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Serait-ce l’agression antisémite de trop ? Samedi 22 mars, un rabbin a été violemment agressé à Orléans, alors qu’il marchait en compagnie de son fils. Un jeune homme, se disant d’origine palestinienne et déjà très défavorablement connu de la Justice française, a été interpellé et placé en détention provisoire.
C’est l’opinion exprimée par Maria Zakharova au micro de radio Sputnik, alors que plusieurs représentants des médias russes ont été tués et blessés ces derniers jours près de Lougansk et dans la région de Belgorod, à la frontière avec l'Ukraine.
En mars 2022, le média Off Investigation sortait une enquête sur les liens entre Emmanuel Macron, candidat à la présidence de la République en 2017, et le régime algérien :
Joint par BV, ce 25 mars, Jean Messiha éclaire d’une lumière crue le débat qui surgit entre deux champions français. D’un côté, le judoka Teddy Rinner, quintuple champion du monde, ânonne les mièvreries aveugles du politiquement correct : « Dans certains pays, tout se passe bien avec le port du voile et ça n’emmerde personne, dit-il. Je crois qu’en France, on perd notre temps. Pensons plus à l’égalité plutôt que de s’acharner sur une seule et même religion. » Le boxeur champion du monde des poids super-coqs WBA Mahyar Monshipour, né en Iran, conseille charitablement à Teddy Rinner de « la fermer ». « Tu ne connais pas le sujet, ne t’en mêle pas ! », lui conseille-t-il.
Contexte d’affrontement entre bandes rivales et un « jeune homme », originaire du quartier des Hautes-Mardelles de Brunoy dans l’Essonne, a été poignardé devant le lycée professionnel Louis-Armand de Yerres, où il n’était cependant pas scolarisé. On imagine parfaitement le profil très habituel des protagonistes. Le maire de Yerres, Olivier Clodong se dit « effondré » par ce drame… toujours les mots forts, le problème, c’est que des effondrés, il y en a tous les jours, parce que ce genre d’histoires, à multiples versions, est devenu un classique de la vie publique en France. Et l’élu de lancer « un cri d’alarme » après ce drame « inhabituel » dans cette commune « très sûre » de l’Essonne, exhortant les jeunes « à ce qu’il n’y ait pas de match retour ». Il devrait atterrir, quand ce n’est pas chez lui, c’est ailleurs. Le département de l’Essonne, territoire compte 1,3 million d’habitants et il est régulièrement le théâtre d’affrontements entre bandes de « jeunes » adolescents.
« Victoire exceptionnelle ! » Ce 24 mars, en fin d’après-midi, l’Institut pour la Justice (IPJ) se réjouissait de voir l’une de ses propositions pour lutter contre le trafic de drogue adoptée par les députées. Reprise par Edwige Diaz, députée du Rassemblement national, et Olivier Marleix, député de la Droite Républicaine (Les Républicains), cette proposition vise à obliger (sauf rares exceptions) les juges à prononcer une peine d’interdiction du territoire français contre « tout étranger condamné à une peine de prison d’au moins cinq ans pour ce type d’infraction ». « Si tout se passe bien, dans quelques mois, les juges auront l'obligation d'expulser les étrangers trafiquants de drogue » se félicite l’IPJ. Cette nouvelle mesure, désormais intégrée à la proposition de loi visant à sortir la France du piège du narcotrafic, vient s’ajouter aux nombreuses dispositions prévues par Gérald Darmanin et Bruno Retailleau pour lutter contre l’emprise du narcotrafic sur le sol français. Compte tenu du nombre trop important d’amendements déposés, le vote solennel du texte, d’abord prévu pour ce 25 mars, a finalement dû être reporté.
Dans Le Figaro, on apprend que le président algérien oppose Emmanuel Macron et son gouvernement :
Dans un entretien avec des journalistes de médias publics, retransmis samedi soir à la télévision algérienne, le président Abdelmadjid Tebboune a qualifié la situation politique en France de « brouhaha », de « capharnaüm », et a tenu à l’isoler de sa relation avec Emmanuel Macron, « son unique point de repère ».
Un réfugié politique afghan de 36 ans a été condamné mardi par le tribunal correctionnel de Metz à quatre ans de prison pour des faits de proxénétisme à l’encontre d’une mineure, et pour soustraction de jeunes filles d’un foyer de l’Aide sociale à l’enfance (ASE). A l’audience en février, la procureure Lauréline Guillot avait requis à l’encontre de Farhad Kamawal, Afghan réfugié politique en France, cinq ans de prison dont deux avec sursis.
Au programme de cette édition, retour sur la guerre en Ukraine. Alors que les pourparlers de paix à Riyad se sont achevés lundi soir, Emmanuel Macron recevra Volodymyr Zelensky mercredi pour préparer le sommet de la coalition des volontaires organisé le lendemain. Une nouvelle étape de l’obsession guerrière du président français.