
Il semblerait, à en croire la doxa dominante, que face aux déferlantes conjointes de l’immigration et de la délinquance, la fatalité soit de mise. Fatalité tout relative, la Tunisie ayant pris de sévères mesures quant à ce premier péril. Et c’est une nation plus modeste encore, le Salvador (6,3 millions d'habitants), qui pourrait bien nous en remontrer face au second péril. L’information était passée sous les radars médiatiques avant que Damien Rieu, ancien cadre du Rassemblement national, depuis passé chez Reconquête, ne vienne lever le lièvre, grâce à ce tweet : « Avec une politique répressive, le Salvador, dirigé par le président Nayib Bukele, est passé de dix homicides par jour à zéro. »






