes et enchaîne plusieurs extraits du discours. On y voit, entre autres, Donald Trump rendre hommage à des soldats américains, saluer la baisse du chômage chez les Afro-Américains, annoncer à une jeune fille qu’elle disposera d’une bourse pour ses études et révéler à une femme en larmes que son époux militaire est de retour du terrain, le tout accompagné d’une musique larmoyante. Chacune de ces séquences est ponctuée de l’image de Nancy Pelosi déchirant le discours du président américain.

    Voir le Tweet

    Pris au piège, le clan Pelosi a tenté de censurer cette vidéo. Mais ni Facebook, où la vidéo a engrangé plus de 3 millions de vues, ni Twitter (près de 10 millions) n’ont accepté de retirer la vidéo. Un porte-parole de Facebook a publié cette réponse :

    « Excusez-moi, prétendez-vous que le président n’a pas prononcé ces mots et que [Nancy Pelosi] n’a pas déchiré le discours ? »  « Si je vous demande si les choses qui apparaissent dans cette vidéo ont bel et bien existé, c’est parce que cela est central dans nos règles qui encadrent ce type de contenus. »

    Twitter a également refusé de bannir la vidéo. Tim Murtaugh, un des porte-parole de la campagne de Donald Trump, a ajouté :

    « Si Nancy Pelosi craint les images d’elle déchirant le discours, alors c’est qu’elle n’aurait pas dû déchirer le discours ».

    https://www.lesalonbeige.fr/donald-trump-ridiculise-nancy-pelosi/

  • Joachim Son-Forget : « Cette vidéo de Benjamin Griveaux circulait déjà chez tous les cadres de la Macronie »

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    Le candidat de La République en marche à la mairie de Paris, a retiré sa candidature, vendredi 14 février, après la diffusion, sur Internet, de vidéos à caractère sexuel.

    Joachim Son-Forget fait partie des premiers qui ont diffusé ces informations. Au micro de Boulevard Voltaire, il donne des précisions sur la chronologie de cette affaire. Selon lui, la vidéo circulait depuis un certain temps, dans les rédactions et à La République en marche. Il dénonce « l’hypocrisie du petit milieu parisien qui se drape maintenant dans la vertu morale ».

    Benjamin Griveaux a retiré sa candidature suite à la diffusion de captures d’écran de conversations privées et de photos intimes. Ces dernières ont été diffusées par un blog intitulé pornopolitique.
    Pourquoi avoir été le premier à diffuser cette information ?

    Tous les cadres de la macronie les diffusaient depuis une journée. Beaucoup de gens savaient que c’était orchestré par des figures d’extrême gauche et que cela avait été mijoté depuis plusieurs mois. C’est un coup monté avec plusieurs victimes potentielles.

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