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Dissoudre un mouvement nationaliste rassure peut-être les pleutres, les fanatiques et les bobos qui forment le fond de commerce du gouvernement actuel mais cela n'entame jamais la détermination des militants... Bien au contraire.
« Je me permets de vous envoyer ce message à l’attention de Madame Monguillot. Je suis tout à fait de son avis quant à ses réflexions sur la justice à "deux balles". J’espère que vous pourrez lui transmettre toute ma compassion et mon soutien. » Après avoir visionné à plusieurs reprises l’entretien de Véronique Monguillot, publié ce 1er octobre sur le site de BV, Ludovic L., le père de la jeune Mégane, victime d'un viol avec actes de barbarie, cet été, à Cherbourg, a adressé un court message à notre rédaction. Contacté, ce père de famille nous dit craindre qu'Oumar N., suspecté du viol de Mégane, bénéficie d’une justice laxiste à l’instar des agresseurs de Philippe Monguillot, condamnés à seulement 13 et 15 ans de prison.
Elles tournent, comme s’il y avait du vent, trop lentement pour pouvoir donner de l’énergie, mais elles tournent et impressionnent les passants.
La moitié du temps où les éoliennes tournent, elles ne produisent pas d’électricité. Il y a juste assez de vent pour faire tourner les pales. Cette rotation des pales suffit pourtant pour faire croire à leur utilité…
Mathématicien, spécialisé en physique nucléaire, m’intéressant à l’énergie depuis plus de 30 ans, j’ai créé un centre de recherche en technologies peu coûteuses à l’université de Lubumbashi (RDC), ai construit des éoliennes utiles et n’aime pas qu’on se moque de mes concitoyens. Je n’aime pas qu’on leur prenne de l’argent pour remplir les poches de fabricants et de commerçants… j’aimerais qu’on offre un courant propre, sans aucun danger, éternellement renouvelable et donc réellement vert, peu coûteux en prime.
Dans une entreprise de tromperie il existe des étapes nécessaires, qui se succèdent, s’emboîtent et s’articulent. Si l’on veut placer un produit financier à haut risque, capter l’héritage d’un richard en fin de vie ou inciter un ado à essayer le cannabis, on ne s’appesantit pas sur le processus en présence de la victime. On ne lui souligne pas les conséquences et les risques. On ne lui explique pas que l’on compte sur sa naïveté ou son manque d’informations. On cherche au contraire à endormir sa méfiance, à mettre en avant les aspects positifs de l’affaire, à en dissimuler les risques. Pour tromper quelqu’un, autrement dit, il faut évidemment avancer masqué. Jusqu’à ce l’intéressé se rende compte de sa naïveté et de sa bêtise et voit clairement enfin qu’il a été joué… mais il est trop tard. C’est ainsi que la classe dirigeante a procédé pour mener depuis soixante ans sa politique d’invasion migratoire et de destruction des frontières en Europe.
A cette aune, une tribune récente du Monde mérite d’être signalée. Elle est signée Ben Judah, journaliste et chercheur franco-britannique.
Physicien, professeur émérite à l’Université de Tours, François Gervais a été directeur d’un laboratoire du CNRS (UMR 6157) et expert reviewer des rapports AR5 et AR6 (2022) du GIEC. Ancien conseiller scientifique du Pôle de compétitivité Sciences et Systèmes de l’Energie Electrique (S2E2), il est médaillé du CNRS en thermodynamique et lauréat du Prix Ivan Peyches de l’Académie des sciences.
Jacques Attali vient de publier un article sur la démocratie menacée dans Les Echos et sur son blog.
On ne s’arrêtera pas trop longtemps, sauf pour en rire, sur le mépris de caste que déverse ce texte sur les peuples du monde. En revanche, le texte a un intérêt : laisser percer, au milieu de la logorrhée, l’angoisse du monde dirigeant : la réélection de Donald Trump en 2024, d’une part, et l’arrivée de Marine Le Pen à l’Elysée, en 2027, d’autre part. Ce que nous dit le texte, c’est que, partout en Occident, l’establishment n’a plus de candidat à sortir du chapeau pour empêcher que les peuples se prennent en main !
Notre chef des armées n’a jamais fait son service militaire ; Il aurait dû, cela l’aurait un peu assagit.
Il s’occupe de tout, s’agite partout : il gère le nombre de textes pour le BAC de français, les dates des épreuves de spécialité pour les épreuves en terminale. On se demande à quoi sert le ministre de « l’Education nationale » et ses services. On pourrait faire des économies de personnel non productif qui « ne sert à rien », le palais de l’Elysée étant suffisant. Quand s’occupera-t-il de légiférer sur le nombre de trous dans les chaussures pour les lacets ?
Les États-Unis sont devenus le premier fournisseur de gaz de la France en 2022, année du début de la guerre en Ukraine, devant la Norvège et la Russie, selon BFM Business, qui s'appuie sur les chiffres clés de l'énergie publiés fin septembre par le ministère de la Transition énergétique.
Les États-Unis étaient au 9e rang en 2018, la Russie reculant du 6e au 10e rang.
En voulant s’imposer à tout prix une baisse de 55 % de ses émissions à l’horizon 2030, l'Europe se veut championne de la vertu climatique. Hélas, la vertu a toujours un prix exorbitant en termes socio-économiques.
Covid-19… saison 4, donc, puisque le « virus qui rend fou », tel que si justement défini par Bernard-Henri Levy, est sinon apparu, du moins mondialement connu depuis le début de l’année 2020. C’était il y a 4 ans ! Déjà !
Qui s’y intéresse encore, à part quelques traumatisés à vie ? Peu de monde, heureusement… Quelle que soit la façon dont on ait interprété ou vécu cette page folle de l’humanité – ou que l’on appréhende encore à tort ou à raison d’éventuelles conséquences vaccinales – l’immense majorité de la population a désormais bien d’autres préoccupations en tête. Au choix : réchauffement climatique, submersion migratoire, écroulement du niveau de vie pour cause de « quoi qu’il en coûte », tiers-mondisation de notre quotidien…
Lundi matin, après l'inénarrable bad buzz dont il a fait les frais, la semaine passée, Pascal Praud a choisi de contre-attaquer. Selon lui, aucune plainte ne sera déposée - parce qu’il n’y a pas matière - et il doute que l’Arcom bouge une oreille. Mieux : il enjoint l’Arcom à le défendre. On peut toujours rêver.