À Metz, en mars 2021, un ressortissant marocain de 35 ans violait une jeune femme handicapée. Trisomique et plus jeune que son agresseur, le parquet a estimé qu’elle n’était pas en capacité de refuser les avances du violeur.
Lors du procès qui a eu lieu ce mardi 8 octobre, le procureur a requis une peine de 12 ans de réclusion (pour rappel, la peine encourue pour viol est de 15 ans de prison et de 20 ans lorsque commis sur une personne vulnérable). Le parquet estimait également – à raison – que ce crime justifiait une interdiction du territoire, à savoir une expulsion.