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  • Les instigateurs du pacte de Marrakech sont de fieffés mondialistes

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    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le pacte mondial de l’ONU « pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » a donc été signé lundi à Marrakech. En signant ce texte juridiquement non contraignant, les 164 États signataires ont pris un grand nombre d’engagements allant dans le sens d’un effacement de leurs frontières et de leur identité.

    Mais qui a inventé ce pacte ?

    Le principe de ce texte trouve son origine dans la Déclaration de New-York du 19 septembre 2016 pour les réfugiés et les migrants. Cette déclaration a été préparée sous la direction de Peter Sutherland, alors représentant spécial du Secrétaire général pour les migrations internationales et le développement. Celui-là même qui, alors président de Goldman Sachs International, avait déclaré, le 21 juin 2012, lors d’une audition à la Chambre britannique des Lords, que tout individu doit avoir la possibilité d’étudier et de travailler dans le pays de son choix. Cet administrateur du groupe Bilderberg appelait également les États européens à « miner leur homogénéité nationale ».

    Son successeur, Louise Harbour, a également un profil militant.

    Cette ancienne juge canadienne a produit tous ses efforts pour désinformer le public et occulter les effets du pacte et ses fondements mondialistes. Cette actuelle représentante spéciale de l’ONU pour les migrations a elle-même présidé l’organisation International Crisis Group. Cette ONG très particulière est financée par les États et par de généreux mécènes, telle l’Open Society Foundation de George Soros. Elle est connue pour soutenir l’action belliciste de l’OTAN.

  • MARRAKECH : L’ESCROQUERIE DU PACTE SUR LES MIGRATIONS

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    Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Le lundi 10 décembre, la majorité des membres de l’Organisation des Nations unies, 150 sur 194, a signé le «  Pacte pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, dit "Pacte de Marrakech" ». (Une ville qui, soit dit en passant, ne mérite pas tant d’éloges touristiques).

    Ce texte, rédigé par des « experts » dans la foulée de la crise migratoire de 2015, entend répondre aux flux de populations qui vont aller, hélas, en empirant. En fait de régulation des migrations, c’est  un coup de pouce donné aux millions de clandestins qui veulent quitter des sociétés anarchiques et des pays ingrats qui ne peuvent assurer leur pitance, pour rechercher des conditions de vie meilleures. C’est humain, mais cela ne correspond pas à nos intérêts, pas à ceux, en tout cas, des peuples européens, à commencer par le peuple français qui a déjà beaucoup donné ! C’est peut-être égoïste, mais c’est comme ça : « charité bien ordonnée  commence par soi-même », n’en déplaise aux pleureuses professionnelles des ONG alimentaires et… alimentées de nos deniers ! Après la misère qui fait fuir des peuples, principalement d’Afrique, on nous fait le coup des réfugiés climatiques. En mars dernier, l’ONU préconisait déjà l’entrée, - excusez du peu ! -, de 159 millions d’immigrés sur notre vieux continent d’ici à 2025/2030.

    Invraisemblable. Pour faire avaler cette couleuvre, on ressort toujours la même rengaine, les peuples européens sont épuisés, il faut un sang neuf et des bras pour l’industrie.

    Les migrants n’importent que leurs problèmes

    Mais dans des sociétés de plus en plus évoluées technologiquement, où les industries lourdes sont mortes, on peut douter que des armées d’analphabètes  puissent occuper des postes d’ingénieurs ou de techniciens. La grasse Allemagne en fournit un magnifique exemple : si quelques immigrés, déjà formés, ont pu trouver un job immédiatement après le rush de 2015, la plus grande partie, inadaptée au monde moderne, reste à la charge des contribuables de la RFA. Avec les conséquences sécuritaires que l’on connait. Aujourd’hui, l’ONU veut nous imposer « un mécanisme de renforcement des capacités (d’accueil) au sein du système des Nations (dites…) unies ». Parmi les exigences de ce pacte, « le renforcement des opérations maritimes pour sauver des vies », le renforcement également « de l’action internationale face aux trafics de migrants », l’obligation « de ne recourir au placement en rétention administrative qu’en dernier ressort » et permettre aussi l’accès, à ces mêmes migrants, « aux services de base ». Contribuables de tous les pays développés, à vos portefeuilles ! On nous dit « le pacte ne modifiera  pas les lois nationales et les Etats restent souverains ». Présenté comme un catalogue de nouveaux droits de l’homme, ce texte  induit de nouvelles obligations et de nouveaux devoirs aux Etats membres.

    Si nos vieilles nations courbaient l’échine, c’en serait fini de notre «  modèle social » à la française, modèle qui, soit dit en passant, est déjà en train de s’écrouler sous les coups de butoir du laxisme social et de l’égoïsme des (trop) bien nantis. Il n’y a que des « ravis de la crèche » comme, par exemple le sénateur Patriat, ex-socialiste, leader du groupe des « Marcheurs » au sénat, pour qui « faire société », c’est « organiser le bien vivre ensemble » ! On voit ce que donne cette fumisterie avec, comme triste exemple, un de plus, la tuerie de Strasbourg commise par un descendant d’immigré maghrébin ! Pour en revenir au pacte signé au nom de la France par un obscur secrétaire d’état, le sieur  Le Moyne, dépêché par un Macron qui n’a pas osé y aller lui-même, « Gilets jaunes » obligent, il servira d’alibi commode aux clandestins déboutés du droit d’asile.

    Un exemple abstrait aujourd’hui, concret demain

    Prenons un exemple abstrait : Mr Mamadou, un Sénégalais, venant d’un pays « démocratique », en paix, entré clandestinement en France, est débouté du droit d’asile. Avant sa très problématique expulsion, - rappelons les chiffres dérisoires des « retours au pays » effectué  par la France, à peine un peu plus de 30 000 expulsions dont la moitié réalisées à partir de Mayotte et de la Guyane ! -, aiguillonné par l’une des nombreuses associations « caritatives » défendant d’abord le sort des migrants, il sollicitera la Cour européenne des droits de l’homme, la fameuse et redoutable CEDH. Elle lui donnera forcément raison, et ce jugement fera  jurisprudence pour les cas suivants. CQFD, la boucle sera  bouclée. De non contraignant au départ, les contenus du pacte s’appliqueront en vertu des décisions d’une instance judiciaire hors sol, anonyme et internationale, à laquelle un gouvernement de « dhimmis » comme celui de la France, n’osera pas s’opposer. Il y a, toutefois, dans ce tragique panorama, des résistances qui nous réchauffent le cœur.

    Des pays qui, eux, sont debout

    L’Italie et la Suisse n’étaient pas représentées au Maroc, la Belgique est en pleine crise gouvernementale, le principal parti représentant la communauté flamande refusant sa participation à cette farce, la Bulgarie a rejoint la liste des pays qui se sont officiellement déclarés hostiles à ce document, citons au hasard : Etats-Unis, Israël, Autriche, Estonie, Lettonie, Chili, République Dominicaine, - comme on la comprend avec Haïti à ses portes ! -, les quatre membres du groupe de Višegrad et bien d’autres Etats, une bonne quarantaine au total, refusent de se joindre à cette sinistre plaisanterie. Ils savent bien que cette marchandise est frelatée et que ce vote, pour l’instant de portée symbolique car il n’a, AUJOURD’HUI, aucune contrainte juridique, sera demain un véritable corset, un de plus  resserrant leur souveraineté. De plus, ce pacte ne promeut-il pas la propagande en faveur de l’accueil des immigrés et n’encourage-t-il pas des sanctions matérielles à l’endroit des médias hostiles à l’immigration de masse ? Et la juge canadienne Louise Arbour, qui manageait ce grand raoût mondialiste, a eu beau déclarer que les autres pays « finiront par y venir (à ce pacte, nda), car la migration est un sujet qui va nous interpeller pendant des décennies. Le pacte ce n’est pas la fin, mais le début de la nécessité d’une meilleur coopération », la résistance va s’organiser. D’abord, démocratiquement, dans les urnes comme la poussée populiste, - oh l’horrible mot ! -, le démontre chaque jour, en Europe comme ailleurs. Un dernier réconfort pour donner du baume au coeur ? 50 000 Canadiens ont approuvé une pétition hostile à la signature par le trublion Justin Trudeau, au nom du Canada, de ce « pacte » dont on souhaite bien volontiers, qu’il  finisse aux orties !

  • Voulez-vous vraiment que vos impôts financent l’immigration ?

    Le communiqué de Civitas de ce jour :

    Payer des impôts pour financer l’immigration OU faire un don déductible à Civitas pour financer vos idées, à vous de choisir !

    En avril 2018, la Cour des comptes s’alarmait du coût de l’accueil et de l’hébergement des réfugiés en France. Elle chiffrait le coût global de l’asile aux alentours de 2 milliards d’euros par an pour environ 66.000 demandes faites en 2013.

    Le 88e Congrès des Départements de France, réuni à Rennes du 7 au 9 novembre 2018, abordait le coût des immigrés classés “Mineurs non accompagnés” (MNA) qui, au titre de l’aide sociale à l’enfance, bénéficient de l’aide des collectivités. Ce qui crée un appel d’air et fait exploser les budgets. Ces “Mineurs non accompagnés” se présentent comme âgés de 15 à 18 ans, avec la quantité d’abus que l’on sait de jeunes hommes qui ont en réalité largement dépassé cet âge. La plupart (95 %) sont des garçons et 70 % viennent d’Afrique, en particulier d’Afrique de l’Ouest francophone, où il n’y a pas de guerre. C’est donc bien une immigration économique et illégale massive. Le coût de la prise en charge d’un “mineur étranger non accompagné” au titre de l’aide sociale à l’enfance (ASE) atteint au bas mot 50.000 € par an, ce qui, à l’échelle du territoire national, représentera une ardoise d’au moins 1,5 milliard d’euros d’ici la fin de l’année, chiffre sans cesse réévalué à la hausse.

    L’économiste Yves-Marie Laulan évalue le coût total annuel de l’immigration à un montant qui oscille entre 70 et 80 milliards d’euros par an,

    Et qui paye ? Les contribuables, dindons de cette mauvaise farce.

    Allez-vous, sans rechigner, payer vos impôts à cet Etat républicain et financer l’immigration de grand remplacement ? Ou allez-vous préférer faire à Civitas un don déductible de vos impôts et financer ainsi vos idées ? A vous de choisir avant le 31 décembre 2018.

    Précision importante : la déduction fiscale de vos dons reste inchangée avec le prélèvement à la source.

    Nous avons besoin que vos encouragements se transforment en actes.

    ATTENTION, le don en ligne via paypal n’est plus autorisé, selon une note du ministère de l’Intérieur basée sur une règlementation qui pénalise uniquement les structures dissidentes comme la nôtre.

    Dès lors, votre don doit impérativement se faire :
    . par virement bancaire avec mention obligatoire de votre adresse postale et du motif de votre virement (adhésion) à :

    Banque postale – FR02 2004 1010 1251 9584 8B03 351 – PSSTFRPPSCE

    . ou par chèque, à l’ordre d’ADF et envoyé à Civitas – La Bossivière – 53290 Argenton Notre Dame

    Le don – permet l’obtention d’un reçu fiscal (réduction d’impôt de 66%) (Déclaration Préfecture du Val d’Oise, Agrément 1166 du 18 mai 2016). Le don fait par chèque doit être à l’ordre d’ADF.
    Civitas est la seule formation politique qui respecte la doctrine catholique et se soucie de la défense de nos valeurs civilisationnelles, sans compromission ni reniement.

    Les Français doivent se réhabituer à entendre parler de la loi naturelle, de principes catholiques, de France catholique. Ce discours doit être martelé publiquement encore et encore, jusqu’à ce que cela finisse par devenir, pour nos contemporains, une hypothèse méritant réflexion puis qui leur apparaisse comme LA solution.

    Ce travail nécessite que nous développions solidement nos implantations locales, par un travail régulier et persévérant sur le terrain, par voie de tracts, d’affiches, de rencontre avec les gens, de réseaux tissés localement pour un travail de reconquête.

    Nous comptons donc sur votre soutien et engagement pour poursuivre ce nécessaire combat.

    https://www.medias-presse.info/voulez-vous-vraiment-que-vos-impots-financent-limmigration/102371/

  • A la place de “grands débats”, instaurer le référendum d’initiative partagée

    A la place de “grands débats”, instaurer le référendum d’initiative partagée

    Extrait de l’entretien donné par Nicolas Dupont-Aignan dans Valeurs Actuelles :

    Avez-vous été surpris par l’annonce d’un grand débat sur l’immigration ?

    La cerise sur le gâteau de la tromperie tient dans ce débat à venir sur l’immigration ! Il ose l’annoncer le jour où son ministre va signer le pacte de Marrakech. Un pacte qui ouvre les vannes de l’immigration et, par un enchaînement de jurisprudences, aboutira à un acte contraignant, même s’il ne l’est pas encore aujourd’hui.

    En quoi vous avez la certitude que le pacte de Marrakech deviendra contraignant ?

    Lisez-le et vous comprendrez en quoi il est dramatique. Il reconnait les migrations comme quelque chose d’inhérent à la mondialisation et de positif. Il y est même écrit que les médias critiquant les migrations seront punis financièrement… Par un enchaînement de jurisprudence de la cour européenne des droits de l’homme, ce pacte sera inscrit dans le bloc de constitutionnalité ou de législation. Les décisions d’expulsion des migrants clandestins non demandeurs d’asile seront beaucoup plus difficiles. Je ne suis pas le seul à le dire ! Le député Républicains Claude Goasguen l’a dit lui-même à l’Assemblée nationale. Et tous les juristes le savent ! Ce pacte est monstrueux et nous sommes le seul pays où il n’y a pas de débat ! Rien, pas même au Parlement. Est-ce par hasard que les Etats-Unis, l’Australie, Israël, la Pologne, la Tchéquie, le Brésil, l’Autriche, l’Italie… y renoncent ? Si on ne change pas les règles du jeu migratoire en Europe, on ne règlera pas la question de la répartition de la misère et de la création de richesse en France.

    Le pouvoir semble vouloir minimiser la portée de ce pacte en envoyant Jean-Baptiste Lemoyne, un secrétaire d’Etat, pour le ratifier…

    Ce sont des menteurs professionnels, des manipulateurs, qui se permettent de nous accuser de fake news, c’est le monde à l’envers ! Que Macron assume ! La démocratie repose sur la confiance. Et la confiance repose sur la vérité et la franchise. Madame Merkel a au moins eu le courage d’y aller.

    A la place de ce grand débat sur l’immigration, qu’auriez-vous préconisé ?

    J’ai fait une proposition de loi constitutionnelle proposant un référendum d’initiative partagée, possible dans notre Constitution. Il faut simplement que monsieur Wauquiez arrête son double langage et signe cette proposition, cosignée par des parlementaires tels que Jean-Louis Masson, Marine Le Pen, Franck Marlin et d’autres… Il suffit que l’on ait 165 parlementaires et le soutien d’un dixième des électeurs (environs 4 millions de signatures, ndlr) pour que le gouvernement soit obligé d’organiser un référendum national. Je le réclame inlassablement. L’immigration est le seul dossier qui n’a pas été arbitré par le peuple, et on nous enfume avec une consultation, du bavardage localisé, qui va durer trois mois !

    Votre critique est radicale, certains vous accusent de jeter de l’huile sur le feu…

    Je ne mets pas de l’huile sur le feu, je ne fais que défendre ces millions de Français qui ne sont plus représentés par l’opposition. Quand je vois Guillaume Peltier applaudir Macron lundi soir, je me demande où l’on va. L’opposition est aux abris, elle se déculotte. Il faut continuer la mobilisation, en manifestant pacifiquement devant les préfectures mais sans paralyser la vie économique du pays ni les commerçants qui ont déjà beaucoup souffert. La mobilisation se poursuivra parce que nous ne pouvons pas bâillonner un peuple que l’on enchaîne.

    https://www.lesalonbeige.fr/a-la-place-de-grands-debats-instaurer-le-referendum-dinitiative-partagee/

  • Malaise sur le plateau de Cnews après les révélations de Xavier Raufer sur Cherif Chekatt

  • Terrorisme : l’impuissance vertigineuse de l’État

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    On sait maintenant qui est le « Français », le « Strasbourgeois » qui a tué trois personnes et en a blessé onze autres au Marché de Noël de la capitale alsacienne. Il s’appelle Cherif Chekatt. Ses parents sont d’origine marocaine, ce pays où se trouve Marrakech, où un ministre français vient de signer discrètement le pacte de l’ONU pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, c’est-à-dire en vue d’assurer le transport et l’accueil de migrants dont nos pays n’ont aucun besoin.

    Multirécidiviste international puisqu’il a profité de la proximité de frontières poreuses pour commettre 27 crimes et délits en France, en Allemagne et en Suisse, il n’a que 29 ans, et est passé de la délinquance à l’islamisme en prison, suivant le processus habituel. Son dernier séjour en détention en France s’est achevé en 2015. En 2016 et 2017, les geôles allemandes l’ont accueilli. Depuis 2016, il était fiché « S » en France pour radicalisation islamiste. Depuis août 2018, il est impliqué dans un vol avec violence et tentative d’homicide. Lorsque les gendarmes et la DGSI viennent le cueillir, il a quitté l’appartement où l’on trouve des armes, et s’est lancé dans son expédition meurtrière, au cri de « Allah Akbar » selon le procureur général de Paris, Rémy Heitz. On mesure avec ce résumé la dimension vertigineuse de l’impuissance de l’Etat.

    Nous sommes parvenus à une forme de société où tout est inversé, où les signes évidents d’une décadence mortelle sont applaudis comme autant de progrès. Ce n’est pas un progrès que de voir d’honnêtes gens mourir sous les coups d’ennemis de la société qui ont bénéficié de sa clémence, de sa volonté de racheter le coupable à tout prix, de son manque de conviction en ses propres valeurs, de sa repentance diffuse pour des crimes imaginaires, de l’épuisement de ses ressources, aussi, perdues dans le puits sans fond d’un État-Providence obèse et inefficace. Au nom d’une religion qui justifie la mort du mécréant et dans certains pays les peines les plus cruelles envers les délinquants, chez nous, c’est l’un d’entre-eux qui pratique la peine capitale pour participation à un marché de Noël !

    Est-il normal que le terroriste islamiste Salah Abdeslam vive à nos frais dans sa cellule, insultant en permanence ses gardiens alors qu’il refuse de parler à ses juges ? Serait-il si choquant de rétablir la peine de mort ? Serait-il scandaleux de restaurer la relégation dans la lointaine Guyane pour les récidivistes impénitents ou les djihadistes ? Serait-il inacceptable d’appliquer réellement les peines prononcées et de prévoir de très longues détentions pour les récidivistes, en partie financées par un travail obligatoire ? Serait-il injuste de priver de sa nationalité française un immigré qui en possède une autre et qui a commis un crime, voire un délit, ou bien encore qui est fiché « S » pour radicalisation islamiste ? Serait-il insupportable qu’on l’expulse de notre pays ? Toutes ces mesures seraient de bon sens parce qu’elle viseraient l’intérêt supérieur de la France et le bien commun des Français au lieu d’obéir à une idéologie suicidaire.

    L’attentat de Strasbourg n’est pas un complot gouvernemental. S’il est idiot de crier au complot, il serait niais de se cacher l’opportunité d’un événement qui doit réjouir secrètement le pouvoir, puisqu’il lui fournit l’argument d’un appel aux Gilets jaunes à cesser leur mouvement, alors que ses « gestes » n’y ont pas suffi. Devant l’émotion provoquée par ce nouvel acte criminel, si semblable à ceux qui l’ont précédé, le Président et le gouvernement vont appeler à la décence, à la responsabilité et à l’union sacrée. On aimerait une réponse plus forte et plus offensive, comme l’expulsion de tous les fichés « S » étrangers. Mais notre gouvernement est un artiste du faire semblant : de même qu’il prétend avoir répondu aux revendications des Gilets jaunes par la distribution de cadeaux de Noël sans portée réelle, de même il va poursuivre une politique d’immigration massive, et de justice passive qui continueront à désarmer notre pays.

    Christian Vanneste

    http://www.bvoltaire.fr/terrorisme-limpuissance-vertigineuse-de-letat/

  • Les mensonges des médias pour protéger la signature du Pacte de Marrakech

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    Par André Posokhow, consultant ♦ Cela fait déjà plusieurs mois que Polémia publie divers articles de fond sur le Pacte pour les Migrations de l’ONU qui sera signé par de nombreux Etats et boudé par de plusieurs autres ce lundi 10 décembre à Marrakech.
    Depuis plusieurs jours, les médias français se saisissent enfin de cette actualité brûlante. Mais, alors qu’une très large majorité de Français s’oppose à l’immigration, les médias ont, pour beaucoup, décidé de défendre le texte ! Quitte à tromper leurs lecteurs, sciemment ou par omission… L’exemple des Décodeurs est à ce titre parlant.
    Polémia

    Liste des articles déjà publiés par Polémia sur ce texte catastrophique : 

    Les 10 et 11 décembre prochain à Marrakech, les États membres des Nations unies sont appelés à signer le « pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » que Macron a l’intention de faire signer par Jean-Baptiste Lemoyne.

    Le processus d’approbation de ce pacte se télescope avec la révolte des Gilets Jaunes qui, visiblement, se sont emparé de ce thème. Il en résulte une surchauffe des réseaux sociaux pour s’opposer à cette signature par la France.
  • Les mahométans, « gentils donneurs de leçons de morale »

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    Bernard Plouvier

    Strasbourg (l’un des hauts-lieux de la politicaille européenne), soirée du 11 décembre 2018 : un fou furieux se réclamant du sieur allah tire sur les badauds d’un marché de Noël, en tue 3 et en blesse une douzaine, avant de fuir courageusement.

    Pas de quoi s’en étonner : c’est l’attentat mahométan de la semaine en Europe. Depuis la proclamation du Djihâd par le fou furieux Abou Bakr II en 2014, nous sommes habitués aux actes terroristes de ces fous haineux, d’ailleurs généralement connus des services de police (variante : de nos efficaces services de renseignements).

    C’est d’ailleurs le cas de ce tireur : djihadiste répertorié, ayant tâté de 6 mois de prison après une agression terroriste. Il avait écopé de deux ans, mais avec sursis pour la plus grande partie... ce qui est l’équivalent judiciaire d’une invitation à la récidive. C’est fait !

    La surprise de l’honnête citoyen ne provient pas du sociopathe assassin, ni de l’absurdité d’un système laxiste, dans lequel des fonctionnaires de l’État font semblant de punir et d’autres ne peuvent rien faire d’utile. Sur ce point, l’alternative est simple : ou on élimine, discrètement mais impitoyablement, les mahométans qui prônent le djihâd dès qu’on les a repérés, ou on cesse de promettre aux Français une « protection » parfaitement illusoire. Tout cela, on le sait depuis 2015. 

    La surprise – qui n’en est pas une vraie, car l’on avait déjà noté la tendance des jeunes mahométans à excuser les actes terroristes commis par les fous d’allah – vient d’une réaction à chaud d’un jeune mahométan qui crèche (c’est le mois idéal pour employer ce verbe !) à Strasbourg. Interrogé par un journaliste de Cnews (la chaîne d’info du groupe Canal+ & Bolloré), et bien qu’il sache le bilan sanglant de son ami, il n’a pas hésité à le présenter comme un barbu « super-gentil, cultivé... un grand-frère toujours prêt à donner des leçons de morale » !    

    Face à de tels moralistes, il ne reste à la Nation qu’une ressource : passer des revendications fiscales qui mobilisent plusieurs millions de Français, si l’on prend en compte les participants et leurs sympathisants, à la création de milices citoyennes non armées – puisque seuls les voyous peuvent disputer l’exclusivité du port d’arme aux si efficaces forces de l’ordre -, mais d’une vigilance toujours en éveil, composée d’individus rompus aux sports de combat.

    La Nation n’a rien à attendre des politiciens, fort peu des juges, à peine plus des policiers, surmenés à force de verbaliser sur les routes et de tenter de maîtriser ces casseurs encouragés par de curieux personnages – qui ne viennent pas de cette « droite extrême » dont on nous rebat les oreilles. La Nation doit légitimement se méfier des mahométans qui évoquent favorablement le djihâd ou prennent des assassins pour des héros.

    Il est urgent d’exiger de nos princes inefficaces la tenue d’un referendum sur l’immigration extra-européenne et sur la liberté de culte sur le sol français pour les individus qui prônent l’imposition de la charî’a. La France a instauré, en 1905, une absolue séparation des Églises et de l’État. Même si le culte mahométan est financé par des millions de pétrodollars, seuls des corrompus peuvent accepter ses débordements.      

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • « La décision locale est délégitimée, le lien social n’est plus tissé. »

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    Rencontre avec un élu local qui cherche à animer son territoire en défendant une véritable proximité entre les décideurs, les relais et les habitants. 

    Vincent You, quels sont vos mandats locaux ?

    Je suis directeur d’hôpital dans le nord de la Charente, à Confolens, c’est-à-dire un hôpital de proximité avec un Ehpad. C’est important parce que beaucoup de mes convictions opérationnelles, je me les forge dans cet exercice. C’est un hôpital de 300 personnes. Je suis adjoint au maire d’Angoulême depuis 2014, en charge des finances et depuis peu du civisme et de l’engagement citoyen, et je suis vice-président du Grand Angoulême en charge de l’urbanisme et de la stratégie agricole. J’ai des journées très différentes et c’est ça qui est passionnant.

    Vous êtes l’inventeur de la clause Molière, qui vise à empêcher la venue des travailleurs détachés dans le secteur du BTP et qui a fait couler beaucoup d’encre.

    C’est en tant que directeur d’hôpital que j’y ai été amené. J’étais missionné pour reconstruire un hôpital dans la ruralité charentaise et je voulais que cet appel d’offres, qui engageait une dépense publique, avec quinze millions d’euros à la clé, bénéficie à l’emploi local. Je construis l’appel d’offres en zigzaguant au milieu du code des marchés pour que cela profite aux entreprises locales, ce que j’ai fait, et j’ai eu une surprise : entre le marché, son attribution, le choix des entreprises et le chantier, je me suis rendu compte que bon nombre d’entreprises allaient chercher des travailleurs détachés et que cela ne profitait que marginalement aux habitants, aux jeunes du coin. Quand ensuite j’ai dû rénover un Ehpad, avec un autre appel d’offres, j’ai voulu éviter le recours massif aux travailleurs détachés. Il faut bien se rendre compte que je gère l’argent de la Sécurité sociale et qu’avec les travailleurs détachés, cet argent va bénéficier aux entreprises qui payent ailleurs cette sécurité sociale, ce qui est délirant ! Je me suis rappelé qu’à Angoulême j’avais passé un marché “alimentation + pédagogie” : j’achetais des légumes à des agriculteurs qui acceptaient de recevoir sur leurs fermes les classes d’Angoulême. Avec ça, l’Espagnol était un peu trop cher, avec un trajet prohibitif ! et nous avons pu acheter local. Les professionnels du BTP, avec qui j’ai travaillé pour chercher une solution adaptée à leur secteur, m’ont dit que les conditions de travail était le problème majeur : on ne sait pas si les Polonais ou les Roumains comprennent les normes imposées. Nous avons donc mis en forme, avec des amis juristes, ce qui est devenu la clause Molière et qui a été au départ extrêmement bien accueillie : tous les élus locaux, quelle que soit leur couleur politique, espèrent des retombées locales. Elle s’est étendue tranquillement de ville en ville et de régions en régions (la Normandie, par exemple, l’a votée à l’unanimité moins une voix).

    Cette clause n’est pas une clause de préférence nationale mais une clause de préférence locale, en fait.

    De préférence francophone, plutôt. Si l’entreprise angoumoisine va chercher des gens qui parlent très bien français et qui veulent s’installer en France, la clause Molière n’empêche rien. Elle permet d’éviter l’absurde. Les opposants faisaient valoir qu’il y aurait bientôt une clause Shakespeare ou une clause Vaclav Havel, etc. : mais à y bien réfléchir, c’est normal qu’il y ait des clauses protectrices. Benoit Hamon a dit que c’était une clause Tartuffe parce que nos pères ont accueilli des Italiens, des Espagnols, des Marocains, etc., qui se sont installés en France : mais ça n’a rien à voir ! Bien sûr des travailleurs étrangers sont venus en masse et ont fini par apprendre la langue. Mais aujourd’hui le fonctionnement est totalement différent : les travailleurs détachés viennent trois semaines ou trois mois, et ils repartent chez eux avec un petit pactole. Il n’y a aucune démarche d’intégration ou d’assimilation à la société française – et je ne leur en veux pas : pour eux, c’est une occasion magnifique. C’est donc une clause de préférence francophone et aussi de respect des ouvriers : on a perdu énormément d’emplois industriels, comment accepter que dans un secteur non délocalisable les marchés se gagnent avec un low cost fondé sur la délocalisation administrative des emplois, au détriment du tissu local ?

    Mais alors, pourquoi la polémique ?

    La première étape de la clause Molière, c’est d’abord la « révolte » d’un petit élu local qui, dans son cadre professionnel, tente une expérience bien accueillie par les autres élus. C’est ensuite devenu une polémique quand Valérie Pécresse et Laurent Wauquiez ont voulu se l’approprier : avec des grands leaders visibles, la gauche n’a pas voulu suivre et la presse a expliqué que c’était de la discrimination. Alors que la gauche locale, jusqu’alors, se contentait de s’abstenir au moment des votes : c’était compliqué, pour elle, de voter contre une mesure qui améliorait le sort des ouvriers… Au final, la clause Molière version Wauquiez, qui l’avait durcie, a été annulée mais la clause Molière version Retailleau a été validée par le Conseil d’État. La mienne était plus proche de celle de Retailleau, qui l’a un peu améliorée. Donc, aujourd’hui, tout élu local qui veut éviter la prolifération du travail détaché peut utiliser une clause parfaitement licite. Si les élus n’en veulent pas, c’est un choix politique, qu’ils doivent assumer.

    Cette absurdité d’une action locale bénéfique qui rencontre, en devenant un sujet national, des oppositions purement idéologiques, l’avez-vous rencontrée par ailleurs ?

    Pas de manière aussi palpable : on ne crée pas tous les jours une solution d’envergure nationale ! Ce qui me marque, plutôt, c’est que les élus locaux sont très dépendants de l’approche juridique de leurs services, qui leur conseillent toujours d’être très prudents. Cette angoisse de la prise de risque juridique paralyse beaucoup d’initiatives. Tout le monde, ici et là, a de bonnes idées, aimerait les tester et les raconter, mais les analyses amont ont tendance à étouffer dans l’œuf les expériences. Mais le plus gros problème, et c’est mon expérience d’élu et de directeur de petit hôpital, c’est la foi qu’on met dans le gigantisme administratif : en changeant d’échelle, en mutualisant, on arriverait comme par miracle à résoudre tous les problèmes locaux. Mais c’est plutôt l’inverse. Je vois des marchés qui regroupent de nombreux acteurs hospitaliers et qui, en définitive, ne sont pas plus bénéfiques et même, avec l’échelle territoriale très vaste qu’ils supposent, arrivent à tuer les petites entreprises qui ne peuvent pas répondre localement, faute de taille critique. Il n’y a donc pas toujours des gains et il y a une casse économique importante. C’est d’autant plus problématique que les entreprises locales ont intérêt à bien travailler pour avoir d’autres marchés plus tard. Les grandes entreprises de passage se moquent assez souvent de savoir comment va vivre le bâtiment qu’elles livrent, elles ne seront plus là s’il y a un problème. À l’échelle du Grand Angoulême, nous sommes passés de seize à trente-huit communes (ce qui n’est pas énorme, certaines communautés en regroupent cent). On délégitime les maires ruraux. Si la moitié d’entre eux veut arrêter, c’est à cause de ça plus que des difficultés de gestion ou du manque d’argent public. Le maire est encore celui qui gère les problèmes quotidiens des habitants mais il n’a plus les clés… On ne sait plus quels sont les contours, quelles sont les responsabilités. Les politiques successives nous imposent de passer du modèle communes – départements – nation au modèle agglomérations – régions – Europe mais ce n’est pas rentré dans la réalité des citoyens français. Le maire, dernier élu respecté des Français, est délégitimé – sans qu’il y ait, là non plus, de gains économiques : on tue la commune et son petit périmètre, avec ses élus qui sont quasiment bénévoles et qui gèrent tout en direct, à l’économie, pour créer des services avec des périmètres élargis qui obligent à embaucher des techniciens. En transférant les compétences communales aux services, on améliore sans doute l’ingénierie en renonçant à la proximité de gestion. Et avec treize départements, la Région est un échelon désormais très éloigné…

    Votre côté expérimentateur, c’est aussi d’avoir développé la méthode Montessori dans votre Ehpad – autre test local ?

    Nous ne sommes pas les seuls. Mais justement, Montessori, c’est « aide-moi à faire seul. » Tout le système des maisons de retraite est construit sur la mesure de la dépendance des gens accueillis. On oublie que les personnes âgées, si elles ont des fragilités, gardent des capacités. Montessori consiste à maintenir ces capacités pour les faire vivre. Participer à la vie sociale nous constitue en tant qu’être humain. Maintenant, les résidents ont un rôle social, participent à la vie commune et voient leurs capacités reconnues et utilisées. Avec Montessori, en ritualisant certains gestes, la mémoire procédurale du résident, même très atteint par Alzheimer, peut reproduire ces gestes et continuer à participer à la vie collective. Montessori, au-delà de la marque, c’est du bon sens : respecter la personne humaine dans sa vieillesse, lui donner une place qui corresponde à ses passions, à son histoire et à ce qu’elle peut encore faire. Les premiers résultats de l’expérience sont très positifs : les consommations de psychotropes ont diminué d’un tiers, sans que cela ait été un objectif, et les équipes sont mobilisées parce que le projet a du sens. Et les personnes âgées retrouvent de l’initiative à un point inimaginable. Chez nous, elles ont organisé, toutes seules, au mois de septembre, un rallye auto ! Pour retourner sur les lieux où elles avaient grandi. Ce n’est pas nous qui pouvions l’imaginer, ni imaginer l’aide qui leur a été apportée, et ça n’a été possible que parce que nous leur avons donné les clés de la maison.

    Une vraie parabole par rapport à ce que vous racontiez de ces échelons toujours plus vastes et plus lointains…

    La centralisation va tuer la créativité locale. Les bonnes recettes parisiennes ne sont pas généralisables. Et avec la disparition de la taxe d’habitation, le maire n’a plus la main sur les recettes locales, l’habitant ne contribue plus aux services mis en place dans sa commune, il n’y a plus de lien entre le citoyen et le décideur. C’est aujourd’hui compensé financièrement mais, sur le fond, la décision locale est délégitimée, le lien social n’est plus tissé. 

    Propos recueillis par Philippe Mesnard
    le 21 novembre

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Edition Spéciale : Strasbourg frappée par le terrorisme – Journal du mercredi 12 décembre 2018

    Alors que la menace semblait de plus en plus dépassée pour la France, le symbolique marché de Noël de la Capitale alsacienne a été attaqué par Chérif Chekatt, un multirécidiviste fiché S. Au moins 3 morts et plus d’une douzaine de blessés sont à déplorer. Pour comprendre cette nouvelle attaque, nous sommes en compagnie du criminologue Xavier Raufer.

    Le terrorisme s’invite une nouvelle fois en France.

    – Le marché de Noël de Strasbourg pris pour cible

    – Chérif Chekatt : un terroriste hybride comme les autres

    – L’actualité en bref