
Cette France pitoyable qui ne veut pas d’une « épreuve de force » avec l’Algérie et qui fait semblant de croire qu’on peut discuter avec ce pays radical, qui hait la France jusque dans son hymne national… Discuter avec l’Algérie, c’est baisser éternellement sa culotte, ce dont la France est coutumière avec ce pays qui ne nous est d’aucune utilité, diplomatiquement et économiquement. Ainsi, nous ne réclamons pas les ardoises dues en matière de frais de santé, nous continuons à payer des retraites à des gens morts depuis longtemps, nous versons des aides au développement à un pays qui non seulement ne se développe pas mais véhicule des valeurs totalement opposées à celles de l’Occident. La réalité est que Paris a peur des réactions des gens de la diaspora algérienne en France, des émeutes… et Paris croit quoi, qu’en baissant éternellement sa culotte, il s’assurera de la paix et de l’amour avec une partie non négligeable de ces gens biberonnés à la haine de la France ? L’épreuve de force, il la faudra, tôt ou tard. A s’y prendre comme cela, Macron, toujours lui, dont le soutien à l’islam, y compris radical, est ouvertement affiché, fait penser à cette puissante maxime de Churchill : nous choisissons le déshonneur pour ne pas avoir la guerre et nous aurons les deux. Nous avions listé, au RPF, une série de mesures à prendre contre ce pays avec lequel, quelles que soient les concessions faites, nous n’aurons jamais la paix : les voici : L’Algérie et sa guerre contre la France – Rassemblement du Peuple Français