Un procès aux assises après le tribunal médiatique. Sept ans après les faits, ce mardi 9 janvier s’ouvre le procès des trois policiers impliqués dans l’interpellation violente de Théodore (dit Théo) Luhaka à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), devant la cour d’assises de Bobigny. Les trois hommes sont accusés d’avoir blessé le jeune homme au niveau du « canal anal ». Le principal accusé, poursuivi pour « coup violent de bâton télescopique de défense ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente », encourt jusqu’à 15 ans d’emprisonnement. Ses collègues, qui comparaissent quant à eux pour « violences volontaires aggravées », risquent sept ans de prison. Avant de comparaître devant les assises, ces policiers ont pendant de longs mois été traînés dans la boue, accusés de « viol » et de « racisme » par le tribunal médiatique.
magouille et compagnie - Page 233
-
Procès Théo : sept ans d’hystérie contre les policiers
-
L’empire du bien ou l’empire du moindre mal ?
Travaillant au cœur de la matrice, dans ce « milieu culturel » terre bénie du wokisme « diversitaire », Jean Montalte, auditeur de l’Institut Iliade (promotion Léonidas), nous décrypte les us et coutumes des adeptes de cette nouvelle religion qui n'est « tolérante » qu'envers ceux qui la vénèrent avec suffisamment de dévotion.
-
Féminicides et immigration : le grand tabou
-
En 2022, Pierre Moscovici touchait 26 300 € par mois
Un député avait été coupé pour avoir osé le rappeler :
-
Paris : au cri de « Allah Akbar » et armé d’un couteau, un homme menace des passants en demandant s’ils sont juifs (MàJ : six mois avec sursis)
08/01/2024
Un homme qui avait menacé avec un couteau en décembre plusieurs passants dans une rue de la capitale en leur demandant s’ils étaient juifs (…) Le mis en cause, dont le taux d’alcool s’élevait au moment des faits à 1,58 gramme par litre de sang, a été reconnu coupable de violence avec usage d’une arme sans incapacité et de menace de mort en raison de la race, l’ethnie, la nation ou la religion, et condamné à six mois de sursis, assortis d’une obligation de soin.
-
CROUS de Bordeaux : la préférence étrangère en matière de logement étudiant
-
Le Forum des réfugiés, la machine financée par l’Etat pour gérer l’immigration
-
Eric Zemmour sur LCI : Le gouvernement ment aux Français sur l’inflation.
-
Loi immigration : et maintenant une tribune contre les « marchands de haine » !
On ne va pas se mentir : la République est en danger. Là, tels que vous êtes, vous sortez de deux semaines de trêve des confiseurs ; le 31 décembre, vous avez (ou pas) écouté le marchand de sable venu vous souhaiter la bonne année ; ce week-end, vous avez tiré les rois en famille et la semaine prochaine vous en ferez de même au bureau, dans votre club de tir ou de boules, que sais-je où encore. Maintenant, il serait donc grand temps de se réveiller : la République, disions-nous, mais aussi la démocratie, les droits de l’homme (pardon, les droits humains) et sans doute beaucoup d’autres choses sont en danger. Heureusement qu’il y a des hommes comme Olivier Faure (c’est qui lui, déjà ?) ou encore des institutions comme Mediapart pour veiller au grain. Janvier sera le mois du réveil ou ne sera pas.
-
La classe dominante, unanime, le proclame : la politique d’immigration massive doit être poursuivie
Chronique de Paysan Savoyard (n° 311 – Janvier 2024)
Alors qu’ils souhaitent pour la plupart l’arrêt de l’immigration, à en croire les sondages, les Français de souche continuent pourtant majoritairement à voter pour ceux qui, jour après jour depuis plus de cinquante ans maintenant, conduisent une politique déterminée d’immigration de masse.
Il y a plusieurs raisons à cette attitude contradictoire et schizophrénique. Nous n’en évoquerons qu’une aujourd’hui : parmi ces gens qui aimeraient que l’immigration s’arrêtent, beaucoup pensent que leurs dirigeants font ce qu’ils peuvent et essaient sincèrement d’endiguer une immigration très difficile à maîtriser.
Cette attitude de mansuétude à l’égard des gouvernements qui se succèdent relève évidemment de l’aveuglement. Tout montre que la classe dirigeante souhaite l’immigration. Depuis plus de cinq décennies, tous les gouvernements ne cessent de prendre des décisions destinées à l’alimenter : des lois favorables à l’immigration de masse, des subventions aux ONG immigrationnistes, des dispositifs de mixité ethnique obligatoire et de répartition forcée des immigrés sur tout le territoire… Nous en avons déjà parlé (voir cette chronique) et n’y insisterons pas aujourd’hui. Admettons que les Français moyens puissent ne pas informés du détail de ces différentes mesures et ne pas avoir conscience de leur portée.