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lobby - Page 980

  • Les « fake news » ont représenté moins de 0,1% d’un total de 60 millions de tweets politiques durant l’élection présidentielle de 2017

     Loin d’un « tsunami » de fausses nouvelles, les « fake news » ont représenté moins de 0,1% d’un total de 60 millions de tweets politiques passés au crible durant l’élection présidentielle de 2017, et ont surtout été échangées par des twittos affiliés à François Fillon et Marine Le Pen, selon une étude du CNRS et de l’EHESS. (…)

    L’autre grand axe d’étude a porté sur les « fake news » ou fausses nouvelles: l’équipe du Politoscope a analysé les tweets relayant sous forme de liens des intox identifiées comme telles par les « décodeurs » du Monde.

    Résultat: près de 5.000 tweets ont été détectés, soit moins de 1% du corpus de tweets analysés (0,081%).

    http://www.fdesouche.com/1075435-enquete-les-fake-news-ont-represente-moins-de-01-dun-total-de-60-millions-de-tweets-politiques-durant-lelection-presidentielle-de-2017

  • Le maire d’Angers finance les gauchistes

    Le maire d’Angers finance les gauchistes

    Christophe Béchu, maire ex-LR d’Angers (il a quitté le parti en décembre 2017), a versé 50 000€ à L’Etincelle, une association d'”antifas”, aux méthodes violentes. Cette subvention est dénoncée par une campagne d’affichage que les habitants ont découvert ce matin.

     https://www.lesalonbeige.fr/le-maire-dangers-finance-les-gauchistes/

  • La sécu désavouée par Jupiter ? fausse bonne nouvelle

    6a00d8341c715453ef022ad3b29d15200b-320wi.jpgL'annonce par le président de la République, qui une fois encore empiète sur le rôle du gouvernement, des quelques dispositions concrètes supposées constituer un plan dit pauvreté, provoque quelques vaguelettes. Le discours d'Emmanuel Macron, le 13 septembre au Musée de l'homme, en effet a pu être perçu comme une nouvelle dérive par rapport aux principes sur lesquels on nous serine que fut construite en 1945 notre magnifique protection sociale.

    Dans un article publié le 16 septembre sur le site du Figaro[1]Cécile Crouzel semble s'en inquiéter. Pourtant elle concède que "le virage [aurait été] amorcé dès les années 1970 et accentué par la majorité précédente". Cette imprécision ne doit pas être tenue pour accidentelle. Elle reflète le halo d'incertitude dans lequel on noie ordinairement l'histoire effective de ce système[2] pensé par des gens en décalage total avec l'opinion majoritaire des Français, déjà en 1946.

    À quelle réforme "dans les années 1970", par exemple, la rédactrice pense-t-elle ? La grande réforme, pas si brillante que cela, fut opérée par Jean-Marcel Jeanneney, Ministre des Affaires sociales de janvier 1966 à mai 1968, flanqué de son sous-ministre Chirac, en 1967, donc sous la présidence De Gaulle. Elle institutionnalisait et tendait à séparer les trois branches, si différentes mais amalgamées par le système français, de la Famille, de l'Assurance Maladie et de la Retraite. Rappelons que le virage social avait été annoncé en 1966 par le fondateur de la Cinquième république, lequel avait été ulcéré par sa mise en ballottage de décembre 1965 et avait déclaré "j'irai plus loin que leur front populaire".

    Dans les "années 1970" [toujours le goût des datations par décennies] on assista plutôt, sous les présidences Pompidou et Giscard, à l'extension, en pagaille, du système monopoliste à l'ensemble des branches et catégories professionnelles. Certaines y échappaient jusque-là, ou même s'y étaient radicalement opposées. Ainsi les Cadres qui avaient bloqué par une grève, en juillet 1946, l'application de la loi Croizat, avaient obtenu la création de l'Agirc en mars 1947, mais la spécificité de leur régime n'a cessé de décliner depuis. Les catégories indépendantes furent à leur tour absorbées dans les régimes dits "alignés" domestiqués par le ministre Barrot dans le gouvernement Barre.

    Il est vrai qu'à partir du gouvernement Juppé une nouvelle idée apparut. On imagina de restreindre puis de supprimer définitivement les allocations versées aux ménages les plus aisés en les plaçant sous condition de ressources. Un front commun englobant la droite catholique et la CGT entrava, mais pour un temps seulement, cette volonté d'apparence démagogique mais d'inspiration budgétaire.

    Le seul mérite, si l'on ose dire, disons plutôt : la seule novation en la matière, de la nouvelle combinaison gouvernementale et du discours présidentiel, consiste à liquider toute référence assurantielle. L'étatisation jupitérienne ne laisse aucune place ni au libre choix, ni au vote des assurés sociaux. Les syndicats, les caisses, les individus ne sauraient donner même un avis consultatif. Encore moins les cotisants en tant que tels. On redistribue arbitrairement. On ne s'embarrasse plus de démocratie sociale.

    Faut-il, dès lors, savamment suivre Mme Crouzel et se demander avec elle si on se situe encore dans une doctrine [attribuée à Bismarck] ou si l'on s'oriente vers un modèle "anglo-saxon", et d'ailleurs lequel ? celui de Beveridge ? celui du NHS anglais ? celui du plan Obama ?

    À la vérité, dès le plan Juppé de 1995-1997, la conception initiale, celle d'un monopole géré démocratiquement, avait disparu à 99 %. Restait un dernier petit détail à régler, pour que chacun sache que ce système est géré entre le palais de l'Élysée et les bureaux de Bercy. Tel est le sens de la montée en puissance de la CSG, et de son accouplement futur avec un impôt sur le revenu prélevé à la source. Personne ne s'y trompera plus.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Cet article est intitulé "Sans le dire, Macron s'éloigne du modèle de protection sociale hérité de 1945". Il figure dans l'édition papier datée, comme il se doit, du lendemain 17 septembre.

    [2] On ne peut donc que recommander l'ouvrage de Georges Lane "La Sécurité sociale et comment s'en sortir".

    http://www.insolent.fr/

  • Médine au Bataclan : la France a gagné une bataille, mais elle n’a pas gagné la guerre

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    Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

    Il n’est pas fréquent, pour des militants, de vivre des moments aussi forts que ceux qu’ont connus les animateurs et participants de la conférence de presse, organisée ce vendredi 21 septembre, à Paris, pour demander l’annulation du concert de Médine au Bataclan. Alors que je concluais cette initiative, Patrick Jardin, qui avait quitté la salle quelques minutes pour répondre aux questions des journalistes de TF1, revint à la tribune, et s’excusa de m’interrompre.

     

    Bien sûr, la salle et la tribune applaudirent à tout rompre. Chacun était conscient de l’importance et de la symbolique de cette victoire. Chacun avait compris que si Médine avait pu éructer au Bataclan, cela aurait été un camouflet pour la France, un crachat pour les victimes et leurs familles, et une nouvelle occasion pour les disciples d’Allah d’humilier les Français.

    Ce sursaut patriotique a été possible d’abord parce qu’un homme d’exception, Patrick Jardin, a décidé, seul, de se battre, dès le début de cette provocation. Il a appelé la France entière à le soutenir, sans le moindre sectarisme. Il a écrit à tout le monde. Il a demandé à deux reprises à Médine, qui ne lui a jamais répondu, d’annuler, par décence pour la mémoire de sa fille et des autres victimes, sa sordide provocation. Il a lancé un appel, devant le Bataclan, cet été, pour appeler les Français à le soutenir, le 19 octobre et le 20 octobre, pour faire annuler ce concert.

    MedinePresent1.jpg

    Le journal Présent a apporté sa pierre à l’édifice, comme toujours.

    Sachons le dire, les seuls qui ont répondu à son appel sont ceux que les commissaires politiques de la bien-pensance, lèche-babouches professionnels, appellent l’extrême droite, ou la fachosphère, et que nous appelons la Résistance et la réinfosphère. Chacun a amené son savoir-faire, dans le respect de l’autre, sans chercher à tirer la couverture à lui. Génération Identitaire a su mettre une dizaine de militants devant le Bataclan, avec une grande banderole, qui a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux.

    Puis Renaud Camus a mis sa plume et son talent oratoire, à la tête du CNRE, au service de cette bataille. À la rentrée, Richard Roudier, à la tête de la Ligue du midi, a invité Patrick Jardin, qui a renouvelé, dans une vidéo vue par près de 150 000 personnes, son appel à manifester le 19 octobre devant le Bataclan. Le général Piquemal a lancé, lors de cette journée, un mémorable appel aux Français. Et Renaud Camus, toujours lui, a prononcé ce jour un formidable discours.

     

    Du côté politique, même si Laurent Wauquiez et Marine Le Pen se sont émus de la grossière provocation de Médine, il faut admettre qu’une fois encore, seul le Siel, présidé par le conseiller régional IDF Karim Ouchikh, est passé à l’action.

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  • "Plus d'Avortements, Moins de Gauchistes" | Le Rendez Vous Dissident #9

  • Macron : le plongeon

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    Le baromètre de popularité de l’IFOP publié par le JDD vient de donner son verdict : après un –5 en août, le Président Macron subit un nouveau décrochage de popularité de cinq points en septembre, passant de 34 à 29 %. Comme d’autres instituts de sondage l’avaient constaté, il est, à ce stade de son mandat, presque au même niveau d’impopularité que François Hollande, et très loin derrière Nicolas Sarkozy qui, il y a dix ans, enregistrait toujours 37 % d’opinions favorables. Désormais, 70 % des Français sont mécontents d’Emmanuel Macron. Le Premier ministre Édouard Philippe suit la même pente et perd, lui aussi, six points.

    Les causes de cette chute sont connues : affaires Benalla et Nyssen, qui continuent à distiller leur poison, démission de Nicolas Hulot, ralentissement économique, cafouillage sur l’impôt à la source et interrogations sur le pouvoir d’achat et la capacité du Président à changer vraiment les choses.

    Le directeur adjoint de l’IFOP constate que le Président ne règne plus que sur son socle du premier tour d’avril 2017. Emmanuel Macron a donc choisi de lancer, dans le même JDD, sa « contre-attaque » sur les questions économiques : il annonce six milliards de baisses d’impôts pour 2019. Comme s’il fallait cela pour contrebalancer cette chute de dix points en deux mois. Aura-t-on droit à quelques milliards de plus si une nouvelle baisse de popularité de quelques points advient à l’automne ?

    Après tout, ce qui fait l’unité des électeurs macronistes, c’est une forme de libéralisme économique. C’est le dénominateur commun de son socle. Logique qu’il tente de le souder en lui parlant le seul langage qu’il connaît : la baisse d’impôt. L’entourage du Président assume même ce libéralisme en comparant cet effort à celui de la loi TEPA (travail, emploi et pouvoir d’achat) de Nicolas Sarkozy, comme si l’ancien Président était devenu la nouvelle référence.

    En fait, après avoir perdu son vernis de Président différent, Emmanuel Macron est déjà retombé dans les travers et l’impuissance de ses deux prédécesseurs.

    D’abord, tout comme François Hollande, par cette annonce d’une baisse de six milliards – au chiffrage, d’ailleurs, contestable -, il tente de faire oublier les hausses d’impôts du début de son quinquennat (CSG, fiscalité indirecte, etc.). On sait que Hollande ne s’en était jamais remis.

    Ensuite, plus profondément, et plus étonnamment de sa part, il lie son avenir à la seule question économique et financière. Or, une étude du CEVIPOF publiée par Le Monde sur les sympathisants macronistes indique qu’une forte proportion d’entre eux (de 37 % à 44 %) estiment que l’immigration et l’islam posent problème. Mais, sur ces sujets, le Président a perdu la crédibilité que ses premiers discours lui avaient acquise: sur l’Aquarius, il s’est déconsidéré, et sur l’affaire Médine, il n’a pipé mot.

    Les 70 % de Français mécontents d’Emmanuel Macron, et même ses soutiens, ne se nourrissent pas seulement de pouvoir d’achat et de baisse d’impôt. En cette rentrée 2018, il est manifestement en train de perdre sur les deux tableaux : mauvais en matière économique et inconsistant sur les questions d’identité. Une autre version du « en même temps ».

    Pascal Célérier

    http://www.bvoltaire.fr/macron-le-plongeon/

  • Une invasion contrôlée et organisée !

    Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire. Le général 4 étoiles a expliqué, en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français. 
    La DRM, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de renseignement géospatial interarmées). Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.). C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter aux dirigeants français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des passeurs de migrants. Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en Méditerranée EuNavForMed, lancée en mai dernier. 
    Le Général Gomart a ainsi pu confier lors du colloque que les militaires français ont repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte). Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. Avant tout départ en mer les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, explique-t-il, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses immigratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…
    Le Geoint est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géolocalisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques », précise le général. 
    L’invasion est donc une affaire qui n’avance pas au hasard.
    Voilà, il n’y a aucun mystère. Lorsque les passeurs vont acheter un zodiac au siège du Consulat honoraire de Bodrum, chez Madame le consul Françoise Olcay, les renseignements français le savent… Sans le reportage de France 2, le consul serait toujours en poste. Il est à noter que Madame Olcay a perdu son poste de consul, mais qu’elle continue d’alimenter le trafic vers la France en poursuivant son commerce illégal et que les autorités françaises le savent, de même qu’elles savent que la Turquie délivre de faux passeports, que les capitaineries ferment les yeux etc. etc.
    Et si le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, comment ne pourrait-il pas le voir en Europe et plus encore en France ?
    Mais qui sait sur qui la surveillance s’exerce en France ?
    Sur les opposants à l’immigration ? 
    Cette invasion est voulue. 
    Source

  • Fraude fiscale: les «députés-avocats» LREM accusés de conflit d’intérêts

    Une poignée de députés de la majorité, appuyés par des Modem et des Républicains, ont tenté de supprimer un article du projet de loi prévoyant une sanction administrative pour tout cabinet de conseil ayant aidé un contribuable à s’exiler fiscalement.

    Faire sauter le « verrou de Bercy », révolutionner la lutte contre la fraude fiscale : le gouvernement et la majorité à l’Assemblée nationale ont usé de tous les superlatifs pour qualifier le texte discuté au Palais-Bourbon. Outre que son contenu se révèle plus que limité dans sa portée (lire l’article de Romaric Godin), la discussion dans l’hémicycle a dévoilé la surprenante opposition de quelques députés LREM sur une disposition bien précise.

    Stéphane Mazars, Jean Terlier et Alice Thourot se sont montrés particulièrement actifs, le 17 septembre, pour demander la suppression de l’article 7 du projet de loi. Leur point commun : ils sont avocats ou exercent une profession juridique.

    Que dit cet article 7, l’une des avancées du texte gouvernemental ? Il propose de sanctionner administrativement par une amende « toute personne physique ou morale qui, dans l’exercice d’une activité professionnelle de conseil à caractère juridique, financier ou comptable ou de détention de biens ou de fonds pour le compte d’un tiers, a intentionnellement fourni à ce cotisant une prestation ayant directement contribué à la commission des actes constitutifs de l’abus de droit en cause ou à la dissimulation de ces actes ».

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  • Crise migratoire, Macron et Merkel à l’attaque contre les gouvernements identitaires

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    Crise migratoire et arrivée au pouvoir de gouvernements décidés à protéger leur pays du Grand Remplacement ne font pas bon ménage : la rencontre des chefs d’États à Salzbourg en Autriche le 19 septembre dernier destinée à aplanir ou faire converger les divergences sur la gestion des flux de clandestins n’a vraiment pas été un succès de ce point de vue-là.

    Pour planter le décor d’une Union Européenne en crise, le jeune chancelier autrichienSebastian Kurz avait invité ses homologues à se réunir au Manège des rochers, une salle de concert de Salzbourg, cadre romantique aux lumières tamisées, pénombre annonciatrice du crépuscule des dieux de l’immigration, Jupiter Macron et Merkel l’ange noir de son peuple allemand…

    Aucun accord visant à rétablir la « redistribution » des migrants au sein de l’Europe et l’ouverture des ports italiens fermés par Matteo Salvini aux débarquements de clandestins n’a été trouvé entre les États membres de l’UE. Les désaccords subsistent entre les pays de l’Est et l’Italie d’un côté, résolument pour une politique de fermeté envers de l’immigration-invasion, et les pays de l’Ouest arrimés au couple immigrophile franco-allemand.

    Après cette défaite de l’humanitarisme mortifère pour les peuples européens, Emmanuel Macron a rejeté la responsabilité des « crises et tensions » par rapport aux migrants et à l’accueil sur les gouvernements qui usent selon lui d’une approche dure en « refusant ainsi de respecter le droit humanitaire et international ». Il a tout spécialement visé l’Italie qui n’accueille pas les bateaux de migrants. « Les pays ne veulent pas de Frontex ou de la solidarité ? Ils sortiront de Schengen. Les pays ne veulent plus de l’Europe ? Ils sortiront des fonds structurels » a-t-il menacé.

    Son message était proche de celui d’Angela Merkel. « Ce n’est pas possible que chacun choisisse ce qu’il veut » avait-elle déclaré lors de la discussion sur la « solidarité flexible » sur les migrants. Cette solidarité flexible, idée du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, consisterait à faire payer les pays qui ne veulent pas de migrants par des contributions plus élevées. La proposition n’est pas du goût de la chancelière allemande qui préfère le crépuscule des peuples européens en inondant toute l’Europe de migrants…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/crise-migratoire-macron-et-merkel-a-lattaque-contre-les-gouvernements-identitaires/98297/

  • Une nouvelle organisation antiraciste contre le racisme anti-blanc

    Mais cette fois contre le racisme anti-blancs. Enfin. Après l’Agrif, seule à lutter contre le racisme anti-chrétien depuis tant d’années…

    https://www.lesalonbeige.fr/une-nouvelle-organisation-antiraciste/