religion - Page 50
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Zoom - Rémi Brague :"Ce que la religion nous dit de Dieu et de l'homme"
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Terres de Mission #68 : Notre monde a-t-il cessé d’être chrétien ?
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Élections en Italie : les évêques se rangent du côté de la gauche immigrationniste
Dimanche 4 mars les Italiens iront aux urnes voter pour le renouvellement des deux chambres, le Sénat et la Chambre des Députés. Ils devront choisir leurs 630 députés et 315 sénateurs. Cette semaine est donc la dernière ligne droite de la campagne électorale.
Les évêques italiens, à travers leur Conférence épiscopale (CEI), en dehors de tout respect de la neutralité, sont rentrés dans la bataille. Pour soutenir la gauche immigrationniste. En ayant recours aux symboles et lieux chrétiens dont ils dénient l’usage à leurs adversaires. Alors qu’ils ont critiqué âprement le chef de La Ligue anti-immigration, Matteo Salvini, pour avoir, disent-ils, « instrumentalisé »l’Évangile et le chapelet en les brandissant et faisant serment sur eux lors d’un meeting, ils ont ouvert leurs églises aux politiciens ouverts à l’accueil sans limites : à l’avorteuse Emma Bonino, virulente gauchiste, de tous les combats de la culture de mort ; à la présidente de la Chambre, Laura Boldrini (sur la photo), qui est plus à gauche que son parti, le Parti Démocrate, partisane acharnée du « droit du sol » pour les immigrés, loi dont les Italiens ne veulent pas ; à d’autres candidats de cette gauche anti-nationaliste et mondialiste…
Parce que pour ces évêques conciliaires post-modernes italiens, aussi progressistes dans le champ politique que dans le domaine religieux, il y a la « bonne » politique, celle de la gauche, qui peut faire entendre sa voix devant l’autel. Et il y a la « méchante », celle de Salvini, qui est contre l’arrivée massive de migrants ou de Berlusconi qui assure qu’il en renverra 600 000 chez eux parce qu’ils n’ont pas le droit de rester et sont « une bombe sociale ».
Pour Mgr Nunzio Galantino, le secrétaire général de la CEI, de tels discours sont inadmissibles. A Salvini, sans le nommer, il a voulu donner une leçon d’altruisme politique :
« A qui fait un pillage pseudo-politique je dis : après avoir racketté ces quatre votes en plus, s’il vous plaît, aller faire un tour en Italie, regarder dans les yeux ces personnes et dîtes-moi si vous pouvez continuer à spéculer encore sur l’histoire dramatique de ces personnes. »
Ainsi qu’au Cavaliere Berlusconi, lui-aussi sans le nommer :
« La sécurité en Italie n’est pas mise en crise par 4 ou 10 immigrés. La sécurité en Italie malheureusement est mise en difficulté par la pègre. Voilà ce qui détruit l’Italie : la pègre qui n’a pas couleur de peau. »
A Mgr Galantino, qui vit semble-t-il dans un monde parallèle, celui d’un « vivre-ensemble » utopique, on peut lui rétorquer : pourrait-il, tout en les regardant dans les yeux, tenir ce même discours aux parents de la jeune Pamela Mastropietro, tuée, démembrée et dépecée, certainement après avoir été violée, par une bande de Nigérians, vendeurs de drogue et en situation irrégulière ?
Francesca de Villasmundo
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Conférence - Peut-on être catholique et nationaliste ?
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Terres de Mission #67 : En route pour Chartres…
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Doctrine sociale de l’Eglise – Rerum Novarum (2)
Deuxième vidéo de M. l’abbé Xavier Beauvais au sujet de l’encyclique Rerum Novarum et de la doctrine sociale de l’Eglise catholique.
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Même en France, des ex-musulmans cachent leur conversion par peur des représailles
Dans un entretien pour Réinformation TV, l’abbé Guy Pagès, prêtre catholique français engagé dans l’évangélisation des musulmans, fin connaisseur de l’islam, déclare :
"[...] Mais l’on n’annonce pas l’Evangile aux musulmans comme à des athées, et que la raison dernière d’être des institutions est de favoriser le salut de tous, car, comme le disait Pie XII : « De la forme donnée à la société, conforme ou non aux lois divines, dépend et découle le bien ou le mal des âmes (Discours pour le Cinquantième anniversaire de Rerum Novarum, 1er Juin 1941). » A mon avis, le premier problème, le plus important, le plus grave, est celui du comportement de la hiérarchie catholique que beaucoup perçoivent comme lâcheté et compromission.Lorsqu’un évêque finance la construction d’une mosquée, que des évêques posent la première pierre des mosquées, prétendent que l’islam est une bonne religion, n’invitent pas à quitter l’islam, comment ces pasteurs ne nourriraient-ils pas l’indifférentisme, ne videraient-ils pas en conséquence leurs églises, et n’apparaîtraient-ils pas aux yeux des gens sains d’esprit comme des traîtres les conduisant à la mort du temps et de l’éternité ?
Les non-catholiques désireux de sauvegarder leur identité voient de plus en plus l’Eglise comme une alliée objective de leur mise en esclavage programmée, tandis que nombre de catholiques sont désemparés, affolés, de ne plus trouver secours auprès de leur mère face à cet Antichrist devant lequel tout le monde se couche et qui n’apporte que malheurs et terreurs. Il faut lire à ce sujet la récente Lettre ouverte d’ex-musulmans devenus chrétiens adressée au Pape. Si l’Eglise elle-même ne voit pas d’inconvénient à ce que l’islam s’installe en Europe, comment voulez-vous que les Etats puissent trouver quelque chose à y redire ? L’Eglise ne joue plus son rôle de prophète, elle n’imite plus le Bon Berger qui chasse le loup de la bergerie, elle se contente de dialoguer avec lui et même l’appelle à cor et à cri à venir s’installer chez nous… Le souci du salut des hommes paraît avoir complètement déserté les préoccupations du clergé, tout occupé à célébrer la convivialité humaine, terrestre, où chacun a le droit de croire ce qu’il veut…
Même en France, des ex-musulmans cachent leur conversion à leurs familles et voisins, par peur des représailles, et cette peur se répercute dans l’Église qui ne les accueille bien souvent que du bout des doigts. J’ai l’exemple de cette jeune fille, majeure et vaccinée, dont le père est l’imam bien connu d’une ville de la région parisienne. Elle est allée demander le baptême au curé de sa ville, qui lui répondit : « Mais, votre père est-il d’accord ? » [...]"
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Etude de l’encyclique Rerum Novarum (1)
M. l’abbé Xavier Beauvais nous enseigne l’encyclique Rerum Novarum.
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Viktor Orban : « La chrétienté est le dernier espoir de l’Europe »
Dimanche, lors de son discours annuel sur l’état de la nation, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a lancé la campagne pour les élections législatives du 8 avril. Le message est clair : la Hongrie et les Hongrois d’abord.
« La situation est que le danger auquel nous devons faire face vient de l’Ouest, des politiques de Bruxelles, Berlin et Paris. Ils veulent que nous adoptions leurs politiques qui ont fait de leurs pays des pays d’immigration, et qui ont amené par là le déclin de la chrétienté et la diffusion de l’islam »
Et de clamer bien haut :
« La chrétienté est le dernier espoir de l’Europe. »Viktor Orban a souhaité la constitution d’une large alliance entre différents pays contre l’immigration et a critiqué l’Europe occidentale, devenue une « zone immigrée, un monde à la population métissée qui prend une direction différente de la nôtre ».Le chef d’Etat hongrois a rappelé le rôle néfaste du milliardaire cosmopolite George Soros qui finance l’immigration. « Bien sûr, nous combattrons et nous utiliserons tous les recours juridiques possibles. Le premier est notre loi anti-Soros ».« Partout, (Soros) veut qu’on accepte l’immigration. Ça ne marchera pas. Nous ne sommes pas seuls, nous combattrons ensemble (…) et nous vaincrons. »Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, religion 0 commentaire -
Comment Jean-Marie Le Pen a rompu avec l'Eglise catholique
Il le raconte dans ses mémoires, à paraître le 1er mars, et à commander ici en ligne (frais de port offerts jusqu'au 15 mars) :
« Nous avons rompu l’Eglise et moi quand j’avais 16 ans (...) C’était après l’été 44 (...) les prêtres du collège peinaient à me tenir, je ne supportais plus la discipline bras croisés. Bref, ils ont décidé de me virer et, comme j’étais à la fois costaud et rebelle, ils ont trouvé un stratagème ignoble. J’étais alors, rappelons-le, déjà orphelin de père. Ils me convoquent : « Mon enfant, une terrible nouvelle, votre maman est morte. Rentrez chez vous ». Je prends mon vélo et je pédale aussi vite que je peux, à travers mes larmes dont je n’imaginais pas qu’elles pouvaient couler autant. Maman. Morte. J’arrive à la maison, et je la vois qui bine son potager. »