Thomas Joly, président du Parti de la France
L’Histoire jugera. L’instant était solennel, l’heure grave. Et pourtant, ce vendredi 28 février, Volodymyr Zelensky, sous les ors de la Maison-Blanche, s’est offert le luxe inouï de cracher dans la main qui le nourrit. Il n’est plus à une outrance près, cet histrion qui joue au chef de guerre comme d’autres jouent les matamores. Devant un Donald Trump patiemment revenu aux affaires et sincèrement désireux de trouver une issue au bourbier ukrainien, le président de Kiev a fait preuve d’une arrogance aussi déplacée qu’insensée.