Les réseaux sociaux ont été reçus vendredi 30 juin par les ministres de l’Intérieur et du Numérique, Gérald Darmanin et Jean-Noël Barrot. Ce dernier explique dans Challenges comment ils veulent censurer les réseaux sociaux, qui offrent pourtant une source d’informations alternatives à la propagande d’Etat :
magouille et compagnie - Page 334
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Face aux émeutes, censurer les réseaux sociaux
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«Des dealers ont demandé aux émeutiers de cesser les violences pour pouvoir reprendre le trafic de drogue»
Le président de la République s’est rendu dans la nuit de lundi à mardi auprès des forces de l’ordre, dans le XVIIe arrondissement parisien. Emmanuel Macron a découvert l’eau froide :
« Mais les gamins, ils écoutent qui ? »
« Les dealers monsieur le président »
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Émeutes : « Beaucoup de Kévin et Mattéo » en garde à vue, selon Darmanin
Alors que le ministre de l’Intérieur dressait un premier bilan des émeutes après la mort de Nahel, il a refusé de faire le lien entre immigration et violences urbaines.
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Lorient : qui a le droit d’appréhender des auteurs de crimes ou délits ?
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Jordan Bardella à Nanterre: "Nous avons accueilli trop d'immigration (...) Ce n'est pas parce qu'il y a de la pauvreté dans ces quartiers qu'il y a de la délinquance"
Jordan Bardella était en visite à Nanterre après la vague d'émeutes qui a secoué le pays après la mort de Nahel, tué par un policier suite à un refus d'obtempérer. Le président du RN va doit au but : "Nous avons accueilli trop d'immigration (...) Ce n'est pas parce qu'il y a de la pauvreté dans ces quartiers qu'il y a de la délinquance".
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Climat, des modèles pas vraiment top 2/2
Il s'agit donc au mieux d'approximations qui, la plupart du temps, s'écartent des observations de terrain. Ou les infirment totalement. D'où la tentation de « compenser les écarts » (= tricher en novlangue) pour ne pas perdre la face. C'est aussi une des méthodes de prédilection des sondeurs politiques.
Fiabilité des modèles et observations réellesDes modèles trompeurs à ne pas suivre !
Les béotiens matraqués par la propagande médiatique ont fini par tenir pour infaillibles les modèles du GIEC.
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Émeutes : une addition salée, mais qui va payer ?
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Linda Kebbab : « Yassine Bouzrou, l’avocat de la famille de Nahel, ment et manipule l’opinion contre les policiers. Il porte une responsabilité dans les troubles qui secouent le pays. Et une fois encore, il s’en sort impunément »
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LFI, NUPES, NPA : des émeutiers par procuration
A l’Assemblée, le député LR Alexandre Vincendet a interpellé le gouvernement sur l’attitude de l’extrême-gauche durant les émeutes :
[…] Alors que les voyous font l’objet de poursuites, qu’entendez-vous faire à l’encontre des émeutiers par procuration, ceux qui ont refusé d’appeler au calme, ceux qui, à force de tout excuser en permanence ont mis de l’huile sur le feu – quitte à se renier, comme M. Mélenchon qui, en 2012, fustigeait les hordes de casseurs, les traitant de crétins, de bouffons et de larbins de la société capitaliste. Aujourd’hui, il les incite à la violence en sélectionnant pour eux les cibles à viser. Les appels à la sédition par des responsables publics et politiques sont intolérables ! […]
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Quand il n'y a ni immigrés ni migrants, il n'y a pas d'émeutes
Un communiqué de la Coordination Partout Callac :
Le jeune Nahel est mort à Nanterre le mardi 27 juin lors d’un refus d’obtempérer, au volant d’une voiture de grosse cylindrée, alors qu’il n’avait ni permis de conduire ni assurance et après avoir été repéré par la police pour de multiples infractions au code de la route.Nahel n’était pas un inconnu des services de police : 17 mentions au casier judiciaire et 5 refus d’obtempérer au compteur, avant celui de mardi dernier.
Pourtant c’est lui qui fut présenté comme la victime et le policier comme l’horrible personnage de l’histoire.
Toute la gauche et les bien-pensants ont récupéré l’affaire et relancé l’inacceptable : « la police tue ».
Même le président de la république déclara que cette mort était « inexcusable », condamnant ouvertement le policier en cause avant même que l’enquête n’établisse s’il avait commis ou pas une faute et au mépris de la présomption d’innocence.