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#NousToutes, VRAIMENT ? MARCHE CONTRE LES VIOLENCES SEXUELLES & SEXISTES
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La dissidence contre la propagande et la censure s’organise !
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Ce samedi avait lieu le quatrième Forum de la dissidence, organisé par la fondation Polémia et consacré à la censure. Avec 500 personnes et une salle comble, l’événement fut un succès, malgré la concomitance des manifestations des gilets jaunes. De nombreuses interventions se sont succédées, entrecoupées par des vidéos, dont une interview d’Eric Zemmour.On dit d’emblée que la censure s’est aggravée en 2018 ?
Michel Geoffroy, auteur de « La superclasse mondiale contre les peuples » fut le premier intervenant de l’après-midi. Il nous a expliqué en détail le tour de vis de 2018 : le renforcement de la censure par des acteurs privés du GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon) et la mise en place par le gouvernement de « régulateurs France » qui iront se former auprès de professionnels de Facebook. Mais il faut aussi noter un projet de règlement européen pour, soit disant, lutter contre le terrorisme, et rappeler les méfaits du Decodex du Monde. Rappelons enfin à nos auditeurs qu’après avoir été rejetée par le Sénat, la loi sur les « Fake News » est en passe d’être adoptée en dernière lecture par l’Assemblée nationale.
Néanmoins, la lutte n’est pas perdue pour autant ?
Parmi les nouveautés, Polémia nous annonce la mise au point de l’indice Libertex. Cet indice a déjà permis de classer sept pays selon une dizaine de critères ayant une incidence directe sur la liberté d’expression. Les données utilisées pour ce classement sont de source occidentale. Résultats des courses : la France arrive en dernière position derrière la Russie, alors que les États-Unis et le Danemark sont en tête ! Quant à la Hongrie si décriée, elle arrive en quatrième position. On remarque au passage que la France est le seul pays où la censure sur Facebook bat tous les records. Enfin, une bonne partie du Forum a été consacrée à la présentation d’outils informatiques permettant de combattre ou de contourner la censure.
À noter aussi que, lors d’une table ronde, Charles de Meyer de SOS Chrétiens d’Orient a appelé à dénoncer les persécutions dont sont victimes les militants à raison de leurs convictions et actions politiques, notamment par leur employeur.
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Emmanuel Macron reçoit le lobby qui n’existe pas
Etrangement, il ne reçoit ni La Manif Pour Tous, ni les gilets jaunes…
https://www.lesalonbeige.fr/emmanuel-macron-recoit-le-lobby-qui-nexiste-pas/
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Au Qatar, on climatise à ciel ouvert et, en France, on sauve la planète !
Si les gilets jaunes ne peuvent pas comprendre ça...
La journée des gilets jaunes, suscitée par le ras-le-bol fiscal, ancien mais exacerbé par les hausses de taxes sur les produits pétroliers, est passée. Le ministre de l’Intérieur nous dit, le lendemain, que le gouvernement a bien compris le message. En fait, non, son collègue, le ministre de l’Écologie, le corrige : la politique du gouvernement ne changera pas. Le Premier ministre nous a assuré ensuite, en quelques minutes de baratin mou, qu’il avait compris que les Français avaient besoin de respect, de compréhension et de protection (?). Mais il a confirmé que la trajectoire de la politique de transition énergétique ne changerait pas, pour le bien de la planète et des générations futures, cela va sans dire. Autrement dit : « Cause toujours ! » On n’est pas loin de la formule de Coluche : « Dites-nous de quoi vous avez besoin, on va vous expliquer comment vous en passer. » Nos chefs confondent ténacité et entêtement.
En même temps, on découvre sur une chaîne de télé de grande diffusion un reportage très bien fait sur les nombreux sites sportifs en construction au Qatar pour la Coupe du monde de football 2022. Les conducteurs français, c’est-à-dire tous les Français adultes, sont alors ravis d’apprendre que, compte tenu des conditions climatiques extrêmes, températures de 45 à 50 °C, les stades, même ceux à ciel ouvert, seront climatisés. Certains le sont déjà. Grâce, bien sûr, à l’électricité produite par des centrales thermiques. La journaliste de TF1 nous a confié le bien-être ressenti dans un courant d’air frais en plein désert. Et pourtant, oui, le Qatar, partenaire privilégié de la France, est bien un pays signataire de la COP21 dont la conclusion heureuse est un de nos titres de gloire.
Comment le gouvernement peut-il espérer convaincre les Français que l’urgence de la transition écologique exige que les taxes sur les carburants soient sans cesse relevées envers et contre tout et tous ? Le confetti français, 1 % des Terriens, 1 % de tous les gaz maudits, doit-il payer les extravagances de tous ceux qui font n’importe quoi ? Les Français comprennent l’écologie qui les touche de près, l’écologie raisonnable, c’est-à-dire expurgée des mensonges qu’on leur distille en permanence sur l’éolien, les capteurs solaires et la voiture électrique, l’écologie qu’ils pourront maîtriser à un coût acceptable. Pas celle du GIEC et de nos dirigeants mégalos qui prétendent vainement commander à des éléments planétaires à un coût exorbitant.
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Gilets jaunes : premier bilan provisoire
Le billet de Patrick Parment
Avec plus de 287 000 personnes dans la rue sur la France entière, on ne peut pas dire que ce soit un violent succès. La Manif pour tous avait fait mieux sans parler de l’enterrement de Johnny Hallyday et son million de fans dans les rues. Toutefois, ces 287 000 personnes sont l’arbre qui cache la forêt. Car ce chiffre ne reflète en rien la réalité du phénomène.
Première remarque : ce mouvement spontané issu des réseaux sociaux n’a aucun leader et ne constitue donc pas une force structurée. Deuxième remarque : ce mouvement est l’expression pure et dure d’une France d’en bas, selon l’expression de Christophe Guilluy, qui en a ras-le-bol de la France d’en haut, celle urbaine de ces élites qui n’en sont pas. Cela ne date pas d’aujourd’hui. Emmanuel Macron a bénéficié de ce ras-le-bol qui a littéralement implosé les partis politiques traditionnels et son petit personnel.
Ô surprise, Macron se révèle pire que le mal qu’il était censé éradiquer. La politique libérale de Macron, au prétexte de modernisation des structures du pays, est un bide total. Quoi de plus logique d’ailleurs quand on est issu de la caste énarchique qui prétend gouverner hors sol au pays d’une démocratie sans électeur. Nul besoin d’être grand clerc pour comprendre que ceux qui sont restés chez eux pour suivre – ou non – les événements à la téloche ou ailleurs sont largement plus nombreux que ceux qui ont pris le parti de descendre dans la rue. Or, en démocratie, l’unique sanction, ce sont les élections. Il y a fort à parier que les européennes à venir vont nous réserver quelques surprises.
Ce ne sera toutefois pas suffisant pour renvoyer Macron à ses chères études. Mais, il a déjà tout faux en voulant porter le combat contre ceux que l’on nomme les populistes, relents de fascisme à ses yeux. Cela prouve bien qu’il n’a rien compris à l’essence même du populisme qui est pour le peuple sa volonté de vouloir rester ce qu’il est au regard de sa propre histoire et de s’inscrire dans la continuité. Et surtout que cesse ces politiques libérales qui sont en train de nous détruire. Un seul mot nous vient à l’esprit : Macron, dehors !
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Les complotistes l’ont mauvaise!
Pas question de plier, d’entendre le ras-le-bol populaire: face aux gilets jaunes Edouard Philippe se veut Droit dans ses bottes, pour reprendre la formule restée célèbre de son son mentor Alain Juppé lors des grèves monstres de 1995. Mais ici point de syndicats pour encadrer la colère d’un mouvement qui a pris tout le monde de court par son ampleur et qui se poursuit aujourd’hui par de nombreux blocages. La grande journée de mobilisation du 17 novembre a été quantifiée par le ministère de l’Intérieur : environ 2000 rassemblements ou drapeaux tricolores et Marseillaise étaient souvent de mise (les quelques farceurs qui ont voulu entonner l’Internationale n’ont pas été à la fête!) , 283 000 manifestants, dont de nombreux cadres, élus, militants de l’opposition nationale qui comme Bruno Gollnisch, ont été souvent chaudement félicités par les automobilistes. Il est vrai aussi que certaines actions ont donné lieu à des violences forcément dommageables et condamnables : une manifestante retraitée est morte renversée par une voiture samedi à un barrage filtrant à Pont de Beauvoisin, 409 blessés et 282 interpellations (dont 157 gardes à vue) sont à déplorer. Toutes choses qui ne parviennent pas à ternir l’incontestable succès de cette réaction de la France périphérique devant l’oppression fiscale et les promesses trahies…qui certes n’ont pas débuté avec le quinquennat Macron.
De l’europhobe François Asselineau au bruxellois Jean Quatremer, des grandes centrales syndicales aux godillots de LREM, des voix se sont élevées pour dénoncer cette jacquerie. Mépris, incompréhension, dégoût devant le bas peuple qui à le front de ruer dans les brancards que résument ces quelques lignes sur twitter de Bernard-Henri Lévy, relais officieux de l’idéologie macroniste, qui a voulu voir dans l’action des gilets jaunes samedi l’« échec d’un mouvement qu’on nous annonçait massif» (sic) , un infâme «poujadisme» qui contrecarre la «fiscalité écolo» et le noble «combat (d’Emmanuel Macron) contre les populismes.»
Gilets jaunes dont le populisme a été rattaché par BHL à celui qui a bouleversé la donne électorale et la vie politique italiennes ces derniers mois, et que le philosophe pipo (le) analyse en conseillant la lecture du livre de Maurizio Molinari, journaliste de sensibilité euromondialiste comme il se doit, directeur de la Stampa. Il explique «Pourquoi l’Italie est devenue le laboratoire du haut mal politique contemporain», «Pourquoi ce qu’on appelle populisme, souverainisme, néofascisme s’y trouve-t-il en position de primauté ou, pour mieux dire, en pole position.» M Molinari nous apprendrait ainsi que « l’improbable tandem de la Ligue et du Mouvement 5 étoiles est tout sauf une surprise, et moins encore une aberration, pour un observateur averti de la scène italienne. On y verra les gueulards, soiffards et autres soudards des deux mouvements se renifler l’un l’autre depuis des années, exactement comme, en France, le font les Insoumis et les lepénistes – et on les verra, d’alliances tactiques en réflexes partagés, de glissements subtils et imperceptibles en partenariats honteux, finir par clamer au grand jour que ce qui les unit compte plus que ce qui les divise (…). » Notamment écrit-il le refus commun de « la bureaucratie bruxelloise » «constituée en bouc émissaire» par «les conjurés de la nouvelle alliance rouge-brune.» Alliance immonde affirme Molinari, qui là aussi rejoint les obsessions et la paranoïa de M. Lévy , rendue possible par «Poutine», » activiste de l’ombre, plus redoutable encore que l’ancien KGB (…) devenu, ici comme ailleurs, le suprême agent pathogène du cancer populiste : n’est-il pas attesté qu’il est, par le biais des réseaux sociaux, intervenu dans les élections italiennes au moins autant que dans celles des Etats-Unis ? et n’a-t-il pas trouvé en Matteo Salvini une sorte de semblable, de double raté, de frère faible et fasciné ?»
Un nouvel exemple de la thèse qui voudrait que la main de Moscou manipule les masses naïves qui se jetteraient alors dans les bras de crétins démagogues et fascisants. Une explication complotiste de bas étage qui permet de passer sous silence les échecs des partis européistes au pouvoir. Or, ce sont lesdits échecs qui expliquent plus prosaïquement que les électeurs se tournent vers des formations politiques porteuses d’une alternative et réceptives à leur demande de protections... Même hémiplégie intellectuelle de BHL quand il approuve M. Molinari qui évoque chez les Italiens « le fantasme d’une identité qui, dans ce pays ontologiquement morcelé, a moins de sens encore qu’ailleurs : y a-t-il plus identitairement éloigné qu’un Vénitien d’un Milanais ? un Romain d’un Napolitain ? un guépard lampedusien d’un Florentin fils de Dante ?» Et bien il y a à l’évidence beaucoup plus identitairement éloigné: un Romain, un Napolitain, Vénitien, un Milanais, un Sicilien partagent en commun une italianité qu’ils ne partagent pas a contrario avec un Yorouba, un Bambara un Asharaf, un Muhadjir ou un Hazara…
La crise migratoire a justement pour effet d’agir comme un révélateur de cette identité commune qui lie les membres d’une même entité cultuelle, civilisationnelle. Et cela se constate en Italie comme dans les autres pays européens confrontés à l’immigration massive. Il fut un temps ou M. Molinari en avait (un peu) conscience. En 2013, alors correspondant de la Stampa à New York, Maurizio Molinari relayait dans un article les témoignages de juifs français qui avaient quitté la France pour les Etats-Unis avançant pour expliquer leur migration des raisons liées à la crise économique, mais aussi leur désir de vivre leur foi de manière plus simple et surtout d’ échapper aux «agressions physiques, aux« violences, à «l’intolérance musulmane.» Ce qui serait vrai pour les juifs de France ne le serait pas pour les autre Français qui entendent rester sur la terre de leurs ancêtres, confrontés à la même situation de déréliction économique, identitaire, sécuritaire?
Ce refus de voir le réel et/ou l’incapacité à s’y colleter, explique l’inéxorable (?) descente de la cote de popularité d’Emmanuel Macron. Le dernier baromètre Ifop pour le JDD indique que le locataire de l’Elysée atteint son plus bas niveau depuis son élection et ne recueille plus que 25% d’opinions favorables (contre 29% le mois dernier). Une même pente descendante qu’emprunte Edouad Philippe, le Premier ministre enregistrant une baisse de 7 points en novembre, soutenu seulement par un Français sur trois (34% de satisfaits). Dix-huit mois après leur élection, MM. Hollande et Sarkozy obtenaient respectivement 20% et 44% d’opinions favorables. Sans surprise, la dégringolade est particulièrement sévère dans les catégories les plus impactées par la politique du gouvernement. M. Macron perd ainsi neuf points chez les ouvriers, les artisans et commerçants…
Une désaffection qui explique pareillement les résultats de l’enquête Ifop pour atlantico sur les intentions de vote de nos compatriotes aux élections européennes de mai prochain. Le RN gagne cinq points en trois mois et est désormais crédité de 22% des intentions de vote. La liste LREM-MoDem perd elle deux points avec 19%. Tous les autres partis chutent également ou stagnent. La liste LR obtiendrait 13%, LFI 10%, EELV 7%, DLF 6% et le PS 6% chacun, l‘UDI 4%, la liste du mouvement de Benoit Hamon 3%, celle de Jean Lassalle 2%, les listes Asselineau et Philippot 1% chacune. Les nationaux ont connu des campagnes qui s’annonçaient sous des auspices moins favorables, mais ce score annoncé oblige impérativement à garder la tête froide, à redoubler de vigilance et d’efforts car traquenards, coups bas et embûches ne nous serons pas épargnés par ce Système aux abois.
https://gollnisch.com/2018/11/19/les-complotistes-lont-mauvaise/
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GUERRE DES VIDÉOS ENTRE MARINE LE PEN ET EMMANUEL MACRON
« Macron utilise l’argent des Français pour faire de la propagande. Nous lui proposons une autre version ! », clame le Rassemblement national, qui vient de réaliser une contre-vidéo en réponse à celle diffusée par le gouvernement français pour les européennes.
Des migrants arrivant par la mer sur une côte non identifiée, d’autres essayant de monter dans un camion – pour gagner l’Angleterre, imagine-t-on –, d’autres encore qui se révoltent dans un camp qui pourrait être « la jungle » de Calais, puis ce slogan : « Immigration – Stop ou encore ? » : ainsi débute la vidéo d’une trentaine de secondes que le Rassemblement national de Marine Le Pen a réalisée en réponse à celle diffusée par le gouvernement français et qui a fait polémique.
Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) et la Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP) ont été saisis, afin que ses frais de création et de diffusion soient imputés à la liste de La République en marche. « Décidément, Macron a un problème avec les règles de financement des campagnes ! », s’était indignée Marine Le Pen.
Sous couvert d’inciter les Français à aller voter aux européennes de mai prochain, le clip mis en ligne par le gouvernement sous le titre « Elections européennes : faites changer l’Europe ! » exprimait une vision de l’enjeu tellement proche de celle d’Emmanuel Macron qu’elle avait été qualifiée, à gauche comme à droite, de « clip de propagande » et avait suscité des réactions indignées de la quasi-totalité de la classe politique. Même le président du MoDem François Bayrou, toujours proche d’Emmanuel Macron, avait fini par concéder : « Présenter une position politique comme une communication de l’État, ce n’est pas très fin. »
Le message propagé par cette vidéo était celui qu’Emmanuel Macron ne cesse de marteler depuis son discours de la Sorbonne : les électeurs vont avoir le choix entre l’Europe de l’« union » et celle de la « division », cette dernière étant représentée par Viktor Orban et Matteo Salvini – et, donc, en France, par Marine Le Pen. Le vice-président du conseil italien avait d’ailleurs réagi, ironisant sur Twitter : « Le gouvernement français publie, avec l’argent des contribuables, un clip officiel pour les européennes en m’utilisant comme un épouvantail. Macron et ses amis doivent avoir très peur. En 2019, un printemps des peuples qui va les balayer les attend. »
Réalisée sur le même modèle et avec la même musique angoissante, la contre-vidéo du Rassemblement national pose le débat en ces termes : « Europe – Démocraties nationales ou dictature de l’UE ? »Avec pour thèmes, selon un décalque parfait du clip gouvernemental : « Immigration – Stop ou encore ? », « Climat – France durable ou écologie politique ? », « Emploi – Patriotisme économique ou travailleurs détachés ? ». Elle se conclut ainsi : « En mai 2019, l’Europe changera.A vous de décider dans quel sens. » « Rassemblement national ou La République en marche ? »
S’il est un point sur lequel Emmanuel Macron et Marine Le Pen s’accordent par vidéos interposées, c’est que le scrutin se jouera entre eux deux, et les études d’opinion leur donnent pour l’instant raison.
A six mois du scrutin, une projection réalisée par EuropeanElectionsStats.eu donne la liste du Rassemblement national et celle de La République en marche à égalité de sièges(dix-neuf chacun) à l’issue des élections européennes de mai prochain, mais le corps électoral semble évoluer très vite.
Dans un sondage Elabe pour BFM TV réalisé les 6 et 7 novembre, le Rassemblement national est donné vainqueur avec 20 % des voix(+ 0,5), tandis que La République en marche décroche brutalement : le parti du président de la République ne recueillerait plus que 19,5 % des suffrages, soit une chute de 4,5 points depuis la dernière étude de cet institut.