L'été dernier, Macron encaissait deux cinglantes défaites électorales et ratait le « coup » de la dissolution. Un an après, nouvelle défaite, cette fois face à l'Algérie : réputé grand ami de l'Algérie - tout du moins, jusqu'à son revirement diplomatique, en juillet 2024, avec la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental -, il est contraint de demander désormais davantage de fermeté au gouvernement, avec la suspension de l'accord de 2013. Sous la pression de Retailleau, partisan de la fermeté depuis son arrivée à Beauvau, et de l'actualité, qui voit les contentieux avec Alger s'accumuler.








