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lobby - Page 979

  • L’Autriche en guerre contre “l’islam politique”

    Le gouvernement du jeune Sebastian Kurz, élu sur un programme plus ferme envers l’immigration-invasion, se lance dans une guerre contre « l’islam politique ».

    Vendredi, le chancelier a annoncé que l’Autriche allait fermer 60 mosquées et expulser quelques 60 imams. Les familles de ces derniers sont également concernées par cette mesure.

    Lors d’une conférence de presse, Sebastian Kurz a expliqué : « Des sociétés parallèles, l’islam politique et la radicalisation n’ont pas leur place dans notre pays. »

    La décision est survenue, écrit le quotidien suisse Le temps après

    « la reconstitution, dans une des principales mosquées de Vienne affiliée à la communauté turque, d’une bataille emblématique de l’histoire ottomane jouée par des enfants habillés en soldats. […] Les photos de la reconstitution de la bataille de Gallipoli, jouée par des enfants dans les locaux de la mosquée, ont été publiées par l’hebdomadaire de centre gauche Falter et ont largement ému la classe politique autrichienne, toutes tendances confondues. Les clichés montraient les jeunes garçons en tenue de camouflage alignés en rang, faisant le salut militaire, et agitant des drapeaux turcs, devant un public d’enfants. Sur une autre photo, certains sont allongés pour figurer les victimes de la bataille, leur corps enroulé dans un drapeau turc.

    La mosquée incriminée est gérée par l’Union islamique turque d’Autriche (Atib), directement liée à la Direction turque des affaires religieuses (Diyanet). «Ce qui s’est passé à cet endroit […] n’a pas sa place en Autriche. Le gouvernement fera preuve d’une tolérance zéro», avait alors déclaré Sebastian Kurz, promettant une réaction «forte». »

    La bataille de Gallipoli est en effet le symbole de la résistance turque pendant la 1ère Guerre Mondiale : l’Empire ottoman a fini la guerre dans le camp des perdants et a été démantelé ce qui a abouti à l’avènement de la République turque moderne en 1923.

    Ces mesures autrichiennes fermes contre le prosélytisme coranique et l’attitude provocante de la communauté turque vivant en Autriche a suscité l’ire du président turc Recep Tayyip Erdogan bien connu pour son ouverture d’esprit et son respect des droits des autres ! Son porte-parole Ibrahim Kalin, a écrit sur twitter :

    «La fermeture par l’Autriche de sept mosquées et l’expulsion d’imams est le résultat de la vague populiste, islamophobe, raciste et discriminatoire dans ce pays. » « La position idéologique du gouvernement autrichien va à l’encontre des principes du droit universel, des politiques de cohésion sociale, du droit des minorités et de l’éthique de coexistence. »

    Une posture et une agitation fumeuse de musulman conquérant qui ne semble pas intimider le jeune Sebastian Kurz et son gouvernement. 

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/lautriche-en-guerre-contre-lislam-politique/102787/

  • Troubles entourant la « loi esclavagiste » hongroise : info et intox

    4091387090.jpgLe parlement hongrois a adopté mercredi 12 décembre 2018 une modification de la loi sur le travail, passant notamment le nombre d’heures supplémentaires légales par an de 250 minimum à 400 maximum (une fourchette trompeuse utilisée par l’opposition). L’opposition libérale a perturbé la séance du vote, et une manifestation a été appelée immédiatement devant le parlement pour le soir même. Manifestation répétée le jeudi soir, encadrée par les partis d’opposition libérale et pro-Bruxelles. Plusieurs policiers ont été blessés, quelques dizaines de personnes ont été arrêtées, et du mobilier urbain a été dégradé. Le sapin de Noël et les luges pour enfants l’entourant ont été vandalisés mais sauvés in extremis par les forces de l’ordre.

    Dans cette affaire comme dans d’autres, si la couverture de l’actualité hongroise dans la presse internationale n’était pas si biaisée, on serait presque gêné d’avoir à rectifier les menus mensonges des propagandistes de service :

    1. Non, la loi qui vient d’être votée au parlement hongrois n’impose pas l’acceptation d’heures supplémentaires non-payées, mais augmente simplement (d’à peu près un tiers) le nombre d’heures supplémentaires payées auxquelles un employé peut être contraint ; par conséquent, le sobriquet de « loi esclavagiste » que lui a accroché la presse d’opposition est pour le moins exagéré.

    2. Non, aucune « masse » n’a manifesté dans les rues de Budapest. En dépit des exagérations de cette même presse (largement relayées – notamment par une presse roumaine qui, par ailleurs, tourne le dos aux Gilets Jaunes français…), les manifestations contre la « loi esclavagiste » (dont on se garde bien de nous proposer des vues aériennes) n’ont rassemblé que quelques centaines – tout au plus un millier de personnes. Dans une situation de disparition du chômage conjoncturel, sur le marché de l’emploi hongrois, l’offre impose ses conditions. Gageons donc que la plupart des manifestants n’étaient pas personnellement concernés par la nouvelle loi.

    3. Relevons au passage l’hypocrisie de ladite opposition : pendant qu’à l’extérieur du parlement un député de la Coalition Démocratique « guidait les masses » vers une tentative de blocage du Pont Marguerite, à l’intérieur, l’ineffable Ferenc Gyurcsány, président de ladite Coalition, votait en faveur de la « loi esclavagiste ».

    4. Même la thèse du « chantage des multinationales » est trop simplificatrice : en réalité, les grandes entreprises (notamment de l’industrie automobile allemande) présentes en Hongrie ont besoin d’un personnel qualifié qui se fait rare, et dont elles prennent par conséquent grand soin. Les heures supplémentaires au noir, voire impayées, sont plutôt caractéristiques du secteur de la restauration, où prédominent les PME à capital hongrois. En revanche, on peut, avec Anita É, soupçonner qu’on assiste à une guerre by proxy entre patronat allemand et grands syndicats allemands (qui ont depuis longtemps ouvert des agences dans tous les pays de délocalisation massive du travail industriel allemand) – nouveau signe du très haut degré d’Anschluss économique de facto de l’Europe centrale dans le Reich merkelien.

    Une fois la propagande balayée, il serait en revanche intéressant de replacer cette évolution dans le contexte plus vaste des pays d’Europe continentale accablés d’une natalité désastreuse et cherchant malgré tout à limiter l’afflux d’immigrés extra-européens : l’Autriche de la semaine de 60 heures, la Russie qui repousse l’âge de la retraite. A terme, on peut se demander si leur projet de préservation de l’identité ethnique de chaque pays restera compatible avec un capitalisme qui, en détruisant notamment les valeurs familiales, exige tacitement la mondialisation de la main-d’œuvre.

    Source EuroLibertés cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Muriel Pénicaud préfère les “réfugiés” aux Gilets Jaunes

    Tout le monde a encore en tête la façon sèche et intraitable avec laquelle Muriel Pénicaud, ministre du Travail, a abordé dès novembre les revendications des Gilets Jaunes.

    Mais Muriel Pénicaud sait se montrer généreuse quand elle le veut. Surtout avec les immigrés et autres “réfugiés”. Encore une politicienne qui incarne le préférence étrangère.


    Le 1er octobre 2018, Muriel Pénicaud, annonçait un appel à projets à hauteur de 15 millions d’euros pour aider à l’insertion des “réfugiés” et notamment à leur trouver un emploi. Les chômeurs français apprécieront.

    Présenté comme un volet du Plan Investissement Compétence, il s’agissait d’un nouvel appel à projets pour l’intégration professionnelle des bénéficiaires d’une protection internationale et des demandeurs d’asile de plus de 6 mois, à la recherche d’un emploi ou d’une formation professionnelle.

    Le ministre du Travail appelait les structures d’insertion et de formation des réfugiés en France à candidater pour bénéficier d’aides financières, à hauteur d’une enveloppe globale de 15 millions d’euros.

    https://www.medias-presse.info/muriel-penicaud-prefere-les-refugies-aux-gilets-jaunes/102744/

  • Quand les lecteurs du Monde s'attaquent à ces "salauds de pauvres"...

    42502678.4.jpgAristide Leucate

    « Salauds de pauvres ! » Ainsi Marcel Aymé (et, plus tard, Claude Autant-Lara, dans son film éponyme) faisait s’exclamer Grandgil dans La Traversée de Paris à l’adresse d’une poignée de bougres apeurés, certes pas bien riches, mais petits-bourgeois d’esprit et de tempérament, « ceux qui, bêtement, confondent le bonheur avec la standing, rêvent de consommer toujours plus, préfèrent la quantité à la qualité, ne se posent pas de questions au sujet de la finalité de leurs actes, participent à la destruction de l’univers (sous l’alibi menteur de “progrès”) ou pensent “Après nous, le déluge” » (Freddy Buache, Claude Autant-Lara, Éditions L’Âge d’Homme, Paris-Lausanne-1982).

    Mais à quels pauvres s’adressaient ces internautes anonymes, tous lecteurs du Monde, qui, de Facebook en Twitter, se sont répandus en verbiages fielleux suintant la haine de classe, suite à un reportage (15 décembre) sur le quotidien difficile d’un cariste de 26 ans, de son épouse au foyer et de ses quatre enfants, ayant rejoint les gilets jaunes sur le rond-point à côté de chez eux ?

    Ici, on passerait très vite de La Traversée de Paris à Uranus, autre œuvre de Marcel Aymé décrivant les turpitudes humaines dans cet entre-deux sordide de la Libération, entre collaboration passive et fausse résistance, ce goguenot qu’à travers toute l’Europe l’on a pudiquement appelé « l’épuration ».

    Nos pauvres internautes n’y sont pas allés de main morte. L’hommerie la plus crasse, aurait dit Montaigne.

    On se demanderait presque si ce déferlement imbécile n’aurait pas été téléguidé d’un certain château où se terre un certain Emmanuel Can’t exhortant ses godillots « marcheurs » à cracher le portrait type des gilets jaunes, caricaturés en Deschiens : « Parmi les commentateurs figurent également des partisans d’Emmanuel Macron. L’un d’eux affirme ainsi que “rien ne démontre que la politique menée par [le Président] et son gouvernement leur ait enlevé un centime de pouvoir d’achat” », s’émeut notre plumitive…

    Un autre d’y aller encore de ses doctes considérations boutiquières sur l’air bien connu du pauvre qui picole avec son pognon fraîchement gagné : « Désolé, mais je n’arrive pas à comprendre », écrit l’un d’eux. « Revenu total : 2.700 euros. Loyer + électricité : moins de 600 euros. Ça fait donc plus de 2.100 euros pour faire vivre 2 adultes + 4 jeunes enfants. Moi aussi je regarde les prix et il n’est pas compréhensible d’être à découvert dès le 15 du mois. »

    Pour ces donneuses, au double sens de moralisateur et de délateur, qui connaissent aussi bien les ressorts historiques et sociologiques des luttes sociales que nous autres la physique quantique, la cause est entendue : « Cette révolte [des gilets jaunes] est définitivement celle des assistés. »

    Pauvre c… ! aurait assené le regretté Gainsbourg. Décidément, il semblerait que le monde soit divisé en trois catégories : les gavés attaliens (ou oligarchie BHélienne), les cocus contents impatients d’aller transhumer dans les alpages l’hiver avant d’exhiber leur couenne l’été, et les prolos (chômeurs, artisans, petits patrons, femmes seules, familles isolées, retraités indigents…) se désespérant de voir la France de leurs grands-parents se désagréger entre leurs doigts.

    Sociologie, certes sommaire, mais pas moins que celle des imMondes lecteurs susvisés…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Gilets jaunes et immigration : le mea culpa de Christophe Barbier…

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    Ce qu’il y a de bien, avec les non-dits, c’est qu’on finit toujours par les dire. En prenant son temps et en y mettant les pincettes, toutefois, tel Christophe Barbier, le 19 décembre dernier sur BFM TV, à propos de cet autre non-dit voulant que l’immigration ne soit pas pour rien dans les revendications plus ou moins avouées des gilets jaunes.

    Notre fin limier, auquel rien ne saurait échapper, rend donc son verdict : « Elle est où, la France de l’immigration sur les ronds-points ? Il y a quelque chose de blanc et de rural, dans tout cela… »Extraordinaire ! Si Christophe Barbier ne l’avait pas vu, on n’en aurait jamais rien su. Que ferait-on sans lui ? C’est vrai qu’on aurait dû s’en douter, que la France de Johnny ne bloquait pas le pays, depuis un mois, au seul nom de la célébrissime « ouverture à l’autre ».(*)

    À l’en croire, il y avait néanmoins des indices : ce camion empli d’immigrés clandestins, par exemple, bloqué dans la Somme par ces mêmes gilets jaunes, dont la cargaison fut illico remise aux forces de l’ordre, provoquant ainsi la fureur des ligues de vertu antiracistes. Sans négliger la concomitance du pacte de Marrakech, dont le moins qu’on puisse prétendre est qu’il n’a pas soulevé l’enthousiasme de la France périphérique.

    Mais Christophe Barbier n’est pas homme à se défiler devant les enjeux : « Le moment est venu de parler de la question migratoire ! Il faut laisser sortir le jet de vapeur pour dire “vous voyez, les mauvaises idées que vous trimbalez, on va en parler sur le fond”. » Monsieur est décidément trop bon. Attention, on ne va tout de même pas, non plus, débattre de n’importe quoi avec n’importe qui ; il y a des limites démocratiques à la décence humaniste. Et l’homme-tronc d’assurer : « Chaque parti doit se mettre au clair idéologiquement et, surtout, politiquement. » S’il reconnaît au parti de Marine Le Pen une certaine « cohérence » en la matière, il reproche à la droite et à la gauche de louvoyer, de la fermeté en trompe-l’œil affichée d’un Charles Pasqua à « l’identité heureuse » d’un Alain Juppé ; du « touchepotisme » d’un Harlem Désir à une autre fermeté de façade, celle de Manuel Valls. Nul doute que tous ces gens tiendront compte de ces conseils avisés.

    Non content de se montrer fin observateur de la chose publique, Christophe Barbier est, de plus, pédagogue dans l’âme, sachant qu’avant même d’entamer un débat, autant le clore tout de suite. D’où cette sentence définitive : « Sans les immigrés, notre pays s’effondre ! » Nous y voilà. Ainsi, mes confrères journalistes et myself en personne se sont longtemps posé la question de savoir pourquoi les ventes de L’Express s’étaient effondrées sous le règne de Christophe Ier. Parce qu’il s’agit d’une buse de calibre olympique ? Parce qu’il peine souvent à aligner, en un seul article, moins de trois clichés gros comme des barges de débarquement, tout en transpirant à correctement s’exprimer dans sa langue pourtant natale, le français ?

    Pas du tout, et nous n’y étions pas. Si L’Express s’est vautré comme un flan, c’est seulement parce que les journalistes issus de la diversité étaient cruellement absents de sa rédaction et, plus encore, de sa direction. D’ailleurs, et ce, histoire de rattraper cette terrible boulette, que ne fait-il pas le grand ménage chez BFM TV, son nouvel employeur, en cédant la place à des représentants des minorités visibles ? Soit, pour lui, l’occasion rêvée de démontrer que les médias sont susceptibles de laver blanc plus blanc que blanc. On attend.

    (*) « Pour se faire mettre, il est vrai qu’on n’a pas encore trouvé mieux », me glisse un gilet jaune de mes proches amis. Excusez la trivialité du propos, mais il s’agit d’un ancien militaire. Il lui sera donc beaucoup pardonné.

    http://www.bvoltaire.fr/gilets-jaunes-et-immigration-le-mea-culpa-de-christophe-barbier/

  • Et les millions d’euros de subventions aux syndicats, qu’en pensent les Gilets Jaunes ?

    Encore une promesse de Macron non tenue ! Souvenez-vous, le président de la république avait promis de réformer le financement des syndicats. Il devait instaurer le “chèque syndical” permettant “à chaque salarié d’apporter au syndicat de son choix des ressources financées par l’employeur”.

    Au lieu de cela, ce sont encore et toujours de plantureuses subventions de l’Etat (et donc de tous les contribuables) qui sont versées aux syndicats. Et ce alors que le taux français de syndicalisation est de 8,79% dans le secteur national et associatif et de 19,8% dans le secteur non marchand comme dans le secteur public.

    L’« Association de gestion du fonds paritaire national » créée en 2014 pour « financer leurs missions de dialogue social » fait savoir qu’elle a distribué en 2017 la bagatelle de 123,2 millions d’euros(122,8 millions d’euros en 2016).

    Citons la répartition parmi les plus grands bénéficiaires :

    . CGT : 18,9 millions d’euros

    . CFDT : 18,6 millions d’euros

    . FO : 14,9 millions d’euros

    . CFE-CGC : 12,6 millions d’euros

    . CFTC : 12,6 millions d’euros

    . Unsa : 3 millions d’euros

    . Solidaires : 2,6 millions d’euros

    Et pour les autres partenaires sociaux :

    . Medef : 12,3 millions d’euros

    . CPME : 6,3 millions d’euros

    . U2P (artisans, professions libérales) : 2,3 millions d’euros.

  • Un Gilet Jaune répond à Griveaux : «Je suis un putschiste moi ? Raciste ? C’est pas ce vieux tweet d’un politique que je connais même pas qui va venir nous gâcher le mouvement.»

    Jérôme Rodriguez (Gilet Jaune) répond à Benjamin Griveaux qui a qualifié dans un tweet les manifestants de “lâches, racistes, antisémites et putschistes” : «Ca me désole de voir des hommes politiques qui se permettent de traiter les Français comme ça. Ça veut dire quoi ? Que je suis un putschiste moi ? Je suis un raciste ? M. Griveaux, je défends mes droits. (…) Ça suffit ce genre de petite phrase, car si moi je me permettais de l’insulter comme moi je me sens insulté par son tweet, on vient me chercher chez moi en garde à vue ! (…) À un moment donné, il faut peut-être que ces gens-là mesurent un peu leurs paroles parce qu’aujourd’hui, on a besoin qu’à défaut d’avoir des tweets comme ça, des politiques s’excusent pour le mal qu’ils ont fait aux Français ! (…) Avec un tweet comme ça, il croit qu’il va arranger les choses ce monsieur ? Il croit que les choses vont s’améliorer ? À un moment donné, il ne faut pas s’étonner que les gens s’énervent, et l’énervement mène à la violence – que je ne cautionne pas – (…) C’est pas ce vieux tweet d’un politique que je ne sais même pas qui il est qui va venir nous gâcher le mouvement. Ça commence à bien faire. (…) Il faut peut-être respecter un peu les Français, parce que si vous voulez qu’on vous respecte vous, politiques, donnez-nous le respect.»
    – CNEWS, 22 décembre 2018, 20h37

    Jérôme Rodriguez (Gilet Jaune) conteste les chiffres de mobilisation de l’Acte VI communiqués par le Ministère de l’Intérieur : «Je vous le dis, le mouvement ne s’essouffle pas. (…) Il faut arrêter de se moquer du monde. (…) Je vous invite à regarder les live.»
    – 20h37

    http://www.fdesouche.com/1131135-un-gilet-jaune-repond-a-griveaux-je-suis-un-putschiste-moi-raciste-cest-pas-ce-vieux-tweet-dun-politique-que-je-connais-meme-pas-qui-va-venir-nous-gacher-le-mouvement

  • Le Maroc de nouveau frappé par le terrorisme islamique

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    On a d’abord cru à un acte criminel : on sait aujourd’hui qu’il s’agit d’une attaque terroriste. Deux jeunes randonneuses scandinaves, l’une norvégienne, l’autre danoise, ont été retrouvées, le 17 décembre, dans la région d’Imlil, près de Marrakech, tuées à l’arme blanche. La diffusion de deux vidéos sur les réseaux sociaux a rapidement orienté la police vers la piste islamique. Quatre suspects ont été arrêtés.

    Une vidéo d’allégeance à l’État islamique, authentifiée par le procureur de Rabat, met en scène quatre personnes, dont trois des suspects. Ils affirment avoir répondu à l’appel de l’« émir des croyants, Abou Bakr Al-Baghdadi », chef de l’État islamique, « en soutien à nos frères de par le monde, et particulièrement nos frères de Hajin [ville détruite] par l’aviation croisée ». L’autre, horrible, montre l’exécution de l’une des jeunes femmes, égorgée vivante.

    Le Maroc, qui fut un pourvoyeur de djihadistes en Syrie et en Irak, a déjà connu des attentats islamiques sanglants, comme à Casablanca, en 2003 (33 morts) ou à Marrakech, en 2011 (17 morts). Les services de sécurité ont fait une priorité de la lutte contre le terrorisme. Ce double assassinat est « un coup dans le dos du Maroc et des Marocains », a déclaré le Premier ministre. C’est aussi un coup dur pour le secteur du tourisme, une source importante de revenus (11,35 millions de visiteurs en 2017).

    Cette tragédie montre de nouveau, s’il en était besoin, que l’État islamique, malgré ses défaites en Irak et en Syrie, est loin d’être vaincu – sans compter le retrait annoncé des troupes américaines, qui risque fort d’aggraver la situation. Il n’est pas besoin d’une armée ni d’une organisation structurée pour commettre des crimes barbares. Tous les combattants djihadistes sont unis par leur conception de l’islam, et l’on peut craindre que, dispersés ou non, leur combat ne perdure avec ses méthodes barbares : ils imposent la terreur, non seulement aux infidèles, en commençant par les chrétiens, mais aussi aux musulmans qu’ils jugent trop tièdes.

    L’Europe est, bien sûr, visée, sur son territoire et dans les pays étrangers, notamment en Afrique. Il ne s’agit pas d’assimiler tous les immigrés à des terroristes, mais il est temps que tous les pays européens s’inquiètent de la protection effective de leurs frontières. Quand on voit avec quelle légèreté le gouvernement français a signé le pacte de Marrakech sur les migrations, sans même consulter le Parlement, arguant qu’il n’est pas « contraignant », on est en droit de se poser des questions sur ses intentions ou sur son irresponsabilité.

    La force des groupes terroristes qui se réclament de l’islam repose d’abord sur la faiblesse de la plupart des États européens. Au nom de l’égalité des religions, ils ne veulent pas reconnaître que, plus que d’autres, la religion musulmane peut dériver vers le fanatisme. Au nom de l’État de droit, ils refusent de modifier les lois pour mieux protéger leurs peuples des agissements d’individus réputés dangereux. Au nom du multiculturalisme, ils considèrent comme une richesse l’apport des autres cultures, fussent-elles conquérantes.

    Le terrorisme, lié à l’islam, n’a pas d’excuse, mais ceux qui ne font pas tout pour l’empêcher de prospérer ne sont pas dénués de responsabilité.

    http://www.bvoltaire.fr/le-maroc-de-nouveau-frappe-par-le-terrorisme-islamique/

  • Entre le PS et les Verts, Ségolène Royal cherche mari désespérément

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    Vous connaissez l’histoire de la fille qui se pointe à la mairie dans sa jolie robe de tulle blanc et se désespère parce que, au bout d’une longue attente, elle ne voit toujours pas arriver son promis ? Elle sèche ses larmes et, tout d’un coup, se souvient qu’elle avait simplement oublié de le prévenir qu’il allait l’épouser.

    Cette fille-là, c’est Ségolène Royal. Une habituée des pièges matrimoniaux.

    Souvenez-vous : en juillet 2006, alors qu’elle se prépare à affronter Nicolas Sarkozy à la présidentielle, Ségolène Royal, en pirogue sur le Maroni, annonce au monde son futur mariage avec François Hollande. Qui n’était pas au courant et a bien failli piquer une tête au milieu des crocodiles.

    Dans son livre Maintenant, elle écrira plus tard : « Cela aurait été follement romantique, un mariage en pirogue et à l’autre bout du monde ! L’entourage de François l’en a dissuadé par crainte du spectacle et sans doute du ridicule. Moi, je crois que la crainte du ridicule, il faut s’asseoir dessus quand on a envie de saisir un bonheur inattendu qui passe. Mais bon, je n’ai pas insisté. Nous n’avons pas besoin de cela pour nous aimer. »

    Rebelote en 2007. Cette fois, c’est Hollande le candidat, et la dame du Poitou convoque chez elle les caméras pour annoncer, devant la France émue, son intention d’épouser le père de ses quatre enfants : « On n’est pas hostiles du tout au mariage », dit-elle alors, oubliant l’époque où elle dénonçait cette « institution bourgeoise ». Et de lancer à la cantonade : « J’attends que François me demande en mariage. François, veux-tu m’épouser ? »

    Ben non, à l’évidence, il n’en avait ni l’envie ni l’intention.

    Pour une fois totalement déstabilisé, François Hollande avait balbutié : « Non, c’est pas ce que je veux dire… Je vous répondrai après l’émission. »

    Le baiser mordant de Valérie Trierweiler au soir de la victoire puis les virées cinématographiques rue du Cirque ont renvoyé la demande en mariage aux oubliettes de l’Histoire. Mais que voulez-vous, on ne se refait pas… Et Ségolène Royal n’a pas abandonné ses rêves d’épousailles.

    Le dernier fiancé sur lequel elle a jeté son dévolu s’appelle Yannick Jadot, le patron des Verts. Et, encore une fois, elle a publié les bans sans lui demander s’il était d’accord, annonçant très officiellement « accepter une deuxième place sur une liste commune » aux prochaines élections européennes. Sauf que, pour l’instant, il n’y a pas de liste commune arrêtée entre le PS et les Verts.

    Le fiancé s’est rebiffé, expliquant au Parisien qu’il n’était pas d’accord avec « la tambouille »concoctée par Royal et le PS. « En gros, elle nous propose de la faire élire : c’est concept ! C’est concept, mais ça n’a pas de sens », dit le porte-parole d’EELV. Yannick Jadot est plus tranchant : « Ségolène Royal a un flair politique extraordinaire, mais l’écologie n’est pas une mode », dit-il, ajoutant : « Je ne veux pas que mes enfants me disent que j’ai préféré négocier des postes avec le PS que mobiliser pour la planète et l’Europe ». Et puis, il n’a pas oublié les hauts faits d’armes de l’ancien ministre de l’Environnement, militant pour « le diesel contre la santé »« l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes » et « renonçant sur l’écotaxe ou la fermeture de Fessenheim ». Et pour clore le débat sur la sincérité de Ségolène Royal : « A-t-elle vraiment changé ou est-ce un positionnement tactique ? Nous n’avons plus de temps à perdre avec des stratégies erratiques. »

    Je ne fais pas tourner les tables, je n’ai pas de boule de cristal, je ne lis pas les tarots ni le marc de café, mais je peux quand même faire une prédiction : si elle n’est pas adoubée par les Verts et si le PS aux abois n’en fait pas sa reine, Ségolène Royal nous rejouera la grande scène de la femme bafouée. Elle n’est jamais si bonne que dans son rôle de Mater dolorosa victime de l’indécrottable machisme des politiques…

    Marie Delarue

    http://www.bvoltaire.fr/entre-le-ps-et-les-verts-segolene-royal-cherche-mari-desesperement/

  • Le lien entre immigration et terrorisme est en partie reconnu par l’Union européenne

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     EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    En effet, mercredi 12 décembre, la commission spéciale sur le terrorisme (TERR) de l’Union européenne a présenté et fait voter un rapport pour faire des propositions en matière de lutte contre le terrorisme.

    Le texte adopté reconnaît « que les attentats les plus meurtriers ont été perpétrés par des groupes djihadistes » et que les terroristes sont « entrés dans l’UE par des flux » (sous-entendu migratoires) révélant « de grands manquements dans le contrôle des frontières ».

    Le rassemblement Bleu Marine a commenté sur son site, « Les solutions sont pourtant simples. Il faut contrôler nos frontières extérieures et lutter contre l’immigration de masse. Il faut fermer les mosquées radicalisées, enfermer les imams prêcheurs de haine, démanteler le financement du terrorisme, et empêcher la récidive par des peines adaptées. »;

    Effrayant lorsqu’on sait que 450 détenus radicalisés vont être libérés de prison prochainement.

    https://fr.novopress.info/213107/le-lien-entre-immigration-et-terrorisme-est-en-partie-reconnu-par-lunion-europeenne/